Différences entre les versions de « SYNC SUR SYNC 3 »

De Xavier Renard
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(Page créée avec « Chiée de nochiées<ref>Notes de synchronicités</ref>. Pour l’instant ça : '''18/05 —''' »)
 
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'''18/05 —'''
'''18/05 —''' Vers 13h30. Pine-ma-ride<ref>Parking devant ma résidence</ref>. Je monte dans ma voiture. Surprise. Pare-brise explosé. Je suis garé sous un arbuste. La question me sera posée : « C’est pas un fouyapen ? ». « Non justement, je ne me gare plus sous les pyé fouyapen parce que j’en ai déjà pris plusieurs fois sur ma carrosserie ! ». Il... explose, l’énorme fruit, en toute une pâte. C’est très sympa « aussi ». Ouais, le pare-brise explosé c’est quand-même beaucoup plus pas-sympa.
 
Je ne réagis même pas, ne pestintérieuremente même pas. À quoi bon ? Action. Y a que ça à fion(re). Si ça c’est pas de la Sync(splosion) ! Car c’est Journée Titine justement : je la prends pour la kontèkkontvisiter.
 
16:06 qramé popote<ref>Quand j’ai rallumé mon téléphone portable.
 
On m’a enculé-piment-crotéé tout à l’heure. Envoyé un cul<ref>Courriel</ref>, comportant ce que j’ai désigné en tant qu’« élément de synchronicité » (modoupaïanisé « piment-croté ») : les dates de début et fin de la construction des Twin Towers du World Trade Center de New York abattues en 2011 : de 1966 à 1973. Dates piment-crotéïennes en ce ce semblant de Nombre du Diable et le 13 qu’elles contiennent.
 
J’ai rendez-vous à 14h. Faut que je roule une demi-heure avant, m’ont dit les deux gars venus quelques jours avant me décalaminer et me vidanger. Me décalaminer : ça s’était finalement avéré inutile. Seule une vidange, en fin de compte, fut requise. Deux types en or. Hyper honnêtes et consciencieux (le 2 m’a été recommandé par le 1), alors que le 1er décalamineur que m’avait indiqué le T3, dans l’ordre de la phrase, celui du contech, m’avait tout de suite annoncé un prix au téléphone, près de 200 euros rien que ça. M’aurait-il décalaminé pour rien, pour juste prendre sa tune ?... « Ça ne m’étonne pas » (de lui), avait opiné T1 quand je lui ai indiqué le nom de sa société, Guadeloupe Hydrogène. Voilà, comme ça « tout le monde » sait, un arnaqueur à éviter.
 
Le vidangeur. Depuis longtemps en Gwadloup, originaire du Gard où il est reparti vivre avec sa femme gwadloupéyèn qui y a trouvé un boulot bien mieux que celui qu’elle avait ici, mais lui a une super offre ici pour janvier, sa femme pourrait également se faire embaucher, ielles reviendront sûrement.
 
Dans le Var un type lui doit de l’argent depuis un moment. Il connaît plein de Gitans : « Tu vas finir dans le coffre de leur voiture ».
 
Tout finit par se payer. Dans cette vie ou une autre. L’Univers : Action, Réaction.
 
16:22 qramé popote.
 
À côté de moi à un salo<ref>Spot café-clope</ref> pendant que je telpotapote : « C’est la vie. Chaque chose est à sa place ».
 
Contech. Le type raconte qu’un jour il a explosé le pare-brise de sa femme. De colère. D’un coup de poing. Un autre Gwadloupéyen est dans son bureau adjacent à son atelier. Il me propose de s’occuper de mon pare-brise. Il a un garage à Chauvin. Il faut d’abord que je l’achète. Il passe des coups de fil pour moi. Le gars du Contech l’a appelé Jean-Marie. On passe tous les trois en revue toutes les possibilités, pour mon pare-brise : qui, pourquoi, comment ? On rigole. Son coup de poing, le type, et tout ça.
 
— Je n’ai pas d’ennemi, pas que je sache...
 
Une dame entre : « La haute-pyrénéenne ! ». J’ai vu 65 sur sa pamoncul<ref>Plaque d’immatriculation</ref>. C’est le département des gens auxquels elle a acheté la voiture.
Suite de pinajparbriz<ref>Piner = plaisanter</ref>. On est assis tous les trois la dame, JM et moi.
 
