SYNC SUR SYNC 3

De Xavier Renard
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Chiée de nochiées[1]. Pour l’instant voilà ça :


18/05 — Vers 13h30. Pine-ma-ride[2]. Je monte dans ma voiture. Surprise, on m’a explosé mon pare-brise. Je suis garé sous un arbuste. La question me sera posée : « C’est pas un fouyapen ? ». « Non justement, je ne me gare plus sous les pyé fouyapen parce que j’en ai déjà pris plusieurs fois sur ma carrosserie ! ». Il... explose, l’énorme fruit, en toute une pâte. C’est très sympa « aussi ». Ouais, le pare-brise explosé c’est quand-même beaucoup plus pas-sympa.

Je ne réagis même pas, ne pestintérieuremente même pas. À quoi bon ? Action. Si ça c’est pas de la Sync(splosion) ! Car c’est Journée Titine justement : je la prends pour la kontèkkontvisiter.

16h06 qramé popote[3]. Je telpotapote.

[Le 03/06 à 20h26 je réalise, vieux motard que j’aimais, qu’il ne suffit pas d’écri-qramé-popoter. Il faut d’abord préciser : telpotapotage, écripausage, telpoxtinction, et il était (telle heure). C’est alors, pas avant, que l’on peut écri-qramé-popoter. De « telpotage é papoton, elta... », l’heure du qramé-popotage sera par conséquent désormais précédée. Et les vaches seront bien gardées.

Automisopointage – suite. L’envie de désolidariser le potage de son tel m’a chatouillé : « telpotage » en deux coups de cuillère... euh... en deux mots, à savