Différences entre les versions de « SYNC SUR SYNC 1 »

De Xavier Renard
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'''26/12 —''' Salo tarage<ref>Spot café-clope Datcha-terrasse-plage</ref>. J’ai posé mes 2€50 sur le rebord de la coupelle de ma tasse de café, que je désigne à mon frache jus-walou<ref>Fort sympatoche jeune serveur (vi joi* 2) [*Voir Miss-Jottise...]</ref>. Il me dit : « T’as senti que c’était mon heure ? ». Hein ? Quoi ? « Oui, t’as senti que je devais partir ? », ou on bitin kon sa ; c’est la fin de son service. « Bon timing ! », s’exclame-t-il, m’offrant l’opportunité de dégainer en retour : « On est... synchros !!! ». Rapotage<ref>Renard-poissonnage (nageage)</ref>, puis à la sortie de la plage : le gars aux superbes coques de lambi alignées sur la murette est là.<ref>Un certain Wilfrid, ai-je par la suite appris dans une boutique où elles étaient également exposées, ayant par là-même la confirmation, ainsi qu’il me l’a affirmé, qu’il était le principal fournisseur de cet article dans son île.</ref> Je m’étais dit la dernière fois : hmmm, je m’en achèterais bien une. Papotage. Moi : « C’est très réglementé tout ça, non ? »... patita<ref>Patati, patata</ref>. Transaction. Entre les deux, et un « T’as pris le plus beau, et le plus gros ! », et un « T’as l’œil ! », et encore un « Champion ! », et « T’es vraiment le plus grand acheteur de coques de lambi que la Terre ait jamais porté ! », etc., il me déclare, sur le même ton réjouipaté que mon jus-walou que j’arrive pile quand il doit plier boutique : « Voyons, quelle heure il est ? C’est ça, j’avais dit que j’arrêtais à 17h ». « Il est quelle heure ? », l’interrogé-je. « Dix-sept heures deux. »
'''26/12 —''' Salo tarage<ref>Spot café-clope Datcha-terrasse-plage</ref>. J’ai posé mes 2€50 sur le rebord de la coupelle de ma tasse de café, que je désigne à mon frache jus-walou<ref>Fort sympatoche jeune serveur (vi joi* 2) [*Voir Miss-Jottise...]</ref>. Il me dit : « T’as senti que c’était mon heure ? » Hein ? Quoi ? « Oui, t’as senti que je devais partir ? », ou on bitin kon sa ; c’est la fin de son service. « Bon ''timing'' ! », s’exclame-t-il, m’offrant l’opportunité de dégainer en retour : « On est... synchros !!! » Rapotage<ref>Renard-poissonnage (nageage)</ref>, puis à la sortie de la plage : le gars aux superbes coques de lambi alignées sur la murette est là.<ref>Un certain Wilfrid, ai-je par la suite appris dans une boutique où elles étaient également exposées, ayant par là-même la confirmation, ainsi qu’il me l’avait affirmé, qu’il était le principal fournisseur de cet article dans son île.</ref> Je m’étais dit la dernière fois : hmmm, je m’en achèterais bien une. Papotage. Moi : « C’est très réglementé tout ça, non ? »... patita<ref>Patati, patata</ref>. Transaction. Le lambi-''dealer'' : « T’as pris le plus beau, et le plus gros ! » « T’as l’œil ! » « Champion ! » Puis il me déclare, sur le même ton réjouipaté que mon jus-walou que j’arrive pile quand il doit plier boutique : « Voyons, quelle heure il est ? C’est ça, j’avais dit que j’arrêtais à 17h. » « Il est quelle heure ? », l’interrogé-je. « Dix-sept heures deux. »




'''27/12 —''' J’en ai des tonnes, des syncs en stock. Que je note à la va-vite et m’encule<ref>Me courrielle (cul = courriel)</ref>, d’une ma-trique<ref>Messagerie électronique</ref> à l’autre. Et qui me soufflent en cet instant (vers 10h30 en ce 27/12/2021)<ref>1+3+2+7+1+2+2+2+1=... 21 !!!!! Pute a pain (''ou'' papa nain*) !!!!!! J’ai tenté ce calcul « à tout hasard », me disant vysir</ref>Voyons voir</ref>, pour ce résultat ta-le-miel**, dont l’explication est fournie ailleurs dans les méandres de ce site de tous les impossibles : c’est l’histoire d’un 21 qui ne cesse de me tourner autour, depuis un certain... 21 avril surtout... (*Putain de putain de putain **Totalement démentiel)</ref> : « Xabiwikite-nous direct, plutôt, tu nous pi... euh... fignoleras au fur et à mesure ». Synctéma... euh... systématiquement non, je ne peux pas juste balancer quelques mots écrits n’importe comment, comme dans mes nochiées<ref>Notes de synchronicités</ref>, par conséquent ça nécessite un minimum de temps... À voir...  
'''27/12 —''' J’en ai des tonnes, des syncs en stock. Que je note à la va-vite et m’encule<ref>Me courrielle (cul = courriel)</ref>, d’une ma-trique<ref>Messagerie électronique</ref> à l’autre. Et qui me soufflent en cet instant (vers 10h30 en ce 27/12/2021)<ref>1+3+2+7+1+2+2+2+1=... 21 !!!!! Pute a pain (ou papa nain)* !!!!!! J’ai tenté ce calcul « à tout hasard », me disant vysir**, pour ce résultat ta-le-miel***, dont l’explication est fournie ailleurs dans les méandres de ce site de tous les impossibles : c’est l’histoire d’un 21 qui ne cesse de me tourner autour, depuis un certain... 21 avril surtout... (*Putain de putain de putain **Voyons voir ***Totalement démentiel)</ref> : « Xabiwikite-nous direct, plutôt, tu nous pi... euh... fignoleras au fur et à mesure. » Synctéma... euh... systématiquement non, je ne peux pas juste balancer quelques mots écrits n’importe comment, comme dans mes nochiées<ref>Notes de synchronicités</ref>, par conséquent ça nécessite un minimum de temps... À voir...  


Trois jours plus tard : mon voisin gwadloupéyen « Om » hindouiste [vodou papi<ref>Voir Modoupa chapitre...</ref> 4], avec lequel a eu lieu une deuxième fantastique rencontre – le jour du lancement de la présente rubrique –, en une nouvelle fantastique synchronicité, est en train d’essayer de m’orienter vers... ce que je vais appeler un Grand Ponte... Il m’a indiqué son nom et enjoint de le rechercher sur Internet. Maouaza<ref>Message ouate-zeu-pape</ref> à Om : « X ne donne pas de consultation individuelle. Que des stages ». Sa réponse : « OK je vais voir pour toi ». Re-moi : « Ton message....... à 21h21 !!!!! Je t’expliquerai. Un grand merci d’avance en tout cas ».
Trois jours plus tard : mon voisin gwadloupéyen « Om » hindouiste [vodou papi<ref>Voir Modoupa chapitre...</ref> 4], avec lequel a eu lieu une deuxième fantastique rencontre – le jour du lancement de la présente rubrique –, en une nouvelle fantastique synchronicité, est en train d’essayer de m’orienter vers... ce que je vais appeler un Grand Ponte... Il m’a indiqué son nom, m’enjoignant de le rechercher sur Internet. Maouaza<ref>Message ouate-zeu-pape</ref> à Om : « X ne donne pas de consultation individuelle. Que des stages. » Sa réponse : « OK je vais voir pour toi. » Re-moi : « Ton message....... à 21h21 !!!!! Je t’expliquerai. Un grand merci d’avance en tout cas. »




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::J’ai pris rendez-vous avec Olivier<ref>Mon Monsieur Synchronicités (1) ! Pour commencer l’année ! [(1) Danupag*... je regarde estonie**... le 06/05 à 05:06 !!!... (horaire de grand malade) : « le prénom de Monsieur Qui-M’a-Soufflé-Ce-Mot » serait plus exact.] (*Dans un repassage **En bas à droite de mon ordinateur)</ref> vendredi à 15h. [Ça serait pas le 13 par... hasard ? Non, pas du tout, mais : le 7. Et le suivant c’était loupé (de peu) aussi.] C’est un ostéopathe, c’est bien lui que tu souhaitais que je Voie ? (Oh ce mot que m’affiche mon portable, avec une majuscule !) [smiley + mains prière]
::J’ai pris rendez-vous avec Olivier<ref>Mon Monsieur Synchronicités (1) ! Pour commencer l’année ! [(1) Danupag*... je regarde estonie**... le 06/05 à 05:06 !!!... (horaire de grand malade) : « le prénom de Monsieur Qui-M’a-Soufflé-Ce-Mot » serait plus exact.] (*Dans un repassage **En bas à droite de mon ordinateur)</ref> vendredi à 15h. [Ça serait pas le 13 par... hasard ? Non, pas du tout, mais : le 7. Et le suivant c’était loupé (de peu) aussi.] C’est un ostéopathe, c’est bien lui que tu souhaitais que je Voie ? (Oh ce mot que m’affiche mon portable, avec une majuscule !) [smiley + mains prière]


L :
L<ref>Il est, effectivement... XL !!! L’obésité, à l’inverse de moi, m’a-t-il fait comprendre, a toute sa vie été (( SUPPR[14] )) son problème de santé... Il en a, semble-t-il, énormément souffert : « Je suis passé par tous les trous », ont été ses termes imagés pour l’exprimer. Par tous ? Pas par celui de son fils, s’il en a un, je l’espère. Car une autre phrase choc les avait précédés : « Tu sais, tous mes patients se sont fait violer quand ils étaient gosses ». Pour dire : « Le passé, c’est le passé » !!! Mais blague très, très douteuse à part il n’y a pas lieu de croire, dans notre histoire, que qui que ce soit d’autre que « tous ses patients » et leurs paters respectueux... euh non justement pas trop... respectifs plutôt, soient concernés. « Tu n’es pas gros », m’a-t-il en outre lancé + la nature ou je ne sais quoi... « t’a fait très beau » ! Ouh ! Mazette ! Mais, alors, de quoi me plains-je, c’est ça ?</ref> :
 
(Il est, effectivement... XL !!! L’obésité, à l’inverse de moi, m’a-t-il fait comprendre, a toute sa vie été<ref>Sucem morabnodem baduf* : 690 (*Sur ce mot mon regard est tombé sur ce nombre de mots/ces statistiques en bas du fichier.)</ref> ''son'' problème de santé... Il en a, semble-t-il, énormément souffert : « Je suis passé par tous les trous », ont été ses termes imagés pour l’exprimer. Par tous ? Pas par celui de son fils, s’il en a un, je l’espère. Car une autre phrase choc les avait précédés : « Tu sais, tous mes patients se sont fait violer quand ils étaient gosses ». Pour dire : « Le passé, c’est le passé » !!! Mais blague très, très douteuse à part il n’y a pas lieu de croire, dans notre histoire, que qui que ce soit d’autre que « tous ses patients » et leurs paters respectueux... euh non justement pas trop... respectifs plutôt, soient concernés. « Tu n’es pas gros », m’a-t-il en outre lancé + la nature ou je ne sais quoi... « t’a fait très beau » ! Ouh ! Mazette ! Mais genre : de quoi te plains-tu mon coco ?)


::Oui, c’est bien lui. [L'ostéoliv]
::Oui, c’est bien lui. [L'ostéoliv]
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::OK sa ka maché sur... la Voie !!! (re-smiley – assez prié)
::OK sa ka maché sur... la Voie !!! (re-smiley – assez prié)


Donc La... Voie... POUR OUVRIR 2022 !!!!!!!!! (9 !, mon top chira<ref>Chiffre plutôt sympa. « 9 ! » se veut une boutade : 9 points d’exclamation, comme par hasard ! C’est fou ! Ah ! Ah ! Ah ! C’est un de ces groniaks*, mais je laisse pask’y sont jolis mes chiffres avé ce 13 sur « top chira ». [Seulement voilà, comme ce 13-a-plus-pas, ainsi que nous le constaterons maintes fois, sont faites pour sauter ces nobapas*.] J’ai eu raison de niakonner. Accessoirement nous sommes en présence de l’emphase tou-9-le-mastic. V33... euh... V5 13/01*. (*Gros nimportnawaks **Notes de bas de page)</ref>, ici 3 X 2 + 3)
Donc La... Voie... POUR OUVRIR 2022 !!!!!!!!!




'''05/01 —''' 9h, Laurent mon Voisin « Om » (V5 04/01) m’envoie un magnétiseur. Deux heures de nettoyage interne, de mon dedans et de mon appartement, puis nous allons boire un café à la Marina. Toute une discussion, entre autres, sur le Cameroun, parmi les pays d’Afrique où le thérapeute a vécu, et l’homosexualité en Gwada (bonjour les dégâts), ainsi qu’au Cameroun, où c’est puni de mort me dit-il. Carrément ?! M’étonné-je, bien que n’ignorant pas que cette ignoble et intolérable déviance, en droit, dans ce pays, comme un peu partout en Afrique, est bannie. « Enfin, c’est la prison, rectifie-t-il, et puis on te tue, après s’être bien amusé avec toi ». Ah ! Je préfère ça. Afrique détentrice du record mondial de l’homophobie : vodou papi 19. Je viens de lui parler de Marc mon plus vieil, vieil, vieil, vieil ami établi avec son compagnon Francis à Douala (après avoir longtemps été en couple avec Nestor au Burma... euh... Burkina). Visite de Marc et Francis en Matinik/Gwada (oui, en plus, dans cet ordre-là) : vodou papa... euh... papi 31 vlan <ref>Vers la fin</ref>. Il me ramène à la résidence. Avant de sortir de sa voiture je lui demande : « Au fait c’est quoi ton prénom ? ». Il m’avait remis sa carte de visite à la fin de la séance chez moi mais, totalement lessivé, je ne risquais pas de le capter. Il me répond : Gaston. Mais non. Mark. Le même que mon plus vieil, vieil, vieil, vieil ami camerounais d’adoption comme lui, mais dans ce cas avec un « k » par conséquent toutefois.
'''05/01 —''' 9h, Laurent mon Voisin « Om » (V5 04/01) m’envoie un magnétiseur. Deux heures de nettoyage interne, de mon propre dedans et de celui de mon appartement, puis nous allons boire un café à la Marina. Toute une discussion, entre autres, sur le Cameroun, parmi les pays d’Afrique où le thérapeute a vécu, et l’homosexualité en Gwada (bonjour les dégâts), ainsi qu’au Cameroun, où c’est puni de mort me dit-il. Carrément ?! M’étonné-je, bien que n’ignorant pas que cette ignoble et intolérable déviance, dans le droit de ce pays, comme un peu partout en Afrique, est bannie. « Enfin, c’est la prison, rectifie-t-il, et puis on te tue, après s’être bien amusé avec toi. » Ah ! Je préfère ça. Afrique détentrice du record mondial de l’homophobie : vodou papi 19. Je viens de lui parler de Marc mon plus vieil, vieil, vieil, vieil ami établi avec son compagnon Francis à Douala (après avoir longtemps été en couple avec Nestor au Burma... euh... Burkina). Visite de Marc et Francis en Matinik/Gwada (oui, en plus, dans cet ordre-là) : vodou papa... euh... papi 31 vlan <ref>Vers la fin</ref>. Il me ramène à la résidence. Avant de sortir de sa voiture je lui demande : « Au fait c’est quoi ton prénom ? » Il m’avait remis sa carte de visite à la fin de la séance chez moi mais, totalement lessivé, je ne l’avais pas capté. Il me répond : Gaston. Mais non. Mark. Le même que mon plus vieil, vieil, vieil, vieil ami camerounais d’adoption comme lui, mais dans ce cas avec un « k » par conséquent toutefois.




'''06/01 —''' J’écris dans ma Miss-Jottise 3 : « [...] l’Œuvre des Forces (« des êtres passionnés sont broyés par des forces qui les dépassent » – nous ça va, hein ? –, « les forces à l’œuvre dans l’histoire humaine », lis-je ce même jour dans MALF<ref>''Mille ans de littérature française'', Claude Bouthier, Christophe Desaintghislain, Christian Morisset, Patrick Wald Lasowski, Éd. Nathan</ref> [pages 328 et 329] à propos du Grave<ref>Grand Œuvre</ref> hugoïen). Mais j’ai d’abord tapé par erreur, au lieu d’« histoire humaine », « histoire de l’humanité ». Je lis cinq minutes après dans MALF (page 342) : « À l’origine, Hugo voulait rassembler [dans ''L’épopée de l’aventure humaine''] quelques poèmes évoquant les grands moments de l’histoire de l’humanité ». Puis, phrase suivante : « Le projet a pris de l’ampleur pour devenir ''La légende des Siècles'', cette grande épopée qui retrace toute l’histoire des hommes ». Et phrase d’après : « Le recueil compte quinze<ref>Le voilà encore ! Vis joie 3. Et sur... la nobapa* 15 !!!</ref> parties qui naviguent à travers les époques et les civilisations : “D’Ève à Jésus”, etc. ». Oui, parce que Jésus 2, deux... deux... deux... (l’Histoire humaine-de l’humanité-des hommes bégaie), après Jésus 1, c’est moi. Une sorte de Sainte Trinité de l’Histoire de l’Humanité, que nous inventons ainsi à 2, Victoire... euh... Victor et moi.
'''06/01 —''' J’écris dans ma Miss-Jottise 3 : « [...] l’Œuvre des Forces (« des êtres passionnés sont broyés par des forces qui les dépassent » – nous ça va, hein ? –, « les forces à l’œuvre dans l’histoire humaine », lis-je ce même jour dans MALF<ref>''Mille ans de littérature française'', Claude Bouthier, Christophe Desaintghislain, Christian Morisset, Patrick Wald Lasowski, Éd. Nathan</ref> [pages 328 et 329] à propos du Grave<ref>Grand Œuvre</ref> hugoïen). Mais j’ai d’abord tapé par erreur, au lieu d’« histoire humaine », « histoire de l’humanité ». Je lis cinq minutes après dans MALF (page 342) : « À l’origine, Hugo voulait rassembler [dans ''L’épopée de l’aventure humaine''] quelques poèmes évoquant les grands moments de l’histoire de l’humanité. » Puis, phrase suivante : « Le projet a pris de l’ampleur pour devenir ''La légende des Siècles'', cette grande épopée qui retrace toute l’histoire des hommes. » Et phrase d’après : « Le recueil compte quinze<ref>Le voilà encore ! Vis joie 3. Et sur... la nobapa* 15 !!!</ref> parties qui naviguent à travers les époques et les civilisations : “D’Ève à Jésus”, etc. » Oui, parce que Jésus 2, deux... deux... deux... (l’Histoire humaine-de l’humanité-des hommes bégaie), après Jésus 1, c’est moi. Une sorte de Sainte Trinité de l’Histoire de l’Humanité, que nous inventons ainsi à 2, Victoire... euh... Victor et moi.




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::Je sors de chez l’ostéo, dans la série des Archanges qui me sont envoyés ces temps-ci, avec, comme Chef de File, mon Voisin Om Laurent... Quel moment si tu savais encore, et quel échange avec cet homme, un... Olivier !... Jélica<ref>Je le réalise en écrivant cela.</ref> : Laurent, Olivier, Mark, les prénoms de trois de mes Pandas<ref>Plus Grands Amis</ref> !... Et avec mon Alter-Olivier-Monsieur-Synchronicités du jour, aux âme et esprit d'une beauté divine cosmos... euh... ecnos<ref>Encore une fois</ref>, quelle... synchronicité a bien pu se produire, à ton avis ? La date qu’il m’a proposée, pour le prochain rendez-vous : le combien, hein, le combien ? Je te laisse deviner... l’évidence... « C'est dingue !!! », me suis-je exclamé, quand la date il m’a proposée, en me prenant les mains dans ma tête. [Ça remue, une séance d’ostéopathie, c’est bien connu, alors on se prend en principe plutôt la tête dans les mains, le principal étant cependant sans doute, à la sortie, de ne pas l’avoir trop dans le cul.] Je venais de chialer un coup, tellement la discussion fut intense, et dans un « lâcher-prise », en guise de résultat qu’un soin comme celui qu’il venait de prodiguer est censé avoir ! « Normal », donc, et c'est « bon signe » comjadi<ref>Comme je te/lui ai (déjà) dit.</ref>.
::Je sors de chez l’ostéo, dans la série des Archanges qui me sont envoyés ces temps-ci, avec, comme Chef de File, mon Voisin Om Laurent... Quel moment si tu savais encore, et quel échange avec cet homme, un... Olivier !... Jélica<ref>Je le réalise en écrivant cela.</ref> : Laurent, Olivier, Mark, les prénoms de trois de mes Pandas<ref>Plus Grands Amis</ref> !... Et avec mon Alter-Olivier-Monsieur-Synchronicités du jour, aux âme et esprit d'une beauté divine cosmos... euh... ecnos<ref>Encore une fois</ref>, quelle... synchronicité a bien pu se produire, à ton avis ? La date qu’il m’a proposée, pour le prochain rendez-vous : le combien, hein, le combien ? Je te laisse deviner... l’évidence... « C'est dingue !!! », me suis-je exclamé, quand la date il m’a proposée, en me prenant les mains dans ma tête. [Ça remue, une séance d’ostéopathie, c’est bien connu, alors on se prend en principe plutôt la tête dans les mains, le principal étant cependant sans doute, à la sortie, de ne pas l’avoir trop dans le cul.] Je venais de chialer un coup, tellement la discussion fut intense, et dans un « lâcher-prise », en guise de résultat qu’un soin comme celui qu’il venait de prodiguer est censé avoir ! « Normal », donc, et c'est « bon signe » comjadi<ref>Comme je te/lui ai (déjà) dit.</ref>.


Réponse à la divine... euh... devinette : « C’est le 21 ? Ou le 15 (anniversaire d’Olivier) ? ». Ça aurait en effet été très fort aussi, eu égard à l’affluent 15 de l’incessant torrent des 21, mais c’est bien ce deux-premier... euh... ce dernier.
Réponse à la divine... euh... devinette : « C’est le 21 ? Ou le 15 (anniversaire d’Olivier) ? » Ça aurait en effet été très fort aussi, eu égard à l’affluent 15 de l’incessant torrent des 21, mais c’est bien ce deux-premier... euh... ce dernier.


Montant du chèque que je remets à Laurent, le surlendemain, pour des produits de phytothérapie : 210 euros. + « On » crie dans mes oreilles à l’instant où je lance une émission suminu juquri<ref>Sur mon ordinateur juste après que j’ai écrit ça.</ref> : « 21 !!! ». Deux actrices rectifient ainsi la présentatrice qui leur dit : « Vous êtes toutes les deux réunies sur scène à partir du 22... ».
Montant du chèque que je remets à Laurent, le surlendemain, pour des produits de phytothérapie : 210 euros. + « On » hurle dans mes oreilles à l’instant où je lance une émission suminu juquri<ref>Sur mon ordinateur juste après que j’ai écrit ça.</ref> : « 21 !!! » « On » est un con ? Non, deux connes. Mais nooonnn. Deux actrices, qui dans ce cri rectifient l'annonce de la présentatrice : « Vous êtes toutes les deux réunies sur scène à partir du 22. »




'''09/01 —''' Dans ce petit bout de texte, un double événement majeur est sur le point de se produire. D’une part, aucune synchronicité qui eut pu le motiver ne va y être traitée ; un événement précisément d’autre part pour ce dont il est l’objet. Toto momo batata : tout est possible dans ''Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata''. Sauf que, précisément aussi, on n’est même pas dans ''Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata''. Et, même dans '' Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata'', tout n’a pas trait à des synchronicités. Donc n’importe quoi. C’était pour ressortir « toto momo batata ». On m’enculait il y a 2 jours que mon modoupaïen n’avait aucun intérêt, et pourtant quelle Merveille. Merveille que la peine qu’a prise mon ami de m’écrire sa critique. Merveille !!! Merveille !!! Merveille !!! Bref, ma pas-sync-histoire, par contre, ça commence par une honteuse redistribution, une fois encore, d’un cul. Un cul de moi à HéLo :
'''09/01 —''' Dans ce petit bout de texte, un double événement majeur est sur le point de se produire. D’une part, aucune synchronicité qui eut pu le motiver ne va y être traitée ; un événement précisément d’autre part pour ce dont il est l’objet. Toto momo batata (tout est possible dans ''Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata''). Sauf que, précisément aussi, on n’est même pas dans ''Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata''. Et, même dans '' Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata'', tout n’a pas trait à des synchronicités. Donc n’importe quoi. C’était pour ressortir « toto momo batata ». On m’enculait il y a 2 jours que mon modoupaïen n’avait aucun intérêt, et pourtant quelle Merveille. Merveille que la peine qu’a prise mon ami de m’écrire sa critique. Merveille !!! Merveille !!! Merveille !!! Bref, ma pas-sync-histoire, par contre, ça commence par une honteuse redistribution, une fois encore, d’un cul. Un cul de moi à HéLo :


:: ''I’m in good health, I’m strong, and nothing can beat me !!!!!!!!!'' (Y a 9 ! bisû. Bisou ! Mais non, je commence à peine, l’enculage. « Bisû » ça snifoune<ref>Signifie en modoupaïen</ref> « bien sûr ».)
:: ''I’m in good health, I’m strong, and nothing can beat me !!!!!!!!!'' (Y a 9 « ! » bisû. Bisou ! Mais non, je commence à peine, l’enculage. « Bisû » ça snifoune<ref>Signifie en modoupaïen</ref> « bien sûr ».)


::Anil mon prof de yoga et de méditation du centre Sree Chitrah, dans le Kerala, m’avait demandé de clamer ça tous les jours en me regardant dans le miroir.  
::Anil mon prof de yoga et de méditation du centre Sree Chitrah, dans le Kerala, m’avait demandé de clamer ça tous les jours en me regardant dans le miroir.  
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2.
2.


C’est un peu dans la veine de cette coi-ma-tata acculée<ref>Critique de ''Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata'' affichée à l’Accueil.</ref> : « Faut le laver [DiBouPa<ref>Dieu, Bouddha et Patata</ref>] de toute autocélébration : voyez comme je suis super, admirez ma conscience universelle, prenez des leçons d’abnégation, etc. ». Comme ce qui précède, si nous ne nous abusons. J’ajoute, pour ce qui suit : « Voyez comme je suis généreux ». Autoflagellation-coupage-d’herbe-sous-les-pieds mise à part, c’est une lucarne sur l’Inde, la dure réalité de la vie (là-bas)...
C’est un peu dans la veine de cette coi-ma-tata acculée<ref>Critique de ''Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata'' affichée à l’Accueil.</ref> : « Faut le laver [DiBouPa<ref>Dieu, Bouddha et Patata</ref>] de toute autocélébration : voyez comme je suis super, admirez ma conscience universelle, prenez des leçons d’abnégation, etc. » Comme ce qui précède, si nous ne nous abusons. J’ajoute, pour ce qui suit : « Voyez comme je suis généreux. » Autoflagellation-coupage-d’herbe-sous-les-pieds mise à part, c’est une lucarne sur l’Inde, la dure réalité de la vie (là-bas)...


Les maouazas :
Les maouazas :
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::Les renvois innombrables en bas de page ce n’est pas de la littérature à mon sens ; aucun auteur sérieux ne fait cela, ça casse complètement la petite musique. Tu dois pouvoir intégrer ces apartés et explications dans le corps de ton texte, les incorporer au récit, c’est ton taf d’écrivain.
::Les renvois innombrables en bas de page ce n’est pas de la littérature à mon sens ; aucun auteur sérieux ne fait cela, ça casse complètement la petite musique. Tu dois pouvoir intégrer ces apartés et explications dans le corps de ton texte, les incorporer au récit, c’est ton taf d’écrivain.


Xabi cassééééé !!!!! Là c’est Brice (le surfeur) de Nice qui passe pour se moquer, par rapport au Pari. Le rétamage du Pari de Xabi, c’est dans le « Xème rang ». Tiens si je me la jouais comme dans mon cul : devinette ! Et test, de comment que ça défile les veutumois<ref>Visiteurs-teuses de mon Site. À niqorer*. Ou ne pas trop chercher à comprendre, dans les passages les plus « scabreux », selon l’instruction de lecture de mes histoires à dormir debout, se laisser porter par la musique... Brice : « Puisqu’on te dit que tu la casses, avec tes nobapas ». Mais c’est qui qui casse qui et quoi ici ? J’y comprends plus rien. Angelu mon Anar** : « Laisse-toi porter... par les vagues de la Méditerranée... ». Te voilà, toi ! Mais tu te sens bien ?... (*À ne lire que très en forme. **« Anguélou » mon Ange Gardien)</ref>. Le combientième le « Xème » peut-il bien être ? Devinable au vu de ce qui précède immédiatement l’endroit où je suis fauché, dans mon élan, par l’inévitable survenue du phénomèèèèène, et de l’emplacement de l’épisode concerné dans le Livre. Dont le pas raisonnable, mais alors pas raisonnable du tout, du tout, du tout, nombre de nobapas est, lui, de combien ??? Hein ??? Je m’apprêtais à annoncer le chiffre et à le flanquer de 9 points d’exclamations (on demande son mastic tout neuf ! pas cher ! idéal pour la menuiserie, le champ ch’ais pas quoi et tout ça !), pour l’énormité, sans me douter que tomberait... la... deuxième... syn-chro-ni-ci-té !!! (que 3 points d’exclamations, en attendant de la dévoiler).  
Xabi cassééééé !!!!! Là c’est Brice (le surfeur) de Nice qui passe pour se moquer, par rapport au Pari. Le rétamage du Pari de Xabi, c’est dans le « Xème rang ». Tiens si je me la jouais comme dans mon cul : devinette ! Et test, de comment que ça défile les veutumois<ref>Visiteurs-teuses de mon Site. À niqorer*. Ou ne pas trop chercher à comprendre, dans les passages les plus « scabreux », selon l’instruction de lecture de mes histoires à dormir debout, se laisser porter par la musique... Brice : « Puisqu’on te dit que tu la casses, avec tes nobapas. » Mais c’est qui qui casse qui et quoi ici ? J’y comprends plus rien. Angelu mon Anar** : « Laisse-toi porter... par les vagues de la Méditerranée... » Te voilà, toi ! Mais tu te sens bien ?... (*À ne lire que très en forme. **« Anguélou » mon Ange Gardien)</ref>. Le combientième le « Xème » peut-il bien être ? Devinable au vu de ce qui précède immédiatement l’endroit où je suis fauché, dans mon élan, par l’inévitable survenue du phénomèèèèène, et de l’emplacement de l’épisode concerné dans le Livre. Dont le pas raisonnable, mais alors pas raisonnable du tout, du tout, du tout, nombre de nobapas est, lui, de combien ??? Hein ??? Je m’apprêtais à annoncer le chiffre et à le flanquer de 9 points d’exclamations (on demande son mastic tout neuf ! pas cher ! idéal pour la menuiserie, le champ ch’ais pas quoi et tout ça !), pour l’énormité, sans me douter que tomberait... la... deuxième... syn-chro-ni-ci-té !!! (seulement trois points d’exclamation, en attendant de la dévoiler).  


Langue à mes chats des chamous ? Elles sont 1212. Je l’écris sans l’espace académique entre les chiffres 1 et 2, le premier, un 1, le deuxième, un 2, ainsi qu’il s’affiche, dans mon fichier, sa paire a plus de gueule ainsi. Sa paire de... 21 à l’envers !!!!!!!!! Je colle le mastic là, la Sync 2 c’est ça : le Fil d’Ariane depuis que j’ai lancé cette Rude-bitte<ref>Rubrique de XabiWiki : j’abuse ? Au regard des redoupes*, non. Je rappelle celle-là : « rude-bi » est féminisé, le genre des modous** étant le même que celui des mots et expressions en français correspondants, au moyen du « tte » final. (*Règles du modoupaïen **Mots de modoupaïen)</ref>, sur la première Sync, soit au jour de la rédaction de la présente (qui ne s’en voulait pas 1 [une], encore moins 2 [deux], pourtant !), la 26/12. Le top départ, à cheval entre la toute fin de 21 et l’avènement des Trois-Deux, est donné dans la Sync 2 du 27/12 avec « Ton message....... à 21h21 !!!!! ». + Juquri : Sophie la Micronutritionniste de ma Consorofratrie des Archanges me back-maouazate un RV (me répond à la demande de RV que je viens de lui maouzater) le 20/01 à 10h.
Langue à mes chats des chamous ? Elles sont 1212. Je l’écris sans l’espace académique entre les chiffres 1 et 2, le premier, un 1, le deuxième, un 2, ainsi qu’il s’affiche, dans mon fichier, sa paire a plus de gueule ainsi. Sa paire de... 21 à l’envers !!!!!!!!! Je colle le mastic là, la Sync 2 c’est ça : le Fil d’Ariane depuis que j’ai lancé cette Rude-bitte<ref>Rubrique de XabiWiki : j’abuse ? Au regard des redoupes*, non. Je rappelle celle-là : « rude-bi » est féminisé, le genre des modous** étant le même que celui des mots et expressions en français correspondants, au moyen du « tte » final. (*Règles du modoupaïen **Mots de modoupaïen)</ref>, sur la première Sync, soit au jour de la rédaction de la présente (qui ne s’en voulait pas 1 [une], encore moins 2 [deux], pourtant !), la 26/12. Le top départ, à cheval entre la toute fin de 21 et l’avènement des Trois-Deux, est donné dans la Sync 2 du 27/12 avec « ton message....... à 21h21 !!!!! ». + Juquri : Sophie la Micronutritionniste de ma Consorofratrie des Archanges me back-maouazate un RV (me répond à la demande de RV que je viens de lui maouzater) le 20/01 à 10h.


Et, et, et... Ça n’est pas Dieu possible. Je ne sais pas si l’Infini existe pour la formulation des énoncés : l’expression de mon émerveillement, quand les synchronicités qui illuminent mes journées se produisent. C’est tellement chouette, mais ça va finir en aveuglement. Quand je xabiwikite cette Sync-qui-n’avait-même-pas-demandé-à-l’être-or-qui-est-en-passe-de-devenir-l’une-des-plus-dingues (ma Mouche<ref>Modoupaïenne en Cheffe</ref> tu me le modoupaïanises ?), qu’est-ce que je vois ? Le numéro de nobapa, sur « Ce sera, pour ce jour, à propos : 1. d’un enculage ; 2. d’un maouazatage » : c’est le combien, hein, c’est le combien ??? C’est le combien, hein, c’est le combien ??? C’est le combien, hein, c’est le combien ??? On deviendrait chèvre à moins. C’est... le 21. J’étais rétamé avant même le rétamage. Brice !... Non... oui, je suis cassé de chez cassé je sais... mais... tu m’aides à inventer des mots pour tout ça ? Brice : « Quoi ??? Mais t’es malade !!! Complètement maso plutôt. T’en redemandes ». Quoi ? « Du castamage. Bé tiens, c’est cadeau. Non parce que t’as pas besoin de Brices. Cette coi-ma-tata – bon ça, c’est de toi –, t’as oublié ? ». Il sort un papier plastifié de la poche de son maillot de bain :
Et, et, et... Ça n’est pas Dieu possible. Je ne sais pas si l’Infini existe pour la formulation des énoncés : l’expression de mon émerveillement, quand les synchronicités qui illuminent mes journées se produisent. C’est tellement chouette, mais ça va finir en aveuglement. Quand je xabiwikite cette Sync-qui-n’avait-même-pas-demandé-à-l’être-or-qui-est-en-passe-de-devenir-l’une-des-plus-dingues (ma Mouche<ref>Modoupaïenne en Cheffe</ref> tu me le modoupaïanises ?), qu’est-ce que je vois ? Le numéro de nobapa, sur « ce sera, pour ce jour, à propos : 1. d’un enculage ; 2. d’un maouazatage » : c’est le combien, hein, c’est le combien ??? C’est le combien, hein, c’est le combien ??? C’est le combien, hein, c’est le combien ??? On deviendrait chèvre à moins. C’est... le 21. J’étais rétamé avant même le rétamage. Brice !... Non... oui, je suis cassé de chez cassé je sais... mais... tu m’aides à inventer des mots pour tout ça ? Brice : « Quoi ??? Mais t’es malade !!! Complètement maso plutôt. T’en redemandes. » Quoi ? « Du castamage. Bé tiens, c’est cadeau. Non parce que t’as pas besoin de Brices. Cette coi-ma-tata – bon ça, c’est de toi –, t’as oublié ? » Il sort un papier plastifié de la poche de son maillot de bain :


::Surtout ce qui me gêne c’est les néologismes (le Moudoupaien) auquel je n’accroche pas du tout, je trouve cela inutile et fatigant à lire.
::Surtout ce qui me gêne c’est les néologismes (le Moudoupaien) auquel je n’accroche pas du tout, je trouve cela inutile et fatigant à lire.
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Bé tu vois mon Briseur Fou je leur rends grâce, à tous-toutes celleux qui se donnent la peine de me les écrire, toutes ces critiques et autres trocons et moine-conars<ref>Trop chouettes et moins chouettes commentaires</ref>. Je les aime fort, tu sais, tous-toutes mes pochimis-mies<ref>Proches et amis-mies</ref>. Ça m’étonnerait que t’en aies autant que moi. Cassééééé !!! Mais non, personne ne casse personne, dans mon Monde d’Amour. Bon, tu permets, que je reprenne un... euh... mon bout de chamou ? Que voilou :
Bé tu vois mon Briseur Fou je leur rends grâce, à tous-toutes celleux qui se donnent la peine de me les écrire, toutes ces critiques et autres trocons et moine-conars<ref>Trop chouettes et moins chouettes commentaires</ref>. Je les aime fort, tu sais, tous-toutes mes pochimis-mies<ref>Proches et amis-mies</ref>. Ça m’étonnerait que t’en aies autant que moi. Cassééééé !!! Mais non, personne ne casse personne, dans mon Monde d’Amour. Bon, tu permets, que je reprenne un... euh... mon bout de chamou ? Que voilou :


::Loin de la folie des villes... KD, un des serveurs du Fort Chanwa près de Jodhpur où j’ai séjourné, en janvier 2020, avec le groupe de Vanessa, m’a envoyé un message, en juin, me déclarant à propos de la Covid : « J’espère que tu es en sécurité ». Je lui ai demandé, en retour, si la situation, en Inde, n’était pas trop critique. Il m’a répondu : « Je vis dans un petit village. Aucun danger ». KD m’aimait bien et a poussé un « Ouf !… », un jour, au resto du Fort Chanwa, en me dévorant des yeux, d’un air de dire qu’il m’aurait bien mangé tout cru.
::Loin de la folie des villes... KD, un des serveurs du Fort Chanwa près de Jodhpur où j’ai séjourné, en janvier 2020, avec le groupe de Vanessa, m’a envoyé un message, en juin, me déclarant à propos de la Covid : « J’espère que tu es en sécurité. » Je lui ai demandé, en retour, si la situation, en Inde, n’était pas trop critique. Il m’a répondu : « Je vis dans un petit village. Aucun danger. » KD m’aimait bien et a poussé un « Ouf !… », un jour, au resto du Fort Chanwa, en me dévorant des yeux, d’un air de dire qu’il m’aurait bien mangé tout cru.


Mais personne ne mange personne, dans mon Monde d’Amour. Le maouzatage avec KD d’aujourd’hui (en anglais dans le texte ''of course'' – le sien est assez rudimentaire...) :
Mais personne ne mange personne, dans mon Monde d’Amour. Le maouzatage avec KD d’aujourd’hui (en anglais dans le texte ''of course'' – le sien est assez rudimentaire...) :
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::Elle est très intéressée par les études, et avide d’apprentissage. [Dans son anglais « rudimentaire » : « par appendre de nouvelles choses ». C’est quand-même moi qui le maîtrise le mieux, eh, ho.] [...] Quand elle a appris que tu la soutenais, elle s’est mise à désirer tant de choses pour son avenir.
::Elle est très intéressée par les études, et avide d’apprentissage. [Dans son anglais « rudimentaire » : « par appendre de nouvelles choses ». C’est quand-même moi qui le maîtrise le mieux, eh, ho.] [...] Quand elle a appris que tu la soutenais, elle s’est mise à désirer tant de choses pour son avenir.


« Oui bon ça, on verra ! », écrivais-je hier en off en réaction à l’affirmation de KD : « J’espère que tu continueras de me soutenir ». Je pense qu’une petite mise au point va effectivement s’avérer nécessaire. C’était une aide ponctuelle (mon coco), que j’ai souhaitée lui apporter quand ia que moi<ref>Il y a quelques mois</ref>, à cause de la Covid, il ne pouvait plus travailler.
« Oui bon ça, on verra ! », écrivais-je hier en ''off'' en réaction à l’affirmation de KD : « J’espère que tu continueras de me soutenir. » Je pense qu’une petite mise au point va effectivement s’avérer nécessaire. C’était une aide ponctuelle (mon coco), que j’ai souhaitée lui apporter quand ia que moi<ref>Il y a quelques mois</ref>, à cause de la Covid, il ne pouvait plus travailler.


À part ça un cul, encore, sur la plage :
À part ça un cul, encore, sur la plage :
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Ça n’est pas gagné, ainsi que nous pûmes le constater.
Ça n’est pas gagné, ainsi que nous pûmes le constater.


Mais je n’ai peur de rien, et me risque à la prolonger, car je voudrais, deux instants rigolos qui ont suivi relater.
Mais je n’ai peur de rien, et me risque à la prolonger, car deux instants rigolos qui ont suivi je voudrais relater.


Persona non grata à mes terrasses, je me suis rabattu sur un salo que je m’en vais instamment présenter, poutoutpif<ref>Pour la toute première fois</ref>, et que je n’avais par conséquent pas encore baptisé. C’est sur la murette de la base de la structure en béton du resto Le Panoramic de mon salo tarasse. À l’abri du vent : je n’aime pas qu’il fume mes clopes à ma place le salaud. Un fort agréable salo... euh... solarium, au demeurant, pour le lézard que je suis. Je plie ma serviette et la pose dessus, pour mon tas d’os faisant office de cul. Je me fais mon café (allongé ; mais assis), mes au moins deux clopes (il est temps que je pluralise « café-clope », je n’osais pas), je telpapote<ref>Telpapoter = tapoter sur son téléphone portable</ref> et souventes fois papote. Bon, le modou. Vysir... un... salo murette-devant-le-Panoramic, ça pourrait donner... met-lanorac ! Ouah !!! Après le pull !!! Mais alors... une sync ??? Non ! Non ! Non ! Je refuse ! Et puis de toute façon j’en suis... à la deuxième relecture ! (Avant laquelle j’avais zappé que j’avais mon salo à nommer et modoupaïaniser !) Ça ne compte pas !!!  
''Persona non grata'' à mes terrasses, je me suis rabattu sur un salo que je m’en vais instamment présenter, poutoutpif<ref>Pour la toute première fois</ref>, et que je n’avais par conséquent pas encore baptisé. C’est sur la murette de la base de la structure en béton du resto Le Panoramic de mon salo tarasse. À l’abri du vent : je n’aime pas qu’il fume mes clopes à ma place le salaud. Un fort agréable salo... euh... solarium, au demeurant, pour le lézard que je suis. Je plie ma serviette et la pose dessus, pour mon tas d’os faisant office de cul. Je me fais mon café (allongé ; mais assis), mes au moins deux clopes (il est temps que je pluralise « café-clope », je n’osais pas), je telpapote<ref>Telpapoter = tapoter sur son téléphone portable</ref> et souventes fois papote. Bon, le modou. Vysir... un... salo murette-devant-le-Panoramic, ça pourrait donner... met-lanorac ! Ouah !!! Après le pull !!! Mais alors... une sync ??? Non ! Non ! Non ! Je refuse ! Et puis de toute façon j’en suis... à la deuxième relecture ! (Avant laquelle j’avais zappé que j’avais mon salo à nommer et modoupaïaniser !) Ça ne compte pas !!!  


Après le très saint papa... euh... le très sympa pa... pi, un autre gars, quelques mètres-serviettes devant moi, me salua. Qui c’était-y encore que çuilà ? Je lui ai répondu par des signes de la main, un grand sourire... « Je t’ai dit bonjour hier ! », a-t-il précisé, percevant que je ne le remettais pas exactement. C’est vrai que dé-twa boug avaient gravité, à un moment donné, autour de Fabris (toujours la Sync qui ne voulait pas l’être [non plus]). C’est là le plus drôle : l’instant, disais-je, mais surtout en réalité la personne. Un autre homme, à qui il était en train de parler. « LE plus drôle ». Ou plutôt le plus dingue. Que j’ai jamais vu, pourrais-je presque rajouter. Justement parce qu’il n’a pas l’air de l’être vraiment, tout en étant bien siphonné. Juste ce qu’il faut alors ? Un peu « trop » quand-même peut-être. Bref. Il y a celui que j’appelle la Star de la plage de Sentann (vodou papi 32). Que Manno cependant, comme je le note, « trouve sinistre, et [qui] ne le fait pas rigoler du tout ». Je décerne à notre homme de cette peste le titre de Clown de La Datcha. Il a en tutu<ref>En tout état de cause. Il est toujours en effet, celui-là, un Blanc, en habit de danseuse. Mais non, quand-même pas : en maillot de bain. Le Saint-âne... euh... Saintannais, un Noir, arbore une tunique à l’africaine.</ref> cela de commun avec la Star de la commune voisine qu’il a l’habitude d’arpenter le lieu, de plagistes en plagistes : l’autre c’est avec sa guitare, à interpréter des airs plus inaudibles et insensés les uns que les autres, lui c’est en braillant, à la cantonade, ou en débitant à l’adresse des membres de son public devant lesquels il choisit de s’arrêter, ses invraisemblables blagues et tirades.
Après le très saint papa... euh... le très sympa papi, un autre gars, quelques mètres-serviettes devant moi, me salua. Qui c’était-y encore que çuilà ? Je lui ai répondu par des signes de la main, un grand sourire... « Je t’ai dit bonjour hier ! », a-t-il précisé, percevant que je ne le remettais pas exactement. C’est vrai que dé-twa boug avaient gravité, à un moment donné, autour de Fabris (toujours la Sync qui ne voulait pas l’être [non plus]). C’est là le plus drôle : l’instant, disais-je, mais surtout en réalité la personne. Un autre homme, à qui il était en train de parler. « LE plus drôle. » Ou plutôt le plus dingue. Que j’ai jamais vu, pourrais-je presque rajouter. Justement parce qu’il n’a pas l’air de l’être vraiment, tout en étant bien siphonné. Juste ce qu’il faut alors ? Un peu « trop » quand-même peut-être. Bref. Il y a celui que j’appelle la Star de la plage de Sentann (vodou papi 32). Que Manno cependant, comme je le note, « trouve sinistre, et [qui] ne le fait pas rigoler du tout ». Je décerne à notre homme de cette peste le titre de Clown de La Datcha. Il a en tutu<ref>En tout état de cause. Il est toujours en effet, celui-là, un Blanc, en habit de danseuse. Mais non, quand-même pas : en maillot de bain. Le Saint-âne... euh... Saintannais, un Noir, arbore une tunique à l’africaine.</ref> cela de commun avec la Star de la commune voisine qu’il a l’habitude d’arpenter le lieu, de plagistes en plagistes : l’autre c’est avec sa guitare, à interpréter des airs plus inaudibles et insensés les uns que les autres, lui c’est en braillant, à la cantonade, ou en débitant à l’adresse des membres de son public devant lesquels il choisit de s’arrêter, ses invraisemblables blagues et tirades.


