SYNC SUR SYNC 3

De Xavier Renard
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Chiée de nochiées[1]. Pour l’instant voilà ça :


18/05 — Vers 13h30. Pine-ma-ride[2]. Je monte dans ma voiture. Surprise, on m’a explosé mon pare-brise. Je suis garé sous un arbuste. La question me sera posée : « C’est pas un fouyapen ? ». « Non justement, je ne me gare plus sous les pyé fouyapen parce que j’en ai déjà pris plusieurs fois sur ma carrosserie ! ». Il... explose, l’énorme fruit, en toute une pâte. C’est très sympa « aussi ». Ouais, le pare-brise explosé c’est quand-même beaucoup plus pas-sympa.

Je ne réagis même pas, ne pestintérieuremente même pas. À quoi bon ? Action. Si ça c’est pas de la Sync(splosion) ! Car c’est Journée Titine justement : je la prends pour la kontèkkontvisiter.

16:06 qramé popote[3]. Je telpotapote.

On m’a enculé-piment-crotéé tout à l’heure. Normalement dit envoyé un cul[4], comportant ce que j’ai désigné en tant que « petit élément de synchronicité » (modoupaïanisé dans la foulée « piment-croté ») : les dates de début et de fin de la construction des Twin Towers du World Trade Center de New York abattues en 2011 : de 1966 à 1973. Dates piment-crotéïennes en ce semblant de Nombre du Diable et le 13 qu’elles contiennent.

J’ai rendez-vous à 14h. Faut que je roule une demi-heure avant, m’ont dit les deux gars venus ququ japa[5] me décalaminer et me vidanger. Me décalaminer : ça s’était avéré inutile. Seule une vidange, en fin de compte, fut requise. Deux Types en Or. Hyper honnêtes et consciencieux (le T2, le vidangeur, m’a été recommandé par le T1), alors que le décalamineur 1 que m’avait indiqué le T3, dans l’ordre de la phrase, celui du contech, m’avait tout de suite annoncé un prix au téléphone, près de 200 euros rien que ça. M’aurait-il décalaminé pour rien, pour juste prendre sa tune ?... « Ça ne m’étonne pas » (de lui), avait opiné T1 quand je lui ai indiqué le nom de sa société, Guadeloupe Hydrogène. Voilà, comme ça « tout le monde » sait, un arnaqueur à éviter.

Le vidangeur. Depuis vingt ans en Gwadloup, originaire du Gard où il est récemment reparti vivre avec sa femme gwadloupéyèn qui y a trouvé un boulot bien mieux que celui qu’elle avait ici, mais lui a finalement une super offre adan lil annou pour janvier, sa femme pourrait également se faire embaucher, ielles reviendront sûrement. Il l’aaaiiime sa Gwada. Comme moi. Tu m’étonnas.

Dans le Var un type lui devait de l’argent depuis un moment. Il connaît plein de Gitans : « Tu vas finir dans le coffre de leur voiture ». Il l’a remboursé.

Tout finit par se payer. T2 : « Je suis bien d’accord. » Dans cette vie ou une autre. L’Univers c’est : Action, Réaction.

16:22 qramé popote.

À côté de moi à un salo[6] pendant que je telpotapote : « C’est la vie. Chaque chose est à sa place ».

Le surlendemain à Mondial Pare-brise. L’employé qui m’a reçu, tandis qu’assis sur une chaise dans son bureau j’attends la suite des opérations, à la personne dont il s’est occupé après moi quand elle repart : « T’es honnête. L’honnêteté ça paye toujours en retour ».

Contech le 18. Le type raconte qu’un jour il a explosé... le pare-brise de sa femme. De colère. D’un coup de poing. Un autre Gwadloupéyen est avec nous dans son bureau adjacent à son atelier. Il me propose de s’occuper de mon pare-brise. Il a un garage à Lapwent[7]. Il faut d’abord que je l’achète. Il passe des coups de fil pour moi. Le gars du Contech l’a appelé Jean-Marie. On passe tous les trois en revue toutes les possibilités, pour mon pare-brise : qui, pourquoi, comment ? On rigole. Son coup de poing, le type, et tout ça.

— Je n’ai pas d’ennemi, pas que je sache...

Une dame entre : « La Haute-pyrénéenne ! ». J’ai vu ton 65 sur ta pamoncul[8] ma chérie. À travers la paroi vitrée, quand t’es arrivée. C’est le département des gens auxquels sa tuture elle a acheté.

Continuation de pinajparbriz[9]. On est assis tous-toute les trois la dame, JM et moi. JM en regardant la Papirénéyènmédésévriyèn me taquine : « C’est pas une dame au moins (qu’a bougné parbriz an-mwin[10]) ? ». La dame : « Quand-même... ». J’éclate de rire en lui vendant le T3 (le pointant du doigt) : « Lui, il l’a fait, au pare-brise de sa femme ! D’un coup de poing ! ». Keskon rigole au moins les trois gars.

M’en vais. Superbe iguane au sol dans le soleil au centre de l’ouverture sur toute la hauteur et largeur du fond de l’atelier. La veille au soir : le même ! Identique méga-gabarit (1,50 m de long [queue comprise]). Sur la murette à gauche de la pac-de-pine-a-tata de mon voimi Fred[11]. Je l’observe. Allez, fais un bond ! Dans les arbustes en contrebas de la murette. Juché sur le rebord, la partie avant du corps dans le vide il semble s’y apprêter. Sur ce Fred déboule, dans sa grosse bagnole, se gare, et l’iguane... fait un bond ! Dans les arbustes en contrebas de la murette.

Mondial Pare-brise. Le gars au téléphone : « Yenki (rien que) parbriz-la 1 007 euros ? ». Dans ma voiture derrière mon pare-brise en toile d’araignée quand j’ai commencé à rouler une fois la sirpriz découvrie jmidi[12] : « Ça va me coûter 1 000 euros ». (C’est dans quelques instants ma pas-minecarogette qui me fera penser... que je suis quand-même assuré !). Z’avais dit 1 000 euros ? Le gars donc aussi, alors que tout de suite après c’est « 800 euros » qu’il a dit. Improbable et troublante, ou troublante parce qu’improbable, mon « évaluation ». Mille euros ! Dans ma Sandero low cost je m’imagine que je roule en quoi ?! Je lui ai posé la question, à Monsieur Mondial, qu’est-ce que c’était-y que quoi son parbriz à 1 007 euros, et combien qu’y coûtait le mien. « Yenki parbriz-la » : je comprends mieux ! Lui-même s’était étonné du montant, pour « rien qu’»un pare-brise, le prix ouï comptant en réalité, m’a-t-il expliqué, des lunettes latérales et japu[13] quel tralala. Titine : « C’était combien pour moi alors ? ». Tu ne te vexes pas, hein ? Dans les 340 euros.

J’ai profité de mon patientement pour relever des nochiées dans mes bloc-notes de ma sacoche achetée dans le Kerala très jolie mais de femme à lunettes et telpo :

Amende du... 18 ! (07 – de l’année dernière !). Jélica[14]... le 18/07 !!! Le Judas-Dixit-Jule[15].

J’ai envoyé ma (2ème) lettre au commissariat de Lapwent pour m’autodénoncer (en tant que conducteur le jour du fouyapen... euh... de la prune – c’est Manno qui l’a prise + les points en moins) hier ! Et pour rouler comme recommandé je suis allé à Gozyé bourg où je suis passé à l’antenne des services de la sous-préfecture (relever le numéro de téléphone) où je m’étais rendu avec Manno pour démannoéxabicartegriser Titine. Plus de quatre ans après notre séparation. D’un claquement de doigt les choses se font, c’est ça qu’est bien, dans la vie.

Corbos[16] puis au retour au stop à côté du salo : pamoncul 666. Il en fallait bien un... pour de bon. (Également acolité, page 17 : « Dix pays [parmi 21 à haut risque] conjuguent une forte exposition aux conséquences du réchauffement climatique [...] La France se situe à la 166ème place.) 30,969 secondes après : un XR. Mazo iri ouvadac santoua.[17]

Arrêt carogettes. Chez la belle. Ça n’est pas elle. Mais une grosse. Ooohhh... Jolie aussi dans son genre.

— Y a des courgettes nulle part !

J’ai pris des tomates. Ça fait 2 euros 19. Je lui donne 2 euros 20.

— C’est bon. (Les 1 centimes.) C’est pour toi. C’est généreux, n’est-ce pas ?

— Très généreux !

Je ris !!! De la manière dont elle l’a dit.

Repartage. Elle est dehors.

— Et ça, c’est généreux ? En lui montrant le pare-brise.

— Règlement de compte ? Sont les mots qui lui viennent immédiatement.

Quand j’y pense... Après les histoires de voyous du Gardien (je xi[18] le Gardois).

Et après, après... les coups de feu !!! C’est Jean-Marie qui m’a remémoré ça. Sa belle-mère habite la résidence Perle des Caraïbes. En face de la mienne ! La plus les-pieds-dans-l’eau. Le super plan, dans ce pays ouragvagsubmersounamisant. C’est celle de l’ancien bureau de locations d’appartements de ma France. France ma très chère ex-voimie. Que d’eau (pas que scintillante – pour elle surtout) a coulé depuis. Elle est partie. En... France. Dans le Gard elle aussi ! Ici-même à deux pas du pine-ma-ride, post-aile orientale de Ma Porte des Caraïbes : le Zénith. Du moins fut-ce longtemps le nom de ce night-club, que Manno é mwen fréquentouillâmes à l’époque, qui a fermé et réouvert, et changé d’appellation, trente-six fois. Depuis le décovidrestrictionnement c’est reparti comme en karant. Et ça fait trois week-ends que... ça tire !!! Au bout de la nuit des jeunes fous. (Calme plat la nuit du méfait c’était en semaine.) La beldoche de Jean-Marie lui a dit, que ça avait pétaradé, dimanche dernier. À coup de plusieurs rafales en effet. Va pas tarder la boîte je sens à refermer.

21:31 quand je regarde l’heure estonie[19]... (31:21 au minutage d’une émission sur mon ordi-télé le lendemain quand je reprends mon tapotage.)

Page 3 sur 3 de mon fichier, 1 290 mots.

Des chiffres encore, bécogorpatourageux[20], dans des acolits, docho[21] :

Politis 1704 Sync sur Sync... euh... du 5/5.

Page... 18 (à 20).

À Dijon, les services de l’État usent de méthodes brutales et illégales pour inciter les familles déboutées de leurs demandes d’asile à quitter leur hébergement d’urgence.
Préfet [tout pourri] de la Côte d’Or
Règlement de fonctionnement
Abri de nuit
1 rue des Creuzots 21000 DIJON

Dates : 30 juin 2021 ; 11 avril 2018 ; 22 avril (juste après « la Cimade », l’assos’ d’aide aux migrants-grantes, ma Grande [Sinistre] Sync 21-Avril) ; 13 avril ; (28)/11/21 ; 13 juillet ; 1/11/22 ; 12/12(/17) ; 22/3/22.

Fin sur une nobapa et ses articles (du « code de l’action sociale et des familles ») : L345-2-2 et L345-2-3.

Page 21 : 25 avril. Page 22 : 22 000 tonnes de munition ; 1 500 soldats russes de la 14ème armée soviétique (22:00 quand je regarde l’heure estonie) ; 21 février ; fin septembre 2021 ; stade de 14 000 places (situé à l’entrée de Tir...aspol [Ah, c’était Paul ? Angelu : « Bravo Xabi !... Attends, je compte... ». Quoi ? « Combien de lignes t’as tenu avant ton premier jumo[22] de collégien de cette nouvelle Paxikite[23]... 115 ! ».] ; 11 millions de litres de spiritueux par an [« Dont que tu as bu, combien ? ». Ah, parce que Toi T’es fin, tiens.] ; billets locaux de 5 roubles ; hiver 2021. Page 23 : Avenue du 25-Octobre ; parade de la Grande Guerre patriotique du 9 mai ; 2 mai ; les hors-séries dès 2,21 avril... nooon... 4,50 €.

Au fait, le 115. Dans la lettre de l’enfoiré :

Une famille ne présentant pas de critères de vulnérabilité peut, s’il reste des places disponibles, être provisoirement hébergée. Toutefois, cette famille doit quitter l’Abri de nuit si une autre famille remplissant les critères de vulnérabilité sollicite le 115. [Parmi les clauses d’enfoiré (illégales)]

À deux autres reprises par l’acolit le 115 est cité. Sur lui aussi mes sync-antennes avaient frémi. Épi bof jmidi. En palé[24].

Sync de +. Le coup de poing de T3. J’étais mort de rire quand il nous l’a raconté, dans son atelier. D’autant qu’il n’y eut pas... mort de femme. « Au moins je ne l’ai pas frappée », a-t-il lui-même déclaré. « C’est sûr il valait mieux que tu tapes sur ta voiture », ai-je observé. Il est assez froid T3 souvent, mais quand il s’allume un peu plutôt quelqu’un de sympathique. Le coup de mon pare-brise ça l’a éclaté. Il m’a un peu surpris pour tout dire, son aveu ! Il n’est pas spécialement attrayant et pourtant c’est un coureur de jupons m’en a dit Manno. De qui ne sait-il pas quoi ? Bien que pas exactement extraordinaire pour un Gwadloupéyen. Le fait du jour dans l’actualité politique française : le lâchage (enfin) par son parti de l’un de ces « candidats investis par LREM malgré des accusations de violences faites aux femmes ». Qu’ils cognent, les mecs, sur ce qu’ils veulent ! Sur les femmes, sur qui que ce soit : faut-il être possédé.