JM en regardant la dame : « C’est pas une dame au moins (parbriz an-mwin<ref>Ça s’écrit « mwen » : mon pare-brise</ref>. La dame : « Quand-même... ». J’éclate de rire en lui disant et en montrant T3 : « Lui, il l’a fait, au pare-brise de sa femme ! D’un coup de poing ! ». Keskon rigole, au moins, les trois gars.
 
M’en vais. Superbe iguane au sol dans le soleil au centre de l’ouverture sur toute la hauteur et largeur du fond de l’atelier. La veille au soir : le même ! Même gros gabarit (un mètre cinquante de long avec la queue). Sur la murette à gauche de la pac-de-pine-a-tata<ref>Place de parking devant ma terrasse (du premier)</ref> de Fred. Je l’observe. Allez, fais un bond ! Dans les arbustes en contrebas de la murette. Il est juché sur le rebord. Sur ce Fred arrive, se gare, et l’iguane... fait un bond ! Dans les arbustes en contrebas de la murette.
 
Mondial Pare-brise. Le gars au téléphone : « Yenki (rien que) parbriz-la 1 007 euros ? ». Dans ma voiture derrière mon pare-brise en toile d’araignée quand j’ai commencé à rouler jmidi<ref>Je me suis dit.</ref> : « Ça va me coûter 1 000 euros ». (C’est dans quelques instants ma pas-minecarogette qui me fera penser... que je suis quand-même assuré !). Z’avais dit 1 000 euros ? Le gars aussi,, alors que tout de suite après c’est « 800 euros », qu’il a dit.
 
Je profite de mon patientement pour relever des nochiées dans mes bloc-notes de ma sacoche achetée dans le Kerala très jolie mais de femme à lunettes et telpo :
 
Amende du... 18 ! (07 – de l’année dernière !). Jélica<ref>Je le réalise en écrivant cela.</ref>... le 18/07 !!! Le Judas-Dixit-Jule<ref>Jour de mon Pas-Appel du Dix-Huit Juillet</ref>
 
J’ai envoyé ma (2ème) lettre au commissariat de Lapwent hier ! Et pour rouler je suis allé à Gozyé bourg où je suis passé à l’antenne des services de la sous-préfecture (relever le numéro de téléphone) où nous étions allés ensemble avec Manno pour démannoéxabicartegriser Titine...
 
Corbos<ref>Courses au bio</ref> puis au retour au stop à côté du salo : pamoncul 666. Il en fallait bien un... pour de bon. 30,969 secondes après : un XR. Mazo iri ouvadac santoua<ref>30/9/69 : ma denise (date de naissance). Mais allez savoir, si ça se trouve c’est ça (30,969 secondes), dans ces eaux-là en tout cas.</ref>
 
Arrêt carogettes. Chez la belle. Ça n’est pas elle. Mais une grosse. Ooohhh... Belle aussi dans son genre.
 
— Y a des courgettes nulle part !
 
J’ai pris des tomates. Ça fait 2 euros 19. Je lui donne 2 euros 20.
 
— C’est bon. (Les 1 centimes.) C’est pour toi. C’est généreux, n’est-ce pas ?
 
— Très généreux !
 
Je ris !!! De la manière dont elle l’a dit.
 
Repartage. Elle est dehors.
 
— Et ça, c’est généreux ? En lui montrant le pare-brise.
 
— Règlement de compte ? Sont les mots qui lui viennent immédiatement.
 
Quand j’y pense... Après ces histoires du Gardien (je xi<ref>« Je chi » : je veux dire.</ref> le Gardois).
 
Et après, après... les coups de feu ! C’est Jean-Marie, qui m’a fait y repenser. Sa belle-mère habite la résidence Perle des Caraïbes. En face de la mienne ! La plus près du bord de l’eau. C’était celle du bureau de ma France. France ma très chère ex-voimie<ref>Voisine et amie</ref>. Que d’eau (pas que scintillante – pour elle) a coulé depuis. Elle est partie. En... France. Dans le Gard elle aussi ! Ici-même à deux pas du pine-ma-ride, post-aile orientale de Ma Porte des Caraïbes : le Zénith. Du moins fut-ce longtemps le nom de ce night-club, que Manno fréquentâmes un peu à l’époque, qui a fermé et réouvert, et changé de nom, trente-six fois. Depuis les décovidrestrictions c’est reparti comme en quarante. Et ça fait trois week-end que... ça tire ! En tout début de matinée. La belle-mère de Jean-Marie lui a dit, que ça avait pétaradé, dimanche dernier. À coup de plusieurs rafales en effet.
 