Son acolyte de m’aider un peu plus à le remémorer en me livrant ce détail supplémentaire : « Je me suis rasé !... », le crâne, je crois. Il avait la boule à zéro. Le Clown me crie qu’il s’est pris (ou japu<ref>Je ne sais plus.</ref> trop comment il a tourné ça) pour Bruce Willis. Je m’esclaffe : « Ah mais s’il se transforme en Bruce Willis, comment veux-tu que je le reconnaisse ?! ». Il s’est raboulé... Qui ça, il ? Le Clown ?... Danqu tipasse<ref>Dans un quasi ultime repassage</ref> j’avais écrit :
Son acolyte de m’aider un peu plus à le remémorer en me livrant ce détail supplémentaire : « Je me suis rasé !... », le crâne, je crois. Il avait la boule à zéro. Le Clown me crie qu’il s’est pris (ou japu<ref>Je ne sais plus.</ref> trop comment il a tourné ça) pour Bruce Willis. Je m’esclaffe : « Ah mais s’il se transforme en Bruce Willis, comment veux-tu que je le reconnaisse ?! » Il s’est raboulé... Qui ça, il ? Le Clown ?... Danqu tipasse<ref>Dans un quasi ultime repassage</ref> j’avais écrit :


::Il s’est raboulé et m’a coudé, sur ces mots d’esprits, qu’il a coquinés : « Comment veux-tu, comment veux-tu que... ? ». « Ouais, on dira pas la suite !... ». Et de me resclaffer.
::Il s’est raboulé et m’a coudé, sur ces mots d’esprits, qu’il a coquinés : « Comment veux-tu, comment veux-tu que... ? » « Ouais, on dira pas la suite !... » Et de me resclaffer.


Danqu tipasse + 1 jmidi « Il s’est raboulé » ça va pas ! On sait pas qui c’est, il. Qu’est-ce que je peux mettre comme sujet ?... « Bruce » ?... Maman !... euh... papa nain !... Mais j’en avais encore une, de synchronicité !!! Réalisé-je de nouveau !!!... en m’apprêtant à écrire : après Brice, maintenant Bruce !!!...  
Danqu tipasse + 1 jmidi « Il s’est raboulé » ça va pas ! On sait pas qui c’est, il. Qu’est-ce que je peux mettre comme sujet ?... « Bruce » ?... Maman !... euh... papa nain !... Mais j’en avais encore une, de synchronicité !!! Réalisé-je de nouveau !!!... en m’apprêtant à écrire : après Brice, maintenant Bruce !!!...  
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::La forme de résistance [des esclaves] la plus fréquente était le refus de travailler. Les travailleur.euses se comportaient stupidement, mangeaient de la terre pour se rendre malades, rouvraient leurs vieilles blessures ou se mutilaient. Dès les débuts, des individus, voire des groupes entiers, se sont échappés, puis installés dans des zones inaccessibles ; ils y ont établi des colonies. Nombre de ces évadé.es attaquaient les plantations et libéraient d’autres esclaves. On les appelait les ''cimarrones'', du mot espagnol qui désigne les animaux domestiques retournés à l’état sauvage – en anglais, ''maroons'', et en français les marrons.
::La forme de résistance [des esclaves] la plus fréquente était le refus de travailler. Les travailleur.euses se comportaient stupidement, mangeaient de la terre pour se rendre malades, rouvraient leurs vieilles blessures ou se mutilaient. Dès les débuts, des individus, voire des groupes entiers, se sont échappés, puis installés dans des zones inaccessibles ; ils y ont établi des colonies. Nombre de ces évadé.es attaquaient les plantations et libéraient d’autres esclaves. On les appelait les ''cimarrones'', du mot espagnol qui désigne les animaux domestiques retournés à l’état sauvage – en anglais, ''maroons'', et en français les marrons.


L’intitulé que je mentionne ci-dessus est le suivant : « Un océan de larmes – Nombre de victimes de la traite transatlantique des esclaves, 1501-1866 ». Sous l’illustration cartographique, cette précision : « Selon des estimations précises, plus de 10 millions de personnes ont été déportées vers les Amériques, dont presque la moitié vers le Brésil ».
L’intitulé que je mentionne ci-dessus est le suivant : « Un océan de larmes – Nombre de victimes de la traite transatlantique des esclaves, 1501-1866. » Sous l’illustration cartographique, cette précision : « Selon des estimations précises, plus de 10 millions de personnes ont été déportées vers les Amériques, dont presque la moitié vers le Brésil. »


Je suis par ailleurs passé par Haïti, hier et aujourd’hui, à travers l’élaboration et le xabiwikitage des titres et sous-titres des Xa-pitres 41 à 50 de ''Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata''. J’introduis au 44 mon « Haïti chéri ! », suivi de cet insupportable ''teasing'' quant aux récits à venir : « La Première République Noire » ; « Je découvre enfin, évé doudou’m, son pays » ; « Deux semaines après notre départ : le séisme » ; « Alors que la Vie “avait semblé reprendre son cours” ». Et je citerai par conséquent cet énoncé supplémentaire à verser des larmes jusqu’à la fin des temps :
Je suis par ailleurs passé par Haïti, hier et aujourd’hui, à travers l’élaboration et le xabiwikitage des titres et sous-titres des Xa-pitres 41 à 50 de ''Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata''. J’introduis au 44 mon « Haïti chéri ! », suivi de cet insupportable ''teasing'' quant aux récits à venir : « La Première République Noire » ; « Je découvre enfin, évé doudou’m, son pays » ; « Deux semaines après notre départ : le séisme » ; « Alors que la Vie “avait semblé reprendre son cours”. » Et je citerai par conséquent cet énoncé supplémentaire à verser des larmes jusqu’à la fin des temps :


::On estime que la population taïno<ref>Je rapporte au chamou 33 les impressions de Molière, un ami gwadloupéyen (c’est depuis hier aussi que  je ne cesse d’entendre parler de « lui » à la radio, en raison du quatre-centenaire de la naissance du Monument « homonyme » !), au sujet de notre appartement, Manno et moi, à l’époque où... nous y vivions ensemble... : « On s’y sent très bien [...] Il avait même ajouté à propos d’une grande toile d’art naïf taïno accrochée au mur, que Manno ''i yo'' avions ramenée de République dominicaine, avec ses fioritures à l’image du reste de ma décoration fait-maison, qu’il était “magnifiquement mis en valeur” ». Autre cruelle mise en haleine, cette fois pour mes futurs-tures Gagaditus-tues*. Pour ce qui est du MoMo, non pas un Molière ou l’autre mais le Moment Molière, ça continue ! Quand j’ai enchaîné sur la suite du Xa-pitritrage, dans le chamou 51, dès le deuxième paragraphe il était là de nouveau, ''mon'' Momo : « “T’es pas basque toi !”, a osé me dire Molière, l’ami guadeloupéen de Manno, qui a été comme un papa quelques temps pour lui quand il a débarqué à Paris, pour sa formation de steward, un peu avant que nos chemins ne se croisent ». Ma sentence** dans Modoupa : « Il a bêtement dilapidé, par sa mise en cause de mon identité, son plein de crédit acquis en me complimentant sur mon appartement ». (*Grands-Grandes Visiteurs-teuses **Sur ce mot mon regard est attiré par l’heure en bas à droite de mon ordinateur : 21:21. Ce doublé, à cet endroit ! Ouah, ouah, ouah. Ils continuent de pleuvoir, les 21, sara, sara***, et si je devais tous les citer... Mais ces deux-là : fortiches les Forces et mon Anar, ah ça ! J’ajoute quand-même celui-là : le lendemain quand je termine la dernière facturation de mes traductions de l’année 2021, pour le mois de décembre, je laisse mon fichier « Factures prestations », à la fin des tableaux récapitulatifs de la première partie, à la page 21 (sur 111). Angelu : « Quelle poésie. On peut finir avec ça plutôt : “Fortiches les Forces et mon Anar” » ? » Quelle modestie. Mais, oui ! Gloire à Vous ! ***Sans arrêt, sans arrêt, sans arrêt)</ref> d’Hispaniola, l’île aujourd’hui divisée entre Haïti et la République dominicaine, comptait à l’époque entre un demi-million et un million de personnes. Cinquante ans seulement après l’arrivée de Christophe Colomb, en 1492, elle était réduite à quelques centaines, en raison du travail forcé et des épidémies rapportées par les colons.
::On estime que la population taïno<ref>Je rapporte au chamou 33 les impressions de Molière, un ami gwadloupéyen (c’est depuis hier aussi que  je ne cesse d’entendre parler de « lui » à la radio, en raison du quatre-centenaire de la naissance du Monument « homonyme » !), au sujet de notre appartement, Manno et moi, à l’époque où... nous y vivions ensemble... : « On s’y sent très bien [...] Il avait même ajouté à propos d’une grande toile d’art naïf taïno accrochée au mur, que Manno ''i yo'' avions ramenée de République dominicaine, avec ses fioritures à l’image du reste de ma décoration fait-maison, qu’il était ''“magnifiquement mis en valeur”'' ». Autre cruelle mise en haleine, cette fois pour mes futurs-tures Gagaditus-tues*. Pour ce qui est du MoMo, non pas un Molière ou l’autre mais le Moment Molière, ça continue ! Quand j’ai enchaîné sur la suite du Xa-pitritrage, dans le chamou 51, dès le deuxième paragraphe il était là de nouveau, ''mon'' Momo : « ''“T’es pas basque toi !”'', a osé me dire Molière, l’ami guadeloupéen de Manno, qui a été comme un papa quelques temps pour lui quand il a débarqué à Paris, pour sa formation de steward, un peu avant que nos chemins ne se croisent. » Ma sentence** dans Modoupa : « Il a bêtement dilapidé, par sa mise en cause de mon identité, son plein de crédit acquis en me complimentant sur mon appartement. » (*Grands-Grandes Visiteurs-teuses **Sur ce mot mon regard est attiré par l’heure en bas à droite de mon ordinateur : 21:21. Ce doublé, à cet endroit ! Ouah, ouah, ouah. Ils continuent de pleuvoir, les 21, sara, sara***, et si je devais tous les citer... Mais ces deux-là : fortiches les Forces et mon Anar, ah ça ! J’ajoute quand-même celui-là : le lendemain quand je termine la dernière facturation de mes traductions de l’année 2021, pour le mois de décembre, je laisse mon fichier « Factures prestations », à la fin des tableaux récapitulatifs de la première partie, à la page 21 (sur 111). Angelu : « Quelle poésie. On peut finir avec ça plutôt : ''“Fortiches les Forces et mon Anar”'' » ? » Quelle modestie. Mais, oui ! Gloire à Vous ! ***Sans arrêt, sans arrêt, sans arrêt)</ref> d’Hispaniola, l’île aujourd’hui divisée entre Haïti et la République dominicaine, comptait à l’époque entre un demi-million et un million de personnes. Cinquante ans seulement après l’arrivée de Christophe Colomb, en 1492, elle était réduite à quelques centaines, en raison du travail forcé et des épidémies rapportées par les colons.


J’évoque dans le chamou haïtien la manière dont la « Perle des Caraïbes » a été saignée, financièrement, par une France revancharde, qui a de la sorte dramatiquement hypothéqué son avenir. Ainsi dénoncée dans la suite de « Conquête et sujétion », cet article parcouru ici :
J’évoque dans le chamou haïtien la manière dont la « Perle des Caraïbes » a été saignée, financièrement, par une France revancharde, qui a de la sorte dramatiquement hypothéqué son avenir. Ainsi dénoncée dans la suite de « Conquête et sujétion », cet article parcouru ici :
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L’inopinée virée parallèle en Haïti se poursuit à la page suivante. Et ce dans certains termes, au début de cet autre article, « Haïti – Rester ou partir », qui ont cela pour me ravir qu’ils fleurent bon la volonté de prendre le contrepied du misérabilisme exaspérant, pour ses enfants (au premier rang desquels mon Manno), avec lequel cette nation est fréquemment décrite. Comme pour les pays pauvres de manière générale, ou qualifiés de « sous-développés » – l’appellation officielle « pays en développement », moins négative et « méprisante », plus... politiquement correcte, lui étant cependant en principe préférée. Or les chats ne sont pas des chiens, et les auteurs de ce... oui, bien triste état des lieux, plantent le décor (pages 32-33), tel qu’il est, du « pays le plus pauvre de l’hémisphère occidental », de son « climat politique et économique délétère »... Et le pire est que je me vois contraint d’enfoncer le clou car ce mot, « délétère », est même en deçà d’une réalité, en Haïti... plus cauchemardesque que jamais !!! L’interminable descente aux enfers est donc allée jusqu’à... l’assassinat du président Jovenel Moïse lui-même !!! Avant cela déjà, il y a plusieurs mois, j’exprimais, tristement, dans Modoupa, mes propres sentiments et ceux de Manno :
L’inopinée virée parallèle en Haïti se poursuit à la page suivante. Et ce dans certains termes, au début de cet autre article, « Haïti – Rester ou partir », qui ont cela pour me ravir qu’ils fleurent bon la volonté de prendre le contrepied du misérabilisme exaspérant, pour ses enfants (au premier rang desquels mon Manno), avec lequel cette nation est fréquemment décrite. Comme pour les pays pauvres de manière générale, ou qualifiés de « sous-développés » – l’appellation officielle « pays en développement », moins négative et « méprisante », plus... politiquement correcte, lui étant cependant en principe préférée. Or les chats ne sont pas des chiens, et les auteurs de ce... oui, bien triste état des lieux, plantent le décor (pages 32-33), tel qu’il est, du « pays le plus pauvre de l’hémisphère occidental », de son « climat politique et économique délétère »... Et le pire est que je me vois contraint d’enfoncer le clou car ce mot, « délétère », est même en deçà d’une réalité, en Haïti... plus cauchemardesque que jamais !!! L’interminable descente aux enfers est donc allée jusqu’à... l’assassinat du président Jovenel Moïse lui-même !!! Avant cela déjà, il y a plusieurs mois, j’exprimais, tristement, dans Modoupa, mes propres sentiments et ceux de Manno :


::Haïti ne cesse de s’enfoncer dans une crise politique et humanitaire, avec de violentes manifestations qui ont occasionné plusieurs morts. Décourageant, écœurant : je le ressens très vivement moi aussi, même si je ne suis pas de ce pays. Enfin si, justement, j’en suis désormais un peu habité et... aller y habiter un peu, quelques temps, s’y procurer un pied à terre, j’en ai pas mal parlé à une époque à Manno. Il n’a jamais été chaud du tout ! Nous avons tous les deux récemment été pris d’un même élan de désespoir, un peu comme pour une personne à qui l’on tiendrait mais qui se laisserait sombrer et dont on ne parviendrait à rien tirer, malgré tout l’amour et le soutien témoignés et la volonté de croire en elle. Abordant le sujet avec Manno, au bout de trois mots sur l’actualité du pays, j’ai lâché : « C’est vraiment pas possible ! ». Et Manno, dans un même soupir : « J’abandonne ! ».
::Haïti ne cesse de s’enfoncer dans une crise politique et humanitaire, avec de violentes manifestations qui ont occasionné plusieurs morts. Décourageant, écœurant : je le ressens très vivement moi aussi, même si je ne suis pas de ce pays. Enfin si, justement, j’en suis désormais un peu habité et... aller y habiter un peu, quelques temps, s’y procurer un pied à terre, j’en ai pas mal parlé à une époque à Manno. Il n’a jamais été chaud du tout ! Nous avons tous les deux récemment été pris d’un même élan de désespoir, un peu comme pour une personne à qui l’on tiendrait mais qui se laisserait sombrer et dont on ne parviendrait à rien tirer, malgré tout l’amour et le soutien témoignés et la volonté de croire en elle. Abordant le sujet avec Manno, au bout de trois mots sur l’actualité du pays, j’ai lâché : « C’est vraiment pas possible ! » Et Manno, dans un même soupir : « J’abandonne ! »


J’ai très récemment pu en obtenir des nouvelles toutes fraîches, et de première main, d’un couple de Français-çaise que j’ai rencontré-trée à mon salo tarage (voir Miss-Jottise 3), qui y sont établi-blie. D’autant que Madame y termine une mission de trois ans pour le ministère de l’Intérieur français : c’est dire si elle connaît son sujet. Plus que six mois à tirer : mais tant elle que son mari gendarme – qui est retourné en France, en fait, le gouvernement français ayant rapatrié tous ses ressortissants autres que ceux présents pour raisons professionnelles – ont à demi-mot exprimé leur espoir qu’il ne lui arriverait rien de grave d’ici-là... « T’es bien protégée », ai-je opiné, car elle m’avait expliqué que tous les déplacements avaient désormais lieu sous garde rapprochée, si ce n’est dans des véhicules blindés ! « Oui mais justement, je dis toujours que ça fait de nous des cibles idéales ! », a-elle rétorqué.  
J’ai très récemment pu en obtenir des nouvelles toutes fraîches, et de première main, d’un couple de Français-çaise que j’ai rencontré-trée à mon salo tarage (voir Miss-Jottise 3), qui y sont établi-blie. D’autant que Madame y termine une mission de trois ans pour le ministère de l’Intérieur français : c’est dire si elle connaît son sujet. Plus que six mois à tirer : mais tant elle que son mari gendarme – qui est retourné en France, en fait, le gouvernement français ayant rapatrié tous ses ressortissants autres que ceux présents pour raisons professionnelles – ont à demi-mot exprimé leur espoir qu’il ne lui arriverait rien de grave d’ici-là... « T’es bien protégée », ai-je opiné, car elle m’avait expliqué que tous les déplacements avaient désormais lieu sous garde rapprochée, si ce n’est dans des véhicules blindés ! « Oui mais justement, je dis toujours que ça fait de nous des cibles idéales ! », a-elle rétorqué.  
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'''20/01 —''' Elle est toffe<ref>Trop forte</ref> ma socédure ! D’autant que j’étais à l’instant en train de me dire que j’aurais dû lui raconter, à ma lolotte, l’hirelle<ref>Histoire drôle (« hirel » féminisé – redoupe n° ch’ais pas combien encore, je les ai pas faites, les redoupes ; elles existent bel et bien, et alors, bien sûr, mais restent à ce jour à consigner, dans le Gragromoufrais, le Grand Glossaire modoupaïen-français).</ref> – ça doit être à peu près la seule de mon « répertoire » – à base de... sauce... ketchup. La lolotte c’est la nana du lolo, l’épicerie, près de chez moi.  
'''20/01 —''' Elle est toffe<ref>Trop forte</ref> ma socédure ! D’autant que j’étais à l’instant en train de me dire que j’aurais dû lui raconter, à ma lolotte, l’hirelle<ref>Histoire drôle (« hirel » féminisé – redoupe n° ch’ais pas combien encore, je les ai pas faites, les redoupes ; elles existent bel et bien, et alors, bien sûr, mais restent à ce jour à consigner, dans le Gragromoufrais, le Grand Glossaire modoupaïen-français).</ref> – ça doit être à peu près la seule de mon « répertoire » – à base de... sauce... ketchup. La lolotte c’est la nana du lolo, l’épicerie, près de chez moi.  


Je pose mes tomates à sa caisse. « Pourquoi vous avez pas pris de sac plastique ?! », rouspétinouille-t-elle. Je lui réponds par un « ooooohhhhh ! » taquin et vais chercher mon sac. Au retour je lui déclare : « C’est parce que j’évite d’utiliser du plastique ! C’est un geste écologique ! ». Il est vrai que ça n’en est plus vraiment, du plastique : les « nouvelles » (heureusement pas tant que ça) « poches » (à prononcer avé l’accent de leur pays) biodégradables fondraient presque dans la main. Et dans une sacoche (je fonds les deux appellations) c’est plus commode, fait valoir la technicienne, pour saisir les légumes et les déposer sur la balance. On blagouille deux minutes, elle me dit : « Et si tu les laisses tomber pouf ça va faire de la sauce tomate ». Rire (ouais c’est elle qu’a commencé à saucer).
Je pose mes tomates à sa caisse. « Pourquoi vous avez pas pris de sac plastique ?! », rouspétinouille-t-elle. Je lui réponds par un « ooooohhhhh ! » taquin et vais chercher mon sac. Au retour je lui déclare : « C’est parce que j’évite d’utiliser du plastique ! C’est un geste écologique ! » Il est vrai que ça n’en est plus vraiment, du plastique : les « nouvelles » (heureusement pas tant que ça) « poches » (à prononcer avé l’accent de leur pays) biodégradables fondraient presque dans la main. Et dans une sacoche (je fonds les deux appellations) c’est plus commode, fait valoir la technicienne, pour saisir les légumes et les déposer sur la balance. On blagouille deux minutes, elle me dit : « Et si tu les laisses tomber pouf ça va faire de la sauce tomate. » Rire (ouais c’est elle qu’a commencé à saucer).


L’hirelle : papa, maman et bébé tomate se promènent. Bébé tomate est à la traîne. Maman tomate se retourne, elle l’écrase, et lui dit : « Ketchup ! ».
L’hirelle : papa, maman et bébé tomate se promènent. Bébé tomate est à la traîne. Maman tomate se retourne, elle l’écrase, et lui dit : « Ketchup ! »


Courte et efficace ! En français pas trop ? Courte oui, mais ça serait mieux si elle avait un sens je suis d’accord. Car c’est une hirelle étasunienne. Ce qui veut dire qu’en français en fait j’en connais zéro ? Entendue dans... « Pulp Fiction » ! Et c’est là que je réalise la sync tarantinienne ! Ou taranxabienne, ou xabienne tout court, si on l’impute à la seule sauce synchronique que j’entreprends, présentement, de confectionner ; autrement dit à une association de la pulpe et de la sauce tomate uniquement due à ma narration.
Courte et efficace ! En français pas trop ? Courte oui, mais ça serait mieux si elle avait un sens je suis d’accord. Car c’est une hirelle étasunienne. Ce qui veut dire qu’en français en fait j’en connais zéro ? Entendue dans... « Pulp Fiction » ! Et c’est là que je réalise la sync tarantinienne ! Ou taranxabienne, ou xabienne tout court, si on l’impute à la seule sauce synchronique que j’entreprends, présentement, de confectionner ; autrement dit à une association de la pulpe et de la sauce tomate uniquement due à ma narration.


Explication de pourquoi sur « ketchup » on est censé-sée rigoler : ça sonne comme ''catch-up'' qui, en anglais, signifie « rattraper » (un retard). Mais je m’a trompé. Ce qui veut dire que la seule hirelle que je connaisse je ne suis même pas capable de bien la raconter. J’aurais dû écrire : « Elle l’écrase et lui dit : “''catch-up''” ! ». C’est ce que dit Uma Thurman à John Travolta : ''She turns back, crushes it and says : catch-up !'' (« rattrape-nous » ou « dépêche-toi »).
Explication de pourquoi sur « ketchup » on est censé-sée rigoler : ça sonne comme ''catch-up'' qui, en anglais, signifie « rattraper » (un retard). Mais je m’a trompé. Ce qui veut dire que la seule hirelle que je connaisse je ne suis même pas capable de bien la raconter. J’aurais dû écrire : « Elle l’écrase et lui dit : “''catch-up''” ! » C’est ce que dit Uma Thurman à John Travolta : ''She turns back, crushes it and says : catch-up!'' (« rattrape-nous » ou « dépêche-toi »).


C’était la sync sur sync, la sync dans la sync. La sync toffe c’était entre une vidéo que Manno m’a maouazatée que je venais de regarder et, dans la voiture, sur Radyo Tanbou : « monté an coco ».  
C’était la sync sur sync, la sync dans la sync. La sync toffe c’était entre une vidéo que Manno m’a maouazatée que je venais de regarder et, dans la voiture, sur Radyo Tanbou : « monté an coco ».  


La vidéo : un énorme serpent sur le tronc d’un palmier, en train de grimper, dans une succession d’enroulements-déroulements. Impressionnant. Ma première réaction : jmidi un serpent pareil dans le jardin de Manno !!! « Y a rien ici ! ». En Gwada. Se désolait un jour Domi mon voimi ex-véto passionné de faune (et de flore) – et « habitué » qu’il est à celles de Mada le salopard<ref>Upululu jacta*, en titre-et-sous-titrant mes Xapitres, au 63 je trouve : « Dominique aussi, est « parti » ! Mais il est toujours sur Terre : à Madagascar. Il reviendra, il a toujours son pied à terre à la Porte des Caraïbes ». (*Un peu plus tard le jour où j’ai écrit ça.)</ref> ! On parlait bestioles présentes en un vraiment pas très grand nombre dans notre île ; et les reptiles, z’ont depuis belle lurette pratiquement tous été éradiqués, par les mangoustes dont l’archipel a été peuplé pour les grailler.
La vidéo : un énorme serpent sur le tronc d’un palmier, en train de grimper, dans une succession d’enroulements-déroulements. Impressionnant. Ma première réaction : jmidi un serpent pareil dans le jardin de Manno !!! « Y a rien ici ! » En Gwada. Se désolait un jour Domi mon voimi ex-véto passionné de faune (et de flore) – et « habitué » qu’il est à celles de Mada le salopard<ref>Upululu jacta*, en titre-et-sous-titrant mes Xapitres, au 63 je trouve : « Dominique aussi, est « parti » ! Mais il est toujours sur Terre : à Madagascar. Il reviendra, il a toujours son pied à terre à la Porte des Caraïbes. » (*Un peu plus tard le jour où j’ai écrit ça.)</ref> ! On parlait bestioles présentes en un vraiment pas très grand nombre dans notre île ; et les reptiles, z’ont depuis belle lurette pratiquement tous été éradiqués, par les mangoustes dont l’archipel a été peuplé pour les grailler.


Le serpent de Manno, je ne sais où qu’il habite en fait. Et l’écho... co... co... « monté an coco », « grimper au cocotier », à la radio, c’était à propos d’un tempérament quelque peu... nous dirons... explosif, que le présentateur admettait lui-même, pour ses compatriotes, dans un débat avec une invitée, après un entretien avec le leader indépendantiste Élie Domota, sur la sempiternelle question de l’obligation vaccinale et toutes les joyités<ref>Jolies synchronicités</ref>... euh... joyeusetés autour de ça.
Le serpent de Manno, je ne sais où qu’il habite en fait. Et l’écho... co... co... « monté an coco », « grimper au cocotier », à la radio, c’était à propos d’un tempérament quelque peu... nous dirons... explosif, que le présentateur admettait lui-même, pour ses compatriotes, dans un débat avec une invitée, après un entretien avec le leader indépendantiste Élie Domota, sur la sempiternelle question de l’obligation vaccinale et toutes les joyités<ref>Jolies synchronicités</ref>... euh... joyeusetés autour de ça.
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J’en case un, de Négro (avec sa majuscule), dans Modoupa. Le mien :
J’en case un, de Négro (avec sa majuscule), dans Modoupa. Le mien :


::La maison sans toi, ça fait bizarre bien sûr, mais je me dis que c’est provisoire, et puis j’ai quand-même l’habitude d’être souvent seul [quand il partait pour ses vols]. Bref, je continue d’essayer de chasser les idées « noires »... Toi aussi mon Négro j’espère ! Comme me le disait elle-même la mamie de 95 ou je ne sais combien de balais de la résidence : « Je fais aller, qu’est-ce que vous voulez faire d’autre ? ». Eh oui, qu’est-ce que tu veux faire d’autre ?
::La maison sans toi, ça fait bizarre bien sûr, mais je me dis que c’est provisoire, et puis j’ai quand-même l’habitude d’être souvent seul [quand il partait pour ses vols]. Bref, je continue d’essayer de chasser les idées « noires »... Toi aussi mon Négro j’espère ! Comme me le disait elle-même la mamie de 95 ou je ne sais combien de balais de la résidence : « Je fais aller, qu’est-ce que vous voulez faire d’autre ? » Eh oui, qu’est-ce que tu veux faire d’autre ?


Je disserte en maints endroits doudou<ref>De/dans mon bouquin (« dou » tiré de ces mots et doublé : ainsi en va-t-il des moniques [modous monosyllabiques])</ref> autour du phénomène « nico-pète-manno » (« ni complètement blanc ni complètement noir »). Tiftirage 3 : les lettres du mot ou de l’expression en français retenues pour les modous le sont en principe dans l’ordre de leur apparition. Dans « manno » j’ai inversé le « a » et le « m ». Une redoupe que j’ai moi-même fini par juger abusive et supprimer l’autorisait, à l’époque, si une géniale formule de la sorte apparaissait. Ce modou est effectivement tog-toc<ref>Trop génial, trop cool</ref>. Je le garde.
Je disserte en maints endroits doudou<ref>De/dans mon bouquin (« dou » tiré de ces mots et doublé : ainsi en va-t-il des moniques [modous monosyllabiques])</ref> autour du phénomène « nico-pète-manno » (« ni complètement blanc ni complètement noir »). Tiftirage 3 : les lettres du mot ou de l’expression en français retenues pour les modous le sont en principe dans l’ordre de leur apparition. Dans « manno » j’ai inversé le « a » et le « m ». Une redoupe que j’ai moi-même fini par juger abusive et supprimer l’autorisait, à l’époque, si une géniale formule de la sorte apparaissait. Ce modou est effectivement tog-toc<ref>Trop génial, trop cool</ref>. Je le garde.


L’autre étrangeté, c’est en l’occurrence que je n’aie jamais invoqué, dans toutes mes illustrations dudit phénomène, mon teint sombre et cuivré. Aujourd’hui, je comptais bien par contre citer Olivier mon ami bayonnais. Dans les syncs de Sync sur Sync qui précèdent il est un Personnage Clé. Un Poac. Comme dans Modoupa, bien que pas le seul loin de là. Ils sont deux, dans Sync sur Sync. Deux Poacs Olivier. C’est une autre remarquable articulation qui se fait, alors que sous cet angle je n’y avais pas pensé. Je voulais raconter que lui avait tout à fait conscience de sa négritude. Mon ami roux l’a déclaré un jour à Nirou-Ninoir-Niblanc... euh... Nirut (ça se prononce « Nirout »), mon ex thaïlandais : ''You know, I’m black''. « Tu sais, je suis noir ». C’est un de mes souvenirs les plus drôles. La tête de Nirout ! C’est un de ses plus beaux éclats de rire, tant pour l’image (l’expression de son visage) que pour le son, la sonorité du rire, en soi irrésistible. Jélica toutefois : la synchronicité d’Olivier qui rejoint Olivier, ecnos, dans leur Paxikite.
L’autre étrangeté, c’est en l’occurrence que je n’aie jamais invoqué, dans toutes mes illustrations dudit phénomène, mon teint sombre et cuivré. Aujourd’hui, je comptais bien par contre citer Olivier mon ami bayonnais. Dans les syncs de Sync sur Sync qui précèdent il est un Personnage Clé. Un Poac. Comme dans Modoupa, bien que pas le seul loin de là. Ils sont deux, dans Sync sur Sync. Deux Poacs Olivier. C’est une autre remarquable articulation qui se fait, alors que sous cet angle je n’y avais pas pensé. Je voulais raconter que lui avait tout à fait conscience de sa négritude. Mon ami roux l’a déclaré un jour à Nirou-Ninoir-Niblanc... euh... Nirut (ça se prononce « Nirout »), mon ex thaïlandais : ''“You know, I’m black.”'' « Tu sais, je suis noir. » C’est un de mes souvenirs les plus drôles. La tête de Nirout ! C’est un de ses plus beaux éclats de rire, tant pour l’image (l’expression de son visage) que pour le son, la sonorité du rire, en soi irrésistible. Jélica toutefois : la synchronicité d’Olivier qui rejoint Olivier, ecnos, dans leur Paxikite.


Que dis-je, dans leur Paxikite, ici-même ! Puisque ce 21, C’EST la Journée d’Olivier ! L’O-O-O : Olivier l’ostéo :
Que dis-je, dans leur Paxikite, ici-même ! Puisque ce 21, C’EST la Journée d’Olivier ! L’O-O-O : Olivier l’ostéo :
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Sur l’actuelle situation de simili guérilla urbaine, j’ai entendu dans la soirée sur France Info que des investigations avaient mis au jour l’instrumentation de la jeunesse désœuvrée par les mafias locales. La Gwadloup, comme le reste de la Caraïbe : « une plaque tournante de tous les trafics possibles et imaginables » (vodou papi 11). Un bien commode cache-sexe dont j’ose cependant espérer que l’« État colonialiste français », selon l’expression favorite du rebelle en chef Élie Domota, n’en usera pas de manière trop obscène. Quoiqu’au point de mépris et de morgue où il en est... J’ajoute : le mépris des Blancs-Blanches, de manière générale. Celleux que je nomme les « colons-lonnes de base ». Je me retiens. Je ris, même, parfois, quand j’entends certains de leurs propos, pour ne pas... exploser. Je sens qu’un jour je vais en étrangler un-une. J’en avais quand-même verbalement bien allumé un, une fois, dans l’eau, en bas de chez moi. Vodou papi 48 Livre/19 XabiWiki, mais poco bité, par conséquent extrait :
Sur l’actuelle situation de simili guérilla urbaine, j’ai entendu dans la soirée sur France Info que des investigations avaient mis au jour l’instrumentation de la jeunesse désœuvrée par les mafias locales. La Gwadloup, comme le reste de la Caraïbe : « une plaque tournante de tous les trafics possibles et imaginables » (vodou papi 11). Un bien commode cache-sexe dont j’ose cependant espérer que l’« État colonialiste français », selon l’expression favorite du rebelle en chef Élie Domota, n’en usera pas de manière trop obscène. Quoiqu’au point de mépris et de morgue où il en est... J’ajoute : le mépris des Blancs-Blanches, de manière générale. Celleux que je nomme les « colons-lonnes de base ». Je me retiens. Je ris, même, parfois, quand j’entends certains de leurs propos, pour ne pas... exploser. Je sens qu’un jour je vais en étrangler un-une. J’en avais quand-même verbalement bien allumé un, une fois, dans l’eau, en bas de chez moi. Vodou papi 48 Livre/19 XabiWiki, mais poco bité, par conséquent extrait :


:: Il [le colon de base] a fini par asséner, rageur : « Sans nos impôts ils crèveraient ! », dans la lignée de l’éternel discours du colon de base ici [ah c’est là que je l’introduis, le représentant de la race !]. Et du beauf de la mort qu’il était, et dont l’espèce a ses quartiers à l’hôtel de la plage. Mais il était tombé sur un Xabi, et a donc pris ça dans ses dents : « Je préfère ces branleurs qui font mine de nous viser avec leurs cailloux à ce que vous venez de dire. Je sais bien que l’on peut tenir ce genre de propos sans vergogne, par les temps qui courent. Hein ? Parce que qu’est-ce que ça veut dire, que nous, les Blancs, faisons vivre ces incapables de Noirs ? ». Il était séché. Je suis sorti de l’eau.
:: Il [le colon de base] a fini par asséner, rageur : « Sans nos impôts ils crèveraient ! », dans la lignée de l’éternel discours du colon de base ici [ah c’est là que je l’introduis, le représentant de la race !]. Et du beauf de la mort qu’il était, et dont l’espèce a ses quartiers à l’hôtel de la plage. Mais il était tombé sur un Xabi, et a donc pris ça dans ses dents : « Je préfère ces branleurs qui font mine de nous viser avec leurs cailloux à ce que vous venez de dire. Je sais bien que l’on peut tenir ce genre de propos sans vergogne, par les temps qui courent. Hein ? Parce que qu’est-ce que ça veut dire, que nous, les Blancs, faisons vivre ces incapables de Noirs ? » Il était séché. Je suis sorti de l’eau.


En compagnie de mon laisser-passeur c’est Radyo Gwadloup que j’allume. Vas-y mon gars déballe, tout ce que tu sais, ce que tu sens, ce que tu vois, ce que tu crois. Et je te sortirai mon bois, celui dont personnellement je me chauffe, sur ce terrain-là. Il m’a montré Sachatte... euh... Rochatte. Sa tronche – c’est le nom improbable du préfet (un Blanc « évidemment ») de Gwadloup –, sur son téléphone portable, au-dessus de la dépêche faisant état de la mesure.
En compagnie de mon laisser-passeur c’est Radyo Gwadloup que j’allume. Vas-y mon gars déballe, tout ce que tu sais, ce que tu sens, ce que tu vois, ce que tu crois. Et je te sortirai mon bois, celui dont personnellement je me chauffe, sur ce terrain-là. Il m’a montré Sachatte... euh... Rochatte. Sa tronche – c’est le nom improbable du préfet (un Blanc « évidemment ») de Gwadloup –, sur son téléphone portable, au-dessus de la dépêche faisant état de la mesure.
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Un Xavier et des morceaux de Pandas ! Dans cette page 68-ienne... Soixante-huitarde ? Arrêtons-nous là déjà. Suminu j’ai vu un gros-minu. Sérieux : sur mon ordinateur j’ai vu un sujet de JT sur les manifs d’étudiants-diantes de 86 contre la loi Devaquet, selon le commentaire les plus importantes depuis 68. L’euphorie, le bonheur ressentis, qui remontent... tandis que j’écris... c’était puissant en effet... Or cette affirmation du journaliste m’a surpris. J’avais oublié que c’était à ce point... Je formulais dans ma tête ces jours-ci, en vue d’en compléter le chamou des années lycée (le seul Grapio<ref>Grand Épisode</ref> à ce jour, depuis que j’ai sorti mon livre, dont je me sois dit que j’avais oublié de le mentionner !) :
Un Xavier et des morceaux de Pandas ! Dans cette page 68-ienne... Soixante-huitarde ? Arrêtons-nous là déjà. Suminu j’ai vu un gros-minu. Sérieux : sur mon ordinateur j’ai vu un sujet de JT sur les manifs d’étudiants-diantes de 86 contre la loi Devaquet, selon le commentaire les plus importantes depuis 68. L’euphorie, le bonheur ressentis, qui remontent... tandis que j’écris... c’était puissant en effet... Or cette affirmation du journaliste m’a surpris. J’avais oublié que c’était à ce point... Je formulais dans ma tête ces jours-ci, en vue d’en compléter le chamou des années lycée (le seul Grapio<ref>Grand Épisode</ref> à ce jour, depuis que j’ai sorti mon livre, dont je me sois dit que j’avais oublié de le mentionner !) :


::Tous-toutes mes camarades lycéens-éennes et étudiants-diantes de Frantza-ta-Euskadi et moi nous sommes même payé... notre Mai-68 !!! En... 1986 ! Contre l’instauration de droits d’entrée à l’université que prévoyait la loi du ministre de l’Éducation de l’époque, Alain Lelaquais<ref>Voir « les salauds dressés comme des chiens savants pour aboyer les consignes des banquiers... ». Je note ce segment d’une phrase située à trois lignes de la fin d’un paragraphe et d’un Xa-pitre de Modoupa. Je descends un peu dans le fichier pour voir quel est le numéro du Xa-pitre suivant et donc de celui de ma phrase... Effet bœuf (sensationnel) : devant mes yeux apparaît un gros beau... 68. Le 07/05 : rustinage*. Je ne sais combien de nobapas j’ai rajouté. Je viens également de bœuffer mon effet (de bœuf je n’y avais précédemment pas accolé). Ignorant, cependant, que je l’avais... ''doublement'' bœuffé. Car le numéro de la présente nobapa** est désormais... 68 !!!!!!!!! Tout-neuf-le-mastiqué (soixante-huuuuuuuuuiiiiiiiiit !!!!!!!!!). (*De « rustine » : retouche post-poinfinalation **Revaldingage non exclu. Quputupu castoi rotepa [quelles putes... euh... puces, ces nobapas, à tout le temps se faire... euh... tout le temps sauter].)</ref>... euh... Devaquet. Je me souviens comme si c’était hier de cette super chanson-slogan qu’on braillait :
::Tous-toutes mes camarades lycéens-éennes et étudiants-diantes de Frantza-ta-Euskadi et moi nous sommes même payé... notre Mai-68 !!! En... 1986 ! Contre l’instauration de droits d’entrée à l’université que prévoyait la loi du ministre de l’Éducation de l’époque, Alain Lelaquais<ref>Voir « les salauds dressés comme des chiens savants pour aboyer les consignes des banquiers... » Je note ce segment d’une phrase située à trois lignes de la fin d’un paragraphe et d’un Xa-pitre de Modoupa. Je descends un peu dans le fichier pour voir quel est le numéro du Xa-pitre suivant et donc de celui de ma phrase... Effet bœuf (sensationnel) : devant mes yeux apparaît un gros beau... 68. Le 07/05 : rustinage*. Je ne sais combien de nobapas j’ai rajouté. Je viens également de bœuffer mon effet (de bœuf je n’y avais précédemment pas accolé). Ignorant, cependant, que je l’avais... ''doublement'' bœuffé. Car le numéro de la présente nobapa** est désormais... 68 !!!!!!!!! Tout-neuf-le-mastiqué (soixante-huuuuuuuuuiiiiiiiiit !!!!!!!!!). (*De « rustine » : retouche post-poinfinalation **Revaldingage non exclu. Quputupu castoi rotepa [quelles putes... euh... puces, ces nobapas, à tout le temps se faire... euh... tout le temps sauter].)</ref>... euh... Devaquet. Je me souviens comme si c’était hier de cette super chanson-slogan qu’on braillait :


:::Devaquet-et-et, si tu savais-ais-ais, ta réfo-orme, ta réfo-orme,
:::Devaquet-et-et, si tu savais-ais-ais, ta réfo-orme, ta réfo-orme,
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::Je me suis bisû investi à fond, jouant les meneurs et n’hésitant pas, depuis un toit-terrasse du lycée Lauga, à me saisir non pas du micro mais du mégaphone pour stimuler les troupes. J’étais plus particulièrement intervenu sur la question de la façon d’organiser la transmission des notes de celleux qui assisteraient aux cours, par roulements, aux autres élèves.
::Je me suis bisû investi à fond, jouant les meneurs et n’hésitant pas, depuis un toit-terrasse du lycée Lauga, à me saisir non pas du micro mais du mégaphone pour stimuler les troupes. J’étais plus particulièrement intervenu sur la question de la façon d’organiser la transmission des notes de celleux qui assisteraient aux cours, par roulements, aux autres élèves.


 
Mais c’était un peu maigre, tout ça, sur le plan synchroninanonétique, et je ne comptais rien en rapporter, afin de ne pas risquer d’attenter à une crédibilité chèrement acquise, car au prix d’années de travail de narration écrite et orale. Ma légendaire modestie m’interdisant de trop hâtivement préjuger de son caractère inaltérable. Je n’en oublie pas pour autant la prudence et l’humilité. (Redondance de rustinage. Pas grave, au contraire, dans l’entretien de sa modestilité, à redoubler de prudence on ne saurait hésiter.)
Mais c’était un peu maigre, tout ça, sur le plan synchroninanonétique, et je n’avais pas l’intention d’en rapporter quoi que ce soit et de risquer d’attenter à une crédibilité chèrement acquise, car au prix d’années de travail de narration écrite et orale. Ma légendaire modestie m’interdisant de trop hâtivement préjuger de son caractère inaltérable. Je n’en oublie pas pour autant la prudence et l’humilité. (Redondance de rustinage. Pas grave, au contraire, dans l’entretien de sa modestilité, à redoubler de prudence on ne saurait hésiter.)
   
   
Page 368... Qu’est-ce qui m’attend, pour la 369 ? M’étais-je auto-intrigué (sans n’avoir encore rien soixante-huité). Certainement rien. Le phénomèèèèène n’en est tout de même pas à ce niveau d’intensité qu’il serait systématique et inévitable. Et si queutchi ça me fera ça de moins à écrire. Car il faut que j’avance, dans la perfectisation pour xabiwikitage des quarante-cinq chamous qui attendent d’être mis en ligne, et que ce sont surtout mes hordes de lectrices et de lecteurs qui n’en peuvent plus, d’attendre !!!
Page 368... Qu’est-ce qui m’attend, pour la 369 ? M’étais-je auto-intrigué (sans n’avoir encore rien soixante-huité). Certainement rien. Le phénomèèèèène n’en est tout de même pas à ce niveau d’intensité qu’il serait systématique et inévitable. Et si queutchi ça me fera ça de moins à écrire. Car il faut que j’avance, dans la perfectisation pour xabiwikitage des quarante-cinq chamous qui attendent d’être mis en ligne, et que ce sont surtout mes hordes de lectrices et de lecteurs qui n’en peuvent plus, d’attendre !!!
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Cracra<ref>C’est marrant.</ref> ecnos parce que je m’autotacle quand justement c’était prévu, d’enchaîner sur un tacle, de mes Anges-gelous-gelettes, visant à calmer ma joie peut-être. C’est dans ce titre du paragraphe suivant : « À la fin du XXème siècle : l’explosion des paralittératures ».  
Cracra<ref>C’est marrant.</ref> ecnos parce que je m’autotacle quand justement c’était prévu, d’enchaîner sur un tacle, de mes Anges-gelous-gelettes, visant à calmer ma joie peut-être. C’est dans ce titre du paragraphe suivant : « À la fin du XXème siècle : l’explosion des paralittératures ».  
   
   
« Littérature » avec un « s » ??? J’ai tancé, dans le cadre d’une terriiiiible polémiiiiique qui a fait rage entre mes amis-mies et moi au sujet de mes écrits, mon amie Zabelle :
« Littérature » avec un « s » ??? J’ai tancé, dans le cadre d’une terriiiiible polémiiiiique qui a fait rage entre mes amis-mies et moi-même au sujet de mes écrits, mon amie Zabelle :
   
   
::« Littérature » avec un « s »  en plus ! Pour appuyer l’ignorance du gars, au cas où le singulier ne suffirait pas ? Eh ben dis donc ma Zaza ! Angelu : « C’est une coquille ». Ah ? Au temps pour moi.
::« Littérature » avec un « s »  en plus ! Pour appuyer l’ignorance du gars, au cas où le singulier ne suffirait pas ? Eh ben dis donc ma Zaza ! Angelu : « C’est une coquille. » Ah ? Au temps pour moi.
   