20/05 — Je regarde un maouaza de mon ami Philippe comportant une photo et une vidéo depuis un bateau en train de quitter le Vieux Port à Marseille.

Que c’est beau.

Je lance la vidéo, puis la doigte pour qu’elle me montre sa barre. De défilement. À droite : 39 secondes. Et hop mon œil vire à gauche : elle en est à 21 secondes.

Attirance en pestant[25] de mon œil vers l’angle inférieur gauche de mon ordinateur... dont je m’apprête à relever les incroyatistiques de la badinerue[26] d’un autre fichier... cherchant mes mots quelques secondes... ma pensée divagante me suggérant alors de voyons-voirer un peu les données pages et mots des deux autres des trois fichiers superposés, dont toi, Sync sur Sync 3... et là, là...

Donque-donque, mon œil attiré vers le bas-gauche a d’abord capté : page 9 sur 9, 3 622 mots. Jojo mais pas la mer à boire, no. Sauf que ducournau... euh... du coup, quand je zyeute juste en dessous, sur ta badineroue... euh... rue, toi, toi, Sync sur Sync 3, tu m’affiches quoi ? 3 822 mots. Et sur ce dernier... mot voyons-voirons maintenant combien t’en as : 3 921. Ouah.

Pute a pain[27] !!! J’étais revenu à Jojo sa mer, cogitant que le 3 622 après le 39-21 oui, c’était assez joli. Or n’est-ce pas du miel que nous avons là ? T’as pas le miel, toi, toi, mon Sync sur Sync 3 ?

Sync sur Sync 3 : « Jumotte, jumotte, sur ton modou, doudou ».

— Yes chouchou, mon modou « ta-le-miel », « totalement démentiel ».

— C’est quoi qui l’est doudou ?

— Ton 3 921 bisû[28]. Gros bisou et miaou.

— Tu t’en vas ?

— Non, je te bise et te remercie beaucoup (« merci beaucoup » : c’est ça que ça snifoune[29] « miaou »), et précise que j’ai ma faffe...

— Moi aussi, pour le 12 et le 19...

— On est comiques, hein ? J’avais tchékeupé le Gaga-mou-frais[30], révizvocabulant à l’okaz un peu, dans la matinée. Je me suis souvenu d’une esmoupe avec « pas fait gaffe » ainsi remémorée. Jmidi que j’allais la placer. J’ai vérifié : c’est « j’ai ma faffe », pour « j’avais même pas fait gaffe ». J’ai ma faffe... la Sync 39-21/3 921 !!! J’avais juste microtté[31] sur le 21, et mes chira[32] et top chira 3 et 9. Rends-toi compte que je comptais uniquement biter[33] la microtte de ma Foune (Philippe dit « Fifoune » qu’ainsi de temps en temps je défie), rapidos, n’ayant pas que ça à foutre, mais oubliant que ça n’est pas Gozyé mais Marioupol que j’habite.

— C’est un message de solidarité ?

— Je ne sais pas mais ça n’est pas facile tous les jours non plus d’être synchrosnaïpé, sans arrêt, sans arrêt.


21/05 — Je tchèque mon fichier « Notes xabiwikitage » : quelles nochiées conviendrait-il d’insérer ? File d’attentes de quelques vieilles. Si j’insérais ? Façon cheveux sur la soupe, que je trouverai bien comment agrémenter. Bien que j’aie aussi des jeunes à me taper. Il ne s’écoule pas trois secondes : une Gasconité[34] est déjà en train de me coller aux basques. J’avais : « a déjà sauté dans mes bras basques », qui me satisfaisait moins, pourtant c’est moins désobligeant, et autrement conforme à mon sentiment, car Gasconité tu me vois cotojo[35] au contraire fort obligé. Peux-Tu Te présenter ?

Gasconité : « Mon nom est Triple-15 ».

[Avertissement. L’événement, cette mise en garde quant à ce qu’un élément du récit pourrait ne pas (immédiatement) être compris (d’un côté, « triple » le 15 ne l’est pas tout à fait, de l’autre il est beaucoup plus que cela...), est tel qu’à la seconde où j’avertissemente : boum ! Le feu d’artifices démarre, en ce 7ème Jour de mon Hiryottage[36] débuté le 21. En ce 27 avril 2022, les Gwadloupéyen célèbrent les 174 ans de l’Abolition de l’Esclavage dans leur île. Les fusées sont tirées au bourg de Gozyé. Sur ma terrasse je me poste pour admirer.]

— Intéressant ce nom, Triple-15. Je vois bien un astronome le donner à une planète. Tu appartiens à la Famille des Atoniques, les Astres Synchronicitiques, ou des Souridiles, les Synchronicités Poussières d’Étoile ? Les Synchros Phares d’un côté, leurs Auxiliaires Illuminatrices de l’autre ?

— Si je te dis que j’embrasse ton Ama ? Ah mais non, ça ne va pas.

— Ma Défunte Maman Adorée ? Si, bisû, Tu peux l’embrasser. Et sois certaine qu’à ce compte-là le grade d’Atonique d’office je T’octroierai.

— Je n’en doute pas. Le hic c’est que mon appellation Triple-15 implique un embrassage global rendant la distinction entre Ato...

— Te bil’ pas, sur Planète Modoupa on n’en est pas à une légère incohérence près. Planète Modoupa c’est Planète Bordel Complet...

— Allons, très organisé.

— Ouuuiii, on s’arrange toujours, sur Planète Touti Rix, Tout-Existe-Rien-N’Existe. Atonique, Gasconité... : cette Dernière, ou Première (à la Base), est que quand j’ai entrepris de m’occuper de Mes Vieilles, c’est justement La Mienne Tant Aimée qui depuis ses Cieux il y a quelques trois années regagnés a jailli...

— On calcule ?

— 1er Novembre 2018 – 21 Avril 2022... ça fait...

Vingt-six mois. Je précise dans une séquence ultérieure à propos d’une vision étrange que je suis à jeun. Je ne suis pas davantage sous l’emprise de produits stupéfiants pour l’exécution du présent calcul, dont je propose de différer la livraison du résultat. Les 26 mois sont ceux de ma nouvelle carrière d’écrivamateur écoulés et de la durée d’un emploi des signes pour l’écriture des dialogues erroné. Il me manquait un guide. Un Guy de Mautpassant. Dont j’ai commencé à lire une histoire de pédés : Bel Ami. D’où cet intitulé donné à un site porno gay que j’ai eu, dans d’autres récits philosophiques, l’occasion de mentionner. Trêve de pinerie[37]. Traite : « trêve de plaisanterie » c’est en principe comme ça qu’en modoupaïen ça se dit. C’est à dessein, pour l’effet comique, que j’ai préféré le formuler de la sorte, en conservant « trêve » en français, de manière à employer la pinerie qui seyait.

Lu pendant que j’écris ça : un Affreux-Afro du PSG a refusé de disputer un match où des maillots anti-anti-gay (« floqués » aux couleurs de l’arc-en-ciel) devaient être portés. Tu sais comment il s’appelle le con Ama ?

— Non.

— Idriss... Gueye.

— Ça ne s’invente pas !!!

Tant de finesse, de soin apporté à la forme, une telle beauté du style, pareille maîtrise de la langue, et je trouve, le moyen de me vautrer, tout ce temps, sur les tirets, les guillemets, et la ponctuation au cul des tirades, con. Dans d’autres lectures des dialogueurs-gueuses m’avaient bien alerté, mais il faut croire qu’ielles avaient manqué de clarté les pédés-dées. Démonstration :

Gasconité : « Mon nom est Triple-15 ».

— Intéressant.

[...]

— 1er Novembre 2018 – 21 Avril 2022... ça fait...

La Gasconité et les deux points : OK. Ouvrez les guillemets : OK. Fermez les guillemets : non ! Le point d’abord. Saut de ligne, tiret : OK. Jusqu’à la fin du dialogue. Tiret, dernière tirade, et... c’est là, qu’on ferme les guillemets !

Miaou Guidou.

Qui c’est-y sinon la Vieille Numéro Une ? La voili, la voilou :

Amamonculs / 84 dans le Ciel. À fond dans mes pensées pour Ama sur la route la 1ère pamoncul que je « croise et regarde » : un (1)84 XR. J’avais devant moi un XV (de France). Coucher de soleil ! Précédé d’un 763 (sans intérêt mais sait-on jamais).

Ama : « Ene Seme Maitia[38], nous ne nous étions depuis quelques temps point retrouvé-vée ! Et ça arrive... un 21 mai ! Le taux de charge de ton telpo t’as visé ?! ». [Guidou : « Qu’est-ce que c’est que ce point après un guillemet lui-même précédé de signes de ponctuation ?! Le point, ou point d’exclamation, ou d’interrogation, ou de suspension, doit figurer à l’intérieur des guillemets ! » Miaou.]

— 21 %, le taux... Madré mïa... Quel Retour en Beauté, pour avé Ma Peste du 21 Mai Enculée[39], en Cheffe de File de mes Vieilles Nochiées, en ce 21-Avril Plus Un Mois invitées, Génialement te Synchroniser ! [Guidou : « Ton guillemet, vu que tu dialotirettes, après, doit être placé à la fin de l’énoncé du dernier tiret. » Miaou.]

— Ce 21 ces derniers temps devenu comme une des Grandes Incarnombrations de tes Éginies[40].

— Le 21 du 21-Avril Infamie ça n’est pas très gai, si ?

— Le principal c’est que toi tu le sois.

— Tu n’as pas toujours dit ça.

— Que tu es sot, ene semea.

— Ah ça tu l’as toujours dit !

— Avec tendresse, pour rire. Quand tu faisais le pitre.

— Qu’est-ce qu’on a ri. Tu me manques.

— Tu me manques toi aussi.

— Le 21-Avri... euh... vril, alors ?

— Eh bien appelons-le comme ça désormais !

— 21-Avri ?

— Oui. Kon sa tout rira, tu verras.

— N’empêche, c’est aujourd’hui le 21 que j’ai de nouveau croisé, pour la première fois depuis des mois (c’est fou), Laurent mon voisin Om. Et que je me suis retrouvé à lui répondre, à lui (quelle diablerie), afin de couper court, parce que je n’étais absolument pas en état de m’embarquer avec lui sur le sujet de ma pute mie, ma putain de maladie (ce terme, « maladie », que lors de notre dernière Gratte-et-Garonne[41] j’avais pris la résolution de ne plus employer), et parce que c’est vrai, à sa question « ça va ? » : « C’est de pire en pire ! ». Il a rétorqué par un « ah là ! là ! » qui disait toute la désolation du monde. Et j’ai ajouté sans m’arrêter (en chemin d’un pas décidé vers la sortie de ma résidence) : « Je suis en train de crever !!! ». En point d’orgue d’un nouveau terrible échec d’une démarche médico-spirituelle dans laquelle je m’étais engagé, avec une telle FOI, pourtant, comme à chaque fois. Tiqu[42] m’a récemment balancé cette vilaine remarque au téléphone que je « ne fais[ais] rien jusqu’au bout ». Mais quand passé plusieurs mois je ne ressens pas le moindre frémissement, et qu’au contraire ce cancer qui ne dit pas son nom continue de dégénérer, à quoi bon dans la « thérapie » engagée – couteuse en tout : temps, efforts si ce n’est « sacrifices », argent... – persister ? Peut-on se voir reprocher de « laisser », au bout d’un certain temps, la motivation s’émousser, et le désarroi... le désespoir... le dégoût l’emporter ? J’essaierai de prendre l’avion pour la France le 5 juin. Pour la première fois depuis près d’un an et demi. Au Pays basque ça fait pas loin de deux ans et demi, de loin mon rotolu[43] – il était précédemment d’un an et demi –, que je n’ai pas mis les pieds... Depuis plus de deux ans je dois sortir 2, 3, 4 heures max par jour. Mais TOUS LES JOURS. Sauf éventuellement charreture (charette de tutes, de traductions). “Ma vie est désormais entièrement tronquée, même si je continue d’en tirer le peu que je peux avec joie”, ai-je enculé SaDeJo. Mais je ne vois pas comment je parviendrais à effectuer le voyage. Et si je monte dans l’avion ça va juste être l’enfer. Non que je sois incontent... si, cependant ici ce sera plutôt tinant, mais je suis mal, mal, mal, tout le temps, tout le temps, tout le temps... Il n’y aura pas de Banda Divina pour moi ainsi que tiqu aussi me l’a écrit. À part me divertir, avec Ses synchronicités, si ce n’est me narguer, à coup de forces à la con qui ne peuvent rien pour moi. Mon faux départ du 18 juillet 2021 m’a inspiré cette réflexion selon laquelle la mort avait rebondi sur moi comme sur un fronton une pilota ! Car je suis TROP VIVANT !!! Mais elle rode la salope depuis. Des idées très noires, depuis des décennies que je morfle, du matin au soir, tous les jours que le « Bon » Dieu fait, je n’ai pas commencé hier à en avoir, mais je n’aurais jamais cru jusqu’alors qu’elle entrerait ainsi réellement dans ma vie. Je suis en sursis. Trop vivant ? À moitié mort, oui. [15 655 mots ici.]

— Ah, oui, t’es très gai en effet mon chéri.

— Exultation, insultation. Et toi, kèstu branles ? Une thérapeute un jour m’a dit : « Ils peuvent nous aider les gens là-haut, si on leur demande ». Je me marre !

— Elle a dû faire l’école du rire elle aussi.

— Bon les SM alors c’est pour quand ?

— Tu verras. Sur Terra tu resteras. Le Triple-15, ahora, hiryotte-nous ça[44].

Je leur colle des puces, à mes Patientes (les Vieilles de la Queue) ? Des numéros ? Comptage. Je suis sûr qu’elles ont le bon. En palé !!! Elles sont 9 !!!

— Ma Vieille Tu es donc Numéro Une. Les Amamonculs...

— C’est charmant...

— Tu sais bien ce que c’est...

— Mais oui mon fils je pine.

— Les Pamonculs-Ama, de tous les côtés, tout au long de la journée, le Jour de la Toussaint 2021, pour le Troisième Anniversaire de Ta Mort[45], dont tout un tas ont arboré tes initiales, JR, parfois accompagnées des miennes et d’encortiqu, ainsi que d’autres Chier-durs[46]... Je ne peux pas tout dire, mais cette Journée, et Ton Nuage, le Nuage 84, ce 84 Dans Le Ciel le 5 mars 2021 également, le Jour de Ton 84ème Anniversaire, sont parmi les manifestations les plus dingues à ce jour des Forces, qui à part ça me la mettent bien profond.

— Quel poète.

— Tu sais quelle heure il est ?

— Bof l’heure, Là-Haut...

— Non mais c’est rapport aux frite-rondes...

— Les forces qui te la mettent bien profond ? Avé de l’huile ?

— Kèskon rigonde.

— T’as l’heure (dont je n’ai que foutre) alors ?

— Oui. Il est 15h14. Le 15, et le 4 du 84.

— Et cette pamoncul de ta nochiée, et le XV de France, et le coucher de soleil, c’est quoi toutes ces frite-rondes ?

— De la France on n’a que foutre...

— Ça d’accord...

— Mais ce XV m’a intrigué, et c’est finalement le V qui m’attendait... dans le ciel, arrivé dans mon quartier à l’issue du trajet en voiture théâtre dudit frite-rondage. J’ai poussé jusqu’au parking petit-bras... euh... au petit parking abra[47], cinquante mètres après ma résidence, pour admirer le coucher de soleil, d’une beauté ce soir-là ! J’en ai vu un des plus fantastiques aussi hier. Un du Lyonnais. Maouazaté. Dans notre Euskadi[48] ils n’ont pas non plus quoi que ce soit à envier à ceux d’ici, hein Ama ?

— Je les vois tous partout tous les soirs maintenant, c’est les nôtres les plus beaux.

— Chauvine.

— Et ton V, là, l’a pas intérêt mon record de Frite-rondes du Ciel de m’enlever.

— Nooon, ça n’était pas aussi extraordinaire que ton 84, mais ça m’a bien troué le cul aussi.

— Prout... euh... pouet mon poète.

— C’était un Triangle Inversé de Lumière Noire... de Luminoire, tiens... c’est au chamou 53-Livre/54-Wiki. Poco bité, maman cascu lidio.[49]

— Tu ne me casses pas du tout le cul, mon idiot préféré.

— Kèskon se marre. Entre deux rayons de lumière de part et d’autre d’un nuage ça faisait un immense Vriangle Noir.

— Et le 763 ?

— « Sans intérêt mais sait-on jamais », ai-je nochié. En palé ! Ama. En palé ! Il a synqué le 21 au soir au trou dans Les Caractères de Jean de La Bruyère[50]. C’est doublement stupéfiant. Le texte du roman, dit « d’apprentissage » (de la vie) – c’est l’appellation du genre du roman, apprends-je comme un collégien –, est suivi de six « Séances » (pour les bacheliers), subdivisées en un certain nombre de points. Combien ? Comptage : 21 !!! Je te jure, elles comptent toutes 21 points !!! Sauf 2 qui en ont 20. Et à la page 227 de la Séance 4, je dégotte mon 763... Bon, dans le désordre, un 637, dans l’année de naissance d’un certain Sébastien Leclerc (1637). Et c’est quel point de la séance, je te le donne en mille ?! Le point 15 !!! Tout fiorituré qui plus est, mis en exergue dans un encadré, entouré d’une frise, de ses trois lignes de consignes (« Effectuez une recherche sur Socrate et Platon... »). À la Séance 1 c’est le cas du point 12, à la 2 également celui du 15, et à la 3, à la 5 et à la 6 celui du 16. De toutes les Séances, de la page 214 à la page 237, bourrées de nombres de pages, de dates, etc., c’est la seule occurrence, c’est le seul 763, dans l’ordre ou le désordre, à part un autre 1637 page 224 (l’année de parution du Cid).

Ce 21, en parlant de Laurent... Il faut entre autres se reporter aux Syncs de Sync sur Sync 1 pour piger... C’est un de ces frite-rondage aussi... dans Les Caractères page 225 (etna coi[51] le 224 nous précédait...), point... 19 !... : « Pierre Teilhard de Chardin affirmait que “nous ne sommes pas des êtres humains vivant une expérience spirituelle, mais des êtres spirituels vivant une expérience humaine” ». Il faut vraiment aller faire un tour chez SS-1...

La Paxikite pas d’accord : « Teu, teu, teu. Nous nous en tiendrons à Sync sur Sync si tu veux bien. Sauf envie de brunir davantage encore le paysage. Quand le besoin est tel de plutôt le verdir.

— La Syyyyynnnnnc !!!!!

— Tu es trop bon, à saisir l’occasion pour montrer au monde en perdition à quel point je suis digne de mon nom. Mais non. Pas au prix de la trahison...

— T’exagères pas un peu, non ?

— Je m’attache à l’être au moins de tes rimes à la con.

— Contradiction !

— T’as raison, digne d’un truc à la con...

— Tu sèches ? Attends, en « on » on a... maison, charbon, saucisson... ça vient pas kon sa doudou dis donc... tronc, pont, long... des mots d’une seule syllabe c’est facile, sinon... estragon... merci Telpo pour ta contribution... ah ! contribution... moi j’allais taper esturgeon... Esturgeon ?

— Voyons : t’as raison, digne d’un truc à la con je crains que ça ne soit trop du goût des esturgeons.

— Une lapalissade : ah, non ! Sur ce pion... euh... plan au mion... euh... moins je n’avais me semble-t-il pas encore trop prêté le fion... euh... flanc. Cessons. Mais félicitations pour ton honnêteté mon garçon, le Ciel Vert qui nous attend c’était déjà dans la boîte quand danupag[52] je t’ai joint au boxon. »

Les On : « C’est bon, nous te libérons. »

Écripausage. Je lis : « Une bonne dizaine de noms, dont ceux de Marisol Touraine, Valérie Létard ou Catherine Vautron [ont été cités...] » !!! Je blagouille c’est Vautrin, mais ça avait bien commencé, avec « noms, dont », et, en vrai, mon cerveau cononditionné, ça m’a fait un drôle d’effet.

Dans SS-1...

La Paxikite ne laisse toujours pas passer : « Non !!! »

Pardon. La Phrase. Dans Sync sur Sync 1 c’est bien simple elle est carrément italiquée, grassisée, centralisée. Kon sa :

Nous ne sommes pas des êtres humains vivant une expérience spirituelle mais des êtres spirituels vivant une expérience humaine. [J’ai topchiraïsé le nombre de points de retraits (invisibles), qui dans Sync sur Sync 1 n’étaient que 3.]

Ouah ! ouah ! ouah !...

Gidou en passant : « Tu miaules ou tu aboies ?

— Les chiennes ne font pas des chats. »

Je rouaouaouate. Estomaqué par la Moussetique[53] en train de s’opérer, comme jamais !!! Ça n’est pas peu dire. Sur les propos que je suis en train de tenir. Et lesquels !!! Incessantes Moussetique et Mousse de l’Otonex[54], par-dessus celle de tous les Inétan-sémors[55]...

Re-écripausage. Sortage. Au bout de quelques centaines de mètres demi-tour pour cause d’oubliage. Contactéteindage sur « i ka priyé Bondyé » (« Il prie le Bon Dieu », dans une chanson à la radio).

Les Mousses. Ça ne peut pas encore durer comme ça 107 ans. Façon de parler pour placer... le 107 !!!!! Concon[56] ? Non, que dalle, il n’a rien de spécial. Par contre ce soir le ciel du crépuscule est vert. Mais VRAIMENT vert. Genre bouteille. Le contenu d’aucune je ne me suis sifflé. Je suis à mon éternelle drogue light, la seule avé la clope que je puisse m’autoriser désormais, la pré-nonne(encore elle)-pure(avant purification)-qanon(l’un n’empêche pas l’autre)-pasque-bonne(c’est pour ça) [la pas-forcément-très-bonne-pour-ce-que-j’ai-non-plus-mais-pas-que-pas-bonne] : j’ai nommé le café. Ça y est, c’est fini. Le ciel. Tout d’un coup. Il a repris une couleur normale. Et je n’ai pu solliciter l’avis de personne, dans l’espoir d’avancer un tant soit peu sur la voie du percement du mystère, si mystère il y eut. « Vers l’établissement de ce qu’il fut ou pas » serait plus exact. Si conclusion commune à l’étrangeté du phénomèèèèène c’est là, qu’ensemble, à en rechercher la cause nous nous serions attachés-chées, ou ché-chée, ou ché-chées, selon que le conseil eut compté deux membres seulement ou davantage, que j’eus constitué ou non le seul représentant de la gente mâle, patita[57]. Féministes de Tous les Pays vous accepterez que je cesse là le passage en revue des cas de figure.

Les Féministes de Tous les Pays : « T’as vu c’est chiant, hein, le masc-fem ? ».

— C’est comme ça que vous saluez mon engagement ?

— On te charrie chéri. Grand bravo, le Ciel te le rendra coco.

— Nous le rendra à tous-toutes. Les Énergies d’Amour et de Respect par Chacun-cune Déployées sont des Énergies pour l’Humanité.

L’Énergie Verte de Mon Ciel de ce Soir : je ne vais pas les embêter avec ça. Tout seul comme un grand j’adjuge : l’explication réside probablement une fois de plus dans la brue-sara[58] qui roussit mes lunes. Des éclairages de l’hôtel pouvaient-ils en être responsables ? Cela ne semblait pas être le cas. C’ÉTAIT la couleur du ciel, en cet instant T. Cela, c’est certain. La brue-sara, par conséquent, verdirait le ciel au couchant ? Première nouvelle. C’est du jamais vu. Ce sera un deuxième point pour les astro-atmosphérologues qu’un jour j’interrogerai sur mes boules de feu, à priori des débris de météorites, observées ile qannée à quelques centaines de mètres au-dessus de ma tête abra dans un ciel bleu.

Du piment-croté bouteille. Après que dans la journée du 21 l’addition d’une vingtaine de montants de TVA des factures de mes traductions a abouti à un 5 000 tout rond comme un ballon, dans la soirée sur mon ordi-télé cette nouvelle : « Cinq mille bouteilles de vin ont été sorties du Lac Léman. » Dans la foulée, le ballon, et un... triplé de Mbappé, puis une performance de l’équipe de son homologue féminine Wendy Renard.

107 ans supplémentaires de Mousse des Inétan-sémors ça ne sera pas possible. Ni même un seul. L’Épilogue est imminent.

La Quenèle[59] est :

COMMENT TOUT CELA VA-T-IL SE TERMINER ?????????!!!!!!!!!

Tou-9-le-mastic : c’est l’esmoupe consacrée pour les maxi-emphases. Les emphases voyelliques toutefois. Il est temps que je m’en équipe pour les sespions[60]. Messieurs pour vous ce sera toujours ((...))

— Les sespions, me coupent les sespions.

— Salut, les sespions. J’esmoupise ou modouïse (terme générique : modoupaïanise) généralement plutôt sur l’expression ou le mot ou groupe de mots en français intégralement.

— On te le fait, si ça te sied : ((...))

Guidou en passant : « Je prends la place de l’élève : je suis curieux de ces doubparantèztroipoindoubparantèz. Sans parler des nids de poule...

— ... Dans mon cheminement... Je sèche... Je regarde l’heure estonie : 21:12 !... C’est quand je sèche, justement, les doubparantèztroipoindoubparantèz. Les nids je laisse pour quand j’aurai faim. Laisse-toi porter. Pas évident pour un guide j’imagine. Disons que c’est ta pause.

— Dans ce cas volontiers ! Non mais je jicle[61], ce bric-à-brac.

— Tu parles modoupaïen ?

— À tous-toutes tes Omnipotents-tentes Visiteurs-teuses tu vas poser la question ?

— Je la pose à tous-toutes mes Omnipotents-tentes Visiteurs-teuses ?

— Je suis en train de lire la suite : « Aux infos à 23h07... » Un rappel des dates ? Nous sommes le 26, et ce sont des infos du... ?