21:31 quand je regarde l’heure estonie<ref>En bas à droite de mon ordinateur</ref>...
 
Page 3 sur 3 de mon fichier, 1 290 mots.
 
Des chiffres encore, bécogorpatourages<ref>De (Synchronicité) béco-gor-patou-rage = brut(e)-de-décoffrage-comprenne-qui-pourra-et-pour-ma-gouverne</ref>, dans des acolits docho<ref>Articles de ''Politis'' de retour chez moi</ref> :
 
Politis 1704 Sync sur Sync... euh... du 5/5.
 
Page... 18 (à 20).
 
::À Dijon, les services de l’État usent de méthodes brutales et illégales pour inciter les familles déboutées de leurs demandes d’asile à quitter leur hébergement d’urgence.
 
::Préfet [tout pourri] de la Côté d’Or
 
::Règlement de fonctionnement
 
::Abri de nuit
 
::1 rue des Creuzots 21000 DIJON
 
Dates : 30 juin 2021. 11 avril 2018. 22 avril (juste après « la Cimade », l’assos’ d’aide aux migrants-grantes, ma Grande Sync 21-Avril). 13 avril. 28/11/21. 13 juillet. 1/11/22. 12/12(/17). 22/3/22.
 
Fin sur une nobapa<ref>Note de bas de page</ref> et ses articles (du « code de l’action sociale et des familles ») : L345-2-2 et L345-2-3.
 
Page 21 : 25 avril. Page 22 : 22 000 tonnes de munition ; 1 500 soldats russes de la 14ème armée soviétique (22:00 quand je regarde l’heure estonie) ; 21 février ; fin septembre 2021 ; stade de 14 000 places situées à l’entrée de Tiraspol ; 11 millions de litres de spiritueux par an ; billets locaux de 5 roubles ; hiver 2021. Page 23 : Avenue du 25-Octobre ; parade de la Grande Guerre patriotique du 9 mai ; 2 mai ; les hors-séries dès 2,21 avril... nooon... 4,50 €.

Version du 19 mai 2022 à 03:22

Chiée de nochiées[1]. Pour l’instant ça :


18/05 — Vers 13h30. Pine-ma-ride[2]. Je monte dans ma voiture. Surprise. Pare-brise explosé. Je suis garé sous un arbuste. La question me sera posée : « C’est pas un fouyapen ? ». « Non justement, je ne me gare plus sous les pyé fouyapen parce que j’en ai déjà pris plusieurs fois sur ma carrosserie ! ». Il... explose, l’énorme fruit, en toute une pâte. C’est très sympa « aussi ». Ouais, le pare-brise explosé c’est quand-même beaucoup plus pas-sympa.

Je ne réagis même pas, ne pestintérieuremente même pas. À quoi bon ? Action. Y a que ça à fion(re). Si ça c’est pas de la Sync(splosion) ! Car c’est Journée Titine justement : je la prends pour la kontèkkontvisiter.

16:06 qramé popoteErreur de référence : Balise fermante </ref> manquante pour la balise <ref>, comportant ce que j’ai désigné en tant qu’« élément de synchronicité » (modoupaïanisé « piment-croté ») : les dates de début et fin de la construction des Twin Towers du World Trade Center de New York abattues en 2011 : de 1966 à 1973. Dates piment-crotéïennes en ce ce semblant de Nombre du Diable et le 13 qu’elles contiennent.

J’ai rendez-vous à 14h. Faut que je roule une demi-heure avant, m’ont dit les deux gars venus quelques jours avant me décalaminer et me vidanger. Me décalaminer : ça s’était finalement avéré inutile. Seule une vidange, en fin de compte, fut requise. Deux types en or. Hyper honnêtes et consciencieux (le 2 m’a été recommandé par le 1), alors que le 1er décalamineur que m’avait indiqué le T3, dans l’ordre de la phrase, celui du contech, m’avait tout de suite annoncé un prix au téléphone, près de 200 euros rien que ça. M’aurait-il décalaminé pour rien, pour juste prendre sa tune ?... « Ça ne m’étonne pas » (de lui), avait opiné T1 quand je lui ai indiqué le nom de sa société, Guadeloupe Hydrogène. Voilà, comme ça « tout le monde » sait, un arnaqueur à éviter.