   
Doublement crétin. La Voix :  
Doublement crétin. La Voix :  
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::[De] grands peintres, comme Gauguin et Van Gogh, poursuivent leur œuvre dans l’isolement, loin du grand public.
::[De] grands peintres, comme Gauguin et Van Gogh, poursuivent leur œuvre dans l’isolement, loin du grand public.
   
   
La Voix : « Ô Xabi, comme Gauguin et Van Gogh en leur temps, ton surréalisme n’accroche pas... encore... Tu déranges !... ». Traitres ! À nos patries ! Mais non. C’est le modoupaïen pour « trêve de plaisanterie », avec « s » final du pluriel, en application de la redoupe sara-suit-papa-maman-pa : s’accorde avec le sujet qui n’en est pourtant pas un, mais c’est comme ça dans Modoupa. Quelle synchro 3, 4, ou japu quel numéro, en tout cas...
La Voix : « Ô Xabi, comme Gauguin et Van Gogh en leur temps, ton surréalisme n’accroche pas... encore... Tu déranges !... » Traitres ! À nos patries ! Mais non. C’est le modoupaïen pour « trêve de plaisanterie », avec « s » final du pluriel, en application de la redoupe sara-suit-papa-maman-pa : s’accorde avec le sujet qui n’en est pourtant pas un, mais c’est comme ça dans Modoupa. Quelle synchro 3, 4, ou japu quel numéro, en tout cas...
   
   
3, 4, 5, 6.... Vous en voulez combien ? J’aurais bien conclu là, mais c’est sara, sara ! La Voix ne me lâche pas. Elle insiste, pardi. C’est Elle, pas moi, qui insinue que comme Gauguin et Van Gogh je suis ni plus ni moins qu’un Génie. Comment s’y prend-elle ? Comme ceci :
3, 4, 5, 6.... Vous en voulez combien ? J’aurais bien conclu là, mais c’est sara, sara ! La Voix ne me lâche pas. Elle insiste, pardi. C’est Elle, pas moi, qui insinue que comme Gauguin et Van Gogh je suis ni plus ni moins qu’un Génie. Comment s’y prend-elle ? Comme ceci :
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:::• Décès : le 22 janvier 1888. 22 janvier : le jour du début de la rédaction de cette hiryotte. 12+100+22=134 ans plus tard. 12, un 21 à l’envers, et le 22 de cette année. Le triple 8. 1+3+4=8. Je n’explique pas tout. Ce n’est pas que quand on aime on ne compte pas, mais que si l’on a aimé et que l’on s’est imprégné d’autres hiryottes, miss-jottises et tout ça, on la captera, la susane-monique<ref>Substantifique moelle synchronique</ref>. Celleux que ça broute : survolez !
:::• Décès : le 22 janvier 1888. 22 janvier : le jour du début de la rédaction de cette hiryotte. 12+100+22=134 ans plus tard. 12, un 21 à l’envers, et le 22 de cette année. Le triple 8. 1+3+4=8. Je n’explique pas tout. Ce n’est pas que quand on aime on ne compte pas, mais que si l’on a aimé et que l’on s’est imprégné d’autres hiryottes, miss-jottises et tout ça, on la captera, la susane-monique<ref>Substantifique moelle synchronique</ref>. Celleux que ça broute : survolez !
   
   
:::• Décor de la fin des deux pages : ''Nom de l’auteur, titre de la pièce, etc. —'' [l’italique, le tiret : sé kon sa kon les plante, les décors, sé kon sa ki fé le Monsieur dans « Scène Première, Chez Fadinard... »] ''—En dessous, la photo d’un trio d’acteurs-trice contemporains-raine interprétant une scène du vaudeville ainsi légendée : M. Faraoun, Ph. Fretun, I. Janier'' [Ah ben là carrément un Jabier, juste éniémé en lieu et place du vé. Un Xavier... sévillé ? (V5 21/01-1) Et ce n’est même pas ça que je... comptais relever. Après ça mon critique ADORÉ va me demander : « Pourquoi penses-tu être si réceptif aux synchronicités ? ».] ''Comédie-Française, 1986''. C’était ça mon énième sujet : cette année 1986 à laquelle plus haut je revenais, alors que dans Miel-é-fraise jusqu’en la 377ème page où elle est citée, pas une seule date n’avait dû dépasser 1900 et des poussières d’Étoiles de la Galaxie.<ref>Sucem morabnodem baduf : 16 444 mots. Rarissime, le triplé de 4. Rustine du 07/04 (c’est plutôt un re-re-re-re-re...passage)... 17:33 qramé popote pour datérifier... : c’est leur tour de synxplosion, aux 4, en ce moment, autour d’une synchronicité qui a absolument tout dépassé, m’amenant... 17:40 qramé popote bisû, après une hésitation... m’amenant ailleurs dans mon Wiki à ainsi la commenter : « J’ai besoin d’un Médium, un vrai (suffisamment puissant !...), qu’il me dise qui je suis vraiment... ». Puis dans un cul : « Ça m’a mis dans un drôle d’état ». Et, et, et... attention (qrade ta chade é le por : 66 %)... dans le même cul : « Ton Xabi n'est vraiment pas... un Humain comme les autres... Même s’il y en a plein d’autres comme moi... ». 18:33 qramé popote après une halte. (*= Quand j’ai regardé le taux de charge de mon téléphone portable [il était de...])</ref>
:::• Décor de la fin des deux pages : ''Nom de l’auteur, titre de la pièce, etc. —'' [l’italique, le tiret : sé kon sa kon les plante, les décors, sé kon sa ki fé le Monsieur dans « Scène Première, Chez Fadinard... »] ''—En dessous, la photo d’un trio d’acteurs-trice contemporains-raine interprétant une scène du vaudeville ainsi légendée : M. Faraoun, Ph. Fretun, I. Janier'' [Ah ben là carrément un Jabier, juste éniémé en lieu et place du vé. Un Xavier... sévillé ? (V5 21/01-1) Et ce n’est même pas ça que je... comptais relever. Après ça mon critique ADORÉ va me demander : « Pourquoi penses-tu être si réceptif aux synchronicités ? »] ''Comédie-Française, 1986''. C’était ça mon énième sujet : cette année 1986 à laquelle plus haut je revenais, alors que dans Miel-é-fraise jusqu’en la 377ème page où elle est citée, pas une seule date n’avait dû dépasser 1900 et des poussières d’Étoiles de la Galaxie.<ref>Sucem morabnodem baduf : 16 444 mots. Rarissime, le triplé de 4. Rustine du 07/04 (c’est plutôt un re-re-re-re-re...passage)... 17:33 qramé popote pour datérifier... : c’est leur tour de synxplosion, aux 4, en ce moment, autour d’une synchronicité qui a absolument tout dépassé, m’amenant... 17:40 qramé popote bisû, après une hésitation... m’amenant ailleurs dans mon Wiki à ainsi la commenter : « J’ai besoin d’un Médium, un vrai (suffisamment puissant !...), qu’il me dise qui je suis vraiment... » Puis dans un cul : « Ça m’a mis dans un drôle d’état ». Et, et, et... attention (qrade ta chade é le por : 66 %)... dans le même cul : « Ton Xabi n'est vraiment pas... un Humain comme les autres... Même s’il y en a plein d’autres comme moi... » 18:33 qramé popote après une halte. (*= Quand j’ai regardé le taux de charge de mon téléphone portable [il était de...])</ref>


Puissantes, les poussières d’Étoiles de la Galaxie. Entre ces deux dernières phrases j’ai même été interrompu pour gloser sur... la puissance du phénomèèèèène (les synchronicités de manière générale), dans la nobapa finale, qui a explosé en une hiryotte...</ref>
Puissantes, les poussières d’Étoiles de la Galaxie. Entre ces deux dernières phrases j’ai même été interrompu pour gloser sur... la puissance du phénomèèèèène (les synchronicités de manière générale), dans la nobapa finale, qui a explosé en une hiryotte...</ref>
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:::• Monsieur est né le 2/11 1808 à Saint-Sauveur-le-Vicomte. Toi c’est rapport au Sauveur bisû. T’es vicomte aussi ?
:::• Monsieur est né le 2/11 1808 à Saint-Sauveur-le-Vicomte. Toi c’est rapport au Sauveur bisû. T’es vicomte aussi ?
   
   
— Hein, quoi ? N’importe quoi.
— Hein ? Quoi ? N’importe quoi.
   
   
— Le Sauveur : le Xavier thaumaturgé, après le sévillé. Ton statut bon, ça, on sait, mais rappelons que Xavier et ''savior'' (sauveur), en anglais, ça se prononce presque pareil.
— Le Sauveur : le Xavier thaumaturgé, après le sévillé. Ton statut bon, ça, on sait, mais rappelons que Xavier et ''savior'' (sauveur), en anglais, ça se prononce presque pareil.


(Le 07/04 : Mon Dieu, Ma Dieuse, Mes Dieux-Dieuses et toute la Smala Divina, tout ça après avoir rustirererererepassageationné que je n’étais pas... un Humain... Angelu : « Halte là, tu vas finir par t'envoler, mon Renard Ailé Préféré... ». Ah ! L’est où çuilà déjà ? Angelu : « C’est l'histoire de l’Autruche-sorte-de-renard-ailé je crois, à kètpar dans tes pestouilles de fada ». C’est précis tiens, ça, t’aurais pu vite fait nous restituer ça, bonjour les poutanas. « Tu me les as pris cochon rends-les moi ».)
(Le 07/04 : Mon Dieu, Ma Dieuse, Mes Dieux-Dieuses et toute la Smala Divina, tout ça après avoir rustirererererepassagé que je n’étais pas... un Humain... Angelu : « Halte là, tu vas finir par t'envoler, mon Renard Ailé Préféré... » Ah ! L’est où çuilà déjà ? Angelu : « C’est l'histoire de l’Autruche-sorte-de-renard-ailé je crois, à kètpar dans tes pestouilles de fada. » C’est précis tiens, ça, t’aurais pu vite fait nous restituer ça, bonjour les poutanas. « Tu me les as pris cochon rends-les moi. »)
   
   
:::• Le gars est décédé le 23 avril 1889... 23 moins le 2 de novembre = 21. Les 8 qui s’agitent encore un peu. Et il a eu « une longue liaison avec la baronne de Bouglon »...
:::• Le gars est décédé le 23 avril 1889... 23 moins le 2 de novembre = 21. Les 8 qui s’agitent encore un peu. Et il a eu « une longue liaison avec la baronne de Bouglon »...
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— De quoi ?  
— De quoi ?  
   
   
— Les « jeux de mots de collégionnes... euh... giennes... ouh !.. c’est contagieux ton truc... de collégien ! ».
— Les « jeux de mots de collégionnes... euh... giennes... (ouuuhhh !.. c’est contagieux ton truc) de collégien ! ».
   
   
— Ah, ça ! Oh... Poursuivez Maestros.
— Ah, ça ! Oh... Poursuivez Maestros.
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— Ce qu’il a écrit.
— Ce qu’il a écrit.
   
   
— Ouf... Je ne sais pas s’il va me rester beaucoup d’amis-mies, avec toutes ces conneries... Mais je Vous ai... Allez, je m’en charge, tant pis. Ça, pour commencer... puisque de toute façon il s’est ainsi résigné... : « J’imagine que tu reproduiras ce mail un jour ou l’autre, comme tu l’as fait récemment alors que je t’avais prié de ne pas le faire. Mais j’en ai plus rien à foutre ».
— Ouf... Je ne sais pas s’il va me rester beaucoup d’amis-mies, avec toutes ces conneries... Mais je Vous ai... Allez, je m’en charge, tant pis. Ça, pour commencer... puisque de toute façon il s’est ainsi résigné... : « J’imagine que tu reproduiras ce mail un jour ou l’autre, comme tu l’as fait récemment alors que je t’avais prié de ne pas le faire. Mais j’en ai plus rien à foutre. »
   
   
— Ambiance. Ah, les Terriens-riennes, vous rigolez pas...
— Ambiance. Ah, les Terriens-riennes, vous rigolez pas...
   
   
— Oh que si ! Avec lui surtout... Mais pas que. Ah on n’aura pas oublié, avec tous-toutes mes amis-mies, de bien se marrer. Bon, le monsieur, faut pas le chatouiller... Il m’a même dit un jour : « Quand on m’emmerde je mords ! ». Mais moi c’est pareil !!!
— Oh que si ! Avec lui surtout... Mais pas que. Ah on n’aura pas oublié, avec tous-toutes mes amis-mies, de bien se marrer. Bon, le monsieur, faut pas le chatouiller... Il m’a même dit un jour : « Quand on m’emmerde je mords ! » Mais moi c’est pareil !!!
   
   
— On te redistribue aussi ?
— On te redistribue aussi ?
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— Ah, ça, non ! Je n’ai jamais eu... cet HONNEUR !!! Et que je te l’honore l’ami ; c’est là, le « grand public », et la saillie catho-mes-couilles :  
— Ah, ça, non ! Je n’ai jamais eu... cet HONNEUR !!! Et que je te l’honore l’ami ; c’est là, le « grand public », et la saillie catho-mes-couilles :  
   
   
::Franchement, t’as pas le projet d’écrire vraiment ? Je veux dire pour le grand public ?! Tu cesserais de te raconter ou tu te raconterais différemment, avec des avatars. Tu n’emploierais plus l’inclusif chiant<ref>Réponsassa : « Ooooooh tu n’aimes plus mon masc-fem... Tu t’étais pourtant dit plutôt favorable au début... Il est rigolo je trouve. Et, oui, lisible, contrairement à l’écriture inclusive avec les points. Pour laquelle tu m’avais même dit l’aversion de Pas-fin-quelle-crotte. Beurk ce mec. Mais tu fais exprès je sais. Pour me titiller. C’est marrant, quoi qu’il en soit. Et ainsi soit-il ».</ref>. Tu n’aurais de reproches à faire qu’à ton éditeur !
::Franchement, t’as pas le projet d’écrire vraiment ? Je veux dire pour le grand public ?! Tu cesserais de te raconter ou tu te raconterais différemment, avec des avatars. Tu n’emploierais plus l’inclusif chiant<ref>Réponsassa : « Ooooooh tu n’aimes plus mon masc-fem... Tu t’étais pourtant dit plutôt favorable au début... Il est rigolo je trouve. Et, oui, lisible, contrairement à l’écriture inclusive avec les points. Pour laquelle tu m’avais même dit l’aversion de Pas-fin-quelle-crotte. Beurk ce mec. Mais tu fais exprès je sais. Pour me titiller. C’est marrant, quoi qu’il en soit. Et ainsi soit-il »</ref>. Tu n’aurais de reproches à faire qu’à ton éditeur !
   
   
::T’as tous les outils pour être un écrivain, putain ! Et tu mélanges des propos délicieux de style et de pertinence avec d’autres dignes d’un bulletin paroissial de campagne ou pas plus captivants que des horaires de trains. Mais fais-tu au moins la différence ? (4ème question surprise)
::T’as tous les outils pour être un écrivain, putain ! Et tu mélanges des propos délicieux de style et de pertinence avec d’autres dignes d’un bulletin paroissial de campagne ou pas plus captivants que des horaires de trains. Mais fais-tu au moins la différence ? (4ème question surprise)
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:::::'''DES PROPOS DÉLICIEUX DE STYLE ET DE PERTINENCE'''
:::::'''DES PROPOS DÉLICIEUX DE STYLE ET DE PERTINENCE'''
   
   
:::::'''COMME D’HAB, C’EST UNE SUPER JOLIE PROMENADE À LA RENCONTRE DES GENS DE TON QUARTIER ET D’AUTRES, PLUS LOINTAINS DANS L'ESPACE ET DANS LE TEMPS. T’AS TOUJOURS DES INVENTIONS RAVISSANTES, D’AUTRES PLUS [bip], C’EST AUSSI TRES BIEN TORCHÉ, SOUVENT, IL Y A DES PARAGRAPHES MAGNIFIQUES, MAIS ALORS CE QUE ÇA PEUT ÊTRE...'''
:::::'''COMME D’HAB, C’EST UNE SUPER JOLIE PROMENADE À LA RENCONTRE DES GENS DE TON QUARTIER ET D’AUTRES, PLUS LOINTAINS DANS L'ESPACE ET DANS LE TEMPS. T’AS TOUJOURS DES INVENTIONS RAVISSANTES, D’AUTRES PLUS [biiip], C’EST AUSSI TRES BIEN TORCHÉ, SOUVENT, IL Y A DES PARAGRAPHES MAGNIFIQUES, MAIS ALORS CE QUE ÇA PEUT ÊTRE...'''
   
   
— Non ça n’est pas, car c’est mon Moncontula<ref>Moment Congratulation</ref>.
— Non ça n’est pas, car c’est mon Moncontula<ref>Moment Congratulation</ref>.
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:::• Y fait son dandy, Nous dit-on, avec ou sans boucles... voyons... ouf, la gueule... les cheveux ?... non, c’est tout raide... Y fait son kéké... « sur les boulevards [de Paris], multipliant les liaisons amoureuses, s’adonnant à l’alcool... »... Vise ça : « l’alcool »... « sa maîtresse rousse »...
:::• Y fait son dandy, Nous dit-on, avec ou sans boucles... voyons... ouf, la gueule... les cheveux ?... non, c’est tout raide... Y fait son kéké... « sur les boulevards [de Paris], multipliant les liaisons amoureuses, s’adonnant à l’alcool... »... Vise ça : « l’alcool »... « sa maîtresse rousse »...
   
   
— Ha !! Ah ouais !! C’est pour « mon amant roux »... euh... « ami roux » !!...  
— Ha ! Ah ouais ! C’est pour « mon amant roux »... euh... « ami roux » !...  
   
   
— Et le Jules, sa baronne, tu sais comment il la surnomme ? L’« Ange blanc » !
— Et le Jules, sa baronne, tu sais comment il la surnomme ? L’« Ange blanc » !
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:::• « Au début de ''L’Ensorcelée''... »... Même Nous on se fait ialla-la-ialler, même pas le temps d’attraper la fusée. Oui, tu sais : l’ensorcèlement, après l’envoûtement...
:::• « Au début de ''L’Ensorcelée''... »... Même Nous on se fait ialla-la-ialler, même pas le temps d’attraper la fusée. Oui, tu sais : l’ensorcèlement, après l’envoûtement...
   
   
— Elles sont encore plus fortes que... Vous !!... les synchronicités ??!!...
— Elles sont encore plus fortes que... Vous !!!... les synchronicités ???!!!...
   
   
— Mais non, les synchronicités c’est Nous, on se ialla-la-ialle tout seuls, on te faisait marcher.  
— Mais non, les synchronicités c’est Nous, on se ialla-la-ialle tout seuls, on te faisait marcher.  
   
   
— Mais je sais. C’est moi qui Vous fais marcher. Et vous courez. Poursuivez.
— Mais je sais. C’est moi qui Vous fais marcher. Et Vous courez. Poursuivez.
   
   
:::• « Au début de ''L’Ensorcelée'', le narrateur rencontre maître Tainnebouy à l’auberge du Taureau rouge. » On a aussi une Jeanne de Feuardent, rapport au feu d’archiduchesse... euh... d’artifesses. C’est l’ensorcelée.
:::• « Au début de ''L’Ensorcelée'', le narrateur rencontre maître Tainnebouy à l’auberge du Taureau rouge. » On a aussi une Jeanne de Feuardent, rapport au feu d’archiduchesse... euh... d’artifesses. C’est l’ensorcelée.
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— Finir ???!!! Elle est bien bonne celle-là en effet !
— Finir ???!!! Elle est bien bonne celle-là en effet !
   
   
Mais non, c’est pas ça. À mon salo tarage cet après-midi...
— À mon salo tarage cet après-midi...
   
   
— On t’a de nouveau<ref>Mais pourquoi faut-il, quand je regarde l’heure, à mon ordinateur, pour la première fois depuis des heures, qu’elle soit à... 21:21 ??!!</ref> admis ?
— On t’a de nouveau<ref>Mais pourquoi faut-il, quand je regarde l’heure, à mon ordinateur, pour la première fois depuis des heures, qu’elle soit à... 21:21 ??!!</ref> admis ?
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Bon...
Bon...


Il est vrai qu’Ielles avaient à peu près tout donné, à ce stade, en attendant de livrer à leur Renard, quels Hutards<ref>Quelques heures plus tard</ref>, page trois cent... 86, un poulet. Un Monsieur Poulet-Malassis. Il se trouve que l’on m’en avait également envoyé un, dans le cul-trocon que je mentionne, dans une série d’émoticônes, dans laquelle il m’était demandé de repérer l’intrus. On s’amuse comme on put... euh... peut. Le Poulet (qui s’est assis comme il a pu ?) est tanqué sous « Chronologie du procès des ''Fleurs du mal'' », de Baudelaire, dont le pedigree, au début du chapitre qui lui est consacré, fait état de sa naissance le 9 avril 1821. Là y a même mon 21-Avril, dans 9 + 21 à l’envers. Première date de la chronologie : un 21 juin. Deux mois plus tard, le poète est condamné à « verser une amende de trois cent francs ». Exactement la somme qu’il m’avait emprunté. Mais il m’a remboursé.  
Il est vrai qu’Ielles avaient à peu près tout donné, à ce stade, en attendant de livrer à leur Renard, quels hutards<ref>Quelques heures plus tard</ref>, page trois cent... 86, un poulet. Un Monsieur Poulet-Malassis. Il se trouve que l’on m’en avait également envoyé un, dans le cul-trocon que je mentionne, dans une série d’émoticônes, dans laquelle il m’était demandé de repérer l’intrus. On s’amuse comme on put... euh... peut. Le Poulet (qui s’est assis comme il a pu ?) est tanqué sous « Chronologie du procès des ''Fleurs du mal'' », de Baudelaire, dont le pedigree, au début du chapitre qui lui est consacré, fait état de sa naissance le 9 avril 1821. Là y a même mon 21-Avril, dans 9 + 21 à l’envers. Première date de la chronologie : un 21 juin. Deux mois plus tard, le poète est condamné à « verser une amende de trois cent francs ». Exactement la somme qu’il m’avait emprunté. Mais il m’a remboursé.  


Le successeur de Baudelaire dans Miel-é-fraise, Flaubert, est également venu au monde en 1821. Le 12/12. Rubrique « situation familiale » : « célibataire ; une longue liaison avec Louise Colet ». Point en l’occurrence de synchronicité mais un fait : il me l’avait piquée. Il m’a remboursé cela dit pas de souci, et je découvre cet autre point commun entre nos vies sentimentales : « À quinze ans, l’adolescent tombe amoureux d’Élisa Schlesinger, de onze ans son aînée, rencontrée sur la plage de Trouville », et présentée dans son CV introductif comme le « grand amour de sa vie ». Onze ans : la même différence d’âge qu’entre moi et l’Homme de ma Vie. Au cul d’un 69, une autre queue de Renard, dans l’énumération de trois romans : « [...] ''Madame Bovary'' en 1857, ''L’Éducation sentimentale'' en 1869, ''Bouvard et Pécuchet'' qu’il laisse inachevé ». Un trou, un 69, un cul et un semblant de buvard et de PQ : ça me paraît pas mal pour conclure sans trop avoir l’impression de finir en queue de poisson.
Le successeur de Baudelaire dans Miel-é-fraise, Flaubert, est également venu au monde en 1821. Le 12/12. Rubrique « situation familiale » : « célibataire ; une longue liaison avec Louise Colet ». Point en l’occurrence de synchronicité mais un fait : il me l’avait piquée. Il m’a remboursé cela dit pas de souci, et je découvre cet autre point commun entre nos vies sentimentales : « À quinze ans, l’adolescent tombe amoureux d’Élisa Schlesinger, de onze ans son aînée, rencontrée sur la plage de Trouville », et présentée dans son CV introductif comme le « grand amour de sa vie. » Onze ans : la même différence d’âge qu’entre moi et l’Homme de ma Vie. Au cul d’un 69, une autre queue de Renard, dans l’énumération de trois romans : « [...] ''Madame Bovary'' en 1857, ''L’Éducation sentimentale'' en 1869, ''Bouvard et Pécuchet'' qu’il laisse inachevé. » Un trou, un 69, un cul et un semblant de buvard et de PQ : ça me paraît pas mal pour conclure sans trop avoir l’impression de finir en queue de poisson.




'''21/01-3 —''' Jamais un 2-1, un 1 et un 2, à l’envers ou à l’endroit, sans son 3 ? L’addenda a d’abord été nobapa : j’aimais trop mes queues de renard et de poisson de la fin de la sus-narrée synchiotte (débat avec moi-même sur sync/hiryotte : j’agglomère), et ne voulais pas en gâcher l’effet en allongeant le texte après elles. Puis la nobapa, toute entière dédiée à... nous allons de ce pas voir qui, encore une fois... n’en finissait pas... D’où ma décision de faire droit au 3. D’autant que le qui-encore-une-fois (quoi ???) m’a aussi écrit ça : « Je ne lis plus les notes en bas parce que ça me casse tout, j’aime pas quand le texte se remet à fleur d’écran, en haut, et ça distrait mon attention ». La nobapa, acculée... euh... colée à « Un trou, un 69, un cul et un semblant de buvard et de PQ : ça me paraît pas mal pour conclure sans trop avoir l’impression de finir en queue de poisson », c’était ça :
'''21/01-3 —''' Jamais un 2-1, un 1 et un 2, à l’envers ou à l’endroit, sans son 3 ? L’addenda a d’abord été nobapa : j’aimais trop mes queues de renard et de poisson de la fin de la sus-narrée synchiotte (débat avec moi-même sur sync/hiryotte : j’agglomère), et ne voulais pas en gâcher l’effet en allongeant le texte après elles. Puis la nobapa, toute entière dédiée à... nous allons de ce pas voir qui, encore une fois... n’en finissait pas... D’où ma décision de faire droit au 3. D’autant que le qui-encore-une-fois (quoi ???) m’a aussi écrit ça : « Je ne lis plus les notes en bas parce que ça me casse tout, j’aime pas quand le texte se remet à fleur d’écran, en haut, et ça distrait mon attention. » La nobapa, acculée... euh... colée à « un trou, un 69, un cul et un semblant de buvard et de PQ : ça me paraît pas mal pour conclure sans trop avoir l’impression de finir en queue de poisson », c’était ça :


::À mon admirtempteur : « Voilà, ça y ééééééé !!! ». C’est ce que je m’écriais, gamin, quand j’avais fini de faire caca, pour qu’Ama vienne m’essuyer. Je sens que mon hiryotte 21/01-2, vulgaire à souhait (mais non...), donc enfin terminée, ces mots vont venir compléter ! Pas trop reloue celle-là, comme je te le disais ? Bon, va encore un peu falloir s’accrocher ! J’écris même : quand ça broute, survoler ! Car tu dois absolument y arriver, à son extrémité ! Et promets-moi – tu verras pourquoi je dis ça, mais aucune raison en réalité –, de ne pas te fâcher ! Et que rien, ô grand jamais, n’attentera à notre si belle, belle, belle amitié ! (Il se passe un truc encore, comme jamais : j’en suis à je ne sais combien de tentatives d’envoi, déconnexion à chaque fois...) ».
::À mon admirtempteur : « Voilà, ça y ééééééé !!! » C’est ce que je m’écriais, gamin, quand j’avais fini de faire caca, pour qu’Ama vienne m’essuyer. Je sens que mon hiryotte 21/01-2, vulgaire à souhait (mais non...), donc enfin terminée, ces mots vont venir compléter ! Pas trop reloue celle-là, comme je te le disais ? Bon, va encore un peu falloir s’accrocher ! J’écris même : quand ça broute, survoler ! Car tu dois absolument y arriver, à son extrémité ! Et promets-moi – tu verras pourquoi je dis ça, mais aucune raison en réalité –, de ne pas te fâcher ! Et que rien, ô grand jamais, n’attentera à notre si belle, belle, belle amitié ! (Il se passe un truc encore, comme jamais : j’en suis à je ne sais combien de tentatives d’envoi, déconnexion à chaque fois...) »


Il est quatre de ses mots dont je n’ai pas encore bien pris la mesure : « si réceptif aux synchronicités ». (C’est sa question japu combien : « Pourquoi penses-tu être... [+ les 4 mots] ? ». Mais c’est la 2 ou 3 je crois. Allons au bois.) En les citant plus haut, j’en étais encore à les... percevoir comme l’expression d’un doute quant à la « réalité », elle-même, du phénomèèèèène. C’est à moi que ça a un peu « tout cassé » sur le coup. Mais attention ouh là là, je transcende et je reprends ma Voie, dalajobonu<ref>Dans la joie et la bonne humeur</ref>, na. C’est PRESQUE aussi efficace que ça. Mais ça n’est pas ça. C’est plutôt en fait que mon ami, à mon avis (sans vouloir lui faire dire ce qu’il n’a pas [?] dit), m’interroge sur le pourquoi. Du comment. Sur ce qui se passe vraiment. « Pourquoi. Ce qui se passe vraiment ? » : j’avais écrit ça comme ça, avant de dénobapaïser, de 21/01-troiser, de reformuler et de compléter tout ça. Je m’étais répondu et je poursuivais kon sa :
Il est quatre de ses mots dont je n’ai pas encore bien pris la mesure : « si réceptif aux synchronicités ». (C’est sa question japu combien : « Pourquoi penses-tu être... [+ les 4 mots] ? » Mais c’est la 2 ou 3 je crois. Allons au bois.) En les citant plus haut, j’en étais encore à les... percevoir comme l’expression d’un doute quant à la « réalité », elle-même, du phénomèèèèène. C’est à moi que ça a un peu « tout cassé » sur le coup. Mais attention ouh là là, je transcende et je reprends ma Voie, dalajobonu<ref>Dans la joie et la bonne humeur</ref>, na. C’est PRESQUE aussi efficace que ça. Mais ça n’est pas ça. C’est plutôt en fait que mon ami, à mon avis (sans vouloir lui faire dire ce qu’il n’a pas [?] dit), m’interroge sur le pourquoi. Du comment. Sur ce qui se passe vraiment. « Pourquoi. Ce qui se passe vraiment ? » : j’avais écrit ça comme ça, avant de dénobapaïser, de 21/01-troiser, de reformuler et de compléter tout ça. Je m’étais répondu et je poursuivais kon sa :


::D’un côté ça m’intrigue à un point que je ne saurais dire, de l’autre je le sais TRÈS BIEN tout en n’en sachant RIEN et c’est TRÈS BIEN. C’est la posture du TRÈS BIEN-RIEN-TRÈS BIEN (TB-R-TB). Je plaisantais, encore, plus haut sur la puissance du phénomèèèèène, or s’il est une certitude c’est celle-là. Étant donné celle qui vient encore de se produire (le 25/01 vers 11 heures). Je m’étonnais moi-même de me trouver à écrire : « Promets-moi que rien n’attentera jamais à notre amitié »... Comme si je pressentais que l’affaire allait se corser...  
::D’un côté ça m’intrigue à un point que je ne saurais dire, de l’autre je le sais TRÈS BIEN tout en n’en sachant RIEN et c’est TRÈS BIEN. C’est la posture du TRÈS BIEN-RIEN-TRÈS BIEN (TB-R-TB). Je plaisantais, encore, plus haut sur la puissance du phénomèèèèène, or s’il est une certitude c’est celle-là. Étant donné celle qui vient encore de se produire (le 25/01 vers 11 heures). Je m’étonnais moi-même de me trouver à écrire : « Promets-moi que rien n’attentera jamais à notre amitié »... Comme si je pressentais que l’affaire allait se corser...  


La goutte qui a fait déborder et grossir en hiryotte du 21/01-3 la nobapa est tombée aux date et heure indiquées. Elle m’a fait déborder aussi, me « contraignant » – car la synchronicité est trop belle, trop dingue – à « tout », ou presque, lâcher... Je ne peux en outre ne pas consentir à cette concession : le [bip] de la synchiotte 21/01-2 = vulgaire. Aveu s’il en est, car outre le rapport entre mon amikri... euh... critidmirtempteur et ce qui suit, pour la compréhension de la belle-dingue pas le choix. (Suis-je bête, de toute manière je le prends... euh... reprends, le terme, dans mon cul.)
La goutte qui a fait déborder et grossir en hiryotte du 21/01-3 la nobapa est tombée aux date et heure indiquées. Elle m’a fait déborder moi-même, me « contraignant » – car la synchronicité est trop belle, trop dingue – à « tout », ou presque, lâcher... Je ne peux en outre ne pas consentir à cette concession : le [biiip] de la synchiotte 21/01-2 = vulgaire. Aveu s’il en est, car outre le rapport entre mon amikri... euh... critidmirtempteur et ce qui suit, pour la compréhension de la belle-dingue pas le choix. (Suis-je bête, de toute manière je le prends... euh... reprends, le terme, dans mon cul.)


Un peu de vaseline d’abord... Angelu : « Mais c’est kiki... euh... qui qui encule qui alors ? On n’y comprend vraiment rien à tes salades ». On s’encule mutuellement, dans cette histoire, puisque je traite de culs que nous nous sommes échangés. Je ne vois donc pas ce qu’il peut y avoir, en l’occurrence, d’ambigu. Le lubrifiant : j’ai songé à écrire, japu trop à quel propos, dans la synchiotte 21/01-2 je crois, concernant ledit : « C’est peut-être le meilleur d’entre nous ». La vérité c’est que la lèche je ne pratique pas trop, et qu’autant ces mots me sont venus comme un crucu<ref>Cri du cœur</ref>, autant ils peuvent sembler un peu... idiots.
Un peu de vaseline d’abord... Angelu : « Mais c’est kiki... euh... qui qui encule qui alors ? On n’y comprend vraiment rien à tes salades. » On s’encule mutuellement, dans cette histoire, puisque je traite de culs que nous nous sommes échangés. Je ne vois donc pas ce qu’il peut y avoir, en l’occurrence, d’ambigu. Le lubrifiant : j’ai songé à écrire, japu trop à quel propos, dans la synchiotte 21/01-2 je crois, concernant ledit : « C’est peut-être le meilleur d’entre nous. » La vérité c’est que la lèche je ne pratique pas trop, et qu’autant ces mots me sont venus comme un crucu<ref>Cri du cœur</ref>, autant ils peuvent sembler un peu... idiots.


Bon mais c’est dit. La Sync de Sync :
Bon mais c’est dit. La Sync de Sync :


J’écoute et regarde des émissions par intermittence, pendant que j’écris, sur mon ordi-télé. Je suis sur « C à vous la suite ». Vers 57:30/57:35 du replay, rubrique « Les actualités de Bertrand [Renard entier + TB ; merci bien] Chameroy » :
J’écoute et regarde des émissions par intermittence, pendant que j’écris, sur mon ordi-télé. Je suis sur « C à vous la suite ». Vers 57:30/57:35 du ''replay'', rubrique « Les actualités de Bertrand [Renard entier + TB ; merci bien] Chameroy » :


::'''À la Une de ce 21 janvier''', un fait divers. Comme il le fait quotidiennement, Christophe Hondelatte proposait sur Europe 1 [« Hondelatte raconte »] le récit d’une bien macabre affaire, et celle du jour est particulièrement intrigante. [Krikri :] « Le Docteur Brinkley, qui fait une promesse à ses patients qui bandent mou ». Une vidéo pour le moins efficace, puisqu’elle m’a donné une furieuse envie d’en savoir plus sur cette solution proposée par ce docteur, et donc d’écouter le récit de Christophe Hondelatte, et d’allumer ma radio. [KK :] « Il a promis à des milliers d’homme de ressusciter leur vigueur sexuelle en leur greffant des couilles de bouc, et qu’ils band’ront [pour sûr il ne se veut pas du « Sud-Ouest » son accent...] com’ des taureaux ». Anne-Élisabeth Le Moine [la couille de notre moine – de momou... euh... dou – frémit, sans forcément faire bouger l’autre, mais ce dernier n’est pas sans rapport non plus avec ce qui nous occupe ici : voir le Glaire-mou-de-synus<ref>Glossaire modoupaïen-français de Sync sur Sync</ref>] : « Des couilles de quoi ? De quel animal ? » [La Voix... euh... Voie... euh... voix de Totoff se fait depuis quelques temps il est vrai on dirait un peu le mal... mâle... euh... la malle...] « De bouc ! », lui répond le Renard TB. + Commentaires (pas très intelligibles) d’un Benoît Poolvorde entouré d’Édouard Baer et du François Damiens des hilarantes (pour certaines) « caméras planquées », dans un fou-rire général...
::'''À la Une de ce 21 janvier''', un fait divers. Comme il le fait quotidiennement, Christophe Hondelatte proposait sur Europe 1 [« Hondelatte raconte »] le récit d’une bien macabre affaire, et celle du jour est particulièrement intrigante. [Krikri :] « Le Docteur Brinkley, qui fait une promesse à ses patients qui bandent mou. » Une vidéo pour le moins efficace, puisqu’elle m’a donné une furieuse envie d’en savoir plus sur cette solution proposée par ce docteur, et donc d’écouter le récit de Christophe Hondelatte, et d’allumer ma radio. [KK :] « Il a promis à des milliers d’homme de ressusciter leur vigueur sexuelle en leur greffant des couilles de bouc, et qu’ils band’ront [pour sûr il ne se veut pas du « Sud-Ouest » son accent...] com’ des taureaux ». Anne-Élisabeth Le Moine [la couille de notre moine – de momou... euh... dou – frémit, sans forcément faire bouger l’autre, mais ce dernier n’est pas sans rapport non plus avec ce qui nous occupe ici : voir le Glaire-mou-de-synus<ref>Glossaire modoupaïen-français de Sync sur Sync</ref>] : « Des couilles de quoi ? De quel animal ? » [La Voix... euh... Voie... euh... voix de Totoff se fait depuis quelques temps il est vrai on dirait un peu le mal... mâle... euh... la malle...] « De bouc ! », lui répond le Renard TB. + Commentaires (pas très intelligibles) d’un Benoît Poolvorde entouré d’Édouard Baer et du François Damiens des hilarantes (pour certaines) « caméras planquées », dans un fou-rire général...


J’ai trouvé dans ma bîtule<ref>Boîte aux lettre</ref> en rentrant cet après-midi, avant que ne me rejoignît cette joyeuse compagnie, la BD ''Dac – La déconstruction de l’analyse constructive'' de David Snug. Chaque planche est chapeautée par un titre précédé d’une date, soit quelque Quatre-Vingt Jours entre le 1er septembre 2019 et le 31 août 2020.
J’ai trouvé dans ma bîtule<ref>Boîte aux lettre</ref> en rentrant cet après-midi, avant que ne me rejoignît cette joyeuse compagnie, la BD ''Dac – La déconstruction de l’analyse constructive'' de David Snug. Chaque planche est chapeautée par un titre précédé d’une date, soit quelque Quatre-Vingt Jours entre le 1er septembre 2019 et le 31 août 2020.
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« Plus loin (le temps des cerises) ? » Non, désolé, je ne reprends pas cette interrogation avec l’intention de m’étendre sur le bleu, le vert ou le doré de chatoyants horizons. Un sentiment d’abandon, de ce qu’on leur refuserait de se promener dans la nature avec nous, a-t-il poussé nos inénarrables numéros à se manifester de nouveau ? C’est tellement joli, maintenant que l’excès de trivialité dans le récit en cours semble-t-il c’est fini (et hormis les histoires de pipi) !
« Plus loin (le temps des cerises) ? » Non, désolé, je ne reprends pas cette interrogation avec l’intention de m’étendre sur le bleu, le vert ou le doré de chatoyants horizons. Un sentiment d’abandon, de ce qu’on leur refuserait de se promener dans la nature avec nous, a-t-il poussé nos inénarrables numéros à se manifester de nouveau ? C’est tellement joli, maintenant que l’excès de trivialité dans le récit en cours semble-t-il c’est fini (et hormis les histoires de pipi) !


Leur stratégie cette fois : pages de la douche froide et des cerises comprises, le nombre des 1ères, entre les 2, est de... 21 ! La séquence est la dernière... 21-ienne. Qu’est-ce que cette affirmation insensée ? (Comme si ça me ressemblait.) Oui, elle est datée du 28 décembre 2019. La suivante du 7 janvier 2020. Cette iabloté cerise-21 est donc notamment celle du passage d’une année à l’autre, à l’instar de ce contexte de la transition entre les années 2021 et 2022 dans lequel s’inscrivent nos synchiottes, depuis la fin de la 1ère et le début de la 2ème, et de ce 21 qui s’accroche. Par « dernière 21-enne séquence » j’entends la dernière de la... 21ème année. De l’année en 21 je xi<ref>« Je chi » : je veux dire.</ref>, la 2019, dans laquelle ce nombre, oui mesdames et messieurs, est celui de la somme de 19 et de 2 !  
Leur stratégie cette fois : pages de la douche froide et des cerises comprises, le nombre des 1ères, entre les 2, est de... 21 ! La séquence est la dernière... 21-ienne. Qu’est-ce que cette affirmation insensée ? (Comme si ça me ressemblait.) Oui, elle est datée du 28 décembre 2019. La suivante du 7 janvier 2020. Cette iabloté cerise-21 est donc notamment celle du passage d’une année à l’autre, à l’instar de ce contexte de la transition entre les années 2021 et 2022 dans lequel s’inscrivent nos synchiottes, depuis la fin de la 1ère et le début de la 2ème, et de ce 21 qui s’accroche. Par « dernière 21-ienne séquence » j’entends la dernière de la... 21ème année. De l’année en 21 je xi<ref>« Je chi » : je veux dire.</ref>, la 2019, dans laquelle ce nombre, oui mesdames et messieurs, est celui de la somme de 19 et de 2 !  


Les titres, pour le 28 décembre 2019 et le 7 janvier 2020, sont respectivement « Liberté, égalité, beau fessier » et « Alors c’est qui, le numéro 1 » ? Les cerises du bédessinateur n’en sont pas. Ce n’est pas le temps de celles-ci. Mais non, au beau milieu de l’hiver, dans le monde (apparemment) temps-espacé, ça n’existe pas ! « Le temps des cerises » est celui d’une marque de jeans, d’où le « beau fessier ». Que le vocabulaire est chaste désormais ! C’est pour ça que le 21 a pensé que c’était très sympa par ici, et que c’était l’occasion de refaire une apparition. Et il fait comme dans nos histoires, il affiche sa ferme intention de perdurer, dans la nouvelle année. En effet : dans 7 janvier 2020, exit le 21, mais dans « 7 janvier 2020 : alors c’est qui, le numéro 1 ? », vous ne le devinez pas ? Oh, c’est très subtil, et délicat. Ça tiendrait presque de la poésie. Subtilité, délicatesse, poésie : c’est un joli pied de nez du 21, au nom de tous les siens, à nos aprioris – au fait il nous rappelle aussi qu’il est chez lui, dans cette dernière du tiercé des Sync-21/01 ! –, derrière des lettres qui ne se sont pas toujours montrées des plus distinguées. Mais quelle ironie et quel talent, dans de stupéfiants-fiantes coups de théâtre et mises en scène, elles ont encore déployé !
Les titres, pour le 28 décembre 2019 et le 7 janvier 2020, sont respectivement « Liberté, égalité, beau fessier » et « Alors c’est qui, le numéro 1 » ? Les cerises du bédessinateur n’en sont pas. Ce n’est pas le temps de celles-ci. Mais non, au beau milieu de l’hiver, dans le monde (apparemment) temps-espacé, ça n’existe pas ! « Le temps des cerises » est celui d’une marque de jeans, d’où le « beau fessier ». Que le vocabulaire est chaste désormais ! C’est pour ça que le 21 a pensé que c’était très sympa par ici, et que c’était l’occasion de refaire une apparition. Et il fait comme dans nos histoires, il affiche sa ferme intention de perdurer, dans la nouvelle année. En effet : dans 7 janvier 2020, exit le 21, mais dans « 7 janvier 2020 : alors c’est qui, le numéro 1 ? », vous ne le devinez pas ? Oh, c’est très subtil, et délicat. Ça tiendrait presque de la poésie. Subtilité, délicatesse, poésie : c’est un joli pied de nez du 21, au nom de tous les siens, à nos aprioris – au fait il nous rappelle aussi qu’il est chez lui, dans cette dernière du tiercé des Sync-21/01 ! –, derrière des lettres qui ne se sont pas toujours montrées des plus distinguées. Mais quelle ironie et quel talent, dans de stupéfiants-fiantes coups de théâtre et mises en scène, elles ont encore déployé !
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::Né a la Réunion, fils d’un chirurgien de l’armée impériale devenu planteur de canne à sucre, Charles Marie Leconte de Lisle est élevé à Nantes. ll rejoint l’île à l’âge de dix ans. L’enfant est alors ébloui par la beauté des paysages et la nature exotique. [La Gwadloup, « on péyi majik » : vis joie 2]. Plus tard, il regagne Paris pour y mener des études de droit. C’est l’échec. ll retrouve lors d’un ultime voyage l’exotisme luxuriant de la Réunion. Rentré définitivement en France en 1845, Leconte de Lisle participe au combat social. Très actif pendant la Révolution de 1848, il s’engage aux côtés des groupes démocratiques et publie un manifeste réclamant l’abolition de l’esclavage. Sa famille lui retire alors tout moyen d’existence. Leconte de Lisle vit de ses traductions des auteurs de l’Antiquité. A l’âge de trente-quatre ans, son premier recueil, ''Poèmes antiques'', le fait connaître. Dix ans plus tard, ses ''Poèmes barbares'', lui valent une pension de l’empereur Napoléon lll. Célèbre, admiré, devenu le chef de file du mouvement du Parnasse, il est élu à l’Académie française en 1886, au fauteuil de Victor Hugo. ll meurt en 1894, honoré par la lllème République dont il avait salué l’avènement au lendemain de la Commune.
::Né a la Réunion, fils d’un chirurgien de l’armée impériale devenu planteur de canne à sucre, Charles Marie Leconte de Lisle est élevé à Nantes. ll rejoint l’île à l’âge de dix ans. L’enfant est alors ébloui par la beauté des paysages et la nature exotique. [La Gwadloup, « on péyi majik » : vis joie 2]. Plus tard, il regagne Paris pour y mener des études de droit. C’est l’échec. ll retrouve lors d’un ultime voyage l’exotisme luxuriant de la Réunion. Rentré définitivement en France en 1845, Leconte de Lisle participe au combat social. Très actif pendant la Révolution de 1848, il s’engage aux côtés des groupes démocratiques et publie un manifeste réclamant l’abolition de l’esclavage. Sa famille lui retire alors tout moyen d’existence. Leconte de Lisle vit de ses traductions des auteurs de l’Antiquité. A l’âge de trente-quatre ans, son premier recueil, ''Poèmes antiques'', le fait connaître. Dix ans plus tard, ses ''Poèmes barbares'', lui valent une pension de l’empereur Napoléon lll. Célèbre, admiré, devenu le chef de file du mouvement du Parnasse, il est élu à l’Académie française en 1886, au fauteuil de Victor Hugo. ll meurt en 1894, honoré par la lllème République dont il avait salué l’avènement au lendemain de la Commune.


Jmidi en m’emballant « pour la Beauté du Personnage » : si c’est comme Voltaire qui a fait fortune dans le commerce d’esclaves... Je vérifie sitet : « Voltaire a été accusé d’avoir amassé son immense fortune grâce à la traite négrière, qu’il fut pourtant l’un des premiers à dénoncer ouvertement. En réalité, aucun document ne permet de l'affirmer ».
Jmidi en m’emballant « pour la Beauté du Personnage » : si c’est comme Voltaire qui a fait fortune dans le commerce d’esclaves... Je vérifie sitet : « Voltaire a été accusé d’avoir amassé son immense fortune grâce à la traite négrière, qu’il fut pourtant l’un des premiers à dénoncer ouvertement. En réalité, aucun document ne permet de l'affirmer. »


C’est dingue. Auto-verbatim modoupaïen : « Loin de prendre pour argent comptant tout ce que je lis et entends... » ; « cet impératif, comme je l’ai argué jadis au gré de mon exploration du Mondo-païen<ref>Monde modoupaïen</ref>, de ne JAMAIS RIEN PRENDRE POUR ARGENT COMPTANT [...] ». En majuscules, c’est dur... euh... dire.
C’est dingue. Auto-verbatim modoupaïen : « Loin de prendre pour argent comptant tout ce que je lis et entends... » ; « cet impératif, comme je l’ai argué jadis au gré de mon exploration du Mondo-païen<ref>Monde modoupaïen</ref>, de ne JAMAIS RIEN PRENDRE POUR ARGENT COMPTANT [...] ». En majuscules, c’est dur... euh... dire.
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'''28/01 —''' Dans la BD de la Sync-21/01-3 la voile n’a finalement point point à l’horizon, et aucun bœuf n’a pointé la pointe de ses cornes. Mais de voiles j’ai été amené à parler le lendemain du jour où la rédaction j’en ai terminé, dans une discussion avec un type qui est à la plage de la Datcha à Gozyé absolument tous les jours que le-la bon-bonne Dieu-Dieuse fait, du moins ceux où Celleux-ci m’y amènent, mais avec lequel je n’ai eu qu’il y a quelques jours l’occasion, pour la première fois, d’échanger. Peu après qu’à la faveur d’une synchronicité je me suis dit « cuivré ». J’avais plus exactement évoqué le « Basque au teint sombre et cuivré » par C, C, C & P miel-é-fraisé (par les auteurs du bouquin concerné dans celui-ci ainsi présenté). Mais que l’on pût de la sorte me caractériser – hormis que, certes, je suis copieusement bronzé –, je ne le sous-entendais point, en réalité. Or s’il fallait dire une couleur pour celle qu’à force de soleil a pris la peau du monsieur, « cuivre » serait peut-être effectivement celle qui conviendrait le mieux ! À part cela son physique ne présente pas d’« attrait » particulier. Mais ça n’est pas le sujet.  
'''28/01 —''' Dans la BD de la Sync-21/01-3 la voile n’a finalement point point à l’horizon, et aucun bœuf n’a pointé la pointe de ses cornes. Mais de voiles j’ai été amené à parler le lendemain du jour où la rédaction j’en ai terminé, dans une discussion avec un type qui est à la plage de la Datcha à Gozyé absolument tous les jours que le-la bon-bonne Dieu-Dieuse fait du moins ceux où Celleux-ci m’y amènent , mais avec lequel je n’ai eu qu’il y a quelques jours l’occasion, pour la première fois, d’échanger. Peu après qu’à la faveur d’une synchronicité je me suis dit « cuivré ». J’avais plus exactement évoqué le « Basque au teint sombre et cuivré » par C, C, C & P miel-é-fraisé (par les auteurs du bouquin concerné dans celui-ci ainsi présenté). Mais que l’on pût de la sorte me caractériser – hormis que, certes, je suis copieusement bronzé –, je ne sous-entendais, en réalité. Or s’il fallait dire une couleur pour celle qu’à force de soleil a pris la peau du monsieur, « cuivre » serait peut-être effectivement celle qui conviendrait le mieux ! À part cela son physique ne présente pas d’« attrait » particulier. Mais ça n’est pas le sujet.  


C’est... à l’origine un Blanc, un Parisien, établi en Gwadloup depuis vingt-cinq ans. Il habite le centre de Gozyé, après avoir dans une résidence près de la mienne dans le quartier de Bas du Fort de la même commune vécu un certain temps. À Bas-du-Fort ne sont justement pas apparues de voiles, récemment. J’ai menti ? Non, j’ai dit que de voiles j’avais parlé, mais des voiles vues, jamais. Je mens ? Personne ne peut affirmer dans sa vie n’en avoir jamais vues ? Quand on en a passé, surtout, au bord de la mer et sur une île, le plus clair ? Non, par « jamais » j’entendais à aucun moment, dans mon histoire de synchronicité. Même pas le jour où j’ai vu un voilier. À Bas-du-Fort, depuis ma terrasse, en face de chez moi. Dans l’eau, mais on se doute bien que pour en avoir vu un ce jour-là je n’ai pas vue sur des champs. Cependant là, oui, je mens : ce n’était pas le jour mais nuitamment. C’était un deux-mâts. Un bateau modèle antique. Magique, avec ses éclairages. Je suis descendu admirer ça de près.  
C’est... à l’origine un Blanc, un Parisien, établi en Gwadloup depuis vingt-cinq ans. Il habite le centre de Gozyé, après avoir vécu un certain temps dans une résidence près de la mienne dans le quartier de Bas du Fort de la même commune. À Bas-du-Fort ne sont justement pas apparues de voiles, récemment. J’ai menti ? Non, j’ai dit que de voiles j’avais parlé, mais des voiles vues, jamais. Je mens ? Personne ne peut affirmer dans sa vie n’en avoir jamais vues ? Quand on en a passé, surtout, au bord de la mer et sur une île, le plus clair ? Non, par « jamais » j’entendais à aucun moment, dans mon histoire de synchronicité. Même pas le jour où j’ai vu un voilier. À Bas-du-Fort, depuis ma terrasse, en face de chez moi. Dans l’eau, mais on se doute bien que pour en avoir vu un ce jour-là je n’ai pas vue sur des champs. Cependant là, oui, je mens : ce n’était pas le jour mais nuitamment. C’était un deux-mâts. Un bateau modèle antique. Magique, avec ses éclairages. Je suis descendu admirer ça de près.  
   
   
J’avais un peu niaké, précédemment, dans la narration de ce que j’avais tenu pour une synchronicité mais pour laquelle une donnée prise en compte par moi était erronée. Mais il s’est alors passé cela :
J’avais un peu niaké, précédemment, dans la narration de ce que j’avais tenu pour une synchronicité mais pour laquelle une donnée prise en compte par moi était erronée. Mais il s’est alors passé cela :
   
   
::Pour me consoler, quand je l’ai à l’instant rallumé, une heure miroir mon téléphone m’a affiché. Et laquelle ? 16:16. C’est donc avec le 4 [présent en je ne sais combien d’exemplaires dans le cas considéré<ref>Le 08/05 : serait-ce par conséquent comme une... convergence de flux ecnos entre celui-ci, des 4, dont il semble ainsi qu’ils avaient commencé à se multiplier ici, auquel je remonte, depuis ce lointain entemplacement, plusieurs mois en aval, et le flux en... cours, au cœur de la talmielle* synchronicité que précédemment j’évoquais ?... Fin de journée de narration/traduction/et òt bitin du quotidien : je sélectionne la fin du fichier que je suis en train de traduire pour voir combien qu’y m’en reste. Alors, combien qu’y m’en reste ?? Hein ?? Combien qu’y m’en reste ?? Hein ?? Combien... Angelu : « Si tu beugues mon cochon je te rappelle que tu m’as piqué mes poutanas... ». Et que je ne pourrai compter sur toi pour terminer pour moi... les... 4 666 mots qu’il me reste... Le 4 suivi du 666... 23:04 quand je regarde l’heure estonie... Ce 666... au vu de ladite talmielle synchronicité... Mon Dieu mais qu’est-ce que c’est tout ça ? Qu’est-ce que c’est ? Qu’est-ce que c’est ?... (*Totalement démentielle)</ref> une nouvelle fort fameuse synchronicité. Une fachotte, et madapayenne (même-quand-y-en-a-pas-y-en-a-une). Sidérant.
::Pour me consoler, quand je l’ai à l’instant rallumé, une heure miroir mon téléphone m’a affiché. Et laquelle ? 16:16. C’est donc avec le 4 [présent en je ne sais combien d’exemplaires dans le cas considéré]<ref>Le 08/05 : serait-ce par conséquent comme une... convergence de flux ecnos entre celui-ci, des 4, dont il semble ainsi qu’ils avaient commencé à se multiplier ici, auquel je remonte, depuis ce lointain entemplacement, plusieurs mois en aval, et le flux en... cours, au cœur de la talmielle* synchronicité que précédemment j’évoquais ?... Fin de journée de narration/traduction/et òt bitin du quotidien : je sélectionne la fin du fichier que je suis en train de traduire pour voir combien qu’y m’en reste. Alors, combien qu’y m’en reste ?? Hein ?? Combien qu’y m’en reste ?? Hein ?? Combien... Angelu : « Si tu beugues mon cochon je te rappelle que tu m’as piqué mes poutanas... » Et que je ne pourrai compter sur toi pour terminer pour moi... les... 4 666 mots qu’il me reste... Le 4 suivi du 666... 23:04 quand je regarde l’heure estonie... Ce 666... au vu de ladite talmielle synchronicité... Mon Dieu mais qu’est-ce que c’est tout ça ? Qu’est-ce que c’est ? Qu’est-ce que c’est ?... (*Totalement démentielle)</ref> une nouvelle fort fameuse synchronicité. Une fachotte, et madapayenne (même-quand-y-en-a-pas-y-en-a-une). Sidérant.
   
   
Ça l’est encore plus dans le cas présent [le présent de ce présent passé ? de ce début du mois de mai ?...]. Ne sommes-nous en même temps toujours pas à la recherche de notre voile ? De notre synchronicité surtout. En amont de la voile [et en avoil... euh aval ???... après mon aval savais-je que viendrait cet amont ?... non !!!] ce n’est pas ce qui manquait, mais après ? Le fait que j’en aie parlé ? Non, soyons sérieux. D’autant que même sur le voilier il n’y en avait pas. Sur les deux mâts elle était repliée. C’est une synchronicité même-quand-y-en-a-pas-y-en-a-pas-même-quand-il-devrait-y-en-avoir.
Ça l’est encore plus dans le cas présent [le présent de ce présent passé ? de ce début du mois de mai ?...]. Ne sommes-nous en même temps toujours pas à la recherche de notre voile ? De notre synchronicité surtout. En amont de la voile [et en avoil... euh aval ???... après mon aval savais-je que viendrait cet amont ?... non !!!] ce n’est pas ce qui manquait, mais après ? Le fait que j’en aie parlé ? Non, soyons sérieux. D’autant que même sur le voilier il n’y en avait pas. Sur les deux mâts elle était repliée. C’est une synchronicité même-quand-y-en-a-pas-y-en-a-pas-même-quand-il-devrait-y-en-avoir.
   
   
Sidérant – l’effet était... bœuf [l’anival... euh... animal non plus, je ne me souvenais pas qu'il vach... euh... vaquait déjà là !!!] –, c’est ce qui est arrivé le lendemain de ma conversation avec Peau Rouge. Je lui ai parlé de mon voilier car nous jappions tout-ce-qui-flotte et beaux engins – y compris les camions –, aiguillés vers cela que nous avions été par un assez superbe yacht qui mouillait, face à nous, dans la baie de Gozyé. Une vision exceptionnelle, il n’y a jamais de navire d’un tel standing par ici (à la marina un peu, si). On n’est vraiment pas à Saint-Barthélémy où, ai-je narré, j’ai eu sous les yeux aux abords de l’île, à l’issue d’une rapide traversée en ferry, depuis Saint-Martin où j’habitais alors, un rotolu de concentration de richesse sous la forme d’une multitude de yachts plus luxueux et modernes les uns que les autres. Je dis dans Modoupa ma fascination – abstraction faite de la sensation presque physique de nausée qu’un tel étalage a pu me procurer –, pour les beaux engins, les engins rutilants, toutes catégories confondues.
Sidérant – l’effet était... bœuf [l’anival... euh... mal non plus, je ne me souvenais pas qu'il vach... euh... vaquait déjà là !!!] –, c’est ce qui est arrivé le lendemain de ma conversation avec Peau Rouge. Je lui ai parlé de mon voilier car nous jappions tout-ce-qui-flotte et beaux engins – y compris les camions –, aiguillés vers cela que nous avions été par un assez superbe yacht qui mouillait, face à nous, dans la baie de Gozyé. Une vision exceptionnelle, il n’y a jamais de navire d’un tel ''standing'' par ici (à la marina un peu, si). On n’est vraiment pas à Saint-Barthélémy où, ai-je narré, j’ai eu sous les yeux aux abords de l’île, à l’issue d’une rapide traversée en ferry, depuis Saint-Martin où j’habitais alors, un rotolu de concentration de richesse sous la forme d’une multitude de yachts plus luxueux et modernes les uns que les autres. Je dis dans Modoupa ma fascination – abstraction faite de la sensation presque physique de nausée qu’un tel étalage a pu me procurer –, pour les beaux engins, les engins rutilants, toutes catégories confondues.
   
   
Le lendemain en début d’après-midi je m’apprête à sortir. Pas d’excursion en mer, ni même de plage au programme. Uniquement des courses, et aucune à la voile. Ça aussi c’est phénoménal. Car il fait un temps absolument sublime tous les jours en ce moment, et celui-là, que j’ai prévu de consacrer à me ravitailler en denrées pour m’alimenter et matériel pour bricoler, il est tout pourri. Un bateau, pourtant, a l’air de m’inviter au voyage. Au moment d’appuyer sur l’interrupteur du volet roulant, dans le triangle de mer entre deux toits que je perçois depuis cet endroit aux trois quarts de la distance entre le rebord de ma terrasse et la cuisine au fond de l’appartement, le yacht de la veille est passé, lentement.
Le lendemain en début d’après-midi je m’apprête à sortir. Pas d’excursion en mer, ni même de plage au programme. Uniquement des courses, et aucune à la voile. Ça aussi c’est phénoménal. Car il fait un temps absolument sublime tous les jours en ce moment, et celui-là, que j’ai prévu de consacrer à me ravitailler en denrées pour m’alimenter et matériel pour bricoler, il est tout pourri. Un bateau, pourtant, a l’air de m’inviter au voyage. Au moment d’appuyer sur l’interrupteur du volet roulant, dans le triangle de mer entre deux toits, que je perçois depuis cet endroit aux trois quarts de la distance entre le rebord de ma terrasse et la cuisine au fond de l’appartement, le yacht de la veille est passé, lentement.
   
   
Effet bœuf [c'était donc LE (pré-)carré de la bête ce recoin de mes hiryottes !!!... qrade ta chade é le por (ben c’est ça accourez, toutes mes bêtes !!! c’est votre fête !!!...) : 44 % !!!] : pour qui ça pourrait paraître un peu exagéré j’ai un supplément. [Exagéré ! Exagéré ! Mais qui pourrait encore le penser ???!!!] Upu lulu jacta<ref> Un peu plus tard le jour où j’ai écrit ça.</ref> j’ai trouvé dans Miel-é-fraise un bateau, ivre, au sujet duquel la pensée de Rimbaud dans la première strophe d’un poème fleuve voguait comme cela :
Effet bœuf [c'était donc LE (pré-)carré de la bête ce recoin de mes hiryottes !!!... qrade ta chade é le por (ben c’est ça accourez, toutes mes bêtes !!! c’est votre fête !!!...) : 44 % !!!] : pour qui ça pourrait paraître un peu exagéré j’ai un supplément. [Exagéré ! Exagéré ! Mais qui pourrait encore le penser ???!!!] Upu lulu jacta<ref> Un peu plus tard le jour où j’ai écrit ça.</ref> j’ai trouvé dans Miel-é-fraise un bateau, ivre, au sujet duquel la pensée de Rimbaud dans la première strophe d’un poème fleuve voguait comme cela :
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'''29/01 —''' Ça commence par un complément à mon histoire d’histoires. D’histoires drôles. Je vais pouvoir en ajouter une, une hirelle en modoupaïen, à mon répertoire, qui en compte une demie (cel du ketchup : V5 20/01). J’en ai entendu une dans mon dos et par-dessus ma tête. Ce n’est pour une fois pas un phénomène extraordinaire, je suis juste assis sur ma murette. À mon salo met-lanorac de la plage du centre de Gozyé. Mais le pas-extraordinaire, avec moi, ne dure jamais longtemps, et quelle ne fut pas ma surprise quand le Gwadloupéyen installé dans le resto, dans mon dos (et par-dessus ma tête), derrière sa palissade et que je ne pouvais voir, même en tournant la tête, se mit à prononcer ces mots : « Salaud ! Mets ton anorac ! ». Il faut reconnaître que pour une entame d’hirelle, ça n’est pas banal ! On ne pourra pas me contester la totale nullité de la probabilité d’une telle synchronicité (sous les Tropiques qui plus est !!!), et le fait qu’au seul Doigt de Dédé elle puisse être attribuée ! Ah, si au moins ça pouvait être vrai, le-la dernier-nière de mes contestataires serait rétamé-mée ! Mais mets ton anorac ! Qu’est-ce qu’on se marc avec moarc.  
'''29/01 —''' Ça commence par un complément à mon histoire d’histoires. D’histoires drôles. Je vais pouvoir en ajouter une, une hirelle en modoupaïen, à mon répertoire, qui en compte une demie (cel du ketchup : V5 20/01). J’en ai entendu une dans mon dos et par-dessus ma tête. Ce n’est pour une fois pas un phénomène extraordinaire, je suis juste assis sur ma murette. À mon salo met-lanorac de la plage du centre de Gozyé. Mais le pas-extraordinaire, avec moi, ne dure jamais longtemps, et quelle ne fut pas ma surprise quand le Gwadloupéyen installé dans le resto, dans mon dos (et par-dessus ma tête), derrière sa palissade et que je ne pouvais voir, même en tournant la tête, se mit à prononcer ces mots : « Salaud ! Mets ton anorac ! » Il faut reconnaître que pour une entame d’hirelle, ça n’est pas banal ! On ne pourra pas me contester la totale nullité de la probabilité d’une telle synchronicité (sous les Tropiques qui plus est !!!), et le fait qu’au seul Doigt de Dédé elle puisse être attribuée ! Ah, si au moins ça pouvait être vrai, le-la dernier-nière de mes contestataires serait rétamé-mée ! Mais mets ton anorac ! Qu’est-ce qu’on se marc avec moarc.  
   
   
La vraie hirelle : le client attablé a d’abord précisé que sa mère était matinikèz. Puis a posé cette question à son tout aussi invisible vis-à-vis : « Tu sais comment ma mère a rencontré mon père ? Elle était pati niké ». Courte et efficace.
La vraie hirelle : le client attablé a d’abord précisé que sa mère était matinikèz. Puis a posé cette question à son tout aussi invisible vis-à-vis : « Tu sais comment ma mère a rencontré mon père ? Elle était pati niké. » Courte et efficace.
   
   
[Le 08/05 : 18:34 qramé popote.] 4 histoires pas drôles, celles que j’étais à l’origine parti pour conter, se sont par ailleurs étonnamment enfil... euh... enchaînées. Je commence par la 4. Sur Radyo Tanbou en venant, une chanson, un chouya langoureuse, pour ne pas dire légèrement gnangnan, genre hymne à la résistance et à la liberté. La forme, gnangnan, pas le fond évidemment. Interprétée par un Gwadloupéyen. Noir c’est noir, il n’y a plus d’espoir. Mais la Voix qui suit est blanche, ouf, quelle chance. Le Français prend le relais pour clamer l’anti-soumission et la liberté. Yenki sa, rien que ça, je suis baba. Ça n’est pas commun, c’est la première fois mèm, un Gwadloupéyen et un Français main dans la main dans ce refrain. Sur cette radio les Gwadloupéyen-yèn, d’habitude, rouspètent et revendiquent entre elleux. Et c’est une diatribe d’une remarquable éloquence qui s’engage. Un texte cousu main, un énoncé de haute facture. C’est un concentré de ritournelle Rétine<ref>Réfection du Monde</ref> du type de celle qu’on s’est payée avant-hier Peau Rouge et moi.  
[Le 08/05 : 18:34 qramé popote.] 4 histoires pas drôles, celles que j’étais à l’origine parti pour conter, se sont par ailleurs étonnamment enfil... euh... enchaînées. Je commence par la 4. Sur Radyo Tanbou en venant, une chanson, un chouya langoureuse, pour ne pas dire légèrement gnangnan, genre hymne à la résistance et à la liberté. La forme, gnangnan, pas le fond évidemment. Interprétée par un Gwadloupéyen. Noir c’est noir, il n’y a plus d’espoir. Mais la Voix qui suit est blanche, ouf, quelle chance. Le Français prend le relais pour clamer l’anti-soumission et la liberté. Yenki sa, rien que ça, je suis baba. Ça n’est pas commun, c’est la première fois mèm, un Gwadloupéyen et un Français main dans la main dans ce refrain. Sur cette radio les Gwadloupéyen-yèn, d’habitude, rouspètent et revendiquent entre elleux. Et c’est une diatribe d’une remarquable éloquence qui s’engage. Un texte cousu main, un énoncé de haute facture. C’est un concentré de ritournelle Rétine<ref>Réfection du Monde</ref> du type de celle qu’on s’est payée avant-hier Peau Rouge et moi.  
   
   
Il est là (aussi immanquablement que le lever du soleil), à quelques mètres, sur sa serviette, entouré de ses copains-pine (une seule [vieille] pine). Le Clown qui déboule !! Juste quand j’allais m’écrier : « Eh, Peau Rouge, c’est quoi ton prénom ??!! ». Parce que l’histoire avé le Clown c’est l’autre jour au même endroit le coup du keum qui m’a dit bonjour dont je ne voyais pas bien qui que c’était et à propos duquel c’est le Clown qu’a piné<ref>Piner = plaisanter</ref> qu’il s’était pris pour Bruce Willis (le semi-inconnu s’était boule-à-zéroé). Une histoire donc, dans ce cas de figure également, de recherche d’identité. Celle du sombre et cuivré alors ça y est, je connais ? Que néné... euh... nenni, car je ne me suis bisû pas amusé à ainsi le héler.
Il est là (aussi immanquablement que le lever du soleil), à quelques mètres, sur sa serviette, entouré de ses copains-pine (une seule [vieille] pine). Le Clown qui déboule !! Juste quand j’allais m’écrier : « Eh, Peau Rouge, c’est quoi ton prénom ??!! » Parce que l’histoire avé le Clown c’est l’autre jour au même endroit le coup du keum qui m’a dit bonjour dont je ne voyais pas bien qui que c’était et à propos duquel c’est le Clown qu’a piné<ref>Piner = plaisanter</ref> qu’il s’était pris pour Bruce Willis (le semi-inconnu s’était boule-à-zéroé). Une histoire donc, dans ce cas de figure également, de recherche d’identité. Celle du sombre et cuivré alors ça y est, je connais ? Que néné... euh... nenni, car je ne me suis bisû pas amusé à ainsi le héler.


Notre ritournelle d’il y a deux jours, comme son nom l’indique, ça n’était pas très original. Pourtant je mens. Car c’était un peu différent de la Rétine qui opère habituellement. Et l’extraordinaire présentement c’est surtout là-dedans : la fusion comme un seul bloc, la juxtaposition, des histoires 1, 2, 3 & 4. Sur le thème de l’asservissement VOLONTAIRE par les biens de consommation, les réseaux sociaux et le travail. Une des formes d’esclavage moderne, l’a dit le monsieur à la radio.
Notre ritournelle d’il y a deux jours, comme son nom l’indique, ça n’était pas très original. Pourtant je mens. Car c’était un peu différent de la Rétine qui opère habituellement. Et l’extraordinaire présentement c’est surtout là-dedans : la fusion comme un seul bloc, la juxtaposition, des histoires 1, 2, 3 & 4. Sur le thème de l’asservissement VOLONTAIRE par les biens de consommation, les réseaux sociaux et le travail. Une des formes d’esclavage moderne, l’a dit le monsieur à la radio.


Au chamou 6, après une citation – « Je n’ai jamais travaillé en entreprise. Je n’ai jamais eu de N+1 ni de N+2. Parfois, avoir un quotidien stable, des collègues et un salaire tous les mois aurait pu me faire envie. Mais il y a quelque-chose qui me refroidit toujours, c’est quand j’entends les salariés me parler de leur chef » –, j’opine que « l’expérience relatée par les uns-zunes et les autres démontrent fort malheureusement le caractère si souvent exécrable des relations au travail, et qui en disent tellement long sur l’état de pathologie chronique de la société et de ce monde ». À l’adresse de mon interlocuteur plagiste (vivement que je puisse le prénommer), j’ai eu ce crucu, toupandan que nous nous félicitions de travailler, l’un comme l’autre, à notre compte : « Quand les gens te parlent de leur boulot de tous les côtés c’est que de la merde ! ».
Au chamou 6, après une citation – « Je n’ai jamais travaillé en entreprise. Je n’ai jamais eu de N+1 ni de N+2. Parfois, avoir un quotidien stable, des collègues et un salaire tous les mois aurait pu me faire envie. Mais il y a quelque-chose qui me refroidit toujours, c’est quand j’entends les salariés me parler de leur chef » –, j’opine que « l’expérience relatée par les uns-zunes et les autres démontrent fort malheureusement le caractère si souvent exécrable des relations au travail, et qui en disent tellement long sur l’état de pathologie chronique de la société et de ce monde. » À l’adresse de mon interlocuteur plagiste (vivement que je puisse le prénommer), j’ai eu ce crucu, toupandan que nous nous félicitions de travailler, l’un comme l’autre, à notre compte : « Quand les gens te parlent de leur boulot de tous les côtés c’est que de la merde ! »


Mister Snug de la BD de la Sync-21/01-3 balance à tout va sur les asservissements 1, 2 & 3. Sur le 2 il s’inclut un peu. Il se dit « smartphonodépendant ». Sur le 3 il dit ça :
Mister Snug de la BD de la Sync-21/01-3 balance à tout va sur les asservissements 1, 2 & 3. Sur le 2 il s’inclut un peu. Il se dit « smartphonodépendant ». Sur le 3 il dit ça :
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Quelqu’un, d’autres synonymes ?
Quelqu’un, d’autres synonymes ?


Rimbaud : moi ! Tout à l’heure quand tu rentreras tu liras : « Chacun des poèmes qui constituent le recueil des ''Illuminations'' apparaît comme une scène féérique ou hallucinatoire, un “instantané” d’extase ou de liberté. Chaque “phrase”, chaque poème est pour Rimbaud l’occasion de recréer le monde ». Je te mets des chars aussi, et du cuivre (V5 21/01-3), dans... ''Marine''. [C’est moi qui point-de-suspensionnise. Tiiiii la-la-la-la tsoin-tsoin.]
Rimbaud : moi ! Tout à l’heure quand tu rentreras tu liras : « Chacun des poèmes qui constituent le recueil des ''Illuminations'' apparaît comme une scène féérique ou hallucinatoire, un “instantané” d’extase ou de liberté. Chaque “phrase”, chaque poème est pour Rimbaud l’occasion de recréer le monde. » Je te mets des chars aussi, et du cuivre (V5 21/01-3), dans... ''Marine''. [C’est moi qui point-de-suspensionnise. Tiiiii la-la-la-la tsoin-tsoin.]




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Vrai ? Pas vrai ?
Vrai ? Pas vrai ?


Mémé se meut de sa murette à sa chaise. Le fils (une drôle de tête, pas un perdreau de l’année forcément, mais c’est peut-être plutôt le petit-fils ; et dis donc d’une musculature, pour son âge, impressionnant) dit à sa (grand-)maman qu’il a besoin de japa quoi aller faire à sa voiture et qu’il revient. J’en profite pour raccrocher :
Mémé se meut de sa murette à sa chaise. Le fils (une drôle de tête, pas un perdreau de l’année, forcément, mais c’est peut-être plutôt le petit-fils ; et dis donc d’une musculature, pour son âge, impressionnant) dit à sa (grand-)maman qu’il a besoin de japa quoi aller faire à sa voiture et qu’il revient. J’en profite pour raccrocher :


— Je la surveille, et si elle est pas sage...
— Je la surveille, et si elle est pas sage...
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Voilà c’est ça, les sales garces, ainsi que je les chamou-53-Livre-54-XabiWiki-ma-poco-bité-ise. Mais elles en colonisent d’autres, des chamous, les chamelles.
Voilà c’est ça, les sales garces, ainsi que je les chamou-53-Livre-54-XabiWiki-ma-poco-bité-ise. Mais elles en colonisent d’autres, des chamous, les chamelles.


À mon salo avant d’aller à l’eau à un moment donné Cyril... Ça yééééé !!! Tu peux venir m’essuyer !!! Ah non, c’est pas ça. Ça yééééé !!! Je sééééé !!! Comment qu’y s’appelle le bonhomme cuivré ! Je ne vais plus avoir besoin de le peau-rouger ! Cyril, depuis sa serviette à l’immuable distance entre lui et moi quand je met-l’anoraque, entame une conversation avec une dame, dans mon dos et par-dessus ma tête. Ça n’est pas un phénomène extraordinaire... patita (V5 de la vieille... ah non, celle-là c’est celle-là, c’est la V5 de la veille). Il finit par se lever et s’approcher d’elle. Il est à mes pieds, la dame est dans mon dos, par-dessus ma tête. Ça n’est pas un phénomène extraordinaire... patita. Elle est dans le Panoramic. Ça n’est pas un phénomène extraordinaire, c’est le nom du resto. Accoudée à la balustrade. Coup d’œil aux deux. Dans ce triangle je ne vais pas me laisser court-circuiter, et m’allume. M’incruste, quoi, dans la conversation. Ça jacte d’un type qu’est allé vivre en République dominicaine, à Punta Cana. Ah ! Punta Cana ! Fioncraçage dans mon fion-de-ma-tata<ref>Recherche avec la fonction chercher/remplacer dans mon fichier de ''Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata''</ref> : quoi, je ne parle nulle part de Punta Cana ? J’ai perdu ça ? Ou pas, mais pendant la réducu<ref>Rédaction de mon manuscrit</ref> de mon Dieu et tout ça, des passages ont disparu. C’est un pipi<ref>Petit chapitre</ref> de ma lavi évé Manno de quand nous séjournions à Santo Domingo. Un haut-lieu touristique à locaux sobré todo (surtout) + tous les extranjéros. Totalmenté loco. Non, c’est pour le jumo, animé plutôt. Des plages à perte de vue.  
À mon salo avant d’aller à l’eau à un moment donné Cyril... Ça yééééé !!! Tu peux venir m’essuyer !!! Ah non, c’est pas ça. Ça yééééé !!! Je sééééé !!! Comment qu’y s’appelle le bonhomme cuivré ! Je ne vais plus avoir besoin de le peau-rouger ! Cyril, depuis sa serviette à l’immuable distance entre lui et moi quand je met-l’anoraque, entame une conversation avec une dame, dans mon dos et par-dessus ma tête. Ça n’est pas un phénomène extraordinaire... patita (V5 de la vieille... ah, non, celle-là c’est celle-là, c’est la V5 de la veille). Il finit par se lever et s’approcher d’elle. Il est à mes pieds, la dame est dans mon dos, par-dessus ma tête. Ça n’est pas un phénomène extraordinaire... patita. Elle est dans le Panoramic. Ça n’est pas un phénomène extraordinaire, c’est le nom du resto. Accoudée à la balustrade. Coup d’œil aux deux. Dans ce triangle je ne vais pas me laisser court-circuiter, et m’allume. M’incruste, quoi, dans la conversation. Ça jacte d’un type qu’est allé vivre en République dominicaine, à Punta Cana. Ah ! Punta Cana ! Fioncraçage dans mon fion-de-ma-tata<ref>Recherche avec la fonction chercher/remplacer dans mon fichier de ''Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata''</ref> : quoi, je ne parle nulle part de Punta Cana ? J’ai perdu ça ? Ou pas, mais pendant la réducu<ref>Rédaction de mon manuscrit</ref> de mon Dieu et tout ça, des passages ont disparu. C’est un pipi<ref>Petit chapitre</ref> de ma lavi évé Manno de quand nous séjournions à Santo Domingo. Un haut-lieu touristique à locaux sobré todo (surtout) + tous les extranjéros. Totalmenté loco. Non, c’est pour le jumo, animé plutôt. Des plages à perte de vue.  


Cyril à sa copine :
Cyril à sa copine :
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Pour un phénomène, encore. J’applique la lorgnette Gwadloupéyen-yèn à ma pensée. C’est bien elleux, ça, me dis-je. L’ultra-curiosité (il faudrait inventer un mot), sur fond d’esprits tordus... Oui, les chiens ne sont pas des chats. Mais c’est dit avec toute ma tendresse et mon immense respect pour ces gens. Ces Gens. Comme je me fais fort d’en témoigner de manière générale. Le b.a.-ba, quoi. Les Gwadloupéyen-yèn toutefois c’est quelque-chose. J’aime beaucoup, très sincèrement. Évidemment, pas tout. Je suis bien, en Gwadloup. « On » est bien : mieux qu’en Matinik. J’ai récemment eu la confirmation – pas la première, mais particulièrement édifiante – que les Matiniké c’était très, très spé. Ah, je sais, c’est de Mark le magnétiseur ! (V5 05/01) Une... source (et ça c’en est un beau, de jumo, car il est sourcier – tous les magnétiseurs le sont, m’avait-il affirmé)... particulièrement sûre ! Parce qu’un type (un Français, mais qui a longtemps vécu en Afrique) extrêmement sensé, humain et pour... capter... les... Gens, les choses, là c’est sûr y a quelqu’un !
Pour un phénomène, encore. J’applique la lorgnette Gwadloupéyen-yèn à ma pensée. C’est bien elleux, ça, me dis-je. L’ultra-curiosité (il faudrait inventer un mot), sur fond d’esprits tordus... Oui, les chiens ne sont pas des chats. Mais c’est dit avec toute ma tendresse et mon immense respect pour ces gens. Ces Gens. Comme je me fais fort d’en témoigner de manière générale. Le b.a.-ba, quoi. Les Gwadloupéyen-yèn toutefois c’est quelque-chose. J’aime beaucoup, très sincèrement. Évidemment, pas tout. Je suis bien, en Gwadloup. « On » est bien : mieux qu’en Matinik. J’ai récemment eu la confirmation – pas la première, mais particulièrement édifiante – que les Matiniké c’était très, très spé. Ah, je sais, c’est de Mark le magnétiseur ! (V5 05/01) Une... source (et ça c’en est un beau, de jumo, car il est sourcier – tous les magnétiseurs le sont, m’avait-il affirmé)... particulièrement sûre ! Parce qu’un type (un Français, mais qui a longtemps vécu en Afrique) extrêmement sensé, humain et pour... capter... les... Gens, les choses, là c’est sûr y a quelqu’un !


Bref, le boug a vélo-la savait, en fait, qui que c’était le volè. Ou plutôt le vwayè. Un voisin. Il n’a pas changé sa serrure parce qu’il voulait, un jour, pouvoir le coincer. Il s’est comporté à son égard, tout ce temps, comme si de rien n’était. Ça aussi c’est elleux, nos coquins-quines de Gwadloupéyen-yèn : ruminer, pendant des siècles s’il le fallait, une... revanche, plus méchamment une vengeance... Et la sorcellerie ? Est-il des... gens assez... maladivement cartésiens pour songer que ça ne puisse être que balivernes ? Qu’ils viennent, s’immergent suffisamment (ce qui n’est absolument pas mon cas, à un tel niveau, mais je sais où je vis, j’écoute, je... capte moi aussi...), et... disons... qu’ils cherchent des embrouilles... qu’ils se comportent mal... La jalousie parfois suffit. Bouh, ça fait peur.
Bref, le boug a vélo-la savait, en fait, qui que c’était le volè. Ou plutôt le vwayè. Un voisin. Il n’a pas changé sa serrure parce qu’il voulait, un jour, pouvoir le coincer. Il s’est comporté à son égard, tout ce temps, comme si de rien n’était. Ça aussi c’est elleux, nos coquins-quines de Gwadloupéyen-yèn : ruminer, pendant des siècles s’il le fallait, une... revanche, plus méchamment une vengeance... Et la sorcellerie ? Est-il des... gens assez... maladivement cartésiens pour songer que ça puisse n’être que balivernes ? Qu’ils viennent, s’immergent suffisamment (ce qui n’est absolument pas mon cas, à un tel niveau, mais je sais où je vis, j’écoute, je... capte moi aussi...), et... disons... qu’ils cherchent des embrouilles... qu’ils se comportent mal... La jalousie parfois suffit. Bouh, ça fait peur.


Il a fini par concevoir un système, avec des câbles électriques, pour que le voisin... s’électrocute en ouvrant son putain de frigo ! « Du 380 volts », m’a-t-il dit avoir utilisé ! Là, clairement, à mon avis, c’est le Gwadlourseillais qu’a parlé. Toujours besoin d’en rajouter. Mais allez savoir. « Il est tombé », m’a-t-il dit. « Quoi, tombé ? » « Mort. » Voilà, là encore : il n’a pas pu s’en empêcher ! D’exagérer ! C’est trop ! Ielles sont mythooos !!! Et affabulateurs-trices ! C’est pas triste. Y a qu’à voir en ce moment, leurs délires... jusqu’aux « puces » et à la... 5G !... que les méchants-chante vaccinateurs-trices nous injecteraient... Jésus Marie Joseph. Parce qu’il a immédiatement rectifié : « Enfin, pas mort, mais... ». Ch’ais plus quel mot il a employé. Il était juste raide, quoi. Les pompiers sont intervenus...
Il a fini par concevoir un système, avec des câbles électriques, pour que le voisin... s’électrocute en ouvrant son putain de frigo ! « Du 380 volts », m’a-t-il dit avoir utilisé ! Là, clairement, à mon avis, c’est le Gwadlourseillais qu’a parlé. Toujours besoin d’en rajouter. Mais allez savoir. « Il est tombé », m’a-t-il dit. « Quoi, tombé ? » « Mort. » Voilà, là encore : il n’a pas pu s’en empêcher ! D’exagérer ! C’est trop ! Ielles sont mythooos !!! Et affabulateurs-trices ! C’est pas triste. Y a qu’à voir en ce moment, leurs délires... jusqu’aux « puces » et à la... 5G !... que les méchants-chantes vaccinateurs-trices sont accusés-zées de nous injecter... Jésus Marie Joseph. Parce qu’il a immédiatement rectifié : « Enfin, pas mort, mais... » Ch’ais plus quel mot il a employé. Il était juste raide, quoi. Les pompiers sont intervenus...


— Il a pas été... inquiété ? T’as porté plainte ?
— Il a pas été... inquiété ? T’as porté plainte ?
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Une jottise. Monbalesque. Xa-pitre 15 de Modoupa :
Une jottise. Monbalesque. Xa-pitre 15 de Modoupa :


:: Les voleurs ont donc joui d’une chance incroyable, car ils ne pouvaient rien savoir de tout cela. [Que je venais de remplir les coffres.] Autrement dit le Plan de la Matrice était que soixante-mille euros de l’humanitaire allassent au financement de la guérilla des anciens génocidaires. Le Bien. Le Mal. Le Bal. Le Mien. Mon Bal.
:: Les voleurs ont donc joui d’une chance incroyable, car ils ne pouvaient rien savoir de tout cela. [Que je venais de remplir les coffres.] Autrement dit le Plan de la Matrice était que cinquante mille euros de l’humanitaire allassent au financement de la guérilla des anciens génocidaires. Le Bien. Le Mal. Le Bal. Le Mien. Mon Bal.


La iabloté !!! Ah elle est belle, celle-là ! J’ai fioncra-mon-fion-de-ma-tataé ça aussi, et par quel mot le passage que je suis amené à sélectionner commence-t-il ? Hein ? « Les voleurs » ! Par contre là c’est du très, très lourd, du très haut vol(tage) : le braquage des bureaux de Médecins du Monde à Kigali pendant ma mission humanitaire. J’en ai des frissons en l’écrivant. Car le Mal, en l’occurrence !!!... bieeennn au-delà de l’acte crapuleux de ces... « anciens génocidaires »... Pour l’hirirale du cycliste (du 100 % carbone son vélo, m’a-t-il fièrement précisé), j’allais justement ajouter que le Bien avait pesé beaucoup plus... lourd... Qu’il n’y avait rien eu de « très » méchant...
La iabloté !!! Ah elle est belle, celle-là ! J’ai fioncra-mon-fion-de-ma-tataé ça aussi, et par quel mot le passage que je suis amené à sélectionner commence-t-il ? Hein ? « Les voleurs » ! Par contre là c’est du très, très lourd, du très haut vol(tage) : le braquage des bureaux de Médecins du Monde à Kigali pendant ma mission humanitaire. J’en ai des frissons en l’écrivant. Car le Mal, en l’occurrence !!!... bieeennn au-delà de l’acte crapuleux de ces... « anciens génocidaires »... Pour l’hirirale du cycliste (du 100 % carbone son vélo, m’a-t-il fièrement précisé), j’allais justement ajouter que le Bien avait pesé beaucoup plus... lourd... Qu’il n’y avait rien eu de « très » méchant...
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— Bonsoir. C’est beau ! (La paire l’était assez diablement aussi.) C’est quoi comme instrument ?
— Bonsoir. C’est beau ! (La paire l’était assez diablement aussi.) C’est quoi comme instrument ?


Un « berimbau », en portugais. C’est brésilien. C’est l’arc musical en bois (« sans doute d’origine africaine », lis-je sitet ; « africain de chez africain », l’ai-je quant à moi qualifié à l’adresse des deux musiciens !), avec fil en métal et calebasse, qui accompagne les danses de capoeira.
Un « berimbau », en portugais. C’est brésilien. C’est l’arc musical en bois (« sans doute d’origine africaine », lis-je sitet ; « africain de chez africain », l’ai-je quant à moi qualifié à l’adresse des deux musiciens), avec fil en métal et calebasse, qui accompagne les danses de capoeira.


Je laissai les beaux gosses au maniement de leur archet et bercer mes oreilles de leurs subtiles sonorités, tout en contemplant la silhouette noire de chez noir des reliefs de Bastè au loin et la strato-strati-strataquarelle. Une bande d’une bonne quinzaine de motards est passée, en aval, dans un vacaaaaarme !!!
Je laissai les beaux gosses au maniement de leur archet et au bercement de mes oreilles de leurs subtiles sonorités, tout en contemplant la silhouette noire de chez noir des reliefs de Bastè au loin et la strato-strati-strataquarelle. Une bande d’une bonne quinzaine de motards est passée, en aval, dans un vacaaaaarme !!!


Après avoir échangé quelques mots avec les bérimbaouistes, je me suis positionné un peu plus haut dans leur dos. En repassant devant eux j’ai ainsi décoché, devant mon Double sur la Croix, mon dernier mot d’Esprit de la journée :
Après avoir échangé quelques mots avec les bérimbaouistes, je me suis positionné un peu plus haut dans leur dos. En repassant devant eux j’ai ainsi décoché, devant mon Double sur la Croix, mon dernier mot d’Esprit de la journée :
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— C’était moins harmonieux ça ! (Je désigne la route en contrebas.) C’est mieux ça ! (En les pointant du doigt.)
— C’était moins harmonieux ça ! (Je désigne la route en contrebas.) C’est mieux ça ! (En les pointant du doigt.)