— 21.

« 963 Américains interdits d’entrée en Russie » ; puis un gros 221 et un gros 224 se sont affichés : la part des membres du parti des Démocrates et de ceux des Républicains dans la liste en question.

Guidou continue de licouter et moi de relicrire.

Mais pause moi aussi à... 12 120 mots !!!

Puis je lis dans Politis : « Deux semaines plus tôt, un certain...

21 AVRIL 2002 !!!!!!!!!!!...........

... la ville [Soissons] avait propulsé [VOMI] au premier tout de l’élection présidentielle à plus de...

21 % !!!!!!!!!!!...........

... cinq [sic] points de plus qu’à l’échelle du territoire national. »

Guidou : « Après ça je vais m’étonner que tu aboies. Et pas de doute ta Mousse ça n’est pas de la fausse.

— Guidou moi je suis en train de frissonner... comme jamais...

— Qu’est-ce que tu sens ?

— Mais je ne sais pas, Guidou, je ne sais pas... Rends-toi compte, cette manière dont le 21 avril 2002 ressurgit dans cette Hiryotte du 21 Mai... On y est...

— Mais où, à quoi ?

— Je ne sais pas, Guidou, je ne sais pas... Et la Quenèle !!!!!!!!!!! La Quenèle !!!!!!!!!!! Je n’avais même pas fait le rapprochement !!!!!!!!!!!...........

— Avec celle du fachmoriste en son temps...

— Oui !!!!!!!!!!! J’onzpoindexclamationnise tout, et j’onzpoinderetréïse le 21 avril... Bikoz le 11, tu sais, un top nopapa[62]...

— Je sais, je sais, et si tu pouvais tu sissansoissantpoindexclamationniserais et sissansoissantpoinderetréïserais.

— Maman, j’ai peur... »

Guidou : « Bonjour Madame. Il a peur... »

Ama : « Bonjour Monsieur. Zer da ene semea ?[63]

— Tu ne vois pas ?

— Si-si, chooo, chooo... »

Elle me chochotait kon sa kan j’étais piti pour me consoler. C’était plutôt du X, du « cho » basque, du xo de je ne sais quel moxoxo.

Voilà dans quel état j’errais, à une heure assez avancée de la nuit du 26 au 27 mai, après minuit en tutu[64] (j’ai heureusement installé une grande porte-panneau-plexi façon moi contre ma baie moustiqueraie – pask’à travers elle trop de courants d’air parfois –, dont le battant d’origine vitré ne ferme pas). Soit, déjà, le 27 mai... Pourrai-je un jour finir une phrase, comme celle-là dans laquelle je m’apprêtais à dire que je n’avais pas vu la moitié des synchronicités, sans que ça ne se remette à synquer de tous les côtés ? Ne serait-ce que suminu[65] ? Ce 27 mai le minutage de la fenêtre de « C à vous » calée en haut à gauche de l’écran et aux deux tiers dissimulée par mon fichier est de 00:27:47... En haut à gauche de ladite fenêtre elle-même : S13 (Saison 13)... Sur ce 13 sur la badinerue de mon fichier : 13 665 mots, donc 13 666 sur « sur ». Fichier qui en est à sa page 14 sur... 27.

J’ai ma faffe (en modoupaïen). Dans Politis 1706 page... 15 !!!!! Déjà ça, pour commencer, je ne l’avais pas relevé. Ialla-la-iallisme[66] de numéro de page : une photo sur toute la moitié supérieure de la page est surmontée sur sa droite de cet intitulé en majuscules du dossier : « GAUCHE : NOUVELLE CAMPAGNE 1/5 ». Sous ces trois mots un encadré rogne le coin de la photo. En hommage à l’honneur de ce troulderchant et passionnant acolit, en ce Jour Extraordinaire, sorte de Journée anti-faffe, car celle de la Commémoration de l’Abolition de l’Esclavage en Gwadloup, en voici le contenu :

Si La France insoumise a su mobiliser les quartiers populaires urbains lors du dernier scrutin présidentiel, la Nupes doit désormais convaincre les électeurs des zones rurales attirés par le Rass-de-merde. C’est le sujet de notre série.

Sur la première page c’est tout. C’est dans la deuxième partie du paragraphe (qui débute à la page 15 et se poursuit à la suivante... 00:21 quand je regarde l’heure estonie [je ne la vérifie vraiment qu’assez « rarement » !]) que La Phrase est amenée par « un État, à l’époque gouverné par la gauche plurielle, incapable de soutenir les milliers d’ouvriers perdus par Soissons et ses alentours après les différentes vagues de licenciement ».

Autour de l’Atonique du 21 avril 2002, la plus troulderchante Souridile est peut-être celle de cette légende de la photo à droite du demi-pagragraphe de La Phrase : « Les locaux de l’entreprise Baxi, fermée définitivement en 2014 ».

S’ouvre, par ces mots, sous le Demipalapa, le paragraphe suivant : « Vingt-six ans plus tard, le scénario [vomitif] s’est répété, avec la fille [dans la famifaffe] cette fois [...] ». Mongole. Qui snifoune « mais non je rigole ». C’est l’une de ces esmoupes toto-momo-batataïennes, en ce qu’elles s’accordent avec l’objet qui n’en est pas un. Or on en serait presque à souhaiter de l’objet en question, si l’on s’amusait à appliquer à ce terme son acception française, que le mongolisme constituasse sa principale caractéristique. Mais je m’égare, et le mongolage, dans le cas présent, a trait au fait que « vingt-six » ne débute pas l’énoncé susvisé, et ne microtte pas, au regard d’une affirmation de ma part entêtée par ce même nombre, mais « vingt ».

Les lignes ont à peine le temps de remplir l’espace entre le cliché Baxi (d’un bâtiment désaffecté, ça n’est pas joli-joli) et la marge de gauche qu’elles re-synquouillent, dans ce tronçon de phrase : « en 2011, dans un rapport de Terra Nova ». Mix monbalesque[67] du 11 le nopapa, suite à la fifaffe à papa, et de la Terra où Ama m’a dit que je restera. Et ça synxplose : « Une erreur stratégique [la recommandation par... Terra Nova... en réalité du gros caca, car un « think-tank » du PS, qui conseilla au parti de « se détourner des ouvriers dont le poids électoral était jugé insuffisamment important » – etna coi on ne nageait pas dans le cynisme le plus complet], comme le rappelle... » Antantion mesdames et messieurs c’est là : « ... comme le rappelle l’économiste... » Il est... 15h44... Roulements de tambours... : « ... comme le rappelle l’économiste... BRUNO AMABLE !!!!! » [Ciqu catali sex ama bisû.[68]] Et qu’est-ce qu’il rappelle l’AMABLE, hein ???!!! Qu’est-ce qu’il rappelle l’AMABLE, hein ???!!! Qu’est-ce qu’il...

Angelu : « Ça me manquait, les beugues de mon Xavier ».

Guidou je viens de taper une première fois le guillemet suivi du point, puis le point suivi du guillemet, puis le guillemet suivi du point. Japa japu jepu[69].

L’économiste rappelle que les ouvriers « représentaient encore à l’époque... 21 % !... des personnes ayant un emploi ». Qu’on se l’aime ce Bruno, hein Ama ??!! D’autant qu’il est « l’auteur de La Résistible Ascension du néolibéralisme ». Génial, cette expression !!!!!!!!! Etna coi nous étions en plein... week-end... de l’Ascension ! Je dis ça, je ne dis plus rien. J’ai épuisé tous les mots d’extamerveillultation.

Résistible Ascension, Géniale Expression, Ama et moi en chœur :

RÉVOLUTION !!!!!!!!!

En l’hommage à l’honneur de Bruno, son acolitée citation :

L’État a abandonné son rôle de planificateur, de financier et de premier client des firmes industrielles pour devenir, au mieux, un investisseur passif. Passé d’acteur du développement à banquier d’affaires, l’évolution de son rôle a conduit la direction de ces entreprises à adopter les pratiques et les choix stratégiques associés au capitalisme financier mondial.

Mi tou ![70] Saut de ligne après la Bramablade et enchaînement, directement, sur les brûlants (bramabliens) débris de comète suivants :

Cette nouvelle doctrine de l’État vis-à-vis de l’industrie s’incarne dans ce que certains appellent une maladresse de Lionel Jospin [qu’il pouvait être crétin ; face à Chieurac, en 1995, à l’écoute d’une phrase prononcé par lui (« nous aurons tout fait pour... » : quelle « gagne »...), à un moment donné du débat de l’entre-deux-tours, jmidi « il a perdu »], alors Premier ministre sous cohabitation, le 13 septembre 1999.

Le 13, mon mois, triple top chira. Colonna (tiens j’en ai causé hier à l’Hôreuré avé un toutou et David le Rasta) d’en faça : re-triple top chira... mais si ça n’était que ça... :

Les levrettes de Nadine n’attendent pas : elle se lèvera tôt.

On peut rire un peu, hein, Ama ? Tout sensationnel et talmiel qu’il puisse être, notre Spectacle Synchropyronicitique Dans le Ciel, tout ne prête pas qu’à s’esclaffer.

Pour l’économiste Nadine Levratto, [l’État considère] qu’il ne faut garder des industries que les secteurs de la recherche et développement. Elle cite la loi Allègre de 1999 [...].

Là Ama et moi on se regarderait et on eeexploserait dans le même « booohhh !!! » et éclat de rire.

Pour comprendre pourquoi, lire la fin il faudra.

Dans quel état j’errais, dans la nuit du 26 au 27 mai... J’ai un peu exagéré. J’ai pleurniché pour attirer Ama, et afin que nous reconvergeâmes vers où je l’avais laissée le... 21. Dans Politis 1705 du... 12/05. Ça aussi : le 21, le 12, et c’est du numéro suivant, le 1706, du... 19, dont sont tirés les précédents extraits, jusqu’à l’Incroyable... Dénouement ?... Page 2 dans un « Courrier des lectrices et des lecteurs » : du Pacha Mama, plein de A comme Ama (Al-Andalus, Albert Apelbaum l’auteur du courrier), de la Lumière et des Planètes, ainsi que les Antilles et Haïti, bien que sous un triangle... euh... angle très... noir :

On pourrait s’étonner que le scrutin du second tour aux Antilles et à la Réunion soit à I’inverse de celui du premier tour. Que des descendants de populations colonisées puissent donner leurs suffrages à l’héritière des colonialistes dépasse Ia compréhension. Mais, à y regarder de près, l’exemple d’Haïti est à considérer. Né de la lutte victorieuse des esclaves qui se sont soulevés pour arracher leur liberté jusqu’à obtenir un État indépendant, ce pays est devenu au fil de I’histoire la dictature féroce des « tontons macoutes ». De même, la civilisation des Lumières d’« Al-Andalous » se trouve réduite à I’intolérance et à la persécution dans les mondes musulmans.
ll n’y a pas de « Peuple élu » qui détiendrait la grâce. Celui des Soviets, loin des espérances attendues, a mis en place un système de goulag, et sa chute se traduit à présent par une guerre brutale qui risque de devenir nucléaire. Ce monde est devenu celui de la lutte de « chacun contre chacun », pour des « voraces » dont le besoin de possession est inextinguible, au point de sacrifier notre « Pacha mama ». Et nous ne sommes pas au bout de nos peines puisque le « triomphe de la science et de la technique » se donne pour objet de coloniser l’espace et les planètes du système solaire.

Ama : « C’est quoi Pacha Mama ?

— Japa, AA ne le dit pas, alors je mouchineta[71], et trouva que c’était la « Terre-Mère » des Incas.

— Nous nous étions retrouvé-vée après qu’en ce 21 Mai ton salo... euh... depuis ton salo-sola de l’Hôreuré salbachi[72] tu avais enculé...

— Ça :

Record de tablée à l’Hôreuré. À mon solarium du moins. Le jour. 15 toutous en partance apparemment. Sous l’espèce de « préau » de l’aile pointant vers Mon Temple Abra[73]. Un soir il y a fort longtemps je m’étais retrouvé à une table à faire la fête avec peut-être un plus grand nombre encore de personnes (que je ne connaissais pas) que ça... Souvenirs, souvenirs...

Les Autres Vieilles :

2. Un Xavier m’a « remplacé » , à la Cimade. [Après que ma SANTÉ a fait que pas plus de quelques semaines je n’avais pu y bénévoler.] Il a fait sa toutpie[74] apparition (avec sa femme) en même temps que ma toutnie[75], à la manif devant la sous-préfecture de Lapwent en soutien à nos Amigrants-grantes.

3. Maouaza à la Cimade pour le décès d’André [Le Doyen – Mes Amitiés Camarade – 23:21 qramé popote] envoyé à 16:16.

4. Maouaza Manno 27/01 [Ama : « Agur[76] mon chériii !!! »]: Fox Trot, le renard star des pistes d’Orly met en lumière la biodiversité dans les aéroports.