Le vidangeur. Depuis longtemps en Gwadloup, originaire du Gard où il est reparti vivre avec sa femme gwadloupéyèn qui y a trouvé un boulot bien mieux que celui qu’elle avait ici, mais lui a une super offre ici pour janvier, sa femme pourrait également se faire embaucher, ielles reviendront sûrement.

Dans le Var un type lui doit de l’argent depuis un moment. Il connaît plein de Gitans : « Tu vas finir dans le coffre de leur voiture ».

Tout finit par se payer. Dans cette vie ou une autre. L’Univers : Action, Réaction.

16:22 qramé popote.

À côté de moi à un salo[3] pendant que je telpotapote : « C’est la vie. Chaque chose est à sa place ».

Contech. Le type raconte qu’un jour il a explosé le pare-brise de sa femme. De colère. D’un coup de poing. Un autre Gwadloupéyen est dans son bureau adjacent à son atelier. Il me propose de s’occuper de mon pare-brise. Il a un garage à Chauvin. Il faut d’abord que je l’achète. Il passe des coups de fil pour moi. Le gars du Contech l’a appelé Jean-Marie. On passe tous les trois en revue toutes les possibilités, pour mon pare-brise : qui, pourquoi, comment ? On rigole. Son coup de poing, le type, et tout ça.

— Je n’ai pas d’ennemi, pas que je sache...

Une dame entre : « La haute-pyrénéenne ! ». J’ai vu 65 sur sa pamoncul[4]. C’est le département des gens auxquels elle a acheté la voiture. Suite de pinajparbriz[5]. On est assis tous les trois la dame, JM et moi.

JM en regardant la dame : « C’est pas une dame au moins (parbriz an-mwin[6]. La dame : « Quand-même... ». J’éclate de rire en lui disant et en montrant T3 : « Lui, il l’a fait, au pare-brise de sa femme ! D’un coup de poing ! ». Keskon rigole, au moins, les trois gars.

M’en vais. Superbe iguane au sol dans le soleil au centre de l’ouverture sur toute la hauteur et largeur du fond de l’atelier. La veille au soir : le même ! Même gros gabarit (un mètre cinquante de long avec la queue). Sur la murette à gauche de la pac-de-pine-a-tata[7] de Fred. Je l’observe. Allez, fais un bond ! Dans les arbustes en contrebas de la murette. Il est juché sur le rebord. Sur ce Fred arrive, se gare, et l’iguane... fait un bond ! Dans les arbustes en contrebas de la murette.

Mondial Pare-brise. Le gars au téléphone : « Yenki (rien que) parbriz-la 1 007 euros ? ». Dans ma voiture derrière mon pare-brise en toile d’araignée quand j’ai commencé à rouler jmidi[8] : « Ça va me coûter 1 000 euros ». (C’est dans quelques instants ma pas-minecarogette qui me fera penser... que je suis quand-même assuré !). Z’avais dit 1 000 euros ? Le gars aussi,, alors que tout de suite après c’est « 800 euros », qu’il a dit.

Je profite de mon patientement pour relever des nochiées dans mes bloc-notes de ma sacoche achetée dans le Kerala très jolie mais de femme à lunettes et telpo :

Amende du... 18 ! (07 – de l’année dernière !). Jélica[9]... le 18/07 !!! Le Judas-Dixit-Jule[10]

J’ai envoyé ma (2ème) lettre au commissariat de Lapwent hier ! Et pour rouler je suis allé à Gozyé bourg où je suis passé à l’antenne des services de la sous-préfecture (relever le numéro de téléphone) où nous étions allés ensemble avec Manno pour démannoéxabicartegriser Titine...

Corbos[11] puis au retour au stop à côté du salo : pamoncul 666. Il en fallait bien un... pour de bon. 30,969 secondes après : un XR. Mazo iri ouvadac santoua[12]

Arrêt carogettes. Chez la belle. Ça n’est pas elle. Mais une grosse. Ooohhh... Belle aussi dans son genre.