Franc éclat de rire. Ils ont bien aimé. Et nous nous sommes enlacés... N’importe quoi. Allez, je m’en vais.
Franc éclat de rire. Ils ont bien aimé. Et nous nous sommes enlacés... Et nous avons... Allez, je m’en vais.<ref>Sur un 25 666 !... C’est le nombre de mots de mon fichier quand je finis de rustirererererepassager. Mais qu’est-ce que c’est...</ref>




::'''{Gamou-nase-sot :''' '''[A]''' ''Acculer'' = Afficher à l’Accueil ; ''Acolit'' = Article de Politis ; ''Aditita'' = Advient ce qui DOIT Advenir ; ''Angelu mon Anar'' = « Anguélou » mon Ange Gardien ; ''Anisse'' = Anné de naissance ; ''Attilà'' = Attention, c'est là '''[B]''' ''Badinerue'' = Bande inférieure bleue (en bas d'un fichier Word-mes-couilles) ; ''Bague-dotte'' = Blagounette du Moment ; (Synchronicité) ''Béco-gor-patou-rage'' = Brute-de-décoffrage-comprenne-qui-pourra-et-pour-ma-gouverne ; ''Mobilique'' = Modou bisyllabique ; ''Bisû'' = Bien sûr ; ''Bolsom'' = Bordel sans nom '''[C]''' ''Capir fou olaf'' = C’est la première fois qu’on me la fait ; ''Catacunu-sapocu'' = Cataclysme survenu dans un pays où j’ai vécu ou séjourné ; ''Chamou'' = Chapitre de Modoupa ; ''Chira'' = Chiffre plutôt sympa ; ''Chirapa'' = Chiffre plutôt pas sympa ; ''Chteuneus-neues'' = Chers-chères et tendres ; ''Cia moi'' =  C’est bien la première fois ; ''Cil'' = Clin d’œil ; ''Ciqu catali'' = C’est moi qui capitalise ; ''Coi-ma-tata'' = Critique de ''Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata'' ; ''Coi tulapa'' = Comme si tu ne le savais pas ; ''Comjadi'' = Comme je te/lui ai (déjà) dit ; ''Cona-nase'' = Colon-lonne de base ; ''Concon'' = Contrôle de concentration (pendant la lecture de Modoupa) ou de connaissance (de ses xapitreries) ; ''Cooler'' = Copier-coller ; ''Corbos'' = Courses au bio ; ''Cotojo'' = Comme toujours ; ''Coucou pépé'' = C’est fou ce phénomène ; ''Coular'' = Côté Obscur de la Force ; ''Couli'' = C’est pour la rime ; ''Crucu'' = Cri du cœur ; ''Cul'' = Courriel '''[D]''' ''Dadane'' = Date d’anniversaire ; ''Danqu tipasse'' = Dans un quasi-ultime repassage ; ''Denise'' = Date de naissance ; ''DiBouPa'' = Dieu, Bouddha et Patata ; ''Diva'' = Divine Matrice ; ''Docho'' = De retour chez moi ; ''Doudou'' = Dans/de mon bouquin '''[E]''' ''En tutu'' = En tout état de cause ; ''Ecnos'' = Encore une fois ; ''Enculer'' = Écrire (dans) un cul (à.../au sujet de...) ;  ''Endur modlé rata'' = Entends-je sur mon ordi-télé en écrivant cela ; ''Enpalé'' = Et ça n’a pas loupé ; ''Esmoupe'' = Expression de modoupaïen ; ''Estonie'' = En bas à droite de mon ordinateur ; ''Événar'' = Événement Phare '''[F]''' ''Fachotte'' = Fameuse synchronicité ; ''Fagol'' = Faut rigoler ; ''Faxon'' = Fameux personnage ; ''Figoqu'' = Figure-toi que... ; ''Fioncrace'' = Fonction rechercher/remplacer ; ''Frache'' = Fort sympathoche '''[G]''' ''Gachapivi'' = Grand Chapitre de ma Vie ; ''Gadou'' = Grand Honneur ; ''Gaga-du-Roi'' ou ''G3-froi'' = Grand Gagnant de la Guerre froide ; ''Gaga-mou-frais'' = Grand Glossaire modoupaïen-français ; ''Gamine'' = Grande Machine ; ''Gamou-nase-sot'' = Glossaire modoupaïen-français de (la) Miss-Jottise ; ''Garonne'' = Grande Conversation ; ''Gasconité'' = Géniale synchronicité ; ''Gilou'' = Grand Épilogue ; ''Glaire-mou-de-synus'' = Glossaire modoupaïen-français de Sync sur Sync ; ''Gralion-lapin-loutre-coucou-fada'' = Grand Saisissement en lien avec la prévision, la perception ou l’annonce d’une catastrophe à la lecture ou à l’écoute d’une information dans les médias ; ''Gragromoufrais'' = Grand Glossaire Modoupaïen-Français ; ''Gran-Bol'' = Grand Bordel ; ''Grapio'' = Grand Épisode ; ''Grassist'' = Grand Saisissement ; ''Grave'' = Grand Œuvre ; ''Groi'' = Grand Noir '''[H]''' ''Hire-a-chronne'' ou ''Hirachotte'' = Histoire sans synchronicité ; ''Hirelle'' = Histoire drôle ; ''Hirirale'' = Histoire incroyable ; ''Hôreuré'' = Hôtel Fleur d’Épée ; ''Hiryotte'' = Histoire de synchronicités ; ''Homar !'' = Horreur ! Malheur ! '''[I]''' ''Ia que moi'' = Il y a quelques mois ; ''Iabloté'' = Incroyable synchronicité ; ''Ialla-la-ialla'' = Iabloté dans la iabloté de la iabloté de la iabloté ; ''Ia tata o rare'' = Il ne faut vraiment avoir que ça à faire ; ''Ila tou chié'' = Il y aurait tout un chapitre à écrire ; ''Ile qannée'' = Il y a quelques années ; ''Iyabon'' = Incroyable phénomène « '''[J]''' ''Japa'' = Je ne sais pas ; ''Japu'' = Je ne sais plus ; ''Jasbi'' = Je sais bien ; ''Java ça va'' = J’avais écrit ça avant ; ''Je xi'' (« je chi ») = Je veux dire ; ''Jélica'' = Je le réalise en écrivant cela ; ''Jmidi'' = Je me suis dit ; ''Jottise'' = Jolie petite histoire ; ''Jumo'' = Jeu de mot ; ''Juquri'' = Juste après que j’ai écrit ça ; ''Joyité'' = Jolie synchronicité ; ''Jus-walou'' = Jeune serveur gwadloupéyen '''[L]''' ''Lalu-sur-totem'' = Le/La Plus Truc-Truque De Tous les Temps '''[M]''' ''Madapayenne'' = Même-quand-y-en-a-pas-y-en-a-une (synchronicité) ; ''Miaou'' = Merci beaucoup ; ''Manu'' = Manuscrit ; ''Maouaza'' = Message ouate-zeu-pape ; ''Ma-trique'' = Messagerie électronique ; ''Maran-lo'' = Mois d’Avril d’Anthologie ; ''Mazo iri  ouvadac santoua'' = Mais allez savoir, si ça se trouve c’est ça, dans ces eaux-là en tout cas ; ''Miel-é-fraise'' = ''Mille ans de littérature française'' ; ''Mimouch'' = Merci moteur de recherche ; ''Moine-conar'' = Moins chouette commentaire ; ''Modou'' = Mot de modoupaïen ; ''Modoupa'' = ''Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata'' ; ''Mofi'' = Mot de français ; ''Molbique'' ou ''Monique'' = Modou monosyllabique ; ''Moncontula'' = Moment Congratulation ; ''Mondo-païen'' = Monde modoupaïen ; ''Mongol'' = Mais non, je rigole ; ''Monique'' ou ''Molbique'' = Modou monosyllabique ; ''Mouche'' = Modoupaïenne en Cheffe '''[N]''' ''Niak'' = Nimportnawak ; ''No-lit'' = Numéro de ''Politis'' ; ''Nobapa'' = Note de bas de page ; ''Nochiée'' = Note des synchronicités ; ''Nopapa'' = Nombre plutôt pas sympa '''[O]''' ''Oursité'' = Ouragan de synchronicités '''[P]''' ''Pamoncul'' = Plaque d’immatriculation ; ''Panatatalamaga'' = Plus grande manifestation mondiale jamais organisée ; ''Panda'' = Plus Grand-Grande Ami-mie ; ''Papapap'' = Passage par Paris pour ou depuis Pointe-à-Pitre ; ''Papiver !'' = Pas piqué des vers ; ''Patépo !'' = Pas mal, le téléphone (ce que tu écris là à ma place) ! ; ''Patita'' = Patati, patata ; ''Paxikite'' (« Pachikite ») = Page XabiWiki ; ''Peste'' = Petite histoire ; ''Piner'' = plaisanter (c’est le Clown qu’a piné : c’est le Clown qu’a dit en plaisantant) ; ''Pochimis-mies'' = Proches et amis-mies ; ''Poco bité – maman cascu lidio'' = Point encore xabiwikité – mais demander au cas où à l’Accueil si dispo ; ''Poutana'' = Pouvoir extraordinaire ; ''Poutoutpif'' = Pour la toute première fois ; ''Pute a pain'' ou ''Papa nain'' = Putain de putain de putain ; ''Pull'' = Pass-mes-couilles '''[Q]''' ''Qadj ramina'' = Quand j’ai rallumé l’ordinateur ; ''Qadja mina'' = Quand j’ai allumé l’ordinateur ; ''Qrade ta chade é le por'' = Quand je regarde le taux de charge de mon téléphone portable ; ''Qramé popote'' = Quand j’ai rallumé mon téléphone portable '''[R]''' ''Rapinage'' = diminutif de ''Renard-poissonnage'' (''Rapiner'' = nager) ; ''Réci-mode'' = Réfection du Monde ; ''Redoupe'' = Règle de modoupaïen ; ''Réducu'' = Rédaction du présent chef d’œuvre ; ''Roti'' = Record de toute ma vie ; ''Rotolu'' = Roti (record de toute ma vie) absolu ; ''Rude-bitte'' = Rubrique de XabiWiki '''[S]''' ''Salbachi'' = Sur la plage en bas de chez moi ; ''Salconi'' = Salon des Synchronicités ; ''Salo met-lanorac'' = Spot café-clope murette-devant-le-Panoramic ; ''Salo tarage'' = Spot café-clope Datcha-terrasse-plage ; ''Salo tarasse'' = Spot café-clope Datcha-terrasse ; ''Saqu culé'' = Sans que je n’aie rien calculé'' ; Sara, sara'' = Sans arrêt, sans arrêt, sans arrêt ; ''Sara-suit-papa-maman-pa'' = S’accorde avec le sujet qui n’en est pourtant pas un, mais c’est comme ça dans Modoupa ; ''Siconne'' = Série de Synchronicités ; ''Si pipette'' = Si je puis me permettre ; ''Socédure'' = Synchronicité du jour ; ''Souridile'' = Synchronicité Poussières d’Étoiles ; ''Suce-mabouf'' = Diminutif de ''Sucem morabnodem baduf'' ; ''Sucem morabnodem baduf'' = Sur ce mot mon regard est tombé sur ce nombre de mots/ces statistiques en bas du fichier ; ''Suminu'' = Sur mon ordinateur ; ''Surotine'' ou ''Sotissone'' = Super chouette discussion ; ''Sync-a-la-sync'' = Synchronicité avant la synchronicité ; ''Sync-sens'' = Synchro-je-la-sens ; ''Synchiotte'' = Sync/hiryotte ; ''Syromande'' = Synchronicité à la demande '''[T]''' ''Ta-le-miel'' ou ''talmiel'' = Totalement démentiel ; ''Ta pisse'' = Tant pis je laisse ; ''Tasbi'' = Tu le sais bien ; ''Tiqu'' = Tu sais qui (ou quoi) ; ''Toto momo batata'' = Tout est possible dans ''Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata'' ; ''Totof'' = Trop, trop fort ; ''Tou 9 le mastic'' = Toujours par 9 les voyelles dans les maxi-emphases motrices (sur les mots) ; ''Toutpi/e'' = Tout premier/toute première ; ''Trocon'' = Trop chouette commentaire ; ''Tog'' = Trop génial ; ''Tosti tosta'' = Tout est vrai, tout est faux ;  ''Touti rix'' = Rien n’existe, tout existe ; ''Trol'' = Trop drôle '''[U]''' ''Upu lulu jacta'' = Un peu plus tard le jour où j’ai écrit ça '''[V]''' ''V5...'' = Voir Sync... ; ''Vlan'' = Vers la fin ; ''Veutumoi'' = Visiteur-teuse de mon Site ; ''Vi joi...'' = Voir Miss-Jottise... ; ''Vodou papi...'' = Voir chapitre de Modoupa... ; ''Voilier'' = Voisin de palmier ; ''Volpa rima si eldy castoi sortamite susleté'' = Voilà, ça n’est pas terminé, mais j’ai tellement de syncs et de chamous en stock que des fois, désormais, je bâtirai mes histoires en plusieurs pelletées '''[X]''' ''Xabiwikichamouser'' = Xabiwikiter les chamous</ref>'''}'''
::'''{Gamou-nase-sot :''' '''[A]''' ''Acculer'' = Afficher à l’Accueil ; ''Acolit'' = Article de Politis ; ''Aditita'' = Advient ce qui DOIT Advenir ; ''Angelu mon Anar'' = « Anguélou » mon Ange Gardien ; ''Anisse'' = Anné de naissance ; ''Attilà'' = Attention, c'est là '''[B]''' ''Badinerue'' = Bande inférieure bleue (en bas d'un fichier Word-mes-couilles) ; ''Bague-dotte'' = Blagounette du Moment ; (Synchronicité) ''Béco-gor-patou-rage'' = Brute-de-décoffrage-comprenne-qui-pourra-et-pour-ma-gouverne ; ''Mobilique'' = Modou bisyllabique ; ''Bisû'' = Bien sûr ; ''Bolsom'' = Bordel sans nom '''[C]''' ''Capir fou olaf'' = C’est la première fois qu’on me la fait ; ''Catacunu-sapocu'' = Cataclysme survenu dans un pays où j’ai vécu ou séjourné ; ''Chamou'' = Chapitre de Modoupa ; ''Chira'' = Chiffre plutôt sympa ; ''Chirapa'' = Chiffre plutôt pas sympa ; ''Chteuneus-neues'' = Chers-chères et tendres ; ''Cia moi'' =  C’est bien la première fois ; ''Cil'' = Clin d’œil ; ''Ciqu catali'' = C’est moi qui capitalise ; ''Coi-ma-tata'' = Critique de ''Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata'' ; ''Coi tulapa'' = Comme si tu ne le savais pas ; ''Comjadi'' = Comme je te/lui ai (déjà) dit ; ''Cona-nase'' = Colon-lonne de base ; ''Concon'' = Contrôle de concentration (pendant la lecture de Modoupa) ou de connaissance (de ses xapitreries) ; ''Cooler'' = Copier-coller ; ''Corbos'' = Courses au bio ; ''Cotojo'' = Comme toujours ; ''Coucou pépé'' = C’est fou ce phénomène ; ''Coular'' = Côté Obscur de la Force ; ''Couli'' = C’est pour la rime ; ''Cracra'' = C’est marrant ; ''Crucu'' = Cri du cœur ; ''Cul'' = Courriel '''[D]''' ''Dadane'' = Date d’anniversaire ; ''Danqu tipasse'' = Dans un quasi-ultime repassage ; ''Denise'' = Date de naissance ; ''DiBouPa'' = Dieu, Bouddha et Patata ; ''Diva'' = Divine Matrice ; ''Docho'' = De retour chez moi ; ''Doudou'' = Dans/de mon bouquin '''[E]''' ''En tutu'' = En tout état de cause ; ''Ecnos'' = Encore une fois ; ''Enculer'' = Écrire (dans) un cul (à.../au sujet de...) ;  ''Endur modlé rata'' = Entends-je sur mon ordi-télé en écrivant cela ; ''Enpalé'' = Et ça n’a pas loupé ; ''Esmoupe'' = Expression de modoupaïen ; ''Estonie'' = En bas à droite de mon ordinateur ; ''Etna coi...'' = Et ça n'est pas comme si... ; ''Événar'' = Événement Phare '''[F]''' ''Fachotte'' = Fameuse synchronicité ; ''Fagol'' = Faut rigoler ; ''Faxon'' = Fameux personnage ; ''Figoqu'' = Figure-toi que... ; ''Fioncrace'' = Fonction rechercher/remplacer ; ''Frache'' = Fort sympathoche '''[G]''' ''Gachapivi'' = Grand Chapitre de ma Vie ; ''Gadou'' = Grand Honneur ; ''Gaga-du-Roi'' ou ''G3-froi'' = Grand Gagnant de la Guerre froide ; ''Gaga-mou-frais'' = Grand Glossaire modoupaïen-français ; ''Gamine'' = Grande Machine ; ''Gamou-nase-sot'' = Glossaire modoupaïen-français de (la) Miss-Jottise ; ''Garonne'' = Grande Conversation ; ''Gasconité'' = Géniale synchronicité ; ''Gilou'' = Grand Épilogue ; ''Glaire-mou-de-synus'' = Glossaire modoupaïen-français de Sync sur Sync ; ''Gralion-lapin-loutre-coucou-fada'' = Grand Saisissement en lien avec la prévision, la perception ou l’annonce d’une catastrophe à la lecture ou à l’écoute d’une information dans les médias ; ''Gragromoufrais'' = Grand Glossaire Modoupaïen-Français ; ''Gran-Bol'' = Grand Bordel ; ''Granmère'' = Grande Première ; ''Grapio'' = Grand Épisode ; ''Grassist'' = Grand Saisissement ; ''Grave'' = Grand Œuvre ; ''Groi'' = Grand Noir '''[H]''' ''Hirachotte'' ou ''Hire-a-chronne'' = Histoire sans synchronicité ; ''Hire-a-chronne'' ou ''Hirachotte'' = Histoire sans synchronicité ; ''Hirelle'' = Histoire drôle ; ''Hirirale'' = Histoire incroyable ; ''Hôreuré'' = Hôtel Fleur d’Épée ; ''Hiryotte'' = Histoire de synchronicités ; ''Homar !'' = Horreur ! Malheur ! '''[I]''' ''Ia que moi'' = Il y a quelques mois ; ''Iabloté'' = Incroyable synchronicité ; ''Ialla-la-ialla'' = Iabloté dans la iabloté de la iabloté de la iabloté ; ''Ia tata o rare'' = Il ne faut vraiment avoir que ça à faire ; ''Ila tou chié'' = Il y aurait tout un chapitre à écrire ; ''Ile qannée'' = Il y a quelques années ; ''Iyabon'' = Incroyable phénomène « '''[J]''' ''J’ai ma faffe'' = J’avais même pas fait gaffe ; ''Japa'' = Je ne sais pas ; ''Japu'' = Je ne sais plus ; ''Jasbi'' = Je sais bien ; ''Java ça va'' = J’avais écrit ça avant ; ''Je xi'' (« je chi ») = Je veux dire ; ''Jélica'' = Je le réalise en écrivant cela ; ''Jmidi'' = Je me suis dit ; ''Jottise'' = Jolie petite histoire ; ''Jumo'' = Jeu de mot ; ''Juquri'' = Juste après que j’ai écrit ça ; ''Joyité'' = Jolie synchronicité ; ''Jus-walou'' = Jeune serveur gwadloupéyen '''[L]''' ''Lalu-sur-totem'' = Le/La Plus Truc-Truque De Tous les Temps '''[M]''' ''Madapayenne'' = Même-quand-y-en-a-pas-y-en-a-une (synchronicité) ; ''Miaou'' = Merci beaucoup ; ''Manu'' = Manuscrit ; ''Maouaza'' = Message ouate-zeu-pape ; ''Ma-trique'' = Messagerie électronique ; ''Maran-lo'' = Mois d’Avril d’Anthologie ; ''Matou'' ou ''Mi tou'' = Mais ça n’est pas tout ; ''Mazo iri  ouvadac santoua'' = Mais allez savoir, si ça se trouve c’est ça, dans ces eaux-là en tout cas ; ''Miel-é-fraise'' = ''Mille ans de littérature française'' ; ''Mimouch'' = Merci moteur de recherche ; ''Mi tou'' ou ''Matou'' = Mais ça n’est pas tout ; ''Moine-conar'' = Moins chouette commentaire ; ''Modou'' = Mot de modoupaïen ; ''Modoupa'' = ''Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata'' ; ''Mofi'' = Mot de français ; ''Molbique'' ou ''Monique'' = Modou monosyllabique ; ''Moncontula'' = Moment Congratulation ; ''Mondo-païen'' = Monde modoupaïen ; ''Mongol'' = Mais non, je rigole ; ''Monique'' ou ''Molbique'' = Modou monosyllabique ; ''Mopirs'' = Mots de désespoir ; ''Mouche'' = Modoupaïenne en Cheffe '''[N]''' ''Niak'' = Nimportnawak ; ''No-lit'' = Numéro de ''Politis'' ; ''Nobapa'' = Note de bas de page ; ''Nochiée'' = Note des synchronicités ; ''Nopapa'' = Nombre plutôt pas sympa '''[O]''' ''Oursité'' = Ouragan de synchronicités '''[P]''' ''Pamoncul'' = Plaque d’immatriculation ; ''Panatatalamaga'' = Plus grande manifestation mondiale jamais organisée ; ''Panda'' = Plus Grand-Grande Ami-mie ; ''Papapap'' = Passage par Paris pour ou depuis Pointe-à-Pitre ; ''Papiver !'' = Pas piqué des vers ; ''Patépo !'' = Pas mal, le téléphone (ce que tu écris là à ma place) ! ; ''Patita'' = Patati, patata ; ''Paxikite'' (« Pachikite ») = Page XabiWiki ; ''Peste'' = Petite histoire ; ''Piner'' = plaisanter (c’est le Clown qu’a piné : c’est le Clown qu’a dit en plaisantant) ; ''Piton'' = Point d’exclamation ; ''Pochimis-mies'' = Proches et amis-mies ; ''Poco bité – maman cascu lidio'' = Point encore xabiwikité – mais demander au cas où à l’Accueil si dispo ; ''Poutana'' = Pouvoir extraordinaire ; ''Poutoutpif'' = Pour la toute première fois ; ''Pute a pain'' ou ''Papa nain'' = Putain de putain de putain ; ''Pull'' = Pass-mes-couilles '''[Q]''' ''Qadj ramina'' = Quand j’ai rallumé l’ordinateur ; ''Qadja mina'' = Quand j’ai allumé l’ordinateur ; ''Qati nara'' = Quand j’ai terminé de taper ça ; ''Qrade ta chade é le por'' = Quand j’ai regardé le taux de charge de mon téléphone portable ; ''Qramé popote'' = Quand j’ai rallumé mon téléphone portable ; ''Quputupu castoi rotepa'' = Quelles putes... euh... puces, ces nobapas, à tout le temps se faire... euh... tout le temps sauter '''[R]''' ''Rapinage'' = diminutif de ''Renard-poissonnage'' (''Rapiner'' = nager) ; ''Redoupe'' = Règle de modoupaïen ; ''Réducu'' = Rédaction du présent chef d’œuvre ; ''Rétine'' = Réfection du Monde ; ''Roti'' = Record de toute ma vie ; ''Rotolu'' = Roti (record de toute ma vie) absolu ; ''Rude-bitte'' = Rubrique de XabiWiki ; ''Rustine'' = Retouche post-poinfinalation '''[S]''' ''Salbachi'' = Sur la plage en bas de chez moi ; ''Salconi'' = Salon des Synchronicités ; ''Salo met-lanorac'' = Spot café-clope murette-devant-le-Panoramic ; ''Salo-tarage'' = Spot café-clope Datcha-terrasse-plage ; ''Salo-tarasse'' = Spot café-clope Datcha-terrasse ; ''Saqu culé'' = Sans que je n’aie rien calculé'' ; Sara, sara'' = Sans arrêt, sans arrêt, sans arrêt ; ''Sara-suit-papa-maman-pa'' = S’accorde avec le sujet qui n’en est pourtant pas un, mais c’est comme ça dans Modoupa ; ''Siconne'' = Série de Synchronicités ; ''Si pipette'' = Si je puis me permettre ; ''Socédure'' = Synchronicité du jour ; ''Souridile'' = Synchronicité Poussières d’Étoiles ; ''Suce-mabouf'' = Diminutif de ''Sucem morabnodem baduf'' ; ''Sucem morabnodem baduf'' = Sur ce mot mon regard est tombé sur ce nombre de mots/ces statistiques en bas du fichier ; ''Suminu'' = Sur mon ordinateur ; ''Surotine'' ou ''Sotissone'' = Super chouette discussion ; ''Sync-a-la-sync'' = Synchronicité avant la synchronicité ; ''Sync-sens'' = Synchro-je-la-sens ; ''Synchiotte'' = Sync/hiryotte ; ''Syromande'' = Synchronicité à la demande '''[T]''' ''Ta-le-miel'' ou ''talmiel'' = Totalement démentiel ; ''Ta pisse'' = Tant pis je laisse ; ''Tasbi'' = Tu le sais bien ; ''Tiqu'' = Tu sais qui (ou quoi) ; ''Toto momo batata'' = Tout est possible dans ''Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata'' ; ''Totof'' = Trop, trop fort ; ''Tou 9 le mastic'' = Toujours par 9 les voyelles dans les maxi-emphases motrices (sur les mots) ; ''Toutni/e'' = Tout dernier/toute dernière ; ''Toutpi/e'' = Tout premier/toute première ; ''Trocon'' = Trop chouette commentaire ; ''Tog'' = Trop génial ; ''Tosti tosta'' = Tout est vrai, tout est faux ;  ''Touti rix'' = Rien n’existe, tout existe ; ''Trol'' = Trop drôle ; ''Trou damapute'' = Trouvé dans ma pêche aux infos sur Internet '''[U]''' ''Upu lulu jacta'' = Un peu plus tard le jour où j’ai écrit ça '''[V]''' ''V5...'' = Voir Sync... ; ''Vlan'' = Vers la fin ; ''Veutumoi'' = Visiteur-teuse de mon Site ; ''Vi joi...'' = Voir Miss-Jottise... ; ''Vodou papi...'' = Voir chapitre de Modoupa... ; ''Voilier'' = Voisin de palmier ; ''Volpa rima si eldy castoi sortamite susleté'' = Voilà, ça n’est pas terminé, mais j’ai tellement de syncs et de chamous en stock que des fois, désormais, je bâtirai mes histoires en plusieurs pelletées ; ''Vysir'' = Voyons voir '''[X]''' ''Xabiwikichamouser'' = Xabiwikiter les chamous</ref>'''}'''

Version actuelle datée du 15 avril 2025 à 22:21

Glossaire modoupaïen-français à la fin
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— 2021 :


26/12 — Salo tarage[1]. J’ai posé mes 2€50 sur le rebord de la coupelle de ma tasse de café, que je désigne à mon frache jus-walou[2]. Il me dit : « T’as senti que c’était mon heure ? » Hein ? Quoi ? « Oui, t’as senti que je devais partir ? », ou on bitin kon sa ; c’est la fin de son service. « Bon timing ! », s’exclame-t-il, m’offrant l’opportunité de dégainer en retour : « On est... synchros !!! » Rapotage[3], puis à la sortie de la plage : le gars aux superbes coques de lambi alignées sur la murette est là.[4] Je m’étais dit la dernière fois : hmmm, je m’en achèterais bien une. Papotage. Moi : « C’est très réglementé tout ça, non ? »... patita[5]. Transaction. Le lambi-dealer : « T’as pris le plus beau, et le plus gros ! » « T’as l’œil ! » « Champion ! » Puis il me déclare, sur le même ton réjouipaté que mon jus-walou que j’arrive pile quand il doit plier boutique : « Voyons, quelle heure il est ? C’est ça, j’avais dit que j’arrêtais à 17h. » « Il est quelle heure ? », l’interrogé-je. « Dix-sept heures deux. »


27/12 — J’en ai des tonnes, des syncs en stock. Que je note à la va-vite et m’encule[6], d’une ma-trique[7] à l’autre. Et qui me soufflent en cet instant (vers 10h30 en ce 27/12/2021)[8] : « Xabiwikite-nous direct, plutôt, tu nous pi... euh... fignoleras au fur et à mesure. » Synctéma... euh... systématiquement non, je ne peux pas juste balancer quelques mots écrits n’importe comment, comme dans mes nochiées[9], par conséquent ça nécessite un minimum de temps... À voir...

Trois jours plus tard : mon voisin gwadloupéyen « Om » hindouiste [vodou papi[10] 4], avec lequel a eu lieu une deuxième fantastique rencontre – le jour du lancement de la présente rubrique –, en une nouvelle fantastique synchronicité, est en train d’essayer de m’orienter vers... ce que je vais appeler un Grand Ponte... Il m’a indiqué son nom, m’enjoignant de le rechercher sur Internet. Maouaza[11] à Om : « X ne donne pas de consultation individuelle. Que des stages. » Sa réponse : « OK je vais voir pour toi. » Re-moi : « Ton message....... à 21h21 !!!!! Je t’expliquerai. Un grand merci d’avance en tout cas. »


— 2022 :


04/01 — Ah ouais, tiens, des syncs express comme celle-là je peux les xabiwikiter vite fait... et c’est la suite de « mon voisin gwadloupéyen “Om” hindouiste » (V5[12] 27/12/2021) ! Bon, il s’appelle Laurent.

X :

J’ai pris rendez-vous avec Olivier[13] vendredi à 15h. [Ça serait pas le 13 par... hasard ? Non, pas du tout, mais : le 7. Et le suivant c’était loupé (de peu) aussi.] C’est un ostéopathe, c’est bien lui que tu souhaitais que je Voie ? (Oh ce mot que m’affiche mon portable, avec une majuscule !) [smiley + mains prière]

L[14] :

Oui, c’est bien lui. [L'ostéoliv]

X :

OK sa ka maché sur... la Voie !!! (re-smiley – assez prié)

Donc La... Voie... POUR OUVRIR 2022 !!!!!!!!!


05/01 — 9h, Laurent mon Voisin « Om » (V5 04/01) m’envoie un magnétiseur. Deux heures de nettoyage interne, de mon propre dedans et de celui de mon appartement, puis nous allons boire un café à la Marina. Toute une discussion, entre autres, sur le Cameroun, parmi les pays d’Afrique où le thérapeute a vécu, et l’homosexualité en Gwada (bonjour les dégâts), ainsi qu’au Cameroun, où c’est puni de mort me dit-il. Carrément ?! M’étonné-je, bien que n’ignorant pas que cette ignoble et intolérable déviance, dans le droit de ce pays, comme un peu partout en Afrique, est bannie. « Enfin, c’est la prison, rectifie-t-il, et puis on te tue, après s’être bien amusé avec toi. » Ah ! Je préfère ça. Afrique détentrice du record mondial de l’homophobie : vodou papi 19. Je viens de lui parler de Marc mon plus vieil, vieil, vieil, vieil ami établi avec son compagnon Francis à Douala (après avoir longtemps été en couple avec Nestor au Burma... euh... Burkina). Visite de Marc et Francis en Matinik/Gwada (oui, en plus, dans cet ordre-là) : vodou papa... euh... papi 31 vlan [15]. Il me ramène à la résidence. Avant de sortir de sa voiture je lui demande : « Au fait c’est quoi ton prénom ? » Il m’avait remis sa carte de visite à la fin de la séance chez moi mais, totalement lessivé, je ne l’avais pas capté. Il me répond : Gaston. Mais non. Mark. Le même que mon plus vieil, vieil, vieil, vieil ami camerounais d’adoption comme lui, mais dans ce cas avec un « k » par conséquent toutefois.


06/01 — J’écris dans ma Miss-Jottise 3 : « [...] l’Œuvre des Forces (« des êtres passionnés sont broyés par des forces qui les dépassent » – nous ça va, hein ? –, « les forces à l’œuvre dans l’histoire humaine », lis-je ce même jour dans MALF[16] [pages 328 et 329] à propos du Grave[17] hugoïen). Mais j’ai d’abord tapé par erreur, au lieu d’« histoire humaine », « histoire de l’humanité ». Je lis cinq minutes après dans MALF (page 342) : « À l’origine, Hugo voulait rassembler [dans L’épopée de l’aventure humaine] quelques poèmes évoquant les grands moments de l’histoire de l’humanité. » Puis, phrase suivante : « Le projet a pris de l’ampleur pour devenir La légende des Siècles, cette grande épopée qui retrace toute l’histoire des hommes. » Et phrase d’après : « Le recueil compte quinze[18] parties qui naviguent à travers les époques et les civilisations : “D’Ève à Jésus”, etc. » Oui, parce que Jésus 2, deux... deux... deux... (l’Histoire humaine-de l’humanité-des hommes bégaie), après Jésus 1, c’est moi. Une sorte de Sainte Trinité de l’Histoire de l’Humanité, que nous inventons ainsi à 2, Victoire... euh... Victor et moi.


07/01 — Dans la lignée des précédentes synchronicités, un bout de cul écrit aujourd’hui :

Je sors de chez l’ostéo, dans la série des Archanges qui me sont envoyés ces temps-ci, avec, comme Chef de File, mon Voisin Om Laurent... Quel moment si tu savais encore, et quel échange avec cet homme, un... Olivier !... Jélica[19] : Laurent, Olivier, Mark, les prénoms de trois de mes Pandas[20] !... Et avec mon Alter-Olivier-Monsieur-Synchronicités du jour, aux âme et esprit d'une beauté divine cosmos... euh... ecnos[21], quelle... synchronicité a bien pu se produire, à ton avis ? La date qu’il m’a proposée, pour le prochain rendez-vous : le combien, hein, le combien ? Je te laisse deviner... l’évidence... « C'est dingue !!! », me suis-je exclamé, quand la date il m’a proposée, en me prenant les mains dans ma tête. [Ça remue, une séance d’ostéopathie, c’est bien connu, alors on se prend en principe plutôt la tête dans les mains, le principal étant cependant sans doute, à la sortie, de ne pas l’avoir trop dans le cul.] Je venais de chialer un coup, tellement la discussion fut intense, et dans un « lâcher-prise », en guise de résultat qu’un soin comme celui qu’il venait de prodiguer est censé avoir ! « Normal », donc, et c'est « bon signe » comjadi[22].

Réponse à la divine... euh... devinette : « C’est le 21 ? Ou le 15 (anniversaire d’Olivier) ? » Ça aurait en effet été très fort aussi, eu égard à l’affluent 15 de l’incessant torrent des 21, mais c’est bien ce deux-premier... euh... ce dernier.

Montant du chèque que je remets à Laurent, le surlendemain, pour des produits de phytothérapie : 210 euros. + « On » hurle dans mes oreilles à l’instant où je lance une émission suminu juquri[23] : « 21 !!! » « On » est un con ? Non, deux connes. Mais nooonnn. Deux actrices, qui dans ce cri rectifient l'annonce de la présentatrice : « Vous êtes toutes les deux réunies sur scène à partir du 22. »


09/01 — Dans ce petit bout de texte, un double événement majeur est sur le point de se produire. D’une part, aucune synchronicité qui eut pu le motiver ne va y être traitée ; un événement précisément d’autre part pour ce dont il est l’objet. Toto momo batata (tout est possible dans Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata). Sauf que, précisément aussi, on n’est même pas dans Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata. Et, même dans Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata, tout n’a pas trait à des synchronicités. Donc n’importe quoi. C’était pour ressortir « toto momo batata ». On m’enculait il y a 2 jours que mon modoupaïen n’avait aucun intérêt, et pourtant quelle Merveille. Merveille que la peine qu’a prise mon ami de m’écrire sa critique. Merveille !!! Merveille !!! Merveille !!! Bref, ma pas-sync-histoire, par contre, ça commence par une honteuse redistribution, une fois encore, d’un cul. Un cul de moi à HéLo :

I’m in good health, I’m strong, and nothing can beat me !!!!!!!!! (Y a 9 « ! » bisû. Bisou ! Mais non, je commence à peine, l’enculage. « Bisû » ça snifoune[24] « bien sûr ».)
Anil mon prof de yoga et de méditation du centre Sree Chitrah, dans le Kerala, m’avait demandé de clamer ça tous les jours en me regardant dans le miroir.
Et je viens justement d’engager un nouveau « processus », en ce début d'Année de Tous les Miracles (à la faveur d’un assez Fabuleux « Hasard » encore), avec d'autres... Merveilleuses Personnes...
JE SUIS EN BONNE SANTÉ, JE SUIS FORT, ET RIEN NE PEUT M’ABATTRE !!!!!!!!!
Et mes ami-mie Lolo et Hélène vont venir me voir !!!!!!!!!
Je vais pouvoir passer plein de moments fabuleux avec luile, dans ma Guadelooooouuuuupe !!!!!!!!!
Quel bonheur !!!!!!!!!!
Quelle joie !!!!!!!!!
Dieu, Bouddha et Patata, merci pour ce Fantastique Cadeau de nouveau !!!!!!!!!
Ah, oui, parce que le séjour sera placé sous Votre signe, et on ne parlera que de Vous !!!!!!!!!
Bon, c’était la blagounette en passant, parce que fagol !!!!!!!!!
Faut rigoler !!!!!!!!!
Et c’était pour Les invoquer.
Les remercier.
Leur rendre Grâââââce !!!!!!!!!
Leur dire ma Gratituuuuude !!!!!!!!!
HéLo allez tout de suite réserver votre appartement DANS MA RÉSIDENCE sur Airbnb.
C'est résidence Porte des Caraïbes à Gosier.
[...] Parce que mon amie qui faisait des locations dans le quartier a malheureusement depuis longtemps mis... la clé sous la... porte.

2ème temps : 2 pas-SM-EZ, c’est-à-dire pas de « pas de Scénario Miracle », « ez » (« ess ») en basque signifiant « non », mais tout le contraire. 2 SMS en tout cas. À mon Archange Olivier, intronisé avec ses Camarades dans une Sync ci-dessus, c’est pour ça que je raconte tout ça là :

1. Bonjour Olivier, appelle-moi pour me redire en deux mots ce que tu me disais sur « nous ne sommes pas notre esprit » ?... ou corps ? Laisse-moi juste un message. Un grand merci d’avance !
2. Tu m’as dit « nous ne sommes pas nos pensées », c’est ça, bien sûr, pas « nous ne sommes pas notre esprit », évidemment non ! Et cette... pensée... m’est venue à... l’esprit : l’Esprit vaincra ! (Dans mon cas.) Même si malédiction il y a. Mais justement il faut que je cesse d’employer ces mots-là.

Réponse d’Olivier :

La phrase est [bien que pas tout à fait celle à laquelle je faisais référence] :
Nous ne sommes pas des êtres humains vivant une expérience spirituelle mais des êtres spirituels vivant une expérience humaine.
Ton problème aussi doit être vécu comme une expérience, et sûrement pas comme une malédiction.

Sinon ai-je l’air de créditer un tant soit peu la désastreuse dichotomie entre corps et esprit, et une tendance à l’anti-« holisticité », « à l’occidentale », sujet qui a occupé une partie de ma conversation avec Olivier ? Loin, loin, looooooiiiiin de moi cette idée.

Et loin, loin, looooooiiiiin de cela, le CŒUR du Message de mon Archange du Moment :

Indispensables Présence du Corps à ses Petites Cellules, et Amour, Attention et Bienveillance pour Elles, sans lesquels Elles... rouspètent... et quémandent !!!...

Je le savais : pas de synchronicité ? Que j’arrive à écrire ce texte jusqu’à la fin sans qu’aucune n’advienne ? Impossible. Z’avez vu ces trois 2 dans mon texte ? (Sans compter le 2. : 1. et 2. correspondant à « 2 SMS ».) J’ai laissé mon ordinateur quelques minutes. Quand j’y suis revenu l’heure (horriblement tardive) affichait 2:22. Un autre 222 m’a frappé dans la mention « disponible jusqu’au 05.02.22 » de la page Internet de France... 2 restée ouverte. Les 3 2 que j’ai fait figurer dans mon texte sans trop savoir pourquoi ont attiré ces deux autres triplés : ce n’est qu’1 2 mes poutanas[25].

Au... petit matin malgré l’à-pas-d’heure du coucher (ainsi le veut ma... SANTÉ !!!... depuis une « bonne année » maintenant...), sur mon ordi, que j’allume pour lancer la radio, minutage du doc « Femmes, de la rue à l’abri », de France 2 encore, auquel je l’avais laissé avant d’aller enfin faire dodo : 00:22:20.

Je disais... événement de l’Histoire sans synchronicité ?

De l’hire-a-chronne ? Ou hirachotte ? (Les deux se disent en modoupaïen.)

Je disais... toto momo batata ? Tout est possible dans pas-Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata mais ses à-côtés ? Tout, absolument tout, dans Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata comme dans ses à-côtés, sauf que ne cessent de dévaler, ne serait-ce que quelques minutes, les torrents de synchronicités.

Quelle démo !!! À laquelle je ne savais pas moi-même que j’allais me livrer.


13/01 — LE PARI

Parvenir à raconter une jottise, une jolie petite histoire, jolie ou pas d’ailleurs, une peste, petite histoire, en tout cas, chez les syncs, sans sync. Voir le phénomèèèèène dans la sync précédente.

Je le tente un 13 dis donc en plus. Mais pas un vendredi. À un jour près. C’eut été peine perdue.

Ce sera, pour ce jour, à propos : 1. d’un enculage ; 2. d’un maouazatage[26].

1.

Je viens de papoter un chouya évé Misyé Fabris. Non, ce n’est pas mon « regretté » jardinier [de ma résidence]... toujours vivant !... Dieu soit loué... mais qui avait donc mal tourné, « s’était fait » (c’est vraiment le cas de le dire) virer... Et c’est reparti, dans le papotage... « Tu m’ôtes les mots de la bouche! », viens-je de lui dire, tellement ses paroles sont beeeeelles et proches de tout ce que je peux moi-même déblatérer !!! Non mais je t’assure, la résonance, comme si souvent dans ce genre de conversation « à la volée » ! Mon Dieu que c'est booooooooo !!!!!!!!! Tou 9 le mastic[27].

Fabris m’a d’abord parlé de son activité de menuiserie. Quelque-chose avec « champ... ». Non point que je n’aie pas compris de quoi retournait son travail. Je lui ai même dit que je le trouvais très beau. Son travail. Lui ne l’est pas particulièrement. Ou plutôt si. Carrément. Puis l’interrogeant sur comment qu’il allait, ne l’ayant pas vu depuis un bon bout de temps c’est parti sur « c’est compliqué en ce moment », à propos de la sityasyon an Gwadloup, dans des pawol comme : un peuple qui se révolte ; on nous a empoisonnés (au chlordécone) ; les Européens donneurs de leçon ; moi : ha ! les donneurs de leçon quelle plaie, pour quoi que ce soit dans la vie... ; lui : je suis autonomiste ; moi : alors là, c’est tout à fait ça ! comme moi ! ; je suis un Gwadloupéyen qui s’intéresse au christianisme, c’est paradoxal ! ; la religion sans religion, sans église ; on peut très bien pratiquer sa religion sans être coincé du cul, ou on bitin kon sa, sans principes à la con ; citoyenneté ; humanité ; moi : je suis basque ; lui : j’ai plein d’amis basques, bretons... ; moi : Gwadloupéyen, Basques, Bretons, même combat !... dans des contextes certes très différents... ; lui, au détour de plusieurs points de la conversation : c’est pas une question de race... [La race = premier des concepts... racistes. Qui pour les humains n’a pas lieu d’être.]

Mais tout ça ne nous dit toujours pas qui est Fabris !!!
Alors tiens, devinette (qui c’est-y ? indice: je suis à la Datcha bisû[28]) et conconnage[29] : l’autre Fabris ? Mais là je t’ai presque tout dit... [Vodou papi 69 Livre/70 XabiWiki. Poco bité – maman cascu lidio[30].]

2.

C’est un peu dans la veine de cette coi-ma-tata acculée[31] : « Faut le laver [DiBouPa[32]] de toute autocélébration : voyez comme je suis super, admirez ma conscience universelle, prenez des leçons d’abnégation, etc. » Comme ce qui précède, si nous ne nous abusons. J’ajoute, pour ce qui suit : « Voyez comme je suis généreux. » Autoflagellation-coupage-d’herbe-sous-les-pieds mise à part, c’est une lucarne sur l’Inde, la dure réalité de la vie (là-bas)...

Les maouazas :

Oublie pas de te raser...

Ouh là, non, c’est pas ça. C’est ceux-là :

Un grand merci mon ami.

C’est KD, « Key Di ». Je le chamouse au 51. « Chamou » c’est l’autre mot pour « Xa-pitre » : ça veut dire chapitre de Modoupa. Extrait :

Loin de la folie des villes... KD...

Sur KD, un 1... J’allais poursuivre benoîtement, alors que... ça y est, peine et pari sont déjà perdue-du ! Un 1 : un numéro de nobapa, l’une des quatre nobapas de la page de mon manu[33] où je suis allé chercher mon ami. Le transfert l’a rétrogradé de son Xème rang au premier (« X » la lettre, pas le 10 romain !). Quatre nobapas : raisonnable ? Ça dépend, si elles font quarante lignes en tout ! Mais non, quatre, elles en font ! Même pas : quatre tout petits bouts de ligne ! Raisonnable, raisonnable... Dans Modoupa, niveau nobapas, ça non, je ne le suis vraiment pas. Et ça me vaut ça :

Les renvois innombrables en bas de page ce n’est pas de la littérature à mon sens ; aucun auteur sérieux ne fait cela, ça casse complètement la petite musique. Tu dois pouvoir intégrer ces apartés et explications dans le corps de ton texte, les incorporer au récit, c’est ton taf d’écrivain.

Xabi cassééééé !!!!! Là c’est Brice (le surfeur) de Nice qui passe pour se moquer, par rapport au Pari. Le rétamage du Pari de Xabi, c’est dans le « Xème rang ». Tiens si je me la jouais comme dans mon cul : devinette ! Et test, de comment que ça défile les veutumois[34]. Le combientième le « Xème » peut-il bien être ? Devinable au vu de ce qui précède immédiatement l’endroit où je suis fauché, dans mon élan, par l’inévitable survenue du phénomèèèèène, et de l’emplacement de l’épisode concerné dans le Livre. Dont le pas raisonnable, mais alors pas raisonnable du tout, du tout, du tout, nombre de nobapas est, lui, de combien ??? Hein ??? Je m’apprêtais à annoncer le chiffre et à le flanquer de 9 points d’exclamations (on demande son mastic tout neuf ! pas cher ! idéal pour la menuiserie, le champ ch’ais pas quoi et tout ça !), pour l’énormité, sans me douter que tomberait... la... deuxième... syn-chro-ni-ci-té !!! (seulement trois points d’exclamation, en attendant de la dévoiler).

Langue à mes chats des chamous ? Elles sont 1212. Je l’écris sans l’espace académique entre les chiffres 1 et 2, le premier, un 1, le deuxième, un 2, ainsi qu’il s’affiche, dans mon fichier, sa paire a plus de gueule ainsi. Sa paire de... 21 à l’envers !!!!!!!!! Je colle le mastic là, la Sync 2 c’est ça : le Fil d’Ariane depuis que j’ai lancé cette Rude-bitte[35], sur la première Sync, soit au jour de la rédaction de la présente (qui ne s’en voulait pas 1 [une], encore moins 2 [deux], pourtant !), la 26/12. Le top départ, à cheval entre la toute fin de 21 et l’avènement des Trois-Deux, est donné dans la Sync 2 du 27/12 avec « ton message....... à 21h21 !!!!! ». + Juquri : Sophie la Micronutritionniste de ma Consorofratrie des Archanges me back-maouazate un RV (me répond à la demande de RV que je viens de lui maouzater) le 20/01 à 10h.

Et, et, et... Ça n’est pas Dieu possible. Je ne sais pas si l’Infini existe pour la formulation des énoncés : l’expression de mon émerveillement, quand les synchronicités qui illuminent mes journées se produisent. C’est tellement chouette, mais ça va finir en aveuglement. Quand je xabiwikite cette Sync-qui-n’avait-même-pas-demandé-à-l’être-or-qui-est-en-passe-de-devenir-l’une-des-plus-dingues (ma Mouche[36] tu me le modoupaïanises ?), qu’est-ce que je vois ? Le numéro de nobapa, sur « ce sera, pour ce jour, à propos : 1. d’un enculage ; 2. d’un maouazatage » : c’est le combien, hein, c’est le combien ??? C’est le combien, hein, c’est le combien ??? C’est le combien, hein, c’est le combien ??? On deviendrait chèvre à moins. C’est... le 21. J’étais rétamé avant même le rétamage. Brice !... Non... oui, je suis cassé de chez cassé je sais... mais... tu m’aides à inventer des mots pour tout ça ? Brice : « Quoi ??? Mais t’es malade !!! Complètement maso plutôt. T’en redemandes. » Quoi ? « Du castamage. Bé tiens, c’est cadeau. Non parce que t’as pas besoin de Brices. Cette coi-ma-tata – bon ça, c’est de toi –, t’as oublié ? » Il sort un papier plastifié de la poche de son maillot de bain :

Surtout ce qui me gêne c’est les néologismes (le Moudoupaien) auquel je n’accroche pas du tout, je trouve cela inutile et fatigant à lire.
C’est très contre-productif; toi-même tu te sens obligé d’expliquer les termes régulièrement si ce n’est à chaque nouvel écrit, preuve que cela ne fonctionne pas.
Le lecteur a du mal à faire l’effort d’apprentissage nécessaire (moi en tout cas), parce que cela ne sert à rien, tu es le seul à parler cette langue !