Ama et moi : « Trop délire !!! » Ama : « T’as pas une histoire de Fox Trot akètpar ? »

Il a de tout pour tout ton filou :

J’ai livré, lors d’une autre pas très ancienne édition, mon dernier grand numéro de prestidigi-fêtard. Seul après avoir semé, une fois de plus, toute la compagnie avec laquelle je me trouvais, à une heure bien avancée de la nuit, je me suis d’abord pris pour un fakir. Les occupants-pantes d’un grand appartement du deuxième étage d’un immeuble de la rue Marengo, dans le Petit Bayonne, où une fête dans la fête était organisée, ont eu la génialidée d’installer leurs enceintes aux fenêtres, diffusant une musique de soul, funk, salsa, bossa et tous autres styles aux accents de techno d’une rare qualité. J’ai ôté, pour mieux me trémousser, les sandales avec lesquelles je n’avais pas hésité à m’aventurer dans la jungle babakienne[77] ce soir-là, ne me méfiant pas des bris de verre dont le bitume s’était, ça et là, inévitablement retrouvé jonché. Je me suis tout de même assez rapidement ravisé, remettant mes nu-pieds[78].
Cette séquence endiablée terminée, au petit matin, j’ai repris le chemin de la maison. Rue des Basques, de l’autre côté du pont Pannecau, je me suis assis à un guéridon. Sur le trottoir, devant une peña, en effet, où des fêtards-tardes étaient encore assemblés-blées, dans et devant le local, une petite table ronde, une chaise, une bouteille en verre et un couteau en inox attendaient que Fox trotte là. Je me suis mis à taper sur la bouteille avec le couteau, en rythme, sur la musique qui passait. Une performance de pas moins de trois quarts d’heure non-stop a ainsi débuté. Les uns-zunes après les autres, autour de moi, m’ont emboîté le pas, s’embarquant dans leurs propres numéros de percussion avec ce qu’ielles pouvaient sur ce qu’ielles pouvaient, qui avec une chaise sur le bitume, qui avec ses mains sur un store... Jusqu’à nous retrouver à une cinquantaine de participants-pantes à un grandiose charivari. Dans ma transe, je gardais tout de même un œil sur ma troupe, rétablissant l’ordre quand l’un a par exemple voulu se mettre à battre la mesure avec une bouteille de bière. Je me suis interrompu pour l’invectiver, dans ce moment d’extase collective, fermement mais avec le sourire : « Non, pas le verre !! ». L’indiscipliné a immédiatement obtempéré, lâchant son dangereux objet.

5. Un prof ministre : la cata...

Ama : « C’est agréable !

— T’étais pas ministre.

— Un-une prof-proffe ne devrait pas l’être ? Je sais, t’envisageais de dresser tout un tableau des profs-proffes dépourvus-vues du sens d’un certain nombre de réalités, mais que ça n’empêche pas d’imaginer savoir tout mieux que tout le monde... Je te préviens je dévoile la suite de ta nochiée, ta note tout court d’ailleurs, sans synchronicité, qui dit « cours d’organisation + autocritique ; je peux être mielleux, pédant, ici j’expose ce qu’il en est vraiment ».

— Eskerrik asko Ama[79]. Je ne suis ni l’un ni l’autre. Je ne sais pas qui a écrit ça.

6. « Retrouver le goût de la dispute intellectuelle » (P. Juvin) / « acutisation de la discussion »

Pas une synchronicité non plus. C’était à éventuellement glisser au chamou de l’« ancestrale tradition de tolérance et de multiculturalité menacée », en Inde. Poco bité, maman cascu lidio.

7. Appel de Véronique.

Ique... euh... qui ?

8. Xabi perché. Poème Baudelaire MALF p. 382

Je livre-40/xabiwiki-41-chamouse les désopilants étiquetages. Vlan[80]. Poco bité, maman cascu lidio. Vlan allez je le colle là :

Autre remarque à mon endroit du genre iati untutu qoqu[81] : « T’as de la chance d’avoir trouvé Manno, pour s’occuper de la logistique ! ». Indécollables étiquettes du style « Xabi = perché ». Ces écrits, pourtant, ne témoignent-ils pas avec force de l’inanité d’un tel qualificatif ? Hiiiiiii ! [Car le gros délire : étonnant, non ?] Plus sérieusement, mon CV, mon parcours et nombre de mes réalisations ne devraient-elles pas inciter à le relativiser ? Un parcours qui aura davantage eu pour effet, me semble-t-il, de par mon expérience dans l’humanitaire et la solidarité internationale, de renforcer mon sens de la citoyenneté et des responsabilités, ainsi qu’une certaine clairvoyance, quant aux réalités, jusqu’aux plus dures, de ce monde – je le constate plus que jamais, avec la crise du coronavirus, et l’inconséquence et la naïveté (pour ne pas parler de l’égoïsme) qui prévalent –, plutôt que de m’enfumer les neurones ! Xa(bi) perché l’organisateur de grands rassemblements dont tout le monde lui est tellement gré à chaque fois : n’y a-t-il pas comme une légère contradiction ?
Il n’est rien que je déteste tant que la mauvaise foi... « On » m’a foutmagueulé, avec un certain mépris, au cours de la préparation d’un Grawek[82], à propos d’une disposition des tables, pour la salle, que j’avais proposée. Alors que si je n’en avais pas lancé l’organisation (et j’aurais très bien pu me débrouiller tout seul, comme à nombre d’autres occasions du genre), le problème, c’est certain, ne se serait pas posé, car l’événement se serait résumé à un banal repas dans un resto, avec deux fois moins de convives.[83] Catégorisation, besoin de se rassurer sur son propre compte voire de toujours se sentir meilleur, en ne reconnaissant surtout pas trop de qualités à l’autre : ainsi le phénomène peut-il être résumé.
On est là au cœur de la bête et de son instinct de domination. Je ne m’exclue ÉVIDEMMENT pas de ce travers. Mais j’ai à cœur d’y résister, comme à d’autres, m’efforçant de pointer ce qui va, chez mes congénères, plutôt que ce qui dégoise. Même si je ne dis pas que j’y arrive moi-même toujours très bien ! Hors manifestation les plus redoutables de cette tendance, chez les plus dingos, néanmoins, elle peut également nourrir, plus positivement, l’envie de se dépasser. Pour ce qui est de m’inventer des tares toutefois, j’estime pour ma part avoir assez de celle, pour ne parler que de la pire à mon goût, de la fragilité qui me pourrit la vie et n’est pas non plus pour toujours embellir celle de mes plus proches, en faisant notamment de moi un objet... d’« inquiétude » !!! Homar[84].

Incompréhensible, déconcertant, pour ne pas dire désolant... Ce qui précède ? Non ! Je suis relou mais à ce point... Quoique, quoique, sur le xapercharge supposé, n’hésitant pas à cette fin à détourner le trésor qui vient je reviens ! Mais c’était une insertion post-incompdéconcertzolantation de ce qu’ils sont rares les textes de la littérature française, sur... mille ans !... (et cinq cent pages) de Miel-é-fraise[85] auxquels j’aurai vraiment accroché. Les écrits géniaux, de l’acabit de celui-ci de... Baudelaire donc... eh oui, tu m’estonnies Johnny :

[Écriposage d’oiseau... euh... pausage à... 00h00 ! L’Heure Parfaite : pour ce Rendez-Vous Avé ZEU Poète que c’est beau !!!]

L’Albatros
Souvent, pour s’amuser, Ies hommes d’équipage/Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,/Qui suivent, indolents compagnons de voyage,/Le navire glissant sur les gouffres amers.
À peine les ont-ils déposés sur les planches,/Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux,/Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches/Comme des avirons traîner à côté d’eux.
Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !/Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid !/L’un agace son bec avec un brûle-gueule,/L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait !
Le Poète est semblable au prince des nuées,/Qui hante la tempête et se rit de l’archer ;/Exilé sur Ie sol au milieu des huées,/Ses ailes de géant l’empêchent de marcher.

Dans le Gaga-mou-frais, « Pinard » en « Pinar » je viens de modifier ! Le pinard qu’avec on est bourrés-rées et qu’on n’arrive plus à marcher ? Non, le Prince des Renards ! Qu’on ne me taxe pas de vantard ! Je ne me suis évidemment pas moi-même attribué ce surnom ! Qui, alors ? Ne nous en préoccupons pas, allons. De cette ialla-la-ialla comme tout le long de mes racontenards nous le faisons nous nous émerveillerons. Le reste passons.

Ce n’est pas un statut particulier que je souhaite vanter. Des statuts je t’en foutrai. Désopilants étiquetages. Causons plutôt ramage. Xabi poète. Ça oui ! Comique au sol. Laid ? Sans mentir, mon plumage à part le poids ça va. Dans mes évolutions sur le plancher des vaches je ne boîte ni ne suis gêné par aucune infirmité (autrement qu’au sens premier). Aux antipodes de l’Albatros, quel animal pour incarner mon agilité ? Encore une ruse : je fais mine de chercher.

Bel Ami page 49 :

Ses camarades [de régiment] disaient de lui [Georges Duroy le bel ami] : « C’est un malin, c’est un roublard, c’est un débrouillard qui saura se tirer d’affaire. »

Dans ma déamburédaction j’étais à l’instant quelques lignes plus bas sur ma maman, qui questionne la triplité du 15 dans les Vieilles Nochiées, semblant se demander s’il n’est pas que double le bougre, et quand je décide de retourner consulter Le Guide, je retrouve un 15, un double, ligne... 151 du Chapitre 3, à l’embranchement de laquelle se dressent « les maisons de la rue de Rome », rue du quartier des Batignolles dans Paris où, début 1999, je m’étais rendu à un premier rendez-vous à l’agence David Immobilier avec Charles... euh... le particulier qui m’a vendu l’appartement de la rue Ramey, dans le XVIIIème arrondissement, où j’ai vécu jusqu’à fin 2000, dont j’ai ensuite confié la location à une agence immobilière, puis que j’ai cédé en 2018.

L’appartement était situé au numéro 15, comptait un salon et une chambre de 15 mètres carrés chacun-cune, c’est le bus 15, qui passait dans la rue, et je l’ai payé 150 000 francs. Je me demande si ça, par contre, ce ne fut pas effectivement le prix.

Le Zinc... euh... 15 : « Marre-toi. Que ferais-tu sans moi, un presque Sync, à l’envers, sans moi à l’envers ou à l’endroit, et sans tous tes autres chiffres et nombres de toutes sortes et autres chiras, chirapas, nopas et nopapas[86] ? De ton Grave[87] il resterait quoi ?

— N’exagère pas. Mais pour zinquer les zanmi dans la série vous zinquez, ah ça : »

Bel Ami page 63 :

Il ne fit plus attention qu’à son jeu [de bilboquet, Saint-Potin l’ami de Duroy, aux bureaux du journal où il l’a fait embaucher], et il continua à compter lentement : neuf, dix, onze, douze, treize. Il manqua le quatorzième et, jurant : « Nom de dieu de treize ; il me porte toujours la guigne. Je mourrai un treize certainement. »

Moi j’ai entenvu quelques années en arrière sur la route à Basse-Terre que je mourrais à soixante-treize ans.[88]

Ama : « Bé alors kesté là à prédir le pir ?

— Exultation...

— Insultation. Justement, n’insulte pas l’aviation. »

Manno : « Non !!! »

Écripausage. Taux de charge de mon téléphone portable...

Telpo : « Qu’est-ce que t’attends pour modoupaïaniser mon taux ?

— T’es rigolo. Ça n’est pas automatique. Mais d’accordo : « Tarte... ta-cage... » J’ai pas. Il est de 64 %.

Ama : « Tu m’entends ? N’insulte pas l’aviation ! »

Manno : « Non !!! »

— Les cocos je vous signale que la formule c’est : « N’insultationne pas l’aveniration. » C’est passé, ça. Je suis tout à mon zinquémerveillement. Zinquémerveillez-vous avec moi. Ama tu sais, quand je blague sur depuis combien de temps que t’as mo... euh... mouru... »

Ama : « Chameau.

— Émerveillage, fagolage[89], tu préfères ça, non ?

— Oui, n’exulinsultationne pas trop souvent, c’est mauvais pour ton cholestérol.

— J’ai le meilleur du monde ! Tu te souviens, comment qu’elle en revenait pas Martine notre médecine. Jouons. Joue avec moi. 17:21 qramé popote.

— Ce 21 alors. Zinquer n’est-ce pas uniquement pour le 15 ? Le 21 ne va-t-il pas se sentir lésé ?

— Que je sache il n’a pas cette faculté, inversé, à presque-synquer. Par conséquent par extension, pour changer, lui et. [J’ai supprimé ce nid de poules (à 15 525 mots, page 21 sur 31), j’en ai assez.] Sens-tu le flux ? C’est puissant, hein ? C’est Guy, le nouvel Envoyé Spécial de La Banda Divina pour m’émerveiller. Sa zinquerie suivante : il nous amuse au moyen du 64 de notre Euskal Herri[90] !

— Oui tu parles, un département Pays basque, « même ça nous ne l’avions finalement pas obtenu », le 16-chamouses-tu, vlan, en attendant de le biter. Alors, la 64-inquerie de ton Nouvel Ami ?

Page... 64 :

Duroy ayant serré toutes les mains [des employés-yées]...

— Yeah ! Yeah !

L’anglais ! En vrai Ama ne le connaissait tellement pas : aucune chance qu’elle sortît ne serait-ce que ce mot-là.

— Ou bien la crainte de me ridiculiser m’en aurait-elle empêché ?