— Y a des courgettes nulle part !

J’ai pris des tomates. Ça fait 2 euros 19. Je lui donne 2 euros 20.

— C’est bon. (Les 1 centimes.) C’est pour toi. C’est généreux, n’est-ce pas ?

— Très généreux !

Je ris !!! De la manière dont elle l’a dit.

Repartage. Elle est dehors.

— Et ça, c’est généreux ? En lui montrant le pare-brise.

— Règlement de compte ? Sont les mots qui lui viennent immédiatement.

Quand j’y pense... Après ces histoires du Gardien (je xi[13] le Gardois).

Et après, après... les coups de feu ! C’est Jean-Marie, qui m’a fait y repenser. Sa belle-mère habite la résidence Perle des Caraïbes. En face de la mienne ! La plus près du bord de l’eau. C’était celle du bureau de ma France. France ma très chère ex-voimie[14]. Que d’eau (pas que scintillante – pour elle) a coulé depuis. Elle est partie. En... France. Dans le Gard elle aussi ! Ici-même à deux pas du pine-ma-ride, post-aile orientale de Ma Porte des Caraïbes : le Zénith. Du moins fut-ce longtemps le nom de ce night-club, que Manno fréquentâmes un peu à l’époque, qui a fermé et réouvert, et changé de nom, trente-six fois. Depuis les décovidrestrictions c’est reparti comme en quarante. Et ça fait trois week-end que... ça tire ! En tout début de matinée. La belle-mère de Jean-Marie lui a dit, que ça avait pétaradé, dimanche dernier. À coup de plusieurs rafales en effet.

21:31 quand je regarde l’heure estonie[15]...

Page 3 sur 3 de mon fichier, 1 290 mots.

Des chiffres encore, bécogorpatourages[16], dans des acolits docho[17] :

Politis 1704 Sync sur Sync... euh... du 5/5.

Page... 18 (à 20).

À Dijon, les services de l’État usent de méthodes brutales et illégales pour inciter les familles déboutées de leurs demandes d’asile à quitter leur hébergement d’urgence.
Préfet [tout pourri] de la Côté d’Or
Règlement de fonctionnement
Abri de nuit
1 rue des Creuzots 21000 DIJON

Dates : 30 juin 2021. 11 avril 2018. 22 avril (juste après « la Cimade », l’assos’ d’aide aux migrants-grantes, ma Grande Sync 21-Avril). 13 avril. 28/11/21. 13 juillet. 1/11/22. 12/12(/17). 22/3/22.

Fin sur une nobapa[18] et ses articles (du « code de l’action sociale et des familles ») : L345-2-2 et L345-2-3.

Page 21 : 25 avril. Page 22 : 22 000 tonnes de munition ; 1 500 soldats russes de la 14ème armée soviétique (22:00 quand je regarde l’heure estonie) ; 21 février ; fin septembre 2021 ; stade de 14 000 places situées à l’entrée de Tiraspol ; 11 millions de litres de spiritueux par an ; billets locaux de 5 roubles ; hiver 2021. Page 23 : Avenue du 25-Octobre ; parade de la Grande Guerre patriotique du 9 mai ; 2 mai ; les hors-séries dès 2,21 avril... nooon... 4,50 €.

  1. Notes de synchronicités
  2. Parking devant ma résidence
  3. Spot café-clope
  4. Plaque d’immatriculation
  5. Piner = plaisanter
  6. Ça s’écrit « mwen » : mon pare-brise
  7. Place de parking devant ma terrasse (du premier)
  8. Je me suis dit.
  9. Je le réalise en écrivant cela.
  10. Jour de mon Pas-Appel du Dix-Huit Juillet
  11. Courses au bio
  12. 30/9/69 : ma denise (date de naissance). Mais allez savoir, si ça se trouve c’est ça (30,969 secondes), dans ces eaux-là en tout cas.
  13. « Je chi » : je veux dire.
  14. Voisine et amie
  15. En bas à droite de mon ordinateur
  16. De (Synchronicité) béco-gor-patou-rage = brut(e)-de-décoffrage-comprenne-qui-pourra-et-pour-ma-gouverne
  17. Articles de Politis de retour chez moi
  18. Note de bas de page