Bé tu vois mon Briseur Fou je leur rends grâce, à tous-toutes celleux qui se donnent la peine de me les écrire, toutes ces critiques et autres trocons et moine-conars[37]. Je les aime fort, tu sais, tous-toutes mes pochimis-mies[38]. Ça m’étonnerait que t’en aies autant que moi. Cassééééé !!! Mais non, personne ne casse personne, dans mon Monde d’Amour. Bon, tu permets, que je reprenne un... euh... mon bout de chamou ? Que voilou :

Loin de la folie des villes... KD, un des serveurs du Fort Chanwa près de Jodhpur où j’ai séjourné, en janvier 2020, avec le groupe de Vanessa, m’a envoyé un message, en juin, me déclarant à propos de la Covid : « J’espère que tu es en sécurité. » Je lui ai demandé, en retour, si la situation, en Inde, n’était pas trop critique. Il m’a répondu : « Je vis dans un petit village. Aucun danger. » KD m’aimait bien et a poussé un « Ouf !… », un jour, au resto du Fort Chanwa, en me dévorant des yeux, d’un air de dire qu’il m’aurait bien mangé tout cru.

Mais personne ne mange personne, dans mon Monde d’Amour. Le maouzatage avec KD d’aujourd’hui (en anglais dans le texte of course – le sien est assez rudimentaire...) :

Un grand merci mon ami pour ton soutien.

Je lui ai envoyé quelques chochas, sous-sous, initiative que j’avais prise en un pic du cauchemar SARS-COV-2-1... euh... SARS-COV-deux-ien en Inde, quand il ne pouvait plus travailler. « Z’avez pas de M. Coronar... euh... Conar et de quoi-qu’il-en-coûte chez vous ??? », m’étais-je d’abord un peu emporté. En Inde, mais comme ailleurs dans le monde, il était quasi adulé, notre Président quand, en 2018, j’y ai séjourné ! « Notre Président » : jamais je n’ai écrit chose pareille. Quoi que si... j’ai même osé un « bravo... Monsieur... Macron !!! », et « écrire son nom en entier ! »... Me félicitant de la « nationalisation des entreprises », ainsi que d’aucuns-cunes ont présenté l’interventionnisme de l’État français, qui eut paru inimaginable, pour des ultralibéraux... ça aussi c’est quand-même inouï... dans le... « monde d’avant » (la Covid)... (Vodou papi 66 Livre/65 XabiWiki. Poco bité – maman cascu lidio).

Puis j’ai galéré pendant des mois, n’obtenant jamais de ma banque que le virement soit effectué... Toute une histoire, passons. Et c’est ma Thérapeute d’Ayurveda de la Consoromachin et chteuneue[39] Vanessa qui y a finalement procédé pour moi...

KD :

J’ai reçu le montant. Ça m’aidera pour l’éducation de ma fille. Actuellement, l’éducation, c’est tout. Je ne veux pas, pour elle, un avenir comme le mien. Je fais tout pour qu’elle ait un bel avenir. Je n’ai pas de mots pour dire son bonheur quand elle a su, pour ton soutien. Je t’en suis tellement reconnaissant. Please be with me and keep supporting : j’espère que tu continueras de me soutenir...

Oui bon ça, on verra ! Non, sérieux, tout le bonheur est pour moi.

Et plusieurs jours plus tard je réalise...

Le 1 de KD : « j’allais poursuivre benoîtement », écrivais-je... Alors que j’avais déjà pris une synchro grosse comme une maison sur la tête. Car la réponse à la devinette « qui c’est-y Fabris ? » c’était : l’homme au pétard. Il m’avait fait tirer sur son joint un jour où j’étais au téléphone avec la personne ci-conconnée. Moi qui ne fume jamais de gandja en Gwada, et qui ne « peux » plus du tout d’ailleurs... Bref. C’est cette synchro-là la plus dingue. Car j’avais croisé Fabris un jour à mon salotrou-le-gol[40]. Il était devenu fou. Sous je ne sais quelles substances, il était en plein délire, à l’image de ces mecs complètement « cramés », par le crack souvent : j’ai pensé non, c’est pas vrai, il a pas sombré lui aussi, pas lui ! Qui m’avait jusqu’alors paru plutôt sein de corps et d’esprit, à régulièrement nager et faire son sport sur la plage comme moi. Sombré comme... « mon » autre Fabris, le jardinier, dont Rose-Berthe la femme de ménage de la résidence me disait, la dernière fois que j’ai eu de ses nouvelles, qu’elle l’avait croisé dans la commune de Moul[41], et qu’il n’était pas beau à voir. J’ai appris le prénom du Fabris de La Datcha le jour de cette anecdote, qui n’était en réalité à la base rien d’autre que ça, mille millions de mille sabords, une synchronicité. Ébouriffante. Et terrifiante... Que j’étais heureux et soulagé de le retrouver, dans son état normal, égal à la si belle personne qu’il m’avait semblé être ! Cette espèce de « Fabris bis », mais qui manifestement s’avère finalement ne pas l’être. Non !!! DiBouPa merci.


14/01 — Les réclamations me parviennent par centaines, parce que j’avais parlé de maouazas au pluriel, hier, à propos de mon ami indien Key Di (ses initiales KD telles que prononcées en anglais – Sync [qui n’avait pas demandé de l’être] du 13/01). Or j’ai restitué le sien mais pas ma réponse. « Tout le bonheur est pour moi », ai-je juste précisé. Celui provoqué chez lui et sa fille par un don en numéraire de ma part. Ainsi, par conséquent, lui ai-je fait part du mien :

Ces mots me rendent tellement heureux, si tu savais !!! Quel est le prénom de ta fille ? Je lui souhaite bonne chance et le meilleur dans ses études et sa vie !!!

Il m’a répondu aujourd’hui :

Son prénom est Laviska, mais nous l’appelons par son surnom Lucky.

Et là j’ai l’air con, du moins vais-je l’avoir, car je vais avouer une lacune de l’anglophone et traducteur que je suis. D’autant que je qualifiais l’anglais de Key Di, hier, de « rudimentaire ». J’apprends : pet name = surnom, petit nom. Mais en le lisant, dans le maouaza de KD, jmidi lol[42] : « nom d’animal domestique » qu’il me dit, pour sa fille ! Je connaissais pet dans ce sens, mais vérification faite sitet[43], c’est bien KaDé qu’a dit vrai. Il n’est toutefois pas anormal qu’un Indien, même pas ou peu éduqué, connaisse les expressions de la vie de tous les jours en anglais mieux que moi. KD, de son pas-petit-nom (d’humain) mais vrai prénom Kuldeep (Keuldip), poursuit ainsi :

Elle est très intéressée par les études, et avide d’apprentissage. [Dans son anglais « rudimentaire » : « par appendre de nouvelles choses ». C’est quand-même moi qui le maîtrise le mieux, eh, ho.] [...] Quand elle a appris que tu la soutenais, elle s’est mise à désirer tant de choses pour son avenir.

« Oui bon ça, on verra ! », écrivais-je hier en off en réaction à l’affirmation de KD : « J’espère que tu continueras de me soutenir. » Je pense qu’une petite mise au point va effectivement s’avérer nécessaire. C’était une aide ponctuelle (mon coco), que j’ai souhaitée lui apporter quand ia que moi[44], à cause de la Covid, il ne pouvait plus travailler.

À part ça un cul, encore, sur la plage :

Même spot qu’hier, mais pas un salo, ni tarasse ni tarage.

Ni spot café-clope en terrasse au resto en bordure de plage ni sur la plage : on me tolérait sans pull[45], jusque-là (je ne suis pas un anti-va-an-vi[46], mais ma SANTÉ fait que je ne peux me faire vacciner), or les mesures se sont durcies, et j’ai dû prendre mon café à emporter.

Re-papotage, avec un « papi » à la retraite qui passe six mois tous les ans en Gwada, tu sais genre Yannick et Michel... [vodou papi 5]. Y en a plein comme ça, des retraités-tées (ce qu’il est), si tu savais ! Il a eu droit à son « à part ça la vie est dure, hein ? ». Et au couplet : « On est quand-même de sacrés privilégiés »... Pas impossible que je sync-synque ça encore... Pour retenter... le Pari ?

Ainsi donc renouvelé-je le défi d’hier de l’Hire-a-chronne/Hirachotte. Si j’arrive au terme de sa narration (et d’une relecture), je crierai le mot en oire.

Ça n’est pas gagné, ainsi que nous pûmes le constater.

Mais je n’ai peur de rien, et me risque à la prolonger, car deux instants rigolos qui ont suivi je voudrais relater.

Persona non grata à mes terrasses, je me suis rabattu sur un salo que je m’en vais instamment présenter, poutoutpif[47], et que je n’avais par conséquent pas encore baptisé. C’est sur la murette de la base de la structure en béton du resto Le Panoramic de mon salo tarasse. À l’abri du vent : je n’aime pas qu’il fume mes clopes à ma place le salaud. Un fort agréable salo... euh... solarium, au demeurant, pour le lézard que je suis. Je plie ma serviette et la pose dessus, pour mon tas d’os faisant office de cul. Je me fais mon café (allongé ; mais assis), mes au moins deux clopes (il est temps que je pluralise « café-clope », je n’osais pas), je telpapote[48] et souventes fois papote. Bon, le modou. Vysir... un... salo murette-devant-le-Panoramic, ça pourrait donner... met-lanorac ! Ouah !!! Après le pull !!! Mais alors... une sync ??? Non ! Non ! Non ! Je refuse ! Et puis de toute façon j’en suis... à la deuxième relecture ! (Avant laquelle j’avais zappé que j’avais mon salo à nommer et modoupaïaniser !) Ça ne compte pas !!!

Après le très saint papa... euh... le très sympa papi, un autre gars, quelques mètres-serviettes devant moi, me salua. Qui c’était-y encore que çuilà ? Je lui ai répondu par des signes de la main, un grand sourire... « Je t’ai dit bonjour hier ! », a-t-il précisé, percevant que je ne le remettais pas exactement. C’est vrai que dé-twa boug avaient gravité, à un moment donné, autour de Fabris (toujours la Sync qui ne voulait pas l’être [non plus]). C’est là le plus drôle : l’instant, disais-je, mais surtout en réalité la personne. Un autre homme, à qui il était en train de parler. « LE plus drôle. » Ou plutôt le plus dingue. Que j’ai jamais vu, pourrais-je presque rajouter. Justement parce qu’il n’a pas l’air de l’être vraiment, tout en étant bien siphonné. Juste ce qu’il faut alors ? Un peu « trop » quand-même peut-être. Bref. Il y a celui que j’appelle la Star de la plage de Sentann (vodou papi 32). Que Manno cependant, comme je le note, « trouve sinistre, et [qui] ne le fait pas rigoler du tout ». Je décerne à notre homme de cette peste le titre de Clown de La Datcha. Il a en tutu[49] cela de commun avec la Star de la commune voisine qu’il a l’habitude d’arpenter le lieu, de plagistes en plagistes : l’autre c’est avec sa guitare, à interpréter des airs plus inaudibles et insensés les uns que les autres, lui c’est en braillant, à la cantonade, ou en débitant à l’adresse des membres de son public devant lesquels il choisit de s’arrêter, ses invraisemblables blagues et tirades.

Son acolyte de m’aider un peu plus à le remémorer en me livrant ce détail supplémentaire : « Je me suis rasé !... », le crâne, je crois. Il avait la boule à zéro. Le Clown me crie qu’il s’est pris (ou japu[50] trop comment il a tourné ça) pour Bruce Willis. Je m’esclaffe : « Ah mais s’il se transforme en Bruce Willis, comment veux-tu que je le reconnaisse ?! » Il s’est raboulé... Qui ça, il ? Le Clown ?... Danqu tipasse[51] j’avais écrit :

Il s’est raboulé et m’a coudé, sur ces mots d’esprits, qu’il a coquinés : « Comment veux-tu, comment veux-tu que... ? » « Ouais, on dira pas la suite !... » Et de me resclaffer.

Danqu tipasse + 1 jmidi « Il s’est raboulé » ça va pas ! On sait pas qui c’est, il. Qu’est-ce que je peux mettre comme sujet ?... « Bruce » ?... Maman !... euh... papa nain !... Mais j’en avais encore une, de synchronicité !!! Réalisé-je de nouveau !!!... en m’apprêtant à écrire : après Brice, maintenant Bruce !!!...

J’avais naïvement poursuivi ainsi, à la suite de « Comment veux-tu que je le reconnaisse ?! », avant de danqu-tipasser :

Tout de suite après un autre homme de retour de son bain se dirige vers moi et m’annonce, blagueur lui aussi (qu’est-ce qu’on s’amuse aujourd’hui), qu’il dépose son masque sur la murette à côté de moi pour ne pas le mettre dans le sable, ça serait embêtant. Ah ben non ! se retrouver avec plein de sable sur le visage après, ha ! ha ! ha ! Et au moins là, au soleil, y va bien sécher. « Ah là tu l’as, le séchoir ! » « Ouais, le séchoir ! » On se marre.
Voilà, c’est la fin de l’histoire. Je ne suis plus très loin de la victoire. Je la relis, puis verdict.
Je l’ai relue...
VICTOIRE !!!
Ouah, je n’y croyais pas.
(L’anorac est donc arrivé trop tard. Mais c’est dingue, parce que c’était vraiment sur le fil du rasoir !)

Alors quoi, en réalité, j’ai échoué ?... Non ! C’est bon ! J’en oubliais la règle de l’unique relecture que je m’étais fixée pour valider la non-synchronicité. Quoi que... Eh non ! Elle ne s’applique pas, là ! Parce qu’autant dans le premier cas le modou n’existait pas encore... Bien que si ça devait finir devant un tribunal l’accusation pourrait toujours plaider que l’affirmation « un salo que je m’en vais instamment présenter, poutoutpif, et que je n’avais par conséquent pas encore baptisé » impliquait que je m’exécutasse : que je le baptisasse, le salo, et que je le modoupaïanisasse ! Ouah, c’est chaud. Quant au coup du Brice-Bruce, alors là y compris avec le-la meilleur-yeure des avocats-cates, et la plus éminente des Mouches (en qualité d’experte pour le seconder)... la cause est... perdue d’avance.

Je n’ai d’autre choix que de l’admettre, et de m’avouer... vaincu.

Angelu : « Mais enfin mon Xabi qu’étais-tu encore allé t’imaginer que tu pusses, contre les Forces ??!! »

— Tu peux parler ! C’est facile à dire, après coup !

— J’attendais le dénouement...

— Oui, évidemment, tu savais. Et tu m’as laissé batailler !

— Je tenais à ce que tu te rendisses compte, par toi-même, de Leur – que dis-je... Notre invincibilité. Maintenant tu sais.

J’ai été alerté quant à une autre synchronicité, encore, qui se serait cachée. Dans « oublie pas de te raser/je me suis rasé/le fil du rasoir ». J’ai un instant flippé à l’idée que je n’allais pas y couper, au procès.

Mais, ouf, tous les rasoirages ça n’est pas dans la même histoire.

Et puis je ne la revendique plus, de toute manière, la victoire.

Par conséquent pas de crainte à avoir.

Je peux dormir sur mes deux oreilles ce soir.

Comme un loir.

Bonsoir.


15/01 — Aujourd’hui, une synchroninette à la fois rigolote et la plus NOIRE qui se puisse imaginer. Rigolote car c’est de nouveau une histoire de pet. Ha ! Ha ! Ha ! Voilà, ça c’est fait : le jumo[52] facilo-scato, en renard... euh... regard à notre animal domestique anglais d’hier. Le pet qui ne sonne pas pet mais « pèt ». Notre pet d’hier, non pas la fille de Key-Di/Keuldip, mon ami indien aux initiales KD pour le prénom Kuldeep tels que respectivement prononcés en anglais, qui aurait je ne sais quoi d’animal – la fille, pas le papa –, mais ce mot qui, associé à name (« neyme », le nom, dans le vocable shakespearien toujours), dans les propos de KD, désignait le « petit nom » ou « surnom » de sa rejetonne.

Voilà pour l’aspect pour lequel la socédure[53] peut prêter à sourire. Celui à pleurer, à en créer des « océans de larmes », selon l’expression de l’intitulé d’un graphique de la revue dans laquelle ladite s’est produite, c’est dans ce passage lu aujourd’hui de la revue en question, l’« Atlas des esclavages », publié par la Rosa-Luxemburg-Stiftung (pages 30-31), et que j’ai reçu avec un no-lit[54] :

La forme de résistance [des esclaves] la plus fréquente était le refus de travailler. Les travailleur.euses se comportaient stupidement, mangeaient de la terre pour se rendre malades, rouvraient leurs vieilles blessures ou se mutilaient. Dès les débuts, des individus, voire des groupes entiers, se sont échappés, puis installés dans des zones inaccessibles ; ils y ont établi des colonies. Nombre de ces évadé.es attaquaient les plantations et libéraient d’autres esclaves. On les appelait les cimarrones, du mot espagnol qui désigne les animaux domestiques retournés à l’état sauvage – en anglais, maroons, et en français les marrons.

L’intitulé que je mentionne ci-dessus est le suivant : « Un océan de larmes – Nombre de victimes de la traite transatlantique des esclaves, 1501-1866. » Sous l’illustration cartographique, cette précision : « Selon des estimations précises, plus de 10 millions de personnes ont été déportées vers les Amériques, dont presque la moitié vers le Brésil. »

Je suis par ailleurs passé par Haïti, hier et aujourd’hui, à travers l’élaboration et le xabiwikitage des titres et sous-titres des Xa-pitres 41 à 50 de Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata. J’introduis au 44 mon « Haïti chéri ! », suivi de cet insupportable teasing quant aux récits à venir : « La Première République Noire » ; « Je découvre enfin, évé doudou’m, son pays » ; « Deux semaines après notre départ : le séisme » ; « Alors que la Vie “avait semblé reprendre son cours”. » Et je citerai par conséquent cet énoncé supplémentaire à verser des larmes jusqu’à la fin des temps :

On estime que la population taïno[55] d’Hispaniola, l’île aujourd’hui divisée entre Haïti et la République dominicaine, comptait à l’époque entre un demi-million et un million de personnes. Cinquante ans seulement après l’arrivée de Christophe Colomb, en 1492, elle était réduite à quelques centaines, en raison du travail forcé et des épidémies rapportées par les colons.

J’évoque dans le chamou haïtien la manière dont la « Perle des Caraïbes » a été saignée, financièrement, par une France revancharde, qui a de la sorte dramatiquement hypothéqué son avenir. Ainsi dénoncée dans la suite de « Conquête et sujétion », cet article parcouru ici :

À l’abolition de l’esclavage, les esclavagistes furent généralement indemnisés. La France, par exemple, menaça Haïti d’une guerre pour extorquer à ce pays indépendant 90 millions de francs-or – l’équivalent de plus de 90 milliards d’euros d’aujourd’hui. Les esclaves, en revanche, n’ont jamais été indemnisé.es, nulle part. Il faudra attendre le début du XXème siècle pour que des revendications en ce sens soient formulées. La Communauté caribéenne a par exemple présenté, en 2014, un plan pour une réconciliation et une justice réparatrice, exigeant une compensation pour les descendant.es d’esclaves par les nations esclavagistes, ainsi que l’annulation de Ia dette des nations sorties de l’esclavage et du colonialisme.

L’inopinée virée parallèle en Haïti se poursuit à la page suivante. Et ce dans certains termes, au début de cet autre article, « Haïti – Rester ou partir », qui ont cela pour me ravir qu’ils fleurent bon la volonté de prendre le contrepied du misérabilisme exaspérant, pour ses enfants (au premier rang desquels mon Manno), avec lequel cette nation est fréquemment décrite. Comme pour les pays pauvres de manière générale, ou qualifiés de « sous-développés » – l’appellation officielle « pays en développement », moins négative et « méprisante », plus... politiquement correcte, lui étant cependant en principe préférée. Or les chats ne sont pas des chiens, et les auteurs de ce... oui, bien triste état des lieux, plantent le décor (pages 32-33), tel qu’il est, du « pays le plus pauvre de l’hémisphère occidental », de son « climat politique et économique délétère »... Et le pire est que je me vois contraint d’enfoncer le clou car ce mot, « délétère », est même en deçà d’une réalité, en Haïti... plus cauchemardesque que jamais !!! L’interminable descente aux enfers est donc allée jusqu’à... l’assassinat du président Jovenel Moïse lui-même !!! Avant cela déjà, il y a plusieurs mois, j’exprimais, tristement, dans Modoupa, mes propres sentiments et ceux de Manno :

Haïti ne cesse de s’enfoncer dans une crise politique et humanitaire, avec de violentes manifestations qui ont occasionné plusieurs morts. Décourageant, écœurant : je le ressens très vivement moi aussi, même si je ne suis pas de ce pays. Enfin si, justement, j’en suis désormais un peu habité et... aller y habiter un peu, quelques temps, s’y procurer un pied à terre, j’en ai pas mal parlé à une époque à Manno. Il n’a jamais été chaud du tout ! Nous avons tous les deux récemment été pris d’un même élan de désespoir, un peu comme pour une personne à qui l’on tiendrait mais qui se laisserait sombrer et dont on ne parviendrait à rien tirer, malgré tout l’amour et le soutien témoignés et la volonté de croire en elle. Abordant le sujet avec Manno, au bout de trois mots sur l’actualité du pays, j’ai lâché : « C’est vraiment pas possible ! » Et Manno, dans un même soupir : « J’abandonne ! »

J’ai très récemment pu en obtenir des nouvelles toutes fraîches, et de première main, d’un couple de Français-çaise que j’ai rencontré-trée à mon salo tarage (voir Miss-Jottise 3), qui y sont établi-blie. D’autant que Madame y termine une mission de trois ans pour le ministère de l’Intérieur français : c’est dire si elle connaît son sujet. Plus que six mois à tirer : mais tant elle que son mari gendarme – qui est retourné en France, en fait, le gouvernement français ayant rapatrié tous ses ressortissants autres que ceux présents pour raisons professionnelles – ont à demi-mot exprimé leur espoir qu’il ne lui arriverait rien de grave d’ici-là... « T’es bien protégée », ai-je opiné, car elle m’avait expliqué que tous les déplacements avaient désormais lieu sous garde rapprochée, si ce n’est dans des véhicules blindés ! « Oui mais justement, je dis toujours que ça fait de nous des cibles idéales ! », a-elle rétorqué.

Dans ce marasme quels sont ces mots, à la fin, qui m’ont fait si chaud au cœur ? Bien que dans l’introduction d’une visite... dans l’enfer, en l’occurrence, de la servitude d’enfants, ce sont ceux, ci-dessous, des phrases 1 et 4, et de la première moitié de la Sync... euh... 5 (allez, té, majuscules) :

HAÏTI EST FIÈRE, À JUSTE TITRE, D’ÊTRE LA SEULE NATION À S’ÊTRE CONSTITUÉE GRÂCE À LA REBELLION VICTORIEUSE D’ESCLAVES. Néanmoins, un autre type d’esclavage sévit encore dans tout le pays. De plus, la pauvreté pousse les familles rurales à envoyer leurs enfants travailler dans les foyers urbains.
En devenant indépendante, en 1804, la nation caribéenne d’Haïti a été LE PREMIER PAYS AU MONDE NÉ D’UNE RÉVOLTE D’ESCLAVES. Malgré L’HÉRITAGE DE CETTE VICTOIRE ET LA PLACE CENTRALE QU’OCCUPENT LA LIBERTÉ ET L’HUMANITÉ DANS LA CULTURE HAÏTIENNE, il existe aujourd’hui dans le pays un système répandu d’esclavage domestique des enfants, connu sous le nom de restavèk. Cette pratique remonte au début du XXème siècle ; elle consiste à contraindre des enfants âgés d’à peine cinq ans à effectuer des tâches ménagères pénibles et dangereuses chez des membres de la famille élargie ou dans d’autres foyers. [...]
Un des traits caractéristiques du système restavèk est sa violence. Les enfants sont généralement exposés à des sévices physiques, sexuels et psychologiques, et victimes du mépris des membres du foyer dans lequel ils ou elles besognent. Exclu.es des repas et portant des vêtement usés, sans aucun soin, ils ou elles survivent souvent grâce aux objets jetés et aux restes laissés par les autres membres du foyer.

Mais envers et contre tout comme à la fin du chamou je le dis :

Longue et belle VIE Ayiti chéri !!!!!!!!! (Tou 9 le mastic. Après le tremblement de terre le plus meurtrier de tous les temps, en 2010, et un autre récemment, entre autres calamités de l’incontestable détenteur d’un – si ce n’est DU record mondial, en la matière, ça peut aider.)

Et que je t’en remets une couche.

Alors je le redis :

LONGUE ET BELLE VIE AYITI CHÉRI !!!!!!!!!


20/01 — Elle est toffe[56] ma socédure ! D’autant que j’étais à l’instant en train de me dire que j’aurais dû lui raconter, à ma lolotte, l’hirelle[57] – ça doit être à peu près la seule de mon « répertoire » – à base de... sauce... ketchup. La lolotte c’est la nana du lolo, l’épicerie, près de chez moi.

Je pose mes tomates à sa caisse. « Pourquoi vous avez pas pris de sac plastique ?! », rouspétinouille-t-elle. Je lui réponds par un « ooooohhhhh ! » taquin et vais chercher mon sac. Au retour je lui déclare : « C’est parce que j’évite d’utiliser du plastique ! C’est un geste écologique ! » Il est vrai que ça n’en est plus vraiment, du plastique : les « nouvelles » (heureusement pas tant que ça) « poches » (à prononcer avé l’accent de leur pays) biodégradables fondraient presque dans la main. Et dans une sacoche (je fonds les deux appellations) c’est plus commode, fait valoir la technicienne, pour saisir les légumes et les déposer sur la balance. On blagouille deux minutes, elle me dit : « Et si tu les laisses tomber pouf ça va faire de la sauce tomate. » Rire (ouais c’est elle qu’a commencé à saucer).

L’hirelle : papa, maman et bébé tomate se promènent. Bébé tomate est à la traîne. Maman tomate se retourne, elle l’écrase, et lui dit : « Ketchup ! »

Courte et efficace ! En français pas trop ? Courte oui, mais ça serait mieux si elle avait un sens je suis d’accord. Car c’est une hirelle étasunienne. Ce qui veut dire qu’en français en fait j’en connais zéro ? Entendue dans... « Pulp Fiction » ! Et c’est là que je réalise la sync tarantinienne ! Ou taranxabienne, ou xabienne tout court, si on l’impute à la seule sauce synchronique que j’entreprends, présentement, de confectionner ; autrement dit à une association de la pulpe et de la sauce tomate uniquement due à ma narration.

Explication de pourquoi sur « ketchup » on est censé-sée rigoler : ça sonne comme catch-up qui, en anglais, signifie « rattraper » (un retard). Mais je m’a trompé. Ce qui veut dire que la seule hirelle que je connaisse je ne suis même pas capable de bien la raconter. J’aurais dû écrire : « Elle l’écrase et lui dit : “catch-up” ! » C’est ce que dit Uma Thurman à John Travolta : She turns back, crushes it and says : catch-up! (« rattrape-nous » ou « dépêche-toi »).

C’était la sync sur sync, la sync dans la sync. La sync toffe c’était entre une vidéo que Manno m’a maouazatée que je venais de regarder et, dans la voiture, sur Radyo Tanbou : « monté an coco ».

La vidéo : un énorme serpent sur le tronc d’un palmier, en train de grimper, dans une succession d’enroulements-déroulements. Impressionnant. Ma première réaction : jmidi un serpent pareil dans le jardin de Manno !!! « Y a rien ici ! » En Gwada. Se désolait un jour Domi mon voimi ex-véto passionné de faune (et de flore) – et « habitué » qu’il est à celles de Mada le salopard[58] ! On parlait bestioles présentes en un vraiment pas très grand nombre dans notre île ; et les reptiles, z’ont depuis belle lurette pratiquement tous été éradiqués, par les mangoustes dont l’archipel a été peuplé pour les grailler.

Le serpent de Manno, je ne sais où qu’il habite en fait. Et l’écho... co... co... « monté an coco », « grimper au cocotier », à la radio, c’était à propos d’un tempérament quelque peu... nous dirons... explosif, que le présentateur admettait lui-même, pour ses compatriotes, dans un débat avec une invitée, après un entretien avec le leader indépendantiste Élie Domota, sur la sempiternelle question de l’obligation vaccinale et toutes les joyités[59]... euh... joyeusetés autour de ça.


21/01-1 — Alors, alors... qu’a-t-il bien pu se passer en ce... 21 ?! Le premier de l’année plus-21, mais qui ne veut pas me laisser. D’abord, pourquoi qu’il me quittât devrais-je souhaiter ? Parce que, rappelons-le, à la base il est... infâme. Tout a commencé un... 21-avril. L’important c’est le trait d’union. De ces dates que les historiens-riennes, observateurs-trices, écrivains-vaines et autres narrateurs-trices décident de figer... Mais ne faut-il pas en principe également une majuscule ? Me voilà à refaire le tour de la question. Reprenons le paragraphe de Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata que je cite également dans la Miss-Jottise 3, elle-même comme les syncs ci-dessus bourrée de 21. Et comme ça, avant de poursuivre, ici aussi nous serons fixés-xées sur ce dont retournent, à la fin, ces deux chiffres :

Ce 21 avril, de ces dates « restées à jamais dans l’Histoire comme un jour d’infamie », ainsi que Winston Churchill a qualifié celle du bombardement de la flotte étasunienne de Pearl Harbour par les Japonais, le 7 décembre 1941. Qui ont peut-être sauvé l’humanité en précipitant les États-Unis dans la guerre ! (Comme s’il avait pu en être autrement que ce qui DEVAIT être.) Le 21-avril était une de ces dates de triste mémoire, comme le 11-septembre, ainsi gravées dans le marbre et figées par le trait d’union accolé, en français, entre le jour et le mois. 21 avril 2002 : élimination de Lionel Jospin par beuuuuurrrrrk au premier tour de l’élection présidentielle.

Trait d’union, pas trait d’union, majuscule... Internet au secours ! Le « 21-avril » et le « 11-septembre » de mon autocitation : pas bon. C’est 21 Avril et 11 Septembre, avec ou sans trait d’union. J’avais deux chances sur trois et bim : à côté. Mon 21-Avril : une histoire de Xavier-le-flic assassiné + j’ai été convoqué par l’association d’aide aux migrants-grantes La Cimade pour un entretien suite à ma demande d’engagement en tant que bénévole un 21 avril. Résultat ma SANTÉ décida, au bout de quelques semaines, que... je cultivasse le jardin de ma Terre autrement.

Ce qui pouvait se passer, en ce 21 n° 1 de 22 ? Que je prendrais une leçon – c’est le 21 qui me la fait ? – je ne me serais pas douté. Mais merci. En plus apparemment c’est gratuit.

Si toutefois il ne s’était rien passé dans ma journée je ne serais pas passé la prendre. Alors qu’est-ce que c’est-y qui s’était passé ? C’est Miel-é-fraise[60] qui m’a attiré vers sa Paxikite[61]. Sans le bouquin le 21 n’aurait fait qu’1 : il serait passé à l’as. C’est tiré par les cheveux, « il n’aurait fait qu’1 », j’en conviens. Mais c’est bien la première fois que cela advient.

Ce n’est pas à cause d’une synchro mais parce que j’ai appris que j’étais un Négro. Pas une synchronicité, mais quel phénomèèèèène aussi, c’est beau. J’en suis fort aise en effet. Une dimension de plus à ma personne. Et celle-là : quelle surprise ! Même si je sais que je suis tout, que nous sommes tous-toutes tout et tout le monde, puisque ça n’est ni plus ni moins qu’un de mes mantras. Il n’empêche que je n’avais jamais ni lu ni entendu que les Basques étaient des Négros.

J’extrapole un peu – ah, retiftirage –, par rapport à ce qu’en disent dans leurs pages prosper-mériméïennes 342/43 Chris & Chris, Cloclo et Pat’ que j’ai lues aujourd’hui. Il est pour le moins inattendu, le Basque, dans ce premier échantillon du Grave de Prosper, un extrait de Carmen – d’autant que le drame se déroule à Séville –, et amené de manière plus surprenante encore :

[...] D’un bond, elle [Carmen] saute par-dessus moi et se met à courir en nous montrant une paire de jambes !...
On dit jambes de Basque : les siennes en valaient bien d’autres... aussi vite que bien tournées. [...]

« On dit jambes de Basque » ! Autre première nouvelle.

Et où qu’il est le Négro ? Là :

Xapalangarra [vous permettez messieurs que je dé-cheuse et rixe votre Chapalangarra comme il se doit], qui est un négro comme Mina, et réfugié comme lui dans votre pays, Xapalangarra était colonel, et j’ai joué à la paume vingt fois avec son frère, qui était un pauvre diable comme moi. [...]

Note de C, C, C & P sur « négro » : d’origine basque, au teint sombre et cuivré. Sur « paume » : jeu de paume, semblable à la pelote basque. Majuscule, pas majuscule : on ne va pas me la faire, la leçon, ce coup-ci. L’adjectif, dans « il est noir », « il est blanc », n’en prend pas, mais le substantif si : « C’est un Blanc », « c’est un Noir ». Le Négro, les Négros, moi en tout cas je leur colle.

J’en case un, de Négro (avec sa majuscule), dans Modoupa. Le mien :

La maison sans toi, ça fait bizarre bien sûr, mais je me dis que c’est provisoire, et puis j’ai quand-même l’habitude d’être souvent seul [quand il partait pour ses vols]. Bref, je continue d’essayer de chasser les idées « noires »... Toi aussi mon Négro j’espère ! Comme me le disait elle-même la mamie de 95 ou je ne sais combien de balais de la résidence : « Je fais aller, qu’est-ce que vous voulez faire d’autre ? » Eh oui, qu’est-ce que tu veux faire d’autre ?

Je disserte en maints endroits doudou[62] autour du phénomène « nico-pète-manno » (« ni complètement blanc ni complètement noir »). Tiftirage 3 : les lettres du mot ou de l’expression en français retenues pour les modous le sont en principe dans l’ordre de leur apparition. Dans « manno » j’ai inversé le « a » et le « m ». Une redoupe que j’ai moi-même fini par juger abusive et supprimer l’autorisait, à l’époque, si une géniale formule de la sorte apparaissait. Ce modou est effectivement tog-toc[63]. Je le garde.

L’autre étrangeté, c’est en l’occurrence que je n’aie jamais invoqué, dans toutes mes illustrations dudit phénomène, mon teint sombre et cuivré. Aujourd’hui, je comptais bien par contre citer Olivier mon ami bayonnais. Dans les syncs de Sync sur Sync qui précèdent il est un Personnage Clé. Un Poac. Comme dans Modoupa, bien que pas le seul loin de là. Ils sont deux, dans Sync sur Sync. Deux Poacs Olivier. C’est une autre remarquable articulation qui se fait, alors que sous cet angle je n’y avais pas pensé. Je voulais raconter que lui avait tout à fait conscience de sa négritude. Mon ami roux l’a déclaré un jour à Nirou-Ninoir-Niblanc... euh... Nirut (ça se prononce « Nirout »), mon ex thaïlandais : “You know, I’m black.” « Tu sais, je suis noir. » C’est un de mes souvenirs les plus drôles. La tête de Nirout ! C’est un de ses plus beaux éclats de rire, tant pour l’image (l’expression de son visage) que pour le son, la sonorité du rire, en soi irrésistible. Jélica toutefois : la synchronicité d’Olivier qui rejoint Olivier, ecnos, dans leur Paxikite.

Que dis-je, dans leur Paxikite, ici-même ! Puisque ce 21, C’EST la Journée d’Olivier ! L’O-O-O : Olivier l’ostéo :

La date qu’il m’a proposée, pour le prochain rendez-vous : le combien, hein, le combien ? (Sync du 07/01)

Il a découlé de ma Journée du 21 de la devinette trois Garonnes[64]. La Une pendant la consultation, on s’en doute, comme lors de la précédente. La Deux, celle-là assez impromptue, avec un « garde-barrière ». La Trois, plus classiquement, à la terrasse d’un café, avec une navigatrice et un navigateur, un couple d’une petite soixante d’années originaire de Dunkerque qui a fait Brest, le Golfe de Gascogne, les Canaries, le Cap-Vert puis la traversée (le mari uniquement, avec deux autres marins). C’est un thème récurrent... à la marina ! Où j’ai pris mon café. Passionnant.

Garonne 2. C’était en un moment où faillit advenir un truc de dingue aussi. Que je laissasse m’inoculer la 5G... euh... le va-an-vi. Je ne suis pas anti, mais... patati. Le cabinet d’Olivier est situé tout près d’un centre de vaccination. À proximité de l’aéroport. Ça me chatouille, de me faire piquer. J’étais à deux doigts de m’y rendre ces jours-ci. Jmidi je vais aller tâter le terrain, voir si s’y suis, dire bonjour, j’ai ci, j’ai ça, tralali, tralala. Je me suis laissé porter, dans ce mouvement, laissant agir la Matrice. (Comme si quiconque eut pu jamais la contrer.) Mais elle ne l’avait pas programmé. Pas pour un 21. Sera-ce, dans sa besace, un autre numéro ?

Parking. Je me gare. Au niveau de celui-ci, des barrières, à l’entrée de la voie qui mène vers le centre quelques dizaines de mètres plus loin. Le planton : un tout jeune Gwadloupéyen. Je me dirige vers lui. Il m’informe que le service est en principe ouvert jusqu’à 18 heures, mais que c’est désormais, et pour au moins jusqu’à dimanche, à Pointe-à-Pitre et aux Abymes, l’heure du couvre-feu, qui avait récemment été réinstitué à partir 20 heures. (Il doit être aux alentours de 17h30.) Décision prise (« débile, c’est de la provocation ! », nous sommes-nous accordés pour affirmer le jeunot et moi) en raison des nouveaux échauffourées de la nuit dernière, lors desquels un policier a été blessé à... la jambe. Au niveau de son articulation (le genou) plus précisément.

Sur l’actuelle situation de simili guérilla urbaine, j’ai entendu dans la soirée sur France Info que des investigations avaient mis au jour l’instrumentation de la jeunesse désœuvrée par les mafias locales. La Gwadloup, comme le reste de la Caraïbe : « une plaque tournante de tous les trafics possibles et imaginables » (vodou papi 11). Un bien commode cache-sexe dont j’ose cependant espérer que l’« État colonialiste français », selon l’expression favorite du rebelle en chef Élie Domota, n’en usera pas de manière trop obscène. Quoiqu’au point de mépris et de morgue où il en est... J’ajoute : le mépris des Blancs-Blanches, de manière générale. Celleux que je nomme les « colons-lonnes de base ». Je me retiens. Je ris, même, parfois, quand j’entends certains de leurs propos, pour ne pas... exploser. Je sens qu’un jour je vais en étrangler un-une. J’en avais quand-même verbalement bien allumé un, une fois, dans l’eau, en bas de chez moi. Vodou papi 48 Livre/19 XabiWiki, mais poco bité, par conséquent extrait :

Il [le colon de base] a fini par asséner, rageur : « Sans nos impôts ils crèveraient ! », dans la lignée de l’éternel discours du colon de base ici [ah c’est là que je l’introduis, le représentant de la race !]. Et du beauf de la mort qu’il était, et dont l’espèce a ses quartiers à l’hôtel de la plage. Mais il était tombé sur un Xabi, et a donc pris ça dans ses dents : « Je préfère ces branleurs qui font mine de nous viser avec leurs cailloux à ce que vous venez de dire. Je sais bien que l’on peut tenir ce genre de propos sans vergogne, par les temps qui courent. Hein ? Parce que qu’est-ce que ça veut dire, que nous, les Blancs, faisons vivre ces incapables de Noirs ? » Il était séché. Je suis sorti de l’eau.

En compagnie de mon laisser-passeur c’est Radyo Gwadloup que j’allume. Vas-y mon gars déballe, tout ce que tu sais, ce que tu sens, ce que tu vois, ce que tu crois. Et je te sortirai mon bois, celui dont personnellement je me chauffe, sur ce terrain-là. Il m’a montré Sachatte... euh... Rochatte. Sa tronche – c’est le nom improbable du préfet (un Blanc « évidemment ») de Gwadloup –, sur son téléphone portable, au-dessus de la dépêche faisant état de la mesure.

Le jeune homme, comme moi, n’est pas vacciné à cause d’une fragilité. Je ne comprends pas tout à fait s’il est anti ou pas. Lui-même ne le sait apparemment pas trop. Il est difficile, dans ce pays, d’être pro. Il est fin, physiquement, presque encore plus que moi, et d’esprit, presque autant que moi hi-hi-hi, bien que soumis à la pression des rebelles qui transparaît de ses propos. Il me dit être extrêmement prudent. Il côtoie énormément de gens... y compris parfois à l’intérieur des locaux du centre !... Mais n’a jamais contracté le virus. Il n’en revient pas. « Alors que ma voisine qui ne sort jamais l’a attrapé ! », corrobore-t-il son étonnement.

« Que les gens disent que ce n’est pas le virus qui tue mais le vaccin, alors là... » Je ne manque jamais, prudemment, diplomatiquement, de pointer ce que les discours des uns-zunes et des autres peuvent avoir de plus délirant, et la maladie de potentiellement horrible. En commençant à me diriger vers ma voiture je questionne le bonhomme sur sa mère réfractaire dont il m’a parlé, qui a comme lui jusqu’à présent réchappé à la connasse, et que je me figure sur l’instant dans un blanc – quand je me mets à un peu niaker[65] – comme une personne relativement âgée, quoiqu’elle puisse très bien avoir dans les cinquante ans... Le gamin, lui, n’en a pas vingt :

— Ta maman, toi, tu ne veux absolument pas qu’elle se fasse vacciner ?

— Si...

— Tu lui as demandé, de le faire ?

— Oui... mais je ne peux pas décider à sa place...

— Bon, écoute, c’est comme ça. Tout ira très bien.


21/01-2 — Il mérite bien 2 syncs le 2-1. « Sync » s’entend, dans Sync sur Sync, la présente Paxikite, de chacune de ses histoires de synchronicités. Synchronicités pour le « s » final duquel des parenthèses sont inutiles car ainsi qu’il nous est systématiquement donné de le constater, comme les emmerveillements elles volent en escadrilles. Désigner individuellement les syncs de Sync sur Sync par « la sync », « chaque sync », « telle ou telle sync », par conséquent, ne convient pas. Je les appellerai désormais des « hiryottes », des histoires de synchronicités, et chacune d’elle une hiryotte.

Je parlais, dans l’hiryotte-21-1 – qu’il faut avoir lu pour tâcher de biter celle-ci –, de la maman réfractaire. Avec mon hiryotte-21-2 cette fois je suis certain de conquérir les cœurs et les esprits de mes miens, de réfractaires. Elle est géniale au point que je recommanderai d’ailleurs à quiconque craindrait l’envoûtement de ne pas s’y aventurer.

C’est encore une histoire de Miel-é-fraise. Page 368, le 21 au soir, ça a recommencé à synchrofrémir :

Les romans-feuilletons [vous m’en direz tant !] se multiplient [vous m’en...], permettant à Xavier de Montépin, Émile Gaboriau ou Ponson du Terrail de captiver de nouveaux publics.

Un Xavier et des morceaux de Pandas ! Dans cette page 68-ienne... Soixante-huitarde ? Arrêtons-nous là déjà. Suminu j’ai vu un gros-minu. Sérieux : sur mon ordinateur j’ai vu un sujet de JT sur les manifs d’étudiants-diantes de 86 contre la loi Devaquet, selon le commentaire les plus importantes depuis 68. L’euphorie, le bonheur ressentis, qui remontent... tandis que j’écris... c’était puissant en effet... Or cette affirmation du journaliste m’a surpris. J’avais oublié que c’était à ce point... Je formulais dans ma tête ces jours-ci, en vue d’en compléter le chamou des années lycée (le seul Grapio[66] à ce jour, depuis que j’ai sorti mon livre, dont je me sois dit que j’avais oublié de le mentionner !) :

Tous-toutes mes camarades lycéens-éennes et étudiants-diantes de Frantza-ta-Euskadi et moi nous sommes même payé... notre Mai-68 !!! En... 1986 ! Contre l’instauration de droits d’entrée à l’université que prévoyait la loi du ministre de l’Éducation de l’époque, Alain Lelaquais[67]... euh... Devaquet. Je me souviens comme si c’était hier de cette super chanson-slogan qu’on braillait :
Devaquet-et-et, si tu savais-ais-ais, ta réfo-orme, ta réfo-orme,
Devaquet-et-et, si tu savais-ais-ais, ta réforme où on s’la met !
Aucu, aucu, aucune hésitation !
Non ! Non ! Non ! À la sélection !
Je me suis bisû investi à fond, jouant les meneurs et n’hésitant pas, depuis un toit-terrasse du lycée Lauga, à me saisir non pas du micro mais du mégaphone pour stimuler les troupes. J’étais plus particulièrement intervenu sur la question de la façon d’organiser la transmission des notes de celleux qui assisteraient aux cours, par roulements, aux autres élèves.

Mais c’était un peu maigre, tout ça, sur le plan synchroninanonétique, et je ne comptais rien en rapporter, afin de ne pas risquer d’attenter à une crédibilité chèrement acquise, car au prix d’années de travail de narration écrite et orale. Ma légendaire modestie m’interdisant de trop hâtivement préjuger de son caractère inaltérable. Je n’en oublie pas pour autant la prudence et l’humilité. (Redondance de rustinage. Pas grave, au contraire, dans l’entretien de sa modestilité, à redoubler de prudence on ne saurait hésiter.)

Page 368... Qu’est-ce qui m’attend, pour la 369 ? M’étais-je auto-intrigué (sans n’avoir encore rien soixante-huité). Certainement rien. Le phénomèèèèène n’en est tout de même pas à ce niveau d’intensité qu’il serait systématique et inévitable. Et si queutchi ça me fera ça de moins à écrire. Car il faut que j’avance, dans la perfectisation pour xabiwikitage des quarante-cinq chamous qui attendent d’être mis en ligne, et que ce sont surtout mes hordes de lectrices et de lecteurs qui n’en peuvent plus, d’attendre !!!

Donc attention, l’envoûtement c’est maintenant.

Page 369, sous le titre « Au XIXème siècle : le roman historique et le roman criminel » :

Très vite, le désir de dépaysement fait du récit historique un genre particulièrement apprécié des lecteurs. Leurs faveurs vont à des périodes troubles, comme les guerres de religion ou les crises politiques, qui suscitent intrigues et violences. À la suite de Vigny et de Hugo, Alexandre Dumas s’impose ainsi comme un maître du roman historique populaire, où se mêlent habilement, comme dans Les Trois Mousquetaires, la reconstitution d’une époque et les exploits trépidants des héros. Le Bossu de Paul Féval, Le Capitaine Fracasse de Théophile Cautier, le cycle des Pardaillan de Michel Zévaco témoignent de cette passion du lecteur pour le roman de cape et d’épée. Cependant le roman criminel attire, lui aussi, un nombreux public. ll répond au goût des scènes sanglantes et de l’enquête policière.