— Puisque c’est comme ça je ne te dirai pas, le 64-inquage de Duroy. Allez va, Jeannette, ne pleure pas, c’est ça :

Duroy ayant serré toutes les mains sans savoir même le nom de leurs possesseurs, redescendit le bel escalier, le cœur joyeux et l’esprit allègre.

— C’est le dernier paragraphe du chapitre 3, et « allègre » est nobapayé...

— Empaillé, oui, je te l’aurais.

— Ha ! Ton ancien ministre de l’Éducation ! Je me le paye au chamou 29, vlan, rapport à qu’il avait fait évacuer toute la zone du chef-lieu de Bastè[91], autour de la Soufriyè, pour cause de début d’éruption, contre l’avis d’Haroun Tazieff. Économiquement dévastée, en conséquence de cette mesure « de précaution », elle ne s’en est jamais entièrement remise depuis. Qu’est-ce qu’il portait mal son nom, ce con. Ce sinistre ministre. Mais ne sommes-nous pas en train de le laisser nous gâcher notre plaisir ? Et voilà. Pour un bon mot. J’en salis une fantastique Sync-Joie.

18:21 qramé popote !

— Ces qramé-popotages, mon fils ! C’est le premier depuis le 17:21 ?

— Oui ! Kèstu crois ? Que je triche ?

— Toi ? Sûrement pas. Les chiennes ne font pas des chats. Des Xabi, oui ! Hihi.

— Kèskon fagole.

— Ta Sync-Joie ???!!!

— Tu vas voi. Dernier mot du chapitre, « allègre » est renvoyé...

— Hip ! Hip ! Hip !...

— Couillonne allez, il nous a assez pollué. Le mot tout seul en gras...

— Beurk ah ouais en plus il était gras...

— Ah ça, t’aimais pas. Du coup t’as chabié une brindille. Tu me verrais...

— Je te vois qu’est-ce que tu crois...

— Dans tous les couchers de soleil.

— Ta Sync-Joie ???!!!

— Unique nobapa : « allègre » en gras suivi de deux points et de l’adjectif « joyeux ». Page suivante, la 65...

— La 65 !!!

— Après la 64, on ne va peut-être pas trop s’exciter pour ça. Sauf si sur « ça » mon fichier m’affiche 15 544 (mots). Et ce qui n’était pas obligé c’est qu’entre 64 et 65 ma Sync-Joie fût à-chevalée, comme elle l’est.

— Et le pont est jeté, avec ta...

Écripausage. Docho après un salo zinquerie dans des tuyauteries. Dans le... « fameux » !!!... Politis 1706 du 19/05. Article 1 (le courrier d’un lecteur), première lignes : « Le réacteur Bugey 2 [du site nucléaire du même nom] est en maintenance jusqu’au 15 mai. » Les réacteurs 3, 4 et 5 sont arrêtés pour « contrôle des tuyauteries ». « Le réacteur Bugey 4 [...], en l’absence de fissures, devrait redémarrer ce 21 mai. » Le 21 qu’on ne présente plus, nos 4 et 5... Manque-t-il le 6, pour parfaire l’effet ? Non, il est là aussi, dans un mélange de 64 et de 1 du 21 en plus de ça, et dans un total c’est la totale : « Il y a actuellement en France 28 réacteurs à l’arrêt sur 56 au total, et il manque 32,7 GW de production nucléaire sur un maximum de 61,4 GW, soit 53,3 % manquant. » Nous ne manquerons en outre pas d’apprécier ce 33 final. En contrepoids du 21. Cotojo : Mon Bal. Sucem morabnodem baduf : page 17 sur 21, 10 481 mots. Ama, 81 ans (et demi) c’est l’âge où t’as mouru. Le 21 sinistrinque derechef dans le courrier 2 : « Les derniers raids aériens [en Ukraine] ont provoqué des milliers de morts, dont environ 11 200 mineurs. » Ama t’as mouru dans un Epahd... et c’est le thème du courrier 3 !!!

— Le Bal. Tandis que ta Sync-Joie fait du cheval. Et il est 21h00, quand à l’instant tu regardes l’heure estonie... Ma parole c’est plus fort, ce à quoi j’assiste avec toi sur Terre, que tout ce qui peut se passer Là-Haut. Rien que Ton Bal sorti du Mix Bien-Mal, qui ne pourrait mieux dire l’Éternelle Ambivalence, l’Incontournable Yin-Yang, comme dans ta Super Sync-Joie parasitée par un affreux jojo. T’hésites sur « affreux jojo », pas très original car déjà fait (loin, loin, loin dans ton Grave mais tu t’efforces en permanence, mon brave, d’innover !), or çuilà y va rester (et comment !!!), car ton regard chope le prénom de l’auteur du Courrier 1 : Joël !!! Sync-Joël... euh... Joie donc maintenant entrecoupée par le nucléaire... français... puis par l’Ukraine (et le sien en sous-main...), sa population massacrée... Mon fils on se la met tout de suite la balle ?

— Janeta je VEUX faire le programme de Perfectionnement de l’École du Rire Niveau 7 (ième Ciel).

— Moi c’est fait.

— Merci, j’avais remarqué.

— La fin de la Sync-Joie ???!!!

— À cheval sur 64 et 65, ce qui n’est pas sans rappeler la peste du Contech. Vi joi 18/05.

— Là tu triches ! « Vi joi » ça snifoune « voir Miss-Jottise... ». Voir Sync machin, aussi étonnant que cela puisse paraître, tu ne l’as toujours pas. Vyc ?

— Ooohhh !!! C’est mon Premier Modou, ma Première Esmoupe de toi !...

— Faisons ça bien.

— Non !... Ne me dis pas que t’es en train de jumeler... euh... jumotter « Vic-Fesansac » ! Ma parole t’es pire que moi. Coniakerie pour coniakerie[92], le Gaga-mou-frais, quand je lui ai demandé « voir Sync... », est resté muet, mais le Gamou-nase-sot[93] l’avait : c’est « V5 ».

— C’est le plus allègre... euh... alerte qui se plante et qui va écoper de la corvée vaisselle...

— Ne me dis pas que t’es en train de jum...

— Laisse-moi finir : et c’est le carrément nase et sot qui à ta question est foutu de répondre. Quant à toi pour la Sync-Joie combien de fois va-t-il falloir que je te la pose ? T’es encore vivant tu me diras, c’est le principal, les bombardiers B5 (de syncs) n’ayant (eux) heureusement jamais tué personne.

— La Sync-Joie, entre 64 et 65, clôt le chapitre 3. Sous sa nobapa unique en deux mots, « allègre : joyeux » : le nombre (numéro de la page) 64. De la même manière, page 65 elle ferme la marche, calant exactement contre la marge, au début de la dernière ligne, cet énoncé :

« Georges Duroy. » Ça y était ! Quelle joie !

Et que ça rime de surcroît. Georgio découvre en outre que son article a bien été publié, dans Le Figaro. No. Georges Duroy découvre que son article a bien été publié, dans Gil Blas. Na ! Mais no. Georges Duroy découvre que son article a bien été publié, dans Le Gaulois. Non pas. Georges Duroy découvre que son article a bien été publié, dans La Vie Française.

— Tu penses qu’il a fait exprès de publier un article dans celui des quatre journaux cités pour lesquels Guy de Mautpassant a travaillé qui ne rime pas ?

— Toto momo batata. Ça snifoune « tout est possible dans Mon Dieu, mon Bouddha et Patata ». Il faut que j’ajoute « et ses annexes ». Voilà c’est fait, dans le Gaga-mou-frais et le Gamou-nase-sot... Put... quelle pédérie ecnos. « Pédérie » c’est de « pas intérêt de déconner »... C’est dans un glossaire parallèle... Pas très logique en même temps ce modou... « Ecnos » ça snifoune « encore une fois ».

— T’as coniaké, ecnos ?

— Oui. « Glossaire modoupaïen-français de Sync sur Sync » c’est « Glaire-mou-de-synus », pas « Gamou-nase-sot ». Ce qui décrédibilise ton dernier brillant jumo.

— T’as corrigé ?

— Oui, ça y est. La synchronicité suivante c’est un mot en passant.

— Ça c’est un très charmant jumo, dont je déduis qu’elle aussi est signée Guy-Georges.

— Sans commentaire, de tous les côtés suminu les chiffres s’en chargent : le minutage à 00:20:22 de « C dans l’air », et 11 170 mots, page 18 sur 22 (11 200 mots ici) à mon fichier. Ça alors...

— Ah oui ça alors...

— Mais non ! Ça alors que j’allais préciser qu’il ne s’agissait en l’occurrence pas d’une synchronicité chiffrée mais lettrée... Quand je réarrête « C dans l’air », je retapote, mon regard est re-attiré vers le minutage : il est à 00:21:00. C’est dingue. À part ça j’ai redondé, sur mon joli jumo : synchro mot-en-passant/pas-chiffrée-mais-lettrée. Ta pisse.

— T’as raison, des fois qu’on fasse preuve de trop de raffinement tout d’un coup.

— Vous me faites tous-toutes le coup, de fagoler ma pisse, alors que vous savez très bien que ça n’a rien à voir avec ça. Tu ne crois pas si bien dire en matière de raffinement toutefois, car c’est une synchronicité interdite aux moins de dix-huit et aux plus de soixante-dix-huit ans que je te propose cette fois. Tu restes ou pas ?

— Quelle questionna.

— Est-ce que je t’y autorise ? Le temps de la réflexion je conne[94] ce dont d’aucuns-cunes ne doivent pas comprendre que j’aie pu le laisser passer, sans m’extasier, le trantsimilpoindexclamationniser, le capitaliser, le centralisationner, le poinderetréïser...

— T’accouches mon bébé ?

— Ou je te laisse accoucher ? Ce serait plus logique...

— Oh, à mon âge, même si j’avais pas mouru... Venons-en au fait : le 64 !!!!!!!!!

— Tu l’as combiendepoindexclamationnisé ?

— Bé 9, té. Car quand danupag t’as écripausé, et 64 tarte-ta-cagé, tu n’avais bisû pas en tête que dans le mouvement subséquent...

— Stupéfiant, comment que la démence fronto-temporale qui a eu raison de toi ne l’a pas eu de ton vocabulaire.

— C’est Pascal... euh... paskeu Tonton Pierre, pas mon frère mais le type à la Porte des Cara... euh... du Paradis nous réinitialise tous-toutes, les Entrants-trantes.

— Dans le mouvement subséquent, tu disais...

— Que tu es tombé des nues... elle est très bien cette expression finalement... au vu de ce que nous 64-zinquions, après, à fond les mon-ballons. Du Monde sans conteste tu es le Champion, mon fiston, de la Synchronicitisation. »

Les On...

Moi : « Pas vous, non. Plus tard si vous n’y voyez pas d’inconvénion les garçons.

— T’es complètement perdu, pris dans ta propre machine à synchressorer. C’est y a quelques épisodes qu’on onne kon des dératons.

— Tant que vous ne ratonnez pas.

— Mais nous revenons.

— Ama en revanche tu peux rester. Régénérée, et m’ayant synchromondochampionné, t’as gagné ton ticket pour licouter la dernière GG (Guy-Georges)-Synchronicité :

C’est un truc à saisir, pensait [Georges Duroix], en voyant certains confrères [se burnedorer] [...] Il lui fallait pénétrer le mystère, entrer dans l’association tacite, s’imposer aux camarades qui partageaient sans lui.

— Moi je perce. Dans Bel Ami logiquement... 20:21 qramé popote... on préfère pénétrer. Ah, et quand y en n’a plus cotojo y en a encore. J’en ai une autre, originale, rien que pour toi. Page 80 en toute fin de chapitre (le 4) toujours, sur l’aux trois quarts blanche page au trou j’ai nochié...

— T’as pas chié ?

— Ne te fais pas plus grasse que moi.

— C’est Allègre qu’est gras.

— On va finir par... allègrement le dépasser. J’ai nochié : « trad 24/05 : ta... » [16:21 quand je décide de ne pas le révéler, optant pour le mamadevinetter.] Dans une turlu... euh... tute[95] d’une attestation de naturalisation je devais taper plusieurs fois le nom de cet homme : Tahim Abdulaziz Mohamed Altamimi, qui a changé de patronyme pour Mohammed Abdulaziz M Alhumaidhi. La technique consiste dans ce cas-là à n’écrire que les initiales des mots concernés puis à les fioncracer[96]. Tu devines les initiales, maman, si t’as bien été dédémansfrontotemporalisée comme tu le prétends ?

— Tadadan... tama et mama ! C’est mignon. Miaou mon Xa.

9. Après quinze ans de révolution , l’empereur Napoléon met de l’ordre. Un ordre qui repose sur la propriété, avec un document unique au monde : le Code civil. Mariage, héritage, filiation, depuis 1804.

« Non, pas les On ! Pas révolution ! Pas Napoléon ! Pas filiation ! »

Les On : « On est déjà re-là ?

— Non ! Non ! Non ! Ordre ! Propriété ! Mariage ! Famille ! Patrie ! Ça oui ! »

Les On entre eux : « Le laisser nous allons, qu’est-ce que nous en pensons ?

— Ouais, vaut mion.