C’est là ! Ça commence ! Pile à « enquête policière » ! Une enquête policière ! Un polar ! Je t’en foutrai ! Ça n’est rien, à côté ! Pute a pain ! Papa nain ! Ialla-la-ialla ![68]

Je ne sais pas si j’ose... J’ai activé l’alerte envoûtement, ça devrait aller :

Gaston Leroux...

Leroux ! Mais ce n’est que le début !

Gaston Leroux crée ainsi Rouletabille, reporter-détective au grand cœur. Mais les personnages de criminels fascinent davantage, comme dans Fantômas de Marcel Allain et Pierre Souvestre, qui publient en plus de quarante volumes les aventures de l’homme masqué qui terrorise Paris, tandis que Maurice Leblanc...

Leblanc maintenant !

... fournit cinquante volumes des aventures d’Arsène Lupin.
À la suite des romans champêtres de George Sand se sont également multipliés les « romans édifiants », comme ceux d’Hector Malot ou de Georges Ohnet, qui suscitent l’émotion à travers l’évocation de milieux misérables illuminés par l’amour ou la tendresse. Le roman sentimental a également pu développer ses personnages types comme la prostituée au grand cœur ou l’orpheline persécutée, qui touchent un public féminin. Le roman d’aventures, où pirates et cow-boys entrent en concurrence, débouche souvent sur le roman de science-fiction et le roman fantastique avec des personnages de vampires et de savants fous, comme ceux qu’imagine...

On retient son souffle...

... Gustave Le Rouge !!![69]

Voilà. C’était la fusée finale. De ce feu-d’ar-ti-fices.

Mesdames, Messieurs, je ne vais pas espérer que vous avez aimé le show, mais plutôt émettre le souhait que vous avez tenu le choc.

Feu d’artifices : j’avais à plusieurs reprises employé cette expression, pour décrire mes synxplosions, mais pas depuis des mois. Et alors qu’elle trottait – une expression ça trotte énormément – dans mon esprit, dans la perspective du tapotage de ma socédure, je l’ai lue cet après-midi dans un cul-trocon sur mes dernières hiryottes.

Contradiction : entre « socédure », qui signifie « synchronicité du jour », et « hiryotte », « histoire de synchronicités », dont je commence dans la présente par expliquer que « synchronicités », dans cette expression, ne saurait être mis au singulier. Pas grave, mais je tenais à le signaler.

Cracra[70] ecnos parce que je m’autotacle quand justement c’était prévu, d’enchaîner sur un tacle, de mes Anges-gelous-gelettes, visant à calmer ma joie peut-être. C’est dans ce titre du paragraphe suivant : « À la fin du XXème siècle : l’explosion des paralittératures ».

« Littérature » avec un « s » ??? J’ai tancé, dans le cadre d’une terriiiiible polémiiiiique qui a fait rage entre mes amis-mies et moi-même au sujet de mes écrits, mon amie Zabelle :

« Littérature » avec un « s » en plus ! Pour appuyer l’ignorance du gars, au cas où le singulier ne suffirait pas ? Eh ben dis donc ma Zaza ! Angelu : « C’est une coquille. » Ah ? Au temps pour moi.

Doublement crétin. La Voix :

— C’est une invitation de la... euh... à la recteure[71], au cas où tu serais partie [en femme, ouais – coquille, en vrai], avé tes fusées. Littérature avec un « s » à la fin ce n’est ni une moquerie ni une ânerie. C’est toi la mule. Mais Je sais que Je peux te le dire, et que tu trouveras même ça mignon. N’est-ce pas ?

— C’est vrai. J’aime tellement les bêtes. Tiens (pas les répétitions par contre... même si mieux valent quatre « tiens » dans une seule hiryotte que...), j’ai récemment entendu proférer sur mon ordi-télé cette vieille théorie de l’influence du nom de famille sur la destinée et la personnalité de son-sa porteur-teuse... (Mon nom est Bondard... euh... Renard. Xavier Renard.)

Pour continuer de finir dans le coloré, cela encore je souhaiterais citer, de quelques lignes après la rouge fusée :

Le roman populaire a gagné son public, continuant par ailleurs sa publication en feuilletons à une époque où, comme en 1914, quatre millions d’exemplaires de journaux sont vendus chaque jour.

Mais oui parce que, parce que... Elles sont bel et bien plurielles dans cette hiryotte, les synchronicités, quelle que puisse être l’incohérence que je souligne, relativement à la notion de socédure : c’est cette dernière, l’aberration ! Il y a d’abord celle des Pandas, certes une microtte[72] qui ne méritait pas à elle seule, comme je le reconnais, d’être rapportée. Puis la série des Leroux, Leblanc et Lerouge, après l’hiryotte pleine de ni-noir-ni-blanc ainsi que de Noirs, de Blancs et autres Négros, sans oublier « mon » roux. Ça fait deux. Et, troisièmement, une illustre pour pas changer, que je m’apprêtais à exposer : j’ai lu le message d’un critique ce même jour qui m’avait écrit pour se féliciter, me féliciter, en ces mêmes termes exactement, de ce que j’aie « gagné mon public », de l’exceptionnelle qualité de mon œuvre et du succès fou rencontré, ajoutant qu’il imaginait que mes fans devaient d’ores et déjà se compter par millions !

Il suffit. Le message du critique : oui, c’est vrai. L’évocation d’un « public » également. Donc : assez jolie synchronicité. Relativement à la tonalité, toutefois, ce n’était pas exactement cela. Mais c’est de plus en plus fort car je me vois en réalité invité à écrire... d’une manière que l’on dira... un peu moins... originale ?... pour le « grand public ». Et il est là, quelques pages plus loin :

[De] grands peintres, comme Gauguin et Van Gogh, poursuivent leur œuvre dans l’isolement, loin du grand public.

La Voix : « Ô Xabi, comme Gauguin et Van Gogh en leur temps, ton surréalisme n’accroche pas... encore... Tu déranges !... » Traitres ! À nos patries ! Mais non. C’est le modoupaïen pour « trêve de plaisanterie », avec « s » final du pluriel, en application de la redoupe sara-suit-papa-maman-pa : s’accorde avec le sujet qui n’en est pourtant pas un, mais c’est comme ça dans Modoupa. Quelle synchro 3, 4, ou japu quel numéro, en tout cas...

3, 4, 5, 6.... Vous en voulez combien ? J’aurais bien conclu là, mais c’est sara, sara ! La Voix ne me lâche pas. Elle insiste, pardi. C’est Elle, pas moi, qui insinue que comme Gauguin et Van Gogh je suis ni plus ni moins qu’un Génie. Comment s’y prend-elle ? Comme ceci :

Immédiatement après ces deux dernières Divinités... eh non je n’ai d’autre mot, pour de tels Créateurs de Beauté... la... Divine Matrice (à la demande de La Voix ?... je ne sais pas non plus comment tout cela fonctionne exactement...) convoque Eugène Labiche, et parsème le texte de microttes :

• Labiche : faite, ou plutôt fait – ce n’est pas une bête –, d’un peu de Xabi dans le désordre. Et y a ma queue plus bas. La queue de la bête que je ne suis pas... Ialla-la-ialla ! Je n’avais mê-me-pas-vu-ça ! Labiche ! Le Renard ! Je ne pensais qu’à mon pré-moi ! Et à mon Bixa ! Car ça n’est pas que moi, moi, moi, c’est aussi mon chat, qui m’a fait focaliser sur Biche-Bicha-Chaba... euh... Chabi. La queue du renard la bête/Renard mon moi-de-famille se dissimule sous Un chapeau de paille d’Italie, le titre du bout de pièce qui suit :
Alors que Fadinard se rend chez lui pour accueillir les invités de ses noces, un cheval mange le chapeau qu’une dame, Anaïs Beauperthuis, en galante compagnie, a posé sur une branche d’arbre. Dès lors, commence une odyssée burlesque [...]

Ça a l’air excellent ! Moi, ne pas aimer la... que dis-je les... Angelu : « Xabi, allons... » Oui, bon, je finis : les littératures. Mais qu’est-ce que je n’aime pas, dans ce monde ? À part l’immonde.

+ Un semblant de... Fragment de trOnX ?... Les deux domestiques de Fadinard répondent en effet aux prénoms de FéliX et Virginie.

• Naissance : le 5 mai 1815 à Paris. Le morceau du chapeau (en vrai-pas-vrai dans la fiction il n’en reste donc rien : comme on l’a vu le cheval l’a bouffé) qui occupe la double page se termine sur le nom de l’auteur, le titre de la pièce + acte 1, scène 1, 1851. 15-51 : très jolie aussi, la symétrie, et patati.
• Décès : le 22 janvier 1888. 22 janvier : le jour du début de la rédaction de cette hiryotte. 12+100+22=134 ans plus tard. 12, un 21 à l’envers, et le 22 de cette année. Le triple 8. 1+3+4=8. Je n’explique pas tout. Ce n’est pas que quand on aime on ne compte pas, mais que si l’on a aimé et que l’on s’est imprégné d’autres hiryottes, miss-jottises et tout ça, on la captera, la susane-monique[73]. Celleux que ça broute : survolez !
• Décor de la fin des deux pages : Nom de l’auteur, titre de la pièce, etc. — [l’italique, le tiret : sé kon sa kon les plante, les décors, sé kon sa ki fé le Monsieur dans « Scène Première, Chez Fadinard... »] —En dessous, la photo d’un trio d’acteurs-trice contemporains-raine interprétant une scène du vaudeville ainsi légendée : M. Faraoun, Ph. Fretun, I. Janier [Ah ben là carrément un Jabier, juste éniémé en lieu et place du vé. Un Xavier... sévillé ? (V5 21/01-1) Et ce n’est même pas ça que je... comptais relever. Après ça mon critique ADORÉ va me demander : « Pourquoi penses-tu être si réceptif aux synchronicités ? »] Comédie-Française, 1986. C’était ça mon énième sujet : cette année 1986 à laquelle plus haut je revenais, alors que dans Miel-é-fraise jusqu’en la 377ème page où elle est citée, pas une seule date n’avait dû dépasser 1900 et des poussières d’Étoiles de la Galaxie.[74]

Puissantes, les poussières d’Étoiles de la Galaxie. Entre ces deux dernières phrases j’ai même été interrompu pour gloser sur... la puissance du phénomèèèèène (les synchronicités de manière générale), dans la nobapa finale, qui a explosé en une hiryotte...</ref>

FIN. Sur cette note révolutionnaire. Ils m’auront vraiment courev... rêve... révo... euh... couvert de tous les cadeaux mes Anars.

Angelu, La Voix, la Matrice et japa[75] trop Qui d’Autre, dans ce fox... euh... boxon :

— Mais, ça n’est pas terminé ! T’en as assez ? Attends tu vas voir : Barbey d’Aurevilly ! Oui, Jules, viens ici !

— C’est qui ça ?!

— Tu connais pas ? Pas grave. Alors...

— Les pas trop amateurs-trices de microttes, de chiffres (ça et « du bon Dieu » je suppose que vous allez encore m’en servir « à la louche »), ielles peuvent peut-être nous laisser ?

— Ouh là, oui, dis-leur. La connaisseuse (on l’aurait bien dit au pluriel masc-fémé, mais... on ne va pas se mentir...), elle, comprendra, et goûtera, nous n’en doutons pas, mais les autres... On te balance le tout sans tout expliciter du coup... On met un petit point devant chaque élément comme toi. Donc :

• Monsieur est né le 2/11 1808 à Saint-Sauveur-le-Vicomte. Toi c’est rapport au Sauveur bisû. T’es vicomte aussi ?

— Hein ? Quoi ? N’importe quoi.

— Le Sauveur : le Xavier thaumaturgé, après le sévillé. Ton statut bon, ça, on sait, mais rappelons que Xavier et savior (sauveur), en anglais, ça se prononce presque pareil.

(Le 07/04 : Mon Dieu, Ma Dieuse, Mes Dieux-Dieuses et toute la Smala Divina, tout ça après avoir rustirererererepassagé que je n’étais pas... un Humain... Angelu : « Halte là, tu vas finir par t'envoler, mon Renard Ailé Préféré... » Ah ! L’est où çuilà déjà ? Angelu : « C’est l'histoire de l’Autruche-sorte-de-renard-ailé je crois, à kètpar dans tes pestouilles de fada. » C’est précis tiens, ça, t’aurais pu vite fait nous restituer ça, bonjour les poutanas. « Tu me les as pris cochon rends-les moi. »)

• Le gars est décédé le 23 avril 1889... 23 moins le 2 de novembre = 21. Les 8 qui s’agitent encore un peu. Et il a eu « une longue liaison avec la baronne de Bouglon »...

— Ça alors, une baronne, comme moi, mais moi ça n’a pas duré longtemps, elle était trop bougonne...

— Et tu t’étonnes.

— De quoi ?

— Les « jeux de mots de collégionnes... euh... giennes... (ouuuhhh !.. c’est contagieux ton truc) de collégien ! ».

— Ah, ça ! Oh... Poursuivez Maestros.

• Il « passe son enfance dans la petite noblesse du Cotentin, attachée à la religion catholique »... Ça c’est pour ton critique !... Mais il a dû décrocher...

— Ben oui, je lui ai dit...

— On peut le dire ?

— Quoi ?

— Ce qu’il a écrit.

— Ouf... Je ne sais pas s’il va me rester beaucoup d’amis-mies, avec toutes ces conneries... Mais je Vous ai... Allez, je m’en charge, tant pis. Ça, pour commencer... puisque de toute façon il s’est ainsi résigné... : « J’imagine que tu reproduiras ce mail un jour ou l’autre, comme tu l’as fait récemment alors que je t’avais prié de ne pas le faire. Mais j’en ai plus rien à foutre. »

— Ambiance. Ah, les Terriens-riennes, vous rigolez pas...

— Oh que si ! Avec lui surtout... Mais pas que. Ah on n’aura pas oublié, avec tous-toutes mes amis-mies, de bien se marrer. Bon, le monsieur, faut pas le chatouiller... Il m’a même dit un jour : « Quand on m’emmerde je mords ! » Mais moi c’est pareil !!!

— On te redistribue aussi ?

— Ah, ça, non ! Je n’ai jamais eu... cet HONNEUR !!! Et que je te l’honore l’ami ; c’est là, le « grand public », et la saillie catho-mes-couilles :

Franchement, t’as pas le projet d’écrire vraiment ? Je veux dire pour le grand public ?! Tu cesserais de te raconter ou tu te raconterais différemment, avec des avatars. Tu n’emploierais plus l’inclusif chiant[76]. Tu n’aurais de reproches à faire qu’à ton éditeur !
T’as tous les outils pour être un écrivain, putain ! Et tu mélanges des propos délicieux de style et de pertinence avec d’autres dignes d’un bulletin paroissial de campagne ou pas plus captivants que des horaires de trains. Mais fais-tu au moins la différence ? (4ème question surprise)
Et si, à la question 3 [T’as pas le projet d’écrire vraiment ?], tu réponds affirmativement, tu resterais pour moi un écrivain cathotique, donc suspecté pour moi d’être chiant. Il y en a pourtant des supers : Léon BLOY, fracassant !

— Le Léon, çuilà aussi, inconnu au bataillon. Le mien du moins, pas très achalandé qu’il est faut dire.

— Mais t’es cathotique, toi ?

— Arrêtez, allez pas encore plus me l’énerver...

— T’avais qu’à corriger. Et il a décroché ou il a pas décroché ?

— Je ne sais pas s’il aura résisté, à l’envie de continuer, contre vents et marées... C’est amusant ce lapsus d’ailleurs. Car l’affirmation dans mon livre déclinée à toutes les sauces que « je suis aussi chrétien que juif, musulman, hindouiste, bouddhiste... » ne l’a pas empêché, en dépit de mon sens, de m’étiqueter catholique mais, résultat, il a trébuché. Et vous, où en êtes-vous ?... Non, attendez ! attendez ! avant d’enchaîner. J’allais oublier... De me gargariser.

— Ah ?

— Oui, de ces mafolis[77], qui ne Vous auront pas échappé. Comsuissi : « Des propos délicieux de style et de pertinence ». Quand je lis ça je me dis que je n’ai pas complètement raté ma vie. Centracapitaligrassisation + adjonction d’autres mafolis :

DES PROPOS DÉLICIEUX DE STYLE ET DE PERTINENCE

— Trois fois ça suffira ?

— Non, encore une, et les autres mafolis :

DES PROPOS DÉLICIEUX DE STYLE ET DE PERTINENCE
COMME D’HAB, C’EST UNE SUPER JOLIE PROMENADE À LA RENCONTRE DES GENS DE TON QUARTIER ET D’AUTRES, PLUS LOINTAINS DANS L'ESPACE ET DANS LE TEMPS. T’AS TOUJOURS DES INVENTIONS RAVISSANTES, D’AUTRES PLUS [biiip], C’EST AUSSI TRES BIEN TORCHÉ, SOUVENT, IL Y A DES PARAGRAPHES MAGNIFIQUES, MAIS ALORS CE QUE ÇA PEUT ÊTRE...

— Non ça n’est pas, car c’est mon Moncontula[78].

— Gloire à toi. Point suivant :

• « Barbey mène une existence tapageuse de dandy... »...

— Hé ! Ma voimie Sandrine vient de me conjurer de ne pas couper mes cheveux trop courts ! Après que je l’ai informé de mon intention d’aller chez le coiffeur. Elle m’a dit qu’il fallait que je garde mes boucles, que ça faisait... dandy ! Je déconne. Ça fait un bon mois de ça.

— Mais le dandy c’est vrai ?

— Qu’est-ce que Vous... croyez. Et puis bon, Vous le savez que wé wé wé ça ça l’est. Alors continuez.

— OK. Misyé Barbier... euh... Barbey :

• Y fait son dandy, Nous dit-on, avec ou sans boucles... voyons... ouf, la gueule... les cheveux ?... non, c’est tout raide... Y fait son kéké... « sur les boulevards [de Paris], multipliant les liaisons amoureuses, s’adonnant à l’alcool... »... Vise ça : « l’alcool »... « sa maîtresse rousse »...

— Ha ! Ah ouais ! C’est pour « mon amant roux »... euh... « ami roux » !...

— Et le Jules, sa baronne, tu sais comment il la surnomme ? L’« Ange blanc » !

— Oh yeah ! Et Vous nous refaites tout le spectacle pyrotechnique ?

— Ce que tu voudras. Suffit de demander. Il nous reste du rouge aussi :

• « Au début de L’Ensorcelée... »... Même Nous on se fait ialla-la-ialler, même pas le temps d’attraper la fusée. Oui, tu sais : l’ensorcèlement, après l’envoûtement...

— Elles sont encore plus fortes que... Vous !!!... les synchronicités ???!!!...

— Mais non, les synchronicités c’est Nous, on se ialla-la-ialle tout seuls, on te faisait marcher.

— Mais je sais. C’est moi qui Vous fais marcher. Et Vous courez. Poursuivez.

• « Au début de L’Ensorcelée, le narrateur rencontre maître Tainnebouy à l’auberge du Taureau rouge. » On a aussi une Jeanne de Feuardent, rapport au feu d’archiduchesse... euh... d’artifesses. C’est l’ensorcelée.

— Eh ben... Par contre vous comptez faire tout le bouquin ?

— Hein ?! On n’est même pas aux trois quarts de la page !

— Je suis bouche bée... Qu’est-ce que vous me gâtez... Pour cette fois ça va peut-être aller. Juste un truc, j’en ai une bonne pour finir...

— Finir ???!!! Elle est bien bonne celle-là en effet !

— À mon salo tarage cet après-midi...

— On t’a de nouveau[79] admis ?

— Oui.

— Il nous répond en plus. Merci Qui ?

— Ah ! Oui, oh ! Merci Vous. Gloire à Vous. Bref. Ma Garonne au bord de la mer, en ce 23 janvier, a eu lieu avec un Français, un... infirmier[80] en vacances chez son ami... gendarme ! Par les temps qui courent, surtout ici, vu le bordel pour les deux catégories, et après ce nouveau coup de grisou dans Pointe-à-Pitre y a trois nuits dont je parlais aussi : ça ne s’invente pas, hein, ça non plus. Allez, salut.

— Salut.

Ielles ont répondu « salut » ?!...

Bon...

Il est vrai qu’Ielles avaient à peu près tout donné, à ce stade, en attendant de livrer à leur Renard, quels hutards[81], page trois cent... 86, un poulet. Un Monsieur Poulet-Malassis. Il se trouve que l’on m’en avait également envoyé un, dans le cul-trocon que je mentionne, dans une série d’émoticônes, dans laquelle il m’était demandé de repérer l’intrus. On s’amuse comme on put... euh... peut. Le Poulet (qui s’est assis comme il a pu ?) est tanqué sous « Chronologie du procès des Fleurs du mal », de Baudelaire, dont le pedigree, au début du chapitre qui lui est consacré, fait état de sa naissance le 9 avril 1821. Là y a même mon 21-Avril, dans 9 + 21 à l’envers. Première date de la chronologie : un 21 juin. Deux mois plus tard, le poète est condamné à « verser une amende de trois cent francs ». Exactement la somme qu’il m’avait emprunté. Mais il m’a remboursé.

Le successeur de Baudelaire dans Miel-é-fraise, Flaubert, est également venu au monde en 1821. Le 12/12. Rubrique « situation familiale » : « célibataire ; une longue liaison avec Louise Colet ». Point en l’occurrence de synchronicité mais un fait : il me l’avait piquée. Il m’a remboursé cela dit pas de souci, et je découvre cet autre point commun entre nos vies sentimentales : « À quinze ans, l’adolescent tombe amoureux d’Élisa Schlesinger, de onze ans son aînée, rencontrée sur la plage de Trouville », et présentée dans son CV introductif comme le « grand amour de sa vie. » Onze ans : la même différence d’âge qu’entre moi et l’Homme de ma Vie. Au cul d’un 69, une autre queue de Renard, dans l’énumération de trois romans : « [...] Madame Bovary en 1857, L’Éducation sentimentale en 1869, Bouvard et Pécuchet qu’il laisse inachevé. » Un trou, un 69, un cul et un semblant de buvard et de PQ : ça me paraît pas mal pour conclure sans trop avoir l’impression de finir en queue de poisson.


21/01-3 — Jamais un 2-1, un 1 et un 2, à l’envers ou à l’endroit, sans son 3 ? L’addenda a d’abord été nobapa : j’aimais trop mes queues de renard et de poisson de la fin de la sus-narrée synchiotte (débat avec moi-même sur sync/hiryotte : j’agglomère), et ne voulais pas en gâcher l’effet en allongeant le texte après elles. Puis la nobapa, toute entière dédiée à... nous allons de ce pas voir qui, encore une fois... n’en finissait pas... D’où ma décision de faire droit au 3. D’autant que le qui-encore-une-fois (quoi ???) m’a aussi écrit ça : « Je ne lis plus les notes en bas parce que ça me casse tout, j’aime pas quand le texte se remet à fleur d’écran, en haut, et ça distrait mon attention. » La nobapa, acculée... euh... colée à « un trou, un 69, un cul et un semblant de buvard et de PQ : ça me paraît pas mal pour conclure sans trop avoir l’impression de finir en queue de poisson », c’était ça :

À mon admirtempteur : « Voilà, ça y ééééééé !!! » C’est ce que je m’écriais, gamin, quand j’avais fini de faire caca, pour qu’Ama vienne m’essuyer. Je sens que mon hiryotte 21/01-2, vulgaire à souhait (mais non...), donc enfin terminée, ces mots vont venir compléter ! Pas trop reloue celle-là, comme je te le disais ? Bon, va encore un peu falloir s’accrocher ! J’écris même : quand ça broute, survoler ! Car tu dois absolument y arriver, à son extrémité ! Et promets-moi – tu verras pourquoi je dis ça, mais aucune raison en réalité –, de ne pas te fâcher ! Et que rien, ô grand jamais, n’attentera à notre si belle, belle, belle amitié ! (Il se passe un truc encore, comme jamais : j’en suis à je ne sais combien de tentatives d’envoi, déconnexion à chaque fois...) »

Il est quatre de ses mots dont je n’ai pas encore bien pris la mesure : « si réceptif aux synchronicités ». (C’est sa question japu combien : « Pourquoi penses-tu être... [+ les 4 mots] ? » Mais c’est la 2 ou 3 je crois. Allons au bois.) En les citant plus haut, j’en étais encore à les... percevoir comme l’expression d’un doute quant à la « réalité », elle-même, du phénomèèèèène. C’est à moi que ça a un peu « tout cassé » sur le coup. Mais attention ouh là là, je transcende et je reprends ma Voie, dalajobonu[82], na. C’est PRESQUE aussi efficace que ça. Mais ça n’est pas ça. C’est plutôt en fait que mon ami, à mon avis (sans vouloir lui faire dire ce qu’il n’a pas [?] dit), m’interroge sur le pourquoi. Du comment. Sur ce qui se passe vraiment. « Pourquoi. Ce qui se passe vraiment ? » : j’avais écrit ça comme ça, avant de dénobapaïser, de 21/01-troiser, de reformuler et de compléter tout ça. Je m’étais répondu et je poursuivais kon sa :

D’un côté ça m’intrigue à un point que je ne saurais dire, de l’autre je le sais TRÈS BIEN tout en n’en sachant RIEN et c’est TRÈS BIEN. C’est la posture du TRÈS BIEN-RIEN-TRÈS BIEN (TB-R-TB). Je plaisantais, encore, plus haut sur la puissance du phénomèèèèène, or s’il est une certitude c’est celle-là. Étant donné celle qui vient encore de se produire (le 25/01 vers 11 heures). Je m’étonnais moi-même de me trouver à écrire : « Promets-moi que rien n’attentera jamais à notre amitié »... Comme si je pressentais que l’affaire allait se corser...

La goutte qui a fait déborder et grossir en hiryotte du 21/01-3 la nobapa est tombée aux date et heure indiquées. Elle m’a fait déborder moi-même, me « contraignant » – car la synchronicité est trop belle, trop dingue – à « tout », ou presque, lâcher... Je ne peux en outre ne pas consentir à cette concession : le [biiip] de la synchiotte 21/01-2 = vulgaire. Aveu s’il en est, car outre le rapport entre mon amikri... euh... critidmirtempteur et ce qui suit, pour la compréhension de la belle-dingue pas le choix. (Suis-je bête, de toute manière je le prends... euh... reprends, le terme, dans mon cul.)

Un peu de vaseline d’abord... Angelu : « Mais c’est kiki... euh... qui qui encule qui alors ? On n’y comprend vraiment rien à tes salades. » On s’encule mutuellement, dans cette histoire, puisque je traite de culs que nous nous sommes échangés. Je ne vois donc pas ce qu’il peut y avoir, en l’occurrence, d’ambigu. Le lubrifiant : j’ai songé à écrire, japu trop à quel propos, dans la synchiotte 21/01-2 je crois, concernant ledit : « C’est peut-être le meilleur d’entre nous. » La vérité c’est que la lèche je ne pratique pas trop, et qu’autant ces mots me sont venus comme un crucu[83], autant ils peuvent sembler un peu... idiots.

Bon mais c’est dit. La Sync de Sync :

J’écoute et regarde des émissions par intermittence, pendant que j’écris, sur mon ordi-télé. Je suis sur « C à vous la suite ». Vers 57:30/57:35 du replay, rubrique « Les actualités de Bertrand [Renard entier + TB ; merci bien] Chameroy » :

À la Une de ce 21 janvier, un fait divers. Comme il le fait quotidiennement, Christophe Hondelatte proposait sur Europe 1 [« Hondelatte raconte »] le récit d’une bien macabre affaire, et celle du jour est particulièrement intrigante. [Krikri :] « Le Docteur Brinkley, qui fait une promesse à ses patients qui bandent mou. » Une vidéo pour le moins efficace, puisqu’elle m’a donné une furieuse envie d’en savoir plus sur cette solution proposée par ce docteur, et donc d’écouter le récit de Christophe Hondelatte, et d’allumer ma radio. [KK :] « Il a promis à des milliers d’homme de ressusciter leur vigueur sexuelle en leur greffant des couilles de bouc, et qu’ils band’ront [pour sûr il ne se veut pas du « Sud-Ouest » son accent...] com’ des taureaux ». Anne-Élisabeth Le Moine [la couille de notre moine – de momou... euh... dou – frémit, sans forcément faire bouger l’autre, mais ce dernier n’est pas sans rapport non plus avec ce qui nous occupe ici : voir le Glaire-mou-de-synus[84]] : « Des couilles de quoi ? De quel animal ? » [La Voix... euh... Voie... euh... voix de Totoff se fait depuis quelques temps il est vrai on dirait un peu le mal... mâle... euh... la malle...] « De bouc ! », lui répond le Renard TB. + Commentaires (pas très intelligibles) d’un Benoît Poolvorde entouré d’Édouard Baer et du François Damiens des hilarantes (pour certaines) « caméras planquées », dans un fou-rire général...

J’ai trouvé dans ma bîtule[85] en rentrant cet après-midi, avant que ne me rejoignît cette joyeuse compagnie, la BD Dac – La déconstruction de l’analyse constructive de David Snug. Chaque planche est chapeautée par un titre précédé d’une date, soit quelque Quatre-Vingt Jours entre le 1er septembre 2019 et le 31 août 2020.

Ma Page 50-Ans :

30 SEPTEMBRE 2019 : DOUCHE FROIDE.

C’est aussi LA page du bouquin.

Car sur le dessin psychédélique de la couverture d’une manifestation avec pancartes et slogans, l’une domine, par ses dimensions, avec cette inscription :

FAITES PIPI DANS LA DOUCHE POUR SAUVER LA PLANÈTE.

Et dans la première case David Snug, le pseudonyme de l’auteur, qui est aussi le nom du personnage principal, est à poil sous la douche.

C’est LA SEULE PLANCHE ainsi savonnée... euh... à illustrer, du moins aussi clairement, un thème (LE thème) mis en exergue à travers les slogans, au nombre de... 6, des 1ère et... 4ème de couverture.

Cases 4, 5, 6...

... « Allons au bois » : qu’est-ce que ça vient foutre là ? Me suis-je moi-même un peu demandé. La question étant plutôt ce qu’on peut bien aller y foutre, au bois, mon texte, au bout de X modifs et rajouts, finit-il par compléter tout seul. Non sans répondre à la question : 4, 5, 6... mais cueillir des cerises évidemment !!! Ça n’est pas la saison ? Le tempaxa[86] !

Sur le chemin (en pas-attendant le pas-temps) des Cerises :

C4 :

Comment c’est froid, les douches à l’eau froide ! Je peux vous dire que ça ne traîne pas, en 2 minutes c’est plié. V’là les économies d’énergie, moi j’vous l’dis.
Faudrait dire à Juliette Binoche, Mélanie Laurent, Nicolas Hulot, Pierre Rabhi [tiens ! tiens ! tiens ! l’est pas loin dans le pas-espace-pas-temps sara... euh... para-modoupaïen lui non plus !], Marion Cotillard et Denis Cheissoux, que ce n’est pas en pissant sous la douche qu’on va sauver la planète...

C5 :

Mais en prenant des douches froides...

C6 :

Quoique pour te réchauffer un peu...
Tu peux toujours te pisser dessus...

Glissade arrière jusqu’à C1 :

Cerise sur le gâteau, la main sur le cœur... euh... le robinet qu’il vient d’ouvrir David jure :

Bordel de cul, y a plus d’eau chaude.

Alors que l’expression convenable est :

Bordel à queues.

Cerise bis :

Je ne sais pas si l’on se rend bien compte, mais plus loin dans une bulle c’est carrément : « le temps des cerises » ! Je l’apprends – nous sommes le 26 janvier – quelques heures après avoir imaginé cette balade en forêt, où le fruit s’est mis à pousser, en plein hiver, de tous les côtés. Je ne l’avais pas anticipé ! Toutes mes synchronicités sont authentiques, et garanties sans trucage ! Pas plus ici qu’ailleurs je n’ai monté de char. Et je mettrais presque ma queue à couper que dans pas longtemps c’est une voile ou des bœufs – à notre bestiaire il ne manque plus qu’eux ! – si ce n’est les 2, qui vont nous apparaître, dans le paysage ! Je vous tiens au courant, le cas échéant.

Moins bucolique pour l’instant : des chiffres. S’ils ont leur fanne (je ne désespère pas d’un jour pouvoir tout [méga-]pluraliser, et masc-fémer, sans... tricher ! ô grand jamais !), ils font moins l’unanimité. Moi aussi je préfère les animaux (difficile toutefois d’en contester la prolixité, dans le présent tableau), les fleurs, la mer et les oiseaux. Aux comptes. Aux maths ? « J’ai rarement vécu pareil soulagement que quand, une fois mon bac B en poche, à l’université, j’en ai été débarrassé ! » (vodou papi 6).

« Plus loin (le temps des cerises) ? » Non, désolé, je ne reprends pas cette interrogation avec l’intention de m’étendre sur le bleu, le vert ou le doré de chatoyants horizons. Un sentiment d’abandon, de ce qu’on leur refuserait de se promener dans la nature avec nous, a-t-il poussé nos inénarrables numéros à se manifester de nouveau ? C’est tellement joli, maintenant que l’excès de trivialité dans le récit en cours semble-t-il c’est fini (et hormis les histoires de pipi) !

Leur stratégie cette fois : pages de la douche froide et des cerises comprises, le nombre des 1ères, entre les 2, est de... 21 ! La séquence est la dernière... 21-ienne. Qu’est-ce que cette affirmation insensée ? (Comme si ça me ressemblait.) Oui, elle est datée du 28 décembre 2019. La suivante du 7 janvier 2020. Cette iabloté cerise-21 est donc notamment celle du passage d’une année à l’autre, à l’instar de ce contexte de la transition entre les années 2021 et 2022 dans lequel s’inscrivent nos synchiottes, depuis la fin de la 1ère et le début de la 2ème, et de ce 21 qui s’accroche. Par « dernière 21-ienne séquence » j’entends la dernière de la... 21ème année. De l’année en 21 je xi[87], la 2019, dans laquelle ce nombre, oui mesdames et messieurs, est celui de la somme de 19 et de 2 !

Les titres, pour le 28 décembre 2019 et le 7 janvier 2020, sont respectivement « Liberté, égalité, beau fessier » et « Alors c’est qui, le numéro 1 » ? Les cerises du bédessinateur n’en sont pas. Ce n’est pas le temps de celles-ci. Mais non, au beau milieu de l’hiver, dans le monde (apparemment) temps-espacé, ça n’existe pas ! « Le temps des cerises » est celui d’une marque de jeans, d’où le « beau fessier ». Que le vocabulaire est chaste désormais ! C’est pour ça que le 21 a pensé que c’était très sympa par ici, et que c’était l’occasion de refaire une apparition. Et il fait comme dans nos histoires, il affiche sa ferme intention de perdurer, dans la nouvelle année. En effet : dans 7 janvier 2020, exit le 21, mais dans « 7 janvier 2020 : alors c’est qui, le numéro 1 ? », vous ne le devinez pas ? Oh, c’est très subtil, et délicat. Ça tiendrait presque de la poésie. Subtilité, délicatesse, poésie : c’est un joli pied de nez du 21, au nom de tous les siens, à nos aprioris – au fait il nous rappelle aussi qu’il est chez lui, dans cette dernière du tiercé des Sync-21/01 ! –, derrière des lettres qui ne se sont pas toujours montrées des plus distinguées. Mais quelle ironie et quel talent, dans de stupéfiants-fiantes coups de théâtre et mises en scène, elles ont encore déployé !

Nos Chiffres et nos Lettres : la vérité c’est qu’Ielles n’ont pas fini de nous épater.


25/01 — Sync béco-gor-patou-rage[88]

Miel-é-fraise page 394 :

LECONTE DE LISLE
Nom et prénoms : Leconte de Lisle, Charles Marie
Naissance : le 22 octobre 1818, à Saint-Paul, dans l’île de la Réunion
Décès : le 18 juillet 1894, au hameau de Voisins, près de Louveciennes
Lieu : l’île de la Réunion
Professions : journaliste, traducteur de textes grecs
Amitié : Louis Ménard, helléniste

Je précise juste que j’ai cona-nasé[89] la synchiotte 21/01-1 ce même jour. Et c’est pour la Beauté du Personnage.

Né a la Réunion, fils d’un chirurgien de l’armée impériale devenu planteur de canne à sucre, Charles Marie Leconte de Lisle est élevé à Nantes. ll rejoint l’île à l’âge de dix ans. L’enfant est alors ébloui par la beauté des paysages et la nature exotique. [La Gwadloup, « on péyi majik » : vis joie 2]. Plus tard, il regagne Paris pour y mener des études de droit. C’est l’échec. ll retrouve lors d’un ultime voyage l’exotisme luxuriant de la Réunion. Rentré définitivement en France en 1845, Leconte de Lisle participe au combat social. Très actif pendant la Révolution de 1848, il s’engage aux côtés des groupes démocratiques et publie un manifeste réclamant l’abolition de l’esclavage. Sa famille lui retire alors tout moyen d’existence. Leconte de Lisle vit de ses traductions des auteurs de l’Antiquité. A l’âge de trente-quatre ans, son premier recueil, Poèmes antiques, le fait connaître. Dix ans plus tard, ses Poèmes barbares, lui valent une pension de l’empereur Napoléon lll. Célèbre, admiré, devenu le chef de file du mouvement du Parnasse, il est élu à l’Académie française en 1886, au fauteuil de Victor Hugo. ll meurt en 1894, honoré par la lllème République dont il avait salué l’avènement au lendemain de la Commune.

Jmidi en m’emballant « pour la Beauté du Personnage » : si c’est comme Voltaire qui a fait fortune dans le commerce d’esclaves... Je vérifie sitet : « Voltaire a été accusé d’avoir amassé son immense fortune grâce à la traite négrière, qu’il fut pourtant l’un des premiers à dénoncer ouvertement. En réalité, aucun document ne permet de l'affirmer. »

C’est dingue. Auto-verbatim modoupaïen : « Loin de prendre pour argent comptant tout ce que je lis et entends... » ; « cet impératif, comme je l’ai argué jadis au gré de mon exploration du Mondo-païen[90], de ne JAMAIS RIEN PRENDRE POUR ARGENT COMPTANT [...] ». En majuscules, c’est dur... euh... dire.

Quoi qu’il en soit le Beau Personnage est ainsi miel-é-fraisé, à la fin de la page suivante :

Les Poèmes barbares s’ouvrent à d’autres civilisations comme l’lnde, le Pacifique, l’Europe du Moyen Âge. Pour Leconte de Lisle, est en effet « barbare » tout ce qui ne relève pas de la civilisation grecque.

C’est moins barbare que si... j’ai encore dit dingue y a pas dix digues... euh... dix lignes, non ?... Parce que là je me demande comment que je vais pas répéter « Voltaire » : j’ai « Aroué », son vrai nom, en tête, mais japu comment ça s’orthographie... Arouet. Prénom : François-Marie. Merci Internet. Et l’îlien c’est quoi son petit nom ? (Ça n’est pas comme si je l’avais écrit deux fois.) Roulage un mètre sur mon fauteuil, tendage de bras gauche pour choper le pot de miel à la fraise de mon PD[91], portage vers les zœils, qui (re)voient : Charles Marie.


28/01 — Dans la BD de la Sync-21/01-3 la voile n’a finalement point point à l’horizon, et aucun bœuf n’a pointé la pointe de ses cornes. Mais de voiles j’ai été amené à parler le lendemain du jour où la rédaction j’en ai terminé, dans une discussion avec un type qui est à la plage de la Datcha à Gozyé absolument tous les jours que le-la bon-bonne Dieu-Dieuse fait – du moins ceux où Celleux-ci m’y amènent –, mais avec lequel je n’ai eu qu’il y a quelques jours l’occasion, pour la première fois, d’échanger. Peu après qu’à la faveur d’une synchronicité je me suis dit « cuivré ». J’avais plus exactement évoqué le « Basque au teint sombre et cuivré » par C, C, C & P miel-é-fraisé (par les auteurs du bouquin concerné dans celui-ci ainsi présenté). Mais que l’on pût de la sorte me caractériser – hormis que, certes, je suis copieusement bronzé –, je ne sous-entendais, en réalité. Or s’il fallait dire une couleur pour celle qu’à force de soleil a pris la peau du monsieur, « cuivre » serait peut-être effectivement celle qui conviendrait le mieux ! À part cela son physique ne présente pas d’« attrait » particulier. Mais ça n’est pas le sujet.

C’est... à l’origine un Blanc, un Parisien, établi en Gwadloup depuis vingt-cinq ans. Il habite le centre de Gozyé, après avoir vécu un certain temps dans une résidence près de la mienne dans le quartier de Bas du Fort de la même commune. À Bas-du-Fort ne sont justement pas apparues de voiles, récemment. J’ai menti ? Non, j’ai dit que de voiles j’avais parlé, mais des voiles vues, jamais. Je mens ? Personne ne peut affirmer dans sa vie n’en avoir jamais vues ? Quand on en a passé, surtout, au bord de la mer et sur une île, le plus clair ? Non, par « jamais » j’entendais à aucun moment, dans mon histoire de synchronicité. Même pas le jour où j’ai vu un voilier. À Bas-du-Fort, depuis ma terrasse, en face de chez moi. Dans l’eau, mais on se doute bien que pour en avoir vu un ce jour-là je n’ai pas vue sur des champs. Cependant là, oui, je mens : ce n’était pas le jour mais nuitamment. C’était un deux-mâts. Un bateau modèle antique. Magique, avec ses éclairages. Je suis descendu admirer ça de près.

J’avais un peu niaké, précédemment, dans la narration de ce que j’avais tenu pour une synchronicité mais pour laquelle une donnée prise en compte par moi était erronée. Mais il s’est alors passé cela :

Pour me consoler, quand je l’ai à l’instant rallumé, une heure miroir mon téléphone m’a affiché. Et laquelle ? 16:16. C’est donc avec le 4 [présent en je ne sais combien d’exemplaires dans le cas considéré][92] une nouvelle fort fameuse synchronicité. Une fachotte, et madapayenne (même-quand-y-en-a-pas-y-en-a-une). Sidérant.

Ça l’est encore plus dans le cas présent [le présent de ce présent passé ? de ce début du mois de mai ?...]. Ne sommes-nous en même temps toujours pas à la recherche de notre voile ? De notre synchronicité surtout. En amont de la voile [et en avoil... euh aval ???... après mon aval savais-je que viendrait cet amont ?... non !!!] ce n’est pas ce qui manquait, mais après ? Le fait que j’en aie parlé ? Non, soyons sérieux. D’autant que même sur le voilier il n’y en avait pas. Sur les deux mâts elle était repliée. C’est une synchronicité même-quand-y-en-a-pas-y-en-a-pas-même-quand-il-devrait-y-en-avoir.

Sidérant – l’effet était... bœuf [l’anival... euh... mal non plus, je ne me souvenais pas qu'il vach... euh... vaquait déjà là !!!] –, c’est ce qui est arrivé le lendemain de ma conversation avec Peau Rouge. Je lui ai parlé de mon voilier car nous jappions tout-ce-qui-flotte et beaux engins – y compris les camions –, aiguillés vers cela que nous avions été par un assez superbe yacht qui mouillait, face à nous, dans la baie de Gozyé. Une vision exceptionnelle, il n’y a jamais de navire d’un tel standing par ici (à la marina un peu, si). On n’est vraiment pas à Saint-Barthélémy où, ai-je narré, j’ai eu sous les yeux aux abords de l’île, à l’issue d’une rapide traversée en ferry, depuis Saint-Martin où j’habitais alors, un rotolu de concentration de richesse sous la forme d’une multitude de yachts plus luxueux et modernes les uns que les autres. Je dis dans Modoupa ma fascination – abstraction faite de la sensation presque physique de nausée qu’un tel étalage a pu me procurer –, pour les beaux engins, les engins rutilants, toutes catégories confondues.

Le lendemain en début d’après-midi je m’apprête à sortir. Pas d’excursion en mer, ni même de plage au programme. Uniquement des courses, et aucune à la voile. Ça aussi c’est phénoménal. Car il fait un temps absolument sublime tous les jours en ce moment, et celui-là, que j’ai prévu de consacrer à me ravitailler en denrées pour m’alimenter et matériel pour bricoler, il est tout pourri. Un bateau, pourtant, a l’air de m’inviter au voyage. Au moment d’appuyer sur l’interrupteur du volet roulant, dans le triangle de mer entre deux toits, que je perçois depuis cet endroit aux trois quarts de la distance entre le rebord de ma terrasse et la cuisine au fond de l’appartement, le yacht de la veille est passé, lentement.

Effet bœuf [c'était donc LE (pré-)carré de la bête ce recoin de mes hiryottes !!!... qrade ta chade é le por (ben c’est ça accourez, toutes mes bêtes !!! c’est votre fête !!!...) : 44 % !!!] : pour qui ça pourrait paraître un peu exagéré j’ai un supplément. [Exagéré ! Exagéré ! Mais qui pourrait encore le penser ???!!!] Upu lulu jacta[93] j’ai trouvé dans Miel-é-fraise un bateau, ivre, au sujet duquel la pensée de Rimbaud dans la première strophe d’un poème fleuve voguait comme cela :

Comme je descendais des Fleuves impassibles,
Je ne me sentis plus guidé par les haleurs :
Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles
Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.

Rimbaud est né un 20 octobre. C’est en 1871 qu’il rédige Le bateau ivre. Ça, c’était une pute-a-pain de cerise pour la madapayenne quatrienne.


29/01 — Ça commence par un complément à mon histoire d’histoires. D’histoires drôles. Je vais pouvoir en ajouter une, une hirelle en modoupaïen, à mon répertoire, qui en compte une demie (cel du ketchup : V5 20/01). J’en ai entendu une dans mon dos et par-dessus ma tête. Ce n’est pour une fois pas un phénomène extraordinaire, je suis juste assis sur ma murette. À mon salo met-lanorac de la plage du centre de Gozyé. Mais le pas-extraordinaire, avec moi, ne dure jamais longtemps, et quelle ne fut pas ma surprise quand le Gwadloupéyen installé dans le resto, dans mon dos (et par-dessus ma tête), derrière sa palissade et que je ne pouvais voir, même en tournant la tête, se mit à prononcer ces mots : « Salaud ! Mets ton anorac ! » Il faut reconnaître que pour une entame d’hirelle, ça n’est pas banal ! On ne pourra pas me contester la totale nullité de la probabilité d’une telle synchronicité (sous les Tropiques qui plus est !!!), et le fait qu’au seul Doigt de Dédé elle puisse être attribuée ! Ah, si au moins ça pouvait être vrai, le-la dernier-nière de mes contestataires serait rétamé-mée ! Mais mets ton anorac ! Qu’est-ce qu’on se marc avec moarc.