— Non !!! Pas Mion !!! Un soi-disant ponton... non... ponte... que j’ai consulté à Lyon... Non !!! Pas Lyon !!! (À cause des On uniquemon, et de Mion, sinon avec la plus intense des joies, con.)

— T’as pas mieux que « con » ? Tant pis pour toi débrouille-toi, couillon.

— Et vous, auriez-vous moins cavalier ?

— Oui, pardon : polisson. »

Synchronicité, pas synchronicité, je ne sais ce qu’à l’origine elle était, ma nochiée, mais à l’arrivée c’est le bouquet...

... Hésitation, réflexion... Non, pas les On !!!

Les On : « On est déjà re-re-là ? Pour te prouver qu’on n’est pas des cons, on te fait ce trocon... non... troncon... non... tronçon...

— Çon... Çon... Quand nous finirons, de gravir tous les syncréchelons, il ne nous restera plus que ça, franchir le Mur...

— Du Son. Une fois passée ton hésiflexion...

— Comment qu'on fait ça, con ?

— Chuuut... Et ton regard de parcourir l’écran de Telpon.

— Il s’appelle Telpo, faites pas les cons.

— Tous ces cons, pas facile la vie de On... En haut à droite le tadar...

— Taux de charge, merci, ça manquait à ((...))

Guidou en rerere...passant : « Encore un nid de poule ? Tu te prépares à un siège ?

— On n’est pas à Mariopoul.... euh... Marioupol.

— C’est étrange ce blocage sur une modoupaïanisation, comme pour les sespions... À cette différence près que les On n’ont pas attendu, pour s’exécuter. Dans le temps ta tentative (sucem morabnodem baduf : 15 111 mots) de modoupaïaniser « taux de charge de mon téléphone portable », à la demande du premier intéressé, a eu lieu avant ou après ?

— Après.

— Tu retiens « tadar », pour « taux de charge », sans « de mon téléphone portable » ?

— Telpo qu’en penses-tu ? »

Telpo : « C’est un bon début. »

Les On : « Telpon tadarait à 33 pour santon, au moment de ton hésiflexion, à propos de ton top-chiraïen numéro de nochiée, quant à comment amener le con (à comment le commenter ; « con » snifoune commentaire nous le rappelons). Les 9 Vieilles, c’était ta première stupéfaction.

— C’est très sympathique les On mais vous ne me facilitez pas vraiment la tâche. Je poursuis, pask’on est d’accord que nimportkoman c’est moi qui écris, et tout onner au bout d’un moment merci.

Le 9 c’est fait. C’était très joli.

20:11 qramé popote. Non le 11, pas toi ! Pas de nopapa ! Laisse-moi avé mon top chira !

Et après, après...

Après : « Ma majuscule !

— Certainement. Un mot, un seul, toi, Après, et après toi déjà : le 15. »

20:15 qramé popote !!! 20:15 subséquemment à 20:11, rien de très miroballon... non... mirobolant, objectera-t-on. Oh con... euh... OK, encore fallut-il qu’en con... non... qu’encore je fusse pris d’une hésiflexion et qu’un écran noiron (oui, ça se dit) il redégainasse, Telpon.

Les On : « À son secours raccourons !

— Vous êtes mignons mais non, sans façon. »

Après avant le 15-qramé-popotage j’avais ça : « Un seul mot, toi, Après, et après toi déjà, le 15... De Planète Triple-15 t’es le Roi ! »

Après : « Vraisemblablement le 15 t’a-t-il coupé afin que tu n’affirmasses pas cela.

— Pourquoi ? »

Le 15 : « Parce que pour la Planète Triple-15 point de Roi mais une Reine, ton Ama !!! »

Ama : « Enfin ! J’attendais. Hein, ene seme maitia, n’étais-tu pas un peu en train de m’oublier ? Et toi, l’Attente ? Du Gato[97] de Ta Mère. Je n’eus pu ne pas être à la hauteur, et redescendu vers toi c’est En Tête d’un Flamboyant Cortège de Synchronicités que je me suis avancé. Mais comme à l’accoutumée tu es fort bien accompagné. Les On, Après. J’ose à peine m’incruster.

Les On et Après : « Vous pinez, Majesté. »

Sa Majesté : « Que d’honneur. C’en est beaucoup pour le 15 également, sauf votre respect Nombreussieur. Je ne remets pas en cause votre démonstration, entre le XV et son V Pamoncul-Coucher de Soleil d’Ouverture et les « Quinze Ans de Révolution » de Clôture, en passant par... quoi d’ailleurs... pas grave, gardons votre Triple-15, ne jetons pas le bébé... la Planète BB (youpi ! y en a une !). De toute façon je vous invite, mes petits, à regagner la Terre, pour ce qui m’apparaît plus fort encore que le 15. Sucem morabnodem baduf : 9 221 mots, page 16 sur 19. Les congénères du 15 semblent de mon avis.

Le 15 : « Moi aussi, même s’il ne me semble pas avoir démérité. »

Sa Majesté (renégate ?) : « Que ce soit clair, au contraire, je suis coite. »

« Le 1804 n’est pas très parlant », songeais-je dans ma voiture entre Bas-du-Fort et l’hôtel La Créole (je l’ai K-ié ailleurs mais c’est bien le « C » qui lui sied). Radiozappage jusqu’à une station où ça cause en français, mais avec un accent d’ici, alors j’écoute, et de qui parle-t-on ? De Napoléon ! La Vieille Nochiée s’est pointée à point nommé, à l’approche du Pont du 27 Mai : ainsi que le rappelle le présentateur, le 27 mai 1848 le gouverneur de Gwadloup a proclamé l’abolition de l’esclavage. C’était la deuxième. La première avait eu lieu en 1794, dans le sillage de la Révolution. L’esclavage avait été rétabli par l’Enculé en 1802. (Je suis de plus en plus grossier, je sais. Mais qu’il y a de quoi, le détester [je déteste ce mot aussi], et c’est pour compenser : j’ai déjà écrit trois fois le nom de ce con.)

Ama : « Tu comprends pourquoi je ne voulais pas être exclue de la Cérémonie de Clôture de la Fête des Vieilles, et du Spectacle Pyrotechnique de cet Entète-des-cons[98].

— Toi la Militante pour les Droits Humains Douvan Léternel, oui, j’imagine à quel point il te tenait à cœur vivre cette merveilleuse saga jusqu’au bout. 15 200 mots ici... Et si je te dis... 15 210... que pas un quart d’heure ne s’est écoulé, entre deux feux d’artifices ? Celui de Gozyé aussi vrai que tu aimais la saucisse (et la purée) et ta parabole, que dans un rerere...mon-passage je redécouvre.

Hier le 26 à l’Hôreuré, la question d’un jeune vacancier (trèèès sympa, fin, intelligent...) : « Ça existe, les békés ? »

Guidou, quand le guillemet est suivi d’une phrase il le faut bien le point, après, même s’il est précédé d’un signe de ponctuation, non ? (Si un Guide Omniscient capable de répondre à toutes mes questions au fil de mes rédactions existait, évidemment ça se saurait.)

Magie du rerere...passage : ça me pète aux yeux qu’il est superflu le point après le guillemet. C’est pour ça k’a pu. Et qu’on se demande pourquoi la question « Guy... euh... mais... le point, après le guillemet ?... » est posée.

La question 2 c’est fait. La question 1 du gars c’était en présence de David le Rasta. Échange nourri garanti. Rappel de ma part de ces propos qu’un... béké – oui, jeune homme, pour exister ils existent bel et bien les pé... pés –, avait osé tenir depuis sa Matinik ile qannée[99] à la télé, quand à l’éventualité d’un mariage d’un quelconque membre de sa famille avec un-une Noiré-rée : « Ça ne serait pas très harmonieux ». Il avait été exfiltré pour la France par la police afin de ne pas terminer, un 27 avril, attaché à une fusée.


{Glaire-mou-de-synus : [A] Abra = Au bord de l’eau ; Acculer = Afficher à l’Accueil ; Acolit = Article de Politis ; Aditita = Advient ce qui DOIT Advenir ; Angelu mon Anar = « Anguélou » mon Ange Gardien ; Anisse = Anné de naissance ; Attilà = Attention, c’est là [B] Badinerue = Bande inférieure bleue (en bas des fichiers Word-mes-couilles) ; Bague-dotte = Blagounette du Moment ; (Synchronicité) Béco-gor-patou-rage = Brute-de-décoffrage-comprenne-qui-pourra-et-pour-ma-gouverne ; Mobilique = Modou bisyllabique ; Bisû = Bien sûr ; Bolsom = Bordel sans nom ; Bourre-trique = Boîte de courrier électronique ; Brue-sara = Brume de sable du Sahara [C] Capir fou olaf = C’est la première fois qu’on me la fait ; Catacunu-sapocu = Cataclysme survenu dans un pays où j’ai vécu ou séjourné ; Chamou = Chapitre de Modoupa ; Chier-durs = Chiffres et Lettres de l’Univers ; Chira = Chiffre plutôt sympa ; Chirapa = Chiffre plutôt pas sympa ; Chteuneus-neues = Chers-chères et tendres ; Cia moi = C’est bien la première fois ; Cil = Clin d’œil ; Ciqu catali (sex ama) = C’est moi qui capitalise (et poindexclamationnise) ; Coi-ma-tata = Critique de Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata ; Coi tulapa = Comme si tu ne le savais pas ; Comjadi = Comme je te/lui ai (déjà) dit ; Con = Commentaire ; Cona-nase = Colon-lonne de base ; Concon = Contrôle de concentration (pendant la lecture de Modoupa) ou de connaissance (de ses xapitreries) ; Cooler = Copier-coller ; Corbos = Courses au bio ; Cotojo = Comme toujours ; Coucou pépé = C’est fou ce phénomène ; Coular = Côté Obscur de la Force ; Couli = C’est pour la rime ; Cracra = C’est marrant ; Crucu = Cri du cœur ; Cul = Courriel [D] Dadane = Date d’anniversaire ; Danqu tipasse = Dans un quasi-ultime repassage ; Denise = Date de naissance ; DiBouPa = Dieu, Bouddha et Patata ; Diva = Divine Matrice ; Docho = De retour chez moi ; Doudou = Dans/de mon bouquin [E] En tutu = En tout état de cause ; Ecnos = Encore une fois ; Enculer = Écrire (dans) un cul (à.../au sujet de...) ; Endur modlé rata = Entends-je sur mon ordi-télé en écrivant cela ; En palé = Et/Eh bien ça n’a pas loupé ; Entète-des-cons = Enchaînement complètement dingue de synchronicités ; Esmoupe = Expression de modoupaïen ; Estonie = En bas à droite de mon ordinateur ; Etna coi... = Et ça n'est pas comme si... ; Événar = Événement Phare [F] Fachotte = Fameuse synchronicité ; Fagol = Faut rigoler ; Faxon = Fameux personnage ; Figoqu = Figure-toi que... ; Fioncrace = Fonction rechercher/remplacer ; Frache = Fort sympathoche ; Frite-rondes = Forces qui me la mettent bien profond [G] Gachapivi = Grand Chapitre de ma Vie ; Gadou = Grand Honneur ; Gaga-du-Roi ou G3-froi = Grand Gagnant de la Guerre froide ; Gaga-mou-frais = Grand Glossaire modoupaïen-français ; Gamine = Grande Machine ; Gamou-nase-sot = Glossaire modoupaïen-français de (la) Miss-Jottise ; Garonne = Grande Conversation ; Gasconité = Géniale synchronicité ; Gilou = Grand Épilogue ; Glaire-mou-de-synus = Glossaire modoupaïen-français de Sync sur Sync ; Gralion-lapin-loutre-coucou-fada = Grand Saisissement en lien avec la prévision, la perception ou l’annonce d’une catastrophe à la lecture ou à l’écoute d’une information dans les médias ; Gragromoufrais = Grand Glossaire Modoupaïen-Français ; Gran-Bol = Grand Bordel ; Granmère = Grande Première ; Grapio = Grand Épisode ; Grassist = Grand Saisissement ; Gratte = Grande Rencontre ; Grave = Grand Œuvre ; Grise-ronde-lune = Grande Caisse de Résonnance de l’Univers ; Groi = Grand Noir [H] Hirachotte ou Hire-a-chronne = Histoire sans synchronicité ; Hire-a-chronne ou Hirachotte = Histoire sans synchronicité ; Hirelle = Histoire drôle ; Hirirale = Histoire incroyable ; Hôreuré = Hôtel Fleur d’Épée ; Hiryotte = Histoire de synchronicités ; Homar ! = Horreur ! Malheur ! [I] Ia que moi = Il y a quelques mois ; Iabloté = Incroyable synchronicité ; Ialla-la-ialla = Iabloté dans la iabloté de la iabloté de la iabloté ; Ia tata o rare = Il ne faut vraiment avoir que ça à faire ; Ila tou chié = Il y aurait tout un chapitre à écrire ; Ile qannée = Il y a quelques années ; Inétan-sémors = Inquiétants phénomènes et événements en tout genre ; Iyabon = Incroyable phénomène [J] J’ai ma faffe = J’avais même pas fait gaffe ; Japa = Je ne sais pas ; Japu = Je ne sais plus ; Japa japu jepu = Je ne sais pas, je ne sais plus, je suis perdu ; Jasbi = Je sais bien ; Java ça va = J’avais écrit ça avant ; Je xi (« je chi ») = Je veux dire ; Jélica = Je le réalise en écrivant cela ; Jmidi = Je me suis dit ; Jottise = Jolie petite histoire ; Jumo = Jeu de mot ; Juquri = Juste après que j’ai écrit ça ; Joyité = Jolie synchronicité ; Jus-walou = Jeune serveur gwadloupéyen [L] Lalu-sur-totem = Le/La Plus Truc-Truque De Tous les Temps [M] Madapayenne = Même-quand-y-en-a-pas-y-en-a-une (synchronicité) ; Miaou = Merci beaucoup ; Manu = Manuscrit ; Maouaza = Message ouate-zeu-pape ; Ma-trique = Messagerie électronique ; Maran-lo = Mois d’Avril d’Anthologie ; Matou ou Mi tou = Mais ça n’est pas tout ; Mazo iri ouvadac santoua = Mais allez savoir, si ça se trouve c’est ça, dans ces eaux-là en tout cas ; Microtte = Mini synchronicité ; Miel-é-fraise = Mille ans de littérature française ; Mimouch = Merci moteur de recherche ; Mi tou ou Matou = Mais ça n’est pas tout ; Moine-conar = Moins chouette commentaire ; Modou = Mot de modoupaïen ; Modoupa = Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata ; Mofi = Mot de français ; Molbique ou Monique = Modou monosyllabique ; Moncontula = Moment Congratulation ; Mondo-païen = Monde modoupaïen ; Mongol = Mais non, je rigole ; Monique ou Molbique = Modou monosyllabique ; Mopirs = Mots de désespoir ; Mouche = Modoupaïenne en Cheffe ; Mouchinet = Moteur de recherche d’Internet ; Mousse = Montée en Puissance ; Moussetique = Montée en Puissance Synchronicitique [N] Niak = Nimportnawak ; No-lit = Numéro de Politis ; Nobapa = Note de bas de page ; Nochiée = Note des synchronicités ; Nopapa = Nombre plutôt pas sympa [O] Oursité = Ouragan de synchronicités [P] Pamoncul = Plaque d’immatriculation ; Panatatalamaga = Plus grande manifestation mondiale jamais organisée ; Panda = Plus Grand-Grande Ami-mie ; Papapap = Passage par Paris pour ou depuis Pointe-à-Pitre ; Papiver ! = Pas piqué des vers ; Patépo ! = Pas mal, le téléphone (ce que tu écris là à ma place) ! ; Patita = Patati, patata ; Paxikite (« Pachikite ») = Page XabiWiki ; Peste = Petite histoire ; Piment-croté = Petit élément de synchronicité ; Piner = plaisanter (c’est le Clown qu’a piné : c’est le Clown qu’a dit en plaisantant) ; Piton = Point d’exclamation ; Pochimis-mies = Proches et amis-mies ; Poco bité – maman cascu lidio = Point encore xabiwikité – mais demander au cas où à l’Accueil si dispo ; Poutana = Pouvoir extraordinaire ; Poutoutpif = Pour la toute première fois ; Pute a pain ou Papa nain = Putain de putain de putain ; Pull = Pass-mes-couilles ; Pute a pain = Putain de putain de putain [Q] Qadj ramina = Quand j’ai rallumé l’ordinateur ; Qadja mina = Quand j’ai allumé l’ordinateur ; Qamé popol = Quand j’ai allumé mon téléphone portable ; Qati nara = Quand j’ai terminé de taper ça ; Qrade ta chade é le por = Quand j’ai regardé le taux de charge de mon téléphone portable ; Qramé popote = Quand j’ai rallumé mon téléphone portable ; Quenèle = Question du Siècle ; Quputupu castoi rotepa = Quelles putes... euh... puces, ces nobapas, à tout le temps se faire... euh... tout le temps sauter [R] Rapinage = diminutif de Renard-poissonnage (Rapiner = nager) ; Redoupe = Règle de modoupaïen ; Réducu = Rédaction du présent chef d’œuvre ; Rétine = Réfection du Monde ; Roti = Record de toute ma vie ; Rotolu = Roti (record de toute ma vie) absolu ; Rude-bitte = Rubrique de XabiWiki ; Rustine = Retouche post-poinfinalation [S] Salbachi = Sur la plage en bas de chez moi ; Salconi = Salon des Synchronicités ; Salo met-lanorac = Spot café-clope murette-devant-le-Panoramic ; Salo-tarage = Spot café-clope Datcha-terrasse-plage ; Salo-tarasse = Spot café-clope Datcha-terrasse ; Saqu culé = Sans que je n’aie rien calculé ; Sara, sara = Sans arrêt, sans arrêt, sans arrêt ; Sara-suit-papa-maman-pa = S’accorde avec le sujet qui n’en est pourtant pas un, mais c’est comme ça dans Modoupa ; Sarage = Sacrée Page ; Sespion = Signe de ponctuation ; Siconne = Série de Synchronicités ; Si pipette = Si je puis me permettre ; Socédure = Synchronicité du jour ; Souridile = Synchronicité Poussières d’Étoiles ; Suce-mabouf = Diminutif de Sucem morabnodem baduf ; Sucem morabnodem baduf = Sur ce mot mon regard est tombé sur ce nombre de mots/ces statistiques en bas du fichier ; Suminu = Sur mon ordinateur ; Surotine ou Sotissone = Super chouette discussion ; Sync-a-la-sync = Synchronicité avant la synchronicité ; Sync-sens = Synchro-je-la-sens ; Synchiotte = Sync/hiryotte ; Syromande = Synchronicité à la demande [T] Ta-le-miel ou talmiel = Totalement démentiel ; Ta pisse = Tant pis je laisse ; Tasbi = Tu le sais bien ; Tiqu = Tu sais qui (ou quoi) ; Toto momo batata = Tout est possible dans Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata (et ses annexes) ; Totof = Trop, trop fort ; Tou 9 le mastic = Toujours par 9 les voyelles dans les maxi-emphases motrices (sur les mots) ; Toutni/e = Tout dernier/toute dernière ; Toutpi/e = Tout premier/toute première ; Trocon = Trop chouette commentaire ; Tog = Trop génial ; Tosti tosta = Tout est vrai, tout est faux ; Touti rix = Rien n’existe, tout existe ; Trol = Trop drôle ; Trou damapute = Trouvé dans ma pêche aux infos sur Internet [U] Upu lulu jacta = Un peu plus tard le jour où j’ai écrit ça [V] V5... ou Vyc... = Voir Sync... ; Vlan = Vers la fin ; Veutumoi = Visiteur-teuse de mon Site ; Vi joi... = Voir Miss-Jottise... ; Vodou papi... = Voir chapitre de Modoupa... ; Voilier = Voisin de palmier ; Volpa rima si eldy castoi sortamite susleté = Voilà, ça n’est pas terminé, mais j’ai tellement de syncs et de chamous en stock que des fois, désormais, je bâtirai mes histoires en plusieurs pelletées ; Vyc... ou V5... = Voir Sync... ; Vysir = Voyons voir [X] Xabiwikichamouser = Xabiwikiter les chamous</ref>}
  1. Notes de synchronicités
  2. Parking devant ma résidence
  3. Quand j’ai rallumé mon téléphone portable.
  4. Courriel
  5. Quelques jours auparavant
  6. Spot café-clope
  7. « Lapwint » : Pointe-à-Pitre
  8. Plaque d’immatriculation
  9. Piner = plaisanter
  10. Ça s’écrit « mwen » : mon pare-brise
  11. Place de parking devant ma terrasse (du premier) de mon voisin et ami
  12. Je me suis dit.
  13. Je ne sais plus.
  14. Je le réalise en écrivant cela.
  15. Jour de mon Pas-Appel du Dix-Huit Juillet. Ouah le 13 dessus. Que je note content... euh... conscient désormais, toutefois, du phénomèèène quputupu-castoi-rotepa*. (*De « quputupu castoi rotepa » : quelles putes... euh... puces, ces nobapas**, à tout le temps se faire... euh... tout le temps sauter. **Notes de bas de page)
  16. Courses au bio
  17. 30/9/69 : ma denise (date de naissance). Mais allez savoir, si ça se trouve c’est ça (les 30,969 secondes), dans ces eaux-là en tout cas.
  18. « Je chi » : je veux dire.
  19. En bas à droite de mon ordinateur
  20. De (Synchronicité) béco-gor-patou-rage = brut(e)-de-décoffrage-comprenne-qui-pourra-et-pour-ma-gouverne
  21. Articles de Politis, de retour chez moi
  22. Jeu de mot
  23. « Pachikite » : Page Xabiwiki
  24. Et/Eh bien ça n’a pas loupé.
  25. En tapant ma « peste », « petite histoire »... D’ailleurs quelle heure est-il ?... 23h21 !...
  26. Bande inférieure bleue
  27. Putain de putain de putain
  28. Bien sûr
  29. Signifie en modoupaïen
  30. Grand Glossaire modoupaïen-français
  31. De « microtte » = mini synchronicité
  32. Chiffre plutôt sympa
  33. De « xabiwikiter »
  34. Géniale Synchronicité
  35. Comme toujours
  36. Racontage de mon Histoire de Synchronicités
  37. Plaisanterie
  38. « Éné chémé maïtïa » : mon fils chéri
  39. Écrite dans un cul
  40. Énergies de l’Univers
  41. Grande Rencontre et Conversation
  42. Tu sais qui.
  43. Roti (record de toute ma vie) absolu
  44. Raconte-nous ton Hiryotte, ton Histoire de Synchronicités.
  45. Sucem morabnodem baduf* : page 8 sur 12, 6 126 mots. Les 2 21, l’à-l’envers et l’à-l’endroit, ton 81, l’âge auquel t’as mouru. Ama : « C’est des lalanvèr les 2 tes 21 kèstu racontes toi, dont 1 entre 2 6... » (*Sur ce mot mon regard est tombé sur ce nombre de mots/ces statistiques en bas du fichier.)
  46. Chiffres et Lettres de l’Univers
  47. Au bord de l’eau
  48. « Éouchkadi » : Pays basque
  49. Point encore xabiwikité, mais demander au cas où à l’Accueil si dispo.
  50. Éd. Magnard
  51. Et ça n’est pas comme si...
  52. Dans un repassage
  53. Mousse : Montée en Puissance ; Moussetique : Montée en Puissance Synchronicitique
  54. Objet de mon exultation
  55. Inquiétants phénomènes et événements en tout genre
  56. Contrôle de concentration (ou de connaissances)
  57. Patati, patata
  58. Brume du sable du Sahara
  59. Question du Siècle
  60. Signes de ponctuation
  61. « Je jicle » : invraisemblable construction à partir de « j’adooooore ».
  62. Nombre plutôt pas sympa
  63. « Sèr da éné chéméa ? » : qu’y a-t-il mon fils ?
  64. En tout état de cause
  65. Sur mon ordinateur
  66. De « Ialla-la-ialla » : Iabloté dans la iabloté de la iabloté de la iabloté
  67. De « Mon Bal » : Le Bien. Le Mal. Le Mien. Le Bal. Mon Bal.
  68. C’est moi qui capitalise et poindexclamationnise bien sûr.
  69. Je ne sais pas, je ne sais plus, je suis perdu.
  70. Mais ça n’est pas tout !
  71. De « mouchinet » = moteur de recherche d’Internet
  72. Depuis mon spot café-clope/solarium de l’Hôtel Fleur d’Épée sur la plage en bas de chez moi
  73. Au bord de l’eau
  74. Toute première
  75. Toute dernière
  76. « Agour » : bonjour
  77. De « Baionako Bestak », « Baïonako Bechtak » : les Fêtes de Bayonne
  78. Maryelle, la femme de Jean-Marc, le fils cadet de Graxiana ta JP, a gentiment officié, en tant que l’aide-soignante qu’elle est dans la vie, le lendemain, sur ma plante de pied dans laquelle un tout petit bout de verre était tout de même allé se loger.
  79. « Èchkérik achko » : miaou
  80. Vers la fin
  81. Il vaut mieux entendre ça que d’être sourd – quoi que...
  82. Grand Week-End
  83. Livre... règlement de comptes ? Bon, que je ne m’étonne pas que l’on puisse un tantinet le penser... Mais je parlerais plutôt de... mises au point. Allez, tout va bien.
  84. Horreur, malheur
  85. ‘‘Mille ans de littérature française’’, Claude Bouthier, Christophe Desaintghislain, Christian Morisset, Patrick Wald Lasowski, Éd. Nathan
  86. Chiffres et nombres plutôt sympas ou pas sympas
  87. Grand Œuvre
  88. Vodou papi* 49-Livre/50-Wiki. Poco bité, maman cascu lidio. (*Voir chapitre de Modoupa...)
  89. De « fagoler » : faut rigoler
  90. Éouchkal Herri : Paysbasque
  91. Basse-Terre
  92. De « complètement niak » (« c’est niak » = c’est nimportnawak).
  93. Glossaire modoupaïen-français de (la) Miss-Jottise
  94. Commente ; tiré de « con » : commentaire.
  95. Traduction
  96. De « fioncrace » : fonction rechercher/remplacer
  97. Grand Retour
  98. Enchaînement complètement dingue de synchronicités
  99. Il y a quelques années