La vraie hirelle : le client attablé a d’abord précisé que sa mère était matinikèz. Puis a posé cette question à son tout aussi invisible vis-à-vis : « Tu sais comment ma mère a rencontré mon père ? Elle était pati niké. » Courte et efficace.

[Le 08/05 : 18:34 qramé popote.] 4 histoires pas drôles, celles que j’étais à l’origine parti pour conter, se sont par ailleurs étonnamment enfil... euh... enchaînées. Je commence par la 4. Sur Radyo Tanbou en venant, une chanson, un chouya langoureuse, pour ne pas dire légèrement gnangnan, genre hymne à la résistance et à la liberté. La forme, gnangnan, pas le fond évidemment. Interprétée par un Gwadloupéyen. Noir c’est noir, il n’y a plus d’espoir. Mais la Voix qui suit est blanche, ouf, quelle chance. Le Français prend le relais pour clamer l’anti-soumission et la liberté. Yenki sa, rien que ça, je suis baba. Ça n’est pas commun, c’est la première fois mèm, un Gwadloupéyen et un Français main dans la main dans ce refrain. Sur cette radio les Gwadloupéyen-yèn, d’habitude, rouspètent et revendiquent entre elleux. Et c’est une diatribe d’une remarquable éloquence qui s’engage. Un texte cousu main, un énoncé de haute facture. C’est un concentré de ritournelle Rétine[94] du type de celle qu’on s’est payée avant-hier Peau Rouge et moi.

Il est là (aussi immanquablement que le lever du soleil), à quelques mètres, sur sa serviette, entouré de ses copains-pine (une seule [vieille] pine). Le Clown qui déboule !! Juste quand j’allais m’écrier : « Eh, Peau Rouge, c’est quoi ton prénom ??!! » Parce que l’histoire avé le Clown c’est l’autre jour au même endroit le coup du keum qui m’a dit bonjour dont je ne voyais pas bien qui que c’était et à propos duquel c’est le Clown qu’a piné[95] qu’il s’était pris pour Bruce Willis (le semi-inconnu s’était boule-à-zéroé). Une histoire donc, dans ce cas de figure également, de recherche d’identité. Celle du sombre et cuivré alors ça y est, je connais ? Que néné... euh... nenni, car je ne me suis bisû pas amusé à ainsi le héler.

Notre ritournelle d’il y a deux jours, comme son nom l’indique, ça n’était pas très original. Pourtant je mens. Car c’était un peu différent de la Rétine qui opère habituellement. Et l’extraordinaire présentement c’est surtout là-dedans : la fusion comme un seul bloc, la juxtaposition, des histoires 1, 2, 3 & 4. Sur le thème de l’asservissement VOLONTAIRE par les biens de consommation, les réseaux sociaux et le travail. Une des formes d’esclavage moderne, l’a dit le monsieur à la radio.

Au chamou 6, après une citation – « Je n’ai jamais travaillé en entreprise. Je n’ai jamais eu de N+1 ni de N+2. Parfois, avoir un quotidien stable, des collègues et un salaire tous les mois aurait pu me faire envie. Mais il y a quelque-chose qui me refroidit toujours, c’est quand j’entends les salariés me parler de leur chef » –, j’opine que « l’expérience relatée par les uns-zunes et les autres démontrent fort malheureusement le caractère si souvent exécrable des relations au travail, et qui en disent tellement long sur l’état de pathologie chronique de la société et de ce monde. » À l’adresse de mon interlocuteur plagiste (vivement que je puisse le prénommer), j’ai eu ce crucu, toupandan que nous nous félicitions de travailler, l’un comme l’autre, à notre compte : « Quand les gens te parlent de leur boulot de tous les côtés c’est que de la merde ! »

Mister Snug de la BD de la Sync-21/01-3 balance à tout va sur les asservissements 1, 2 & 3. Sur le 2 il s’inclut un peu. Il se dit « smartphonodépendant ». Sur le 3 il dit ça :

Si tu ne veux pas devenir esclave du grand capital, ne travaille jamais, mon p’tit gars.
La subversion, c’est par exemple dessiner des bédés qui expliquent pourquoi tu as décidé de ne plus travailler et de vivre des minimas sociaux, dans cette société où le prolétariat n’a d’autre choix que de travailler pour le grand capital.

Je déteste les tire-au-flanc. J’ai senti un peu de mépris monter en moi. Mais d’une, « détester » est un mot détestable, de deux le mépris n’en parlons pas, et de trois Mister est un bosseur, en l’occurrence un BD-dessinateur. TOUS, absolument TOUS les métiers devraient être rémunérés, et à leur juste valeur. Y compris le « Premier », le plus vieux du monde, le métier d’entre les métiers : l’élevage d’enfants. La misère, la galère pour le moins, dans laquelle vivent un grand nombre d’artistes, pour ne parler que d’elleux, est une HONTE. Bon mais je ne vais pas me remettre ici à raconter par le menu comment que le capitalisme c’est une belle saloperie.

Pas me mettre à réfectionner le Monde.[96]

À réinventer le Monde.

À refaçonner le Monde.

À rafistoler le Monde.

Quelqu’un, d’autres synonymes ?

Rimbaud : moi ! Tout à l’heure quand tu rentreras tu liras : « Chacun des poèmes qui constituent le recueil des Illuminations apparaît comme une scène féérique ou hallucinatoire, un “instantané” d’extase ou de liberté. Chaque “phrase”, chaque poème est pour Rimbaud l’occasion de recréer le monde. » Je te mets des chars aussi, et du cuivre (V5 21/01-3), dans... Marine. [C’est moi qui point-de-suspensionnise. Tiiiii la-la-la-la tsoin-tsoin.]


30/01 — Salo met-l’anorac. Je teltapote. Ça bouge et j’entends des voix, à côté de moi. Je lève les yeux : une antique dame est assise sur la murette à ma droite. Un tout petit bout de Gwadloupéyèn, la quatre-vingt-dixaine, si ce n’est la centaine... non peut-être pas quand-même. Bon, elle n’est ni descendue du Ciel où beaucoup se sont déjà rendus-dues, à son âge, ni arrivée là toute seule comme une très, très – trop toute petite grande. Zodiacs... ha ! patépo ![97] mais ça n’est pas trop ça tout de suite le programme. Non, juste un tournage de zœils vers la gauche de la dame : une silhouette dans le soleil de cette fin d’après-midi qui m’éblouit. Ça m’éblouit, les fins d’après-midi. Le fiston – j’imagine –, est en train d’installer une chaise longue et de l’encore-plus-confortabiliser évé on sèvièt.

— C’est le nouveau salon ?

Y vais-je de ma sympaccroche du moment. Et je me fais rire tout seul :

— Ha ! Trop drôle ! Moi ici c’est mon salo !

— Mais enfin, soyez poli, monsieur ! D’abord on ne se connaît pas, et devant une vieille dame...

Aïe, ça commence mal, j’avais sympaccroché mais n’ai pas pu m’empêcher de déraper, c’est pas vrai.

Vrai ? Pas vrai ?

Mémé se meut de sa murette à sa chaise. Le fils (une drôle de tête, pas un perdreau de l’année, forcément, mais c’est peut-être plutôt le petit-fils ; et dis donc d’une musculature, pour son âge, impressionnant) dit à sa (grand-)maman qu’il a besoin de japa quoi aller faire à sa voiture et qu’il revient. J’en profite pour raccrocher :

— Je la surveille, et si elle est pas sage...

— Vous, ne me parlez plus !

Hypothèse n° 2 :

— Je la surveille, et si elle est pas sage...

— Vous la grondez ! Avec patience.

Le monsieur est parti, revenu, allé à l’eau, rerevenu. Un vrai Français incapable de s’abstenir, après son bain, de cette platitude : « Elle est bonne ». Qu’à cela ne tienne, je m’en sers pour mon accrochage suivant, au bout d’un petit moment :

— Bon eh bé on va aller la goûter, si elle est si bonne.

M’adressant à mémé :

— Je vous emmène, madame ? Vous venez vous baigner avec moi ?

— Merci ! Merci ! Me répond la toute petite dame d’une toute petite voix.

Passé une petite trentaine de mètres depuis le bord je sens des algues. Beurk. Les sales garces. Y en a plein. Ça faisait longtemps.

La méditation de masse des 4 et 5 avril 2020 annoncée a eu lieu « au moment exact de la conjonction Jupiter-Pluton ». [...] J’ai foncé à Mon Temple [au bord de l’eau]. Bravant le couvre-feu que les autorités avaient instauré, pour le week-end de Pâques, afin que les Gwadloupéyen ne soient pas tentés-tées, malgré la conne[98], de se livrer à leur grande tradition pascale de camper sur les plages. [...] Dès le lendemain, en guise de miracle... les algues des Sargasses dont le littoral guadeloupéen est régulièrement assailli, après avoir entièrement disparu, pendant plusieurs mois, avaient envahi les eaux de la pabachi[99] !! Certainement les cieux nous en remettaient-ils une couche pour nous signifier… qu’il y avait encore du boulot !

Voilà c’est ça, les sales garces, ainsi que je les chamou-53-Livre-54-XabiWiki-ma-poco-bité-ise. Mais elles en colonisent d’autres, des chamous, les chamelles.

À mon salo avant d’aller à l’eau à un moment donné Cyril... Ça yééééé !!! Tu peux venir m’essuyer !!! Ah non, c’est pas ça. Ça yééééé !!! Je sééééé !!! Comment qu’y s’appelle le bonhomme cuivré ! Je ne vais plus avoir besoin de le peau-rouger ! Cyril, depuis sa serviette à l’immuable distance entre lui et moi quand je met-l’anoraque, entame une conversation avec une dame, dans mon dos et par-dessus ma tête. Ça n’est pas un phénomène extraordinaire... patita (V5 de la vieille... ah, non, celle-là c’est celle-là, c’est la V5 de la veille). Il finit par se lever et s’approcher d’elle. Il est à mes pieds, la dame est dans mon dos, par-dessus ma tête. Ça n’est pas un phénomène extraordinaire... patita. Elle est dans le Panoramic. Ça n’est pas un phénomène extraordinaire, c’est le nom du resto. Accoudée à la balustrade. Coup d’œil aux deux. Dans ce triangle je ne vais pas me laisser court-circuiter, et m’allume. M’incruste, quoi, dans la conversation. Ça jacte d’un type qu’est allé vivre en République dominicaine, à Punta Cana. Ah ! Punta Cana ! Fioncraçage dans mon fion-de-ma-tata[100] : quoi, je ne parle nulle part de Punta Cana ? J’ai perdu ça ? Ou pas, mais pendant la réducu[101] de mon Dieu et tout ça, des passages ont disparu. C’est un pipi[102] de ma lavi évé Manno de quand nous séjournions à Santo Domingo. Un haut-lieu touristique à locaux sobré todo (surtout) + tous les extranjéros. Totalmenté loco. Non, c’est pour le jumo, animé plutôt. Des plages à perte de vue.

Cyril à sa copine :

— Tout est ouvert là-bas ! C’est pas comme ici avec leur couvre-feu !...

Moi :

— Tous à Punta Cana !

C’était tout, l’allucruste. Je sais me tenir.

À mon salo après d’aller à l’eau un Gwadloupéyen, un sans (la moitié des) dents (de devant), dans les cinquante-cinq ans, légèrement ventripotent, est arrivé évé son vélo. Il l’a soulevé et l’a posé sur la murette.

— Je le mets là...

Pour pas qu’on lui vole. De là : une histoire incroyable. Point de sync, de synchiotte, d’hiryotte, de iabloté, de joyité, de bonté, de fachotte, de mi-crotte ou mi-crotée, ni de sale-chiée ou autre socédure. Non : l’histoire incroyable, l’hirirale, que le gars s’est mis à me raconter. Je nous cite sur le thème des voleurs : ils n’ont peur de rien ; ils ne reculent devant rien ; tout est bon ; rien ne les arrête ; c’est un vrai métier ; du grand art ; ils sont trop forts ; c’est impressionnant ; bon, c’est pas très honnête, mais quelque part ils le méritent, ce qu’ils arrivent à voler, c’est du boulot ! on devrait les féliciter ! Le gars de passer en revue des prouesses volistiques à coup de tronçonneuse, massue, je ne sais quoi encore, dont il a été témoin... On a scié un palmier un jour pour lui voler son vélo.

L’hirirale c’est qu’un jour il a oublié ses clés sur sa bîtule. Il m’explique d’abord que quelqu’un est alors rentré chez lui plusieurs fois.

— Ouh là là, c’est horrible ! C’est flippant !

Ça a duré trois mois ! Je ne comprenais pas bien au début, il me parlait de son frigo...

— T’as peur d’aller dans ton frigidaire. Tu sais pas si y va pas y avoir une bombe... Il me prenait rien !

— Ah bon ?

En fait l’intrus avait uniquement plaisir à pénétrer chez lui. Il se servait juste un peu à manger (tant qu’à faire), dans son réfrigérateur donc. Le narrateur me demande :

— Tu connais pas ? On appelle ça des voyeurs.

— Des voyeurs ? Ça alors.

— C’est maladif.

Pour un phénomène, encore. J’applique la lorgnette Gwadloupéyen-yèn à ma pensée. C’est bien elleux, ça, me dis-je. L’ultra-curiosité (il faudrait inventer un mot), sur fond d’esprits tordus... Oui, les chiens ne sont pas des chats. Mais c’est dit avec toute ma tendresse et mon immense respect pour ces gens. Ces Gens. Comme je me fais fort d’en témoigner de manière générale. Le b.a.-ba, quoi. Les Gwadloupéyen-yèn toutefois c’est quelque-chose. J’aime beaucoup, très sincèrement. Évidemment, pas tout. Je suis bien, en Gwadloup. « On » est bien : mieux qu’en Matinik. J’ai récemment eu la confirmation – pas la première, mais particulièrement édifiante – que les Matiniké c’était très, très spé. Ah, je sais, c’est de Mark le magnétiseur ! (V5 05/01) Une... source (et ça c’en est un beau, de jumo, car il est sourcier – tous les magnétiseurs le sont, m’avait-il affirmé)... particulièrement sûre ! Parce qu’un type (un Français, mais qui a longtemps vécu en Afrique) extrêmement sensé, humain et pour... capter... les... Gens, les choses, là c’est sûr y a quelqu’un !

Bref, le boug a vélo-la savait, en fait, qui que c’était le volè. Ou plutôt le vwayè. Un voisin. Il n’a pas changé sa serrure parce qu’il voulait, un jour, pouvoir le coincer. Il s’est comporté à son égard, tout ce temps, comme si de rien n’était. Ça aussi c’est elleux, nos coquins-quines de Gwadloupéyen-yèn : ruminer, pendant des siècles s’il le fallait, une... revanche, plus méchamment une vengeance... Et la sorcellerie ? Est-il des... gens assez... maladivement cartésiens pour songer que ça puisse n’être que balivernes ? Qu’ils viennent, s’immergent suffisamment (ce qui n’est absolument pas mon cas, à un tel niveau, mais je sais où je vis, j’écoute, je... capte moi aussi...), et... disons... qu’ils cherchent des embrouilles... qu’ils se comportent mal... La jalousie parfois suffit. Bouh, ça fait peur.

Il a fini par concevoir un système, avec des câbles électriques, pour que le voisin... s’électrocute en ouvrant son putain de frigo ! « Du 380 volts », m’a-t-il dit avoir utilisé ! Là, clairement, à mon avis, c’est le Gwadlourseillais qu’a parlé. Toujours besoin d’en rajouter. Mais allez savoir. « Il est tombé », m’a-t-il dit. « Quoi, tombé ? » « Mort. » Voilà, là encore : il n’a pas pu s’en empêcher ! D’exagérer ! C’est trop ! Ielles sont mythooos !!! Et affabulateurs-trices ! C’est pas triste. Y a qu’à voir en ce moment, leurs délires... jusqu’aux « puces » et à la... 5G !... que les méchants-chantes vaccinateurs-trices sont accusés-zées de nous injecter... Jésus Marie Joseph. Parce qu’il a immédiatement rectifié : « Enfin, pas mort, mais... » Ch’ais plus quel mot il a employé. Il était juste raide, quoi. Les pompiers sont intervenus...

— Il a pas été... inquiété ? T’as porté plainte ?

Quel brave type c’était. Non mais c’est vrai, ça se voyait, ça se sentait... Ça n’est pas comme s’il avait voulu le tuer, son voisin... à coup de 380 volts ! Il a mis quoi, en réalité, du 120 ? Le tuer ? Vraiment ? C’est ce qu’il voulait ? Ça, je dirais, certainement pas. Ielles sont vraiment malins-lines, mes Gwadloupéyen-yèn. Ielles savent vraiment « ce qu’ielles font », « ce qu’ielles veulent »... C’est une généralisation : mais l’on m’entend. Et j’ai envie de dire que le type a fait ce qu’il fallait, pour que tout ça se terminât comme il l’avait souhaité : et je sais, moi, je sens, qu’intelligence et humanité ont prévalu, dans la façon qu’il a eu de s’en dépatouiller et non, à aucun moment, ou à du 45 volts max, de la méchanceté. Il n’a pas porté plainte. Il voulait juste, m’a-t-il déclaré, que son voisin (victime de sa pathologie) comprenne que ce qu’il avait fait « n’était pas bien ».

Une jottise. Monbalesque. Xa-pitre 15 de Modoupa :

Les voleurs ont donc joui d’une chance incroyable, car ils ne pouvaient rien savoir de tout cela. [Que je venais de remplir les coffres.] Autrement dit le Plan de la Matrice était que cinquante mille euros de l’humanitaire allassent au financement de la guérilla des anciens génocidaires. Le Bien. Le Mal. Le Bal. Le Mien. Mon Bal.

La iabloté !!! Ah elle est belle, celle-là ! J’ai fioncra-mon-fion-de-ma-tataé ça aussi, et par quel mot le passage que je suis amené à sélectionner commence-t-il ? Hein ? « Les voleurs » ! Par contre là c’est du très, très lourd, du très haut vol(tage) : le braquage des bureaux de Médecins du Monde à Kigali pendant ma mission humanitaire. J’en ai des frissons en l’écrivant. Car le Mal, en l’occurrence !!!... bieeennn au-delà de l’acte crapuleux de ces... « anciens génocidaires »... Pour l’hirirale du cycliste (du 100 % carbone son vélo, m’a-t-il fièrement précisé), j’allais justement ajouter que le Bien avait pesé beaucoup plus... lourd... Qu’il n’y avait rien eu de « très » méchant...

À part ça, étais-je en train ici de m’essayer à un nouveau pari d’hirachotte ? Non, je ne lutte plus, contre les Forces, et la Volonté de mes DiBouPaPounes. Le salon-salo en entrant s’en voulait une, synchronicité, d’ailleurs. Ne serait-ce qu’une mi-crotée. Quoi que, peut-être même pas tout à fait. Mais la voleur connection : sensationnelle, une vraie de vraie.

Clôture en musique. En retournant à ma voiture, ce tableau (le son arrive) : sur fond de stratocumulus stratiformis (qu’est-ce qu’on ferait sans Internet ???) rosés, à mi-hauteur du morne du calvaire en surplomb de la plage, deux jeunes Gwadloupéyen assis sur un banc en train de bérimbaouer. Je suis monté.

— Bonsoir. C’est beau ! (La paire l’était assez diablement aussi.) C’est quoi comme instrument ?

Un « berimbau », en portugais. C’est brésilien. C’est l’arc musical en bois (« sans doute d’origine africaine », lis-je sitet ; « africain de chez africain », l’ai-je quant à moi qualifié à l’adresse des deux musiciens), avec fil en métal et calebasse, qui accompagne les danses de capoeira.

Je laissai les beaux gosses au maniement de leur archet et au bercement de mes oreilles de leurs subtiles sonorités, tout en contemplant la silhouette noire de chez noir des reliefs de Bastè au loin et la strato-strati-strataquarelle. Une bande d’une bonne quinzaine de motards est passée, en aval, dans un vacaaaaarme !!!

Après avoir échangé quelques mots avec les bérimbaouistes, je me suis positionné un peu plus haut dans leur dos. En repassant devant eux j’ai ainsi décoché, devant mon Double sur la Croix, mon dernier mot d’Esprit de la journée :

— C’était moins harmonieux ça ! (Je désigne la route en contrebas.) C’est mieux ça ! (En les pointant du doigt.)

Franc éclat de rire. Ils ont bien aimé. Et nous nous sommes enlacés... Et nous avons... Allez, je m’en vais.[103]


{Gamou-nase-sot : [A] Acculer = Afficher à l’Accueil ; Acolit = Article de Politis ; Aditita = Advient ce qui DOIT Advenir ; Angelu mon Anar = « Anguélou » mon Ange Gardien ; Anisse = Anné de naissance ; Attilà = Attention, c'est là [B] Badinerue = Bande inférieure bleue (en bas d'un fichier Word-mes-couilles) ; Bague-dotte = Blagounette du Moment ; (Synchronicité) Béco-gor-patou-rage = Brute-de-décoffrage-comprenne-qui-pourra-et-pour-ma-gouverne ; Mobilique = Modou bisyllabique ; Bisû = Bien sûr ; Bolsom = Bordel sans nom [C] Capir fou olaf = C’est la première fois qu’on me la fait ; Catacunu-sapocu = Cataclysme survenu dans un pays où j’ai vécu ou séjourné ; Chamou = Chapitre de Modoupa ; Chira = Chiffre plutôt sympa ; Chirapa = Chiffre plutôt pas sympa ; Chteuneus-neues = Chers-chères et tendres ; Cia moi = C’est bien la première fois ; Cil = Clin d’œil ; Ciqu catali = C’est moi qui capitalise ; Coi-ma-tata = Critique de Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata ; Coi tulapa = Comme si tu ne le savais pas ; Comjadi = Comme je te/lui ai (déjà) dit ; Cona-nase = Colon-lonne de base ; Concon = Contrôle de concentration (pendant la lecture de Modoupa) ou de connaissance (de ses xapitreries) ; Cooler = Copier-coller ; Corbos = Courses au bio ; Cotojo = Comme toujours ; Coucou pépé = C’est fou ce phénomène ; Coular = Côté Obscur de la Force ; Couli = C’est pour la rime ; Cracra = C’est marrant ; Crucu = Cri du cœur ; Cul = Courriel [D] Dadane = Date d’anniversaire ; Danqu tipasse = Dans un quasi-ultime repassage ; Denise = Date de naissance ; DiBouPa = Dieu, Bouddha et Patata ; Diva = Divine Matrice ; Docho = De retour chez moi ; Doudou = Dans/de mon bouquin [E] En tutu = En tout état de cause ; Ecnos = Encore une fois ; Enculer = Écrire (dans) un cul (à.../au sujet de...) ; Endur modlé rata = Entends-je sur mon ordi-télé en écrivant cela ; Enpalé = Et ça n’a pas loupé ; Esmoupe = Expression de modoupaïen ; Estonie = En bas à droite de mon ordinateur ; Etna coi... = Et ça n'est pas comme si... ; Événar = Événement Phare [F] Fachotte = Fameuse synchronicité ; Fagol = Faut rigoler ; Faxon = Fameux personnage ; Figoqu = Figure-toi que... ; Fioncrace = Fonction rechercher/remplacer ; Frache = Fort sympathoche [G] Gachapivi = Grand Chapitre de ma Vie ; Gadou = Grand Honneur ; Gaga-du-Roi ou G3-froi = Grand Gagnant de la Guerre froide ; Gaga-mou-frais = Grand Glossaire modoupaïen-français ; Gamine = Grande Machine ; Gamou-nase-sot = Glossaire modoupaïen-français de (la) Miss-Jottise ; Garonne = Grande Conversation ; Gasconité = Géniale synchronicité ; Gilou = Grand Épilogue ; Glaire-mou-de-synus = Glossaire modoupaïen-français de Sync sur Sync ; Gralion-lapin-loutre-coucou-fada = Grand Saisissement en lien avec la prévision, la perception ou l’annonce d’une catastrophe à la lecture ou à l’écoute d’une information dans les médias ; Gragromoufrais = Grand Glossaire Modoupaïen-Français ; Gran-Bol = Grand Bordel ; Granmère = Grande Première ; Grapio = Grand Épisode ; Grassist = Grand Saisissement ; Grave = Grand Œuvre ; Groi = Grand Noir [H] Hirachotte ou Hire-a-chronne = Histoire sans synchronicité ; Hire-a-chronne ou Hirachotte = Histoire sans synchronicité ; Hirelle = Histoire drôle ; Hirirale = Histoire incroyable ; Hôreuré = Hôtel Fleur d’Épée ; Hiryotte = Histoire de synchronicités ; Homar ! = Horreur ! Malheur ! [I] Ia que moi = Il y a quelques mois ; Iabloté = Incroyable synchronicité ; Ialla-la-ialla = Iabloté dans la iabloté de la iabloté de la iabloté ; Ia tata o rare = Il ne faut vraiment avoir que ça à faire ; Ila tou chié = Il y aurait tout un chapitre à écrire ; Ile qannée = Il y a quelques années ; Iyabon = Incroyable phénomène « [J] J’ai ma faffe = J’avais même pas fait gaffe ; Japa = Je ne sais pas ; Japu = Je ne sais plus ; Jasbi = Je sais bien ; Java ça va = J’avais écrit ça avant ; Je xi (« je chi ») = Je veux dire ; Jélica = Je le réalise en écrivant cela ; Jmidi = Je me suis dit ; Jottise = Jolie petite histoire ; Jumo = Jeu de mot ; Juquri = Juste après que j’ai écrit ça ; Joyité = Jolie synchronicité ; Jus-walou = Jeune serveur gwadloupéyen [L] Lalu-sur-totem = Le/La Plus Truc-Truque De Tous les Temps [M] Madapayenne = Même-quand-y-en-a-pas-y-en-a-une (synchronicité) ; Miaou = Merci beaucoup ; Manu = Manuscrit ; Maouaza = Message ouate-zeu-pape ; Ma-trique = Messagerie électronique ; Maran-lo = Mois d’Avril d’Anthologie ; Matou ou Mi tou = Mais ça n’est pas tout ; Mazo iri ouvadac santoua = Mais allez savoir, si ça se trouve c’est ça, dans ces eaux-là en tout cas ; Miel-é-fraise = Mille ans de littérature française ; Mimouch = Merci moteur de recherche ; Mi tou ou Matou = Mais ça n’est pas tout ; Moine-conar = Moins chouette commentaire ; Modou = Mot de modoupaïen ; Modoupa = Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata ; Mofi = Mot de français ; Molbique ou Monique = Modou monosyllabique ; Moncontula = Moment Congratulation ; Mondo-païen = Monde modoupaïen ; Mongol = Mais non, je rigole ; Monique ou Molbique = Modou monosyllabique ; Mopirs = Mots de désespoir ; Mouche = Modoupaïenne en Cheffe [N] Niak = Nimportnawak ; No-lit = Numéro de Politis ; Nobapa = Note de bas de page ; Nochiée = Note des synchronicités ; Nopapa = Nombre plutôt pas sympa [O] Oursité = Ouragan de synchronicités [P] Pamoncul = Plaque d’immatriculation ; Panatatalamaga = Plus grande manifestation mondiale jamais organisée ; Panda = Plus Grand-Grande Ami-mie ; Papapap = Passage par Paris pour ou depuis Pointe-à-Pitre ; Papiver ! = Pas piqué des vers ; Patépo ! = Pas mal, le téléphone (ce que tu écris là à ma place) ! ; Patita = Patati, patata ; Paxikite (« Pachikite ») = Page XabiWiki ; Peste = Petite histoire ; Piner = plaisanter (c’est le Clown qu’a piné : c’est le Clown qu’a dit en plaisantant) ; Piton = Point d’exclamation ; Pochimis-mies = Proches et amis-mies ; Poco bité – maman cascu lidio = Point encore xabiwikité – mais demander au cas où à l’Accueil si dispo ; Poutana = Pouvoir extraordinaire ; Poutoutpif = Pour la toute première fois ; Pute a pain ou Papa nain = Putain de putain de putain ; Pull = Pass-mes-couilles [Q] Qadj ramina = Quand j’ai rallumé l’ordinateur ; Qadja mina = Quand j’ai allumé l’ordinateur ; Qati nara = Quand j’ai terminé de taper ça ; Qrade ta chade é le por = Quand j’ai regardé le taux de charge de mon téléphone portable ; Qramé popote = Quand j’ai rallumé mon téléphone portable ; Quputupu castoi rotepa = Quelles putes... euh... puces, ces nobapas, à tout le temps se faire... euh... tout le temps sauter [R] Rapinage = diminutif de Renard-poissonnage (Rapiner = nager) ; Redoupe = Règle de modoupaïen ; Réducu = Rédaction du présent chef d’œuvre ; Rétine = Réfection du Monde ; Roti = Record de toute ma vie ; Rotolu = Roti (record de toute ma vie) absolu ; Rude-bitte = Rubrique de XabiWiki ; Rustine = Retouche post-poinfinalation [S] Salbachi = Sur la plage en bas de chez moi ; Salconi = Salon des Synchronicités ; Salo met-lanorac = Spot café-clope murette-devant-le-Panoramic ; Salo-tarage = Spot café-clope Datcha-terrasse-plage ; Salo-tarasse = Spot café-clope Datcha-terrasse ; Saqu culé = Sans que je n’aie rien calculé ; Sara, sara = Sans arrêt, sans arrêt, sans arrêt ; Sara-suit-papa-maman-pa = S’accorde avec le sujet qui n’en est pourtant pas un, mais c’est comme ça dans Modoupa ; Siconne = Série de Synchronicités ; Si pipette = Si je puis me permettre ; Socédure = Synchronicité du jour ; Souridile = Synchronicité Poussières d’Étoiles ; Suce-mabouf = Diminutif de Sucem morabnodem baduf ; Sucem morabnodem baduf = Sur ce mot mon regard est tombé sur ce nombre de mots/ces statistiques en bas du fichier ; Suminu = Sur mon ordinateur ; Surotine ou Sotissone = Super chouette discussion ; Sync-a-la-sync = Synchronicité avant la synchronicité ; Sync-sens = Synchro-je-la-sens ; Synchiotte = Sync/hiryotte ; Syromande = Synchronicité à la demande [T] Ta-le-miel ou talmiel = Totalement démentiel ; Ta pisse = Tant pis je laisse ; Tasbi = Tu le sais bien ; Tiqu = Tu sais qui (ou quoi) ; Toto momo batata = Tout est possible dans Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata ; Totof = Trop, trop fort ; Tou 9 le mastic = Toujours par 9 les voyelles dans les maxi-emphases motrices (sur les mots) ; Toutni/e = Tout dernier/toute dernière ; Toutpi/e = Tout premier/toute première ; Trocon = Trop chouette commentaire ; Tog = Trop génial ; Tosti tosta = Tout est vrai, tout est faux ; Touti rix = Rien n’existe, tout existe ; Trol = Trop drôle ; Trou damapute = Trouvé dans ma pêche aux infos sur Internet [U] Upu lulu jacta = Un peu plus tard le jour où j’ai écrit ça [V] V5... = Voir Sync... ; Vlan = Vers la fin ; Veutumoi = Visiteur-teuse de mon Site ; Vi joi... = Voir Miss-Jottise... ; Vodou papi... = Voir chapitre de Modoupa... ; Voilier = Voisin de palmier ; Volpa rima si eldy castoi sortamite susleté = Voilà, ça n’est pas terminé, mais j’ai tellement de syncs et de chamous en stock que des fois, désormais, je bâtirai mes histoires en plusieurs pelletées ; Vysir = Voyons voir [X] Xabiwikichamouser = Xabiwikiter les chamous</ref>}
  1. Spot café-clope Datcha-terrasse-plage
  2. Fort sympatoche jeune serveur (vi joi* 2) [*Voir Miss-Jottise...]
  3. Renard-poissonnage (nageage)
  4. Un certain Wilfrid, ai-je par la suite appris dans une boutique où elles étaient également exposées, ayant par là-même la confirmation, ainsi qu’il me l’avait affirmé, qu’il était le principal fournisseur de cet article dans son île.
  5. Patati, patata
  6. Me courrielle (cul = courriel)
  7. Messagerie électronique
  8. 1+3+2+7+1+2+2+2+1=... 21 !!!!! Pute a pain (ou papa nain)* !!!!!! J’ai tenté ce calcul « à tout hasard », me disant vysir**, pour ce résultat ta-le-miel***, dont l’explication est fournie ailleurs dans les méandres de ce site de tous les impossibles : c’est l’histoire d’un 21 qui ne cesse de me tourner autour, depuis un certain... 21 avril surtout... (*Putain de putain de putain **Voyons voir ***Totalement démentiel)
  9. Notes de synchronicités
  10. Voir Modoupa chapitre...
  11. Message ouate-zeu-pape
  12. Voir Sync(s)...
  13. Mon Monsieur Synchronicités (1) ! Pour commencer l’année ! [(1) Danupag*... je regarde estonie**... le 06/05 à 05:06 !!!... (horaire de grand malade) : « le prénom de Monsieur Qui-M’a-Soufflé-Ce-Mot » serait plus exact.] (*Dans un repassage **En bas à droite de mon ordinateur)
  14. Il est, effectivement... XL !!! L’obésité, à l’inverse de moi, m’a-t-il fait comprendre, a toute sa vie été (( SUPPR[14] )) son problème de santé... Il en a, semble-t-il, énormément souffert : « Je suis passé par tous les trous », ont été ses termes imagés pour l’exprimer. Par tous ? Pas par celui de son fils, s’il en a un, je l’espère. Car une autre phrase choc les avait précédés : « Tu sais, tous mes patients se sont fait violer quand ils étaient gosses ». Pour dire : « Le passé, c’est le passé » !!! Mais blague très, très douteuse à part il n’y a pas lieu de croire, dans notre histoire, que qui que ce soit d’autre que « tous ses patients » et leurs paters respectueux... euh non justement pas trop... respectifs plutôt, soient concernés. « Tu n’es pas gros », m’a-t-il en outre lancé + la nature ou je ne sais quoi... « t’a fait très beau » ! Ouh ! Mazette ! Mais, alors, de quoi me plains-je, c’est ça ?
  15. Vers la fin
  16. Mille ans de littérature française, Claude Bouthier, Christophe Desaintghislain, Christian Morisset, Patrick Wald Lasowski, Éd. Nathan
  17. Grand Œuvre
  18. Le voilà encore ! Vis joie 3. Et sur... la nobapa* 15 !!!
  19. Je le réalise en écrivant cela.
  20. Plus Grands Amis
  21. Encore une fois
  22. Comme je te/lui ai (déjà) dit.
  23. Sur mon ordinateur juste après que j’ai écrit ça.
  24. Signifie en modoupaïen
  25. Pouvoirs extraordinaires
  26. L’écriture d’un cul et l’échange de maouazas
  27. Toujours par 9 les voyelles dans les maxi-emphases motrices (sur les mots)
  28. Bien sûr
  29. Concon = contrôle de concentration (pendant la lecture de Modoupa*) ou de connaissance (de ses xapitreries). (*Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata)
  30. Point encore xabiwikité – mais demander au cas où à l'Accueil si dispo.
  31. Critique de Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata affichée à l’Accueil.
  32. Dieu, Bouddha et Patata
  33. Manuscrit
  34. Visiteurs-teuses de mon Site. À niqorer*. Ou ne pas trop chercher à comprendre, dans les passages les plus « scabreux », selon l’instruction de lecture de mes histoires à dormir debout, se laisser porter par la musique... Brice : « Puisqu’on te dit que tu la casses, avec tes nobapas. » Mais c’est qui qui casse qui et quoi ici ? J’y comprends plus rien. Angelu mon Anar** : « Laisse-toi porter... par les vagues de la Méditerranée... » Te voilà, toi ! Mais tu te sens bien ?... (*À ne lire que très en forme. **« Anguélou » mon Ange Gardien)
  35. Rubrique de XabiWiki : j’abuse ? Au regard des redoupes*, non. Je rappelle celle-là : « rude-bi » est féminisé, le genre des modous** étant le même que celui des mots et expressions en français correspondants, au moyen du « tte » final. (*Règles du modoupaïen **Mots de modoupaïen)
  36. Modoupaïenne en Cheffe
  37. Trop chouettes et moins chouettes commentaires
  38. Proches et amis-mies
  39. Chère et tendre : très chère amie, quoi.
  40. Terrasse-boulangerie-Gozyé-Église
  41. Le Moule
  42. Je me suis dit mort de rire...
  43. Sur Internet
  44. Il y a quelques mois
  45. Pass-mes-couilles
  46. Vaccin anti-Covid
  47. Pour la toute première fois
  48. Telpapoter = tapoter sur son téléphone portable
  49. En tout état de cause. Il est toujours en effet, celui-là, un Blanc, en habit de danseuse. Mais non, quand-même pas : en maillot de bain. Le Saint-âne... euh... Saintannais, un Noir, arbore une tunique à l’africaine.
  50. Je ne sais plus.
  51. Dans un quasi ultime repassage
  52. Jeu de mot
  53. Synchronicité du jour
  54. Numéro de Politis
  55. Je rapporte au chamou 33 les impressions de Molière, un ami gwadloupéyen (c’est depuis hier aussi que je ne cesse d’entendre parler de « lui » à la radio, en raison du quatre-centenaire de la naissance du Monument « homonyme » !), au sujet de notre appartement, Manno et moi, à l’époque où... nous y vivions ensemble... : « On s’y sent très bien [...] Il avait même ajouté à propos d’une grande toile d’art naïf taïno accrochée au mur, que Manno i yo avions ramenée de République dominicaine, avec ses fioritures à l’image du reste de ma décoration fait-maison, qu’il était “magnifiquement mis en valeur” ». Autre cruelle mise en haleine, cette fois pour mes futurs-tures Gagaditus-tues*. Pour ce qui est du MoMo, non pas un Molière ou l’autre mais le Moment Molière, ça continue ! Quand j’ai enchaîné sur la suite du Xa-pitritrage, dans le chamou 51, dès le deuxième paragraphe il était là de nouveau, mon Momo : « “T’es pas basque toi !”, a osé me dire Molière, l’ami guadeloupéen de Manno, qui a été comme un papa quelques temps pour lui quand il a débarqué à Paris, pour sa formation de steward, un peu avant que nos chemins ne se croisent. » Ma sentence** dans Modoupa : « Il a bêtement dilapidé, par sa mise en cause de mon identité, son plein de crédit acquis en me complimentant sur mon appartement. » (*Grands-Grandes Visiteurs-teuses **Sur ce mot mon regard est attiré par l’heure en bas à droite de mon ordinateur : 21:21. Ce doublé, à cet endroit ! Ouah, ouah, ouah. Ils continuent de pleuvoir, les 21, sara, sara***, et si je devais tous les citer... Mais ces deux-là : fortiches les Forces et mon Anar, ah ça ! J’ajoute quand-même celui-là : le lendemain quand je termine la dernière facturation de mes traductions de l’année 2021, pour le mois de décembre, je laisse mon fichier « Factures prestations », à la fin des tableaux récapitulatifs de la première partie, à la page 21 (sur 111). Angelu : « Quelle poésie. On peut finir avec ça plutôt : “Fortiches les Forces et mon Anar” » ? » Quelle modestie. Mais, oui ! Gloire à Vous ! ***Sans arrêt, sans arrêt, sans arrêt)
  56. Trop forte
  57. Histoire drôle (« hirel » féminisé – redoupe n° ch’ais pas combien encore, je les ai pas faites, les redoupes ; elles existent bel et bien, et alors, bien sûr, mais restent à ce jour à consigner, dans le Gragromoufrais, le Grand Glossaire modoupaïen-français).
  58. Upululu jacta*, en titre-et-sous-titrant mes Xapitres, au 63 je trouve : « Dominique aussi, est « parti » ! Mais il est toujours sur Terre : à Madagascar. Il reviendra, il a toujours son pied à terre à la Porte des Caraïbes. » (*Un peu plus tard le jour où j’ai écrit ça.)
  59. Jolies synchronicités
  60. Mille ans de littérature française de Claude, Christophe, Christian et Patrick, op. cit. (nobapa 14)
  61. « Pachikite » : Page du XabiWiki
  62. De/dans mon bouquin (« dou » tiré de ces mots et doublé : ainsi en va-t-il des moniques [modous monosyllabiques])
  63. Trop génial, trop cool
  64. Grandes Conversations
  65. De « niak » : nimportnawak
  66. Grand Épisode
  67. Voir « les salauds dressés comme des chiens savants pour aboyer les consignes des banquiers... » Je note ce segment d’une phrase située à trois lignes de la fin d’un paragraphe et d’un Xa-pitre de Modoupa. Je descends un peu dans le fichier pour voir quel est le numéro du Xa-pitre suivant et donc de celui de ma phrase... Effet bœuf (sensationnel) : devant mes yeux apparaît un gros beau... 68. Le 07/05 : rustinage*. Je ne sais combien de nobapas j’ai rajouté. Je viens également de bœuffer mon effet (de bœuf je n’y avais précédemment pas accolé). Ignorant, cependant, que je l’avais... doublement bœuffé. Car le numéro de la présente nobapa** est désormais... 68 !!!!!!!!! Tout-neuf-le-mastiqué (soixante-huuuuuuuuuiiiiiiiiit !!!!!!!!!). (*De « rustine » : retouche post-poinfinalation **Revaldingage non exclu. Quputupu castoi rotepa [quelles putes... euh... puces, ces nobapas, à tout le temps se faire... euh... tout le temps sauter].)
  68. Putain de putain de putain (X 2) ! Iabloté* dans la iabloté de la iabloté de la iabloté ! (*Incroyable synchronicité)
  69. C’est moi qui saut-de-lignise et point-de-suspensionno-exclamationnise.
  70. C’est marrant.
  71. Redescente sur Terre
  72. Mini-synchronicité
  73. Substantifique moelle synchronique
  74. Sucem morabnodem baduf : 16 444 mots. Rarissime, le triplé de 4. Rustine du 07/04 (c’est plutôt un re-re-re-re-re...passage)... 17:33 qramé popote pour datérifier... : c’est leur tour de synxplosion, aux 4, en ce moment, autour d’une synchronicité qui a absolument tout dépassé, m’amenant... 17:40 qramé popote bisû, après une hésitation... m’amenant ailleurs dans mon Wiki à ainsi la commenter : « J’ai besoin d’un Médium, un vrai (suffisamment puissant !...), qu’il me dise qui je suis vraiment... » Puis dans un cul : « Ça m’a mis dans un drôle d’état ». Et, et, et... attention (qrade ta chade é le por : 66 %)... dans le même cul : « Ton Xabi n'est vraiment pas... un Humain comme les autres... Même s’il y en a plein d’autres comme moi... » 18:33 qramé popote après une halte. (*= Quand j’ai regardé le taux de charge de mon téléphone portable [il était de...])
  75. Je ne sais pas.
  76. Réponsassa : « Ooooooh tu n’aimes plus mon masc-fem... Tu t’étais pourtant dit plutôt favorable au début... Il est rigolo je trouve. Et, oui, lisible, contrairement à l’écriture inclusive avec les points. Pour laquelle tu m’avais même dit l’aversion de Pas-fin-quelle-crotte. Beurk ce mec. Mais tu fais exprès je sais. Pour me titiller. C’est marrant, quoi qu’il en soit. Et ainsi soit-il »
  77. Magnifiques compliments
  78. Moment Congratulation
  79. Mais pourquoi faut-il, quand je regarde l’heure, à mon ordinateur, pour la première fois depuis des heures, qu’elle soit à... 21:21 ??!!
  80. Un jeune assez beau gosse sorti de son « Cantal glacial », expression que j’ai glissée dans un cul à son sujet. D’Aurillac. Trois jours après à la météo de France 2 Aurillac était citée, pour ses moins six degrés. Aux antipodes de ma vie ce gars-là : il venait de prendre l’avion pour la première fois. Il a toutefois certes trois cent fois moins de vols mais aussi deux fois moins d’heures de vol à son compteur que moi.
  81. Quelques heures plus tard
  82. Dans la joie et la bonne humeur
  83. Cri du cœur
  84. Glossaire modoupaïen-français de Sync sur Sync
  85. Boîte aux lettre
  86. Le temps et l’espace n’existent pas.
  87. « Je chi » : je veux dire.
  88. Brute-de-décoffrage-comprenne-qui-pourra-et-pour-ma-gouverne
  89. Cona-nase = Colon-lonne de base
  90. Monde modoupaïen
  91. Poste (de travail) debout
  92. Le 08/05 : serait-ce par conséquent comme une... convergence de flux ecnos entre celui-ci, des 4, dont il semble ainsi qu’ils avaient commencé à se multiplier ici, auquel je remonte, depuis ce lointain entemplacement, plusieurs mois en aval, et le flux en... cours, au cœur de la talmielle* synchronicité que précédemment j’évoquais ?... Fin de journée de narration/traduction/et òt bitin du quotidien : je sélectionne la fin du fichier que je suis en train de traduire pour voir combien qu’y m’en reste. Alors, combien qu’y m’en reste ?? Hein ?? Combien qu’y m’en reste ?? Hein ?? Combien... Angelu : « Si tu beugues mon cochon je te rappelle que tu m’as piqué mes poutanas... » Et que je ne pourrai compter sur toi pour terminer pour moi... les... 4 666 mots qu’il me reste... Le 4 suivi du 666... 23:04 quand je regarde l’heure estonie... Ce 666... au vu de ladite talmielle synchronicité... Mon Dieu mais qu’est-ce que c’est tout ça ? Qu’est-ce que c’est ? Qu’est-ce que c’est ?... (*Totalement démentielle)
  93. Un peu plus tard le jour où j’ai écrit ça.
  94. Réfection du Monde
  95. Piner = plaisanter
  96. Propos sans toutes les nuances qu’il conviendrait d’apporter, au vu d’une horreur économique et sociale bien pire encore dans tous les pays hors « démocraties » (bien que sans cesse rognées) comme la France, mais j’en reste au crucu.
  97. Pas mal, le téléphone portable !
  98. Le confinement, féminin en modoupaïen, la langue d’un Féministe devant l’ÉternELLE pourtant.
  99. Plage en bas de chez moi
  100. Recherche avec la fonction chercher/remplacer dans mon fichier de Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata
  101. Rédaction de mon manuscrit
  102. Petit chapitre
  103. Sur un 25 666 !... C’est le nombre de mots de mon fichier quand je finis de rustirererererepassager. Mais qu’est-ce que c’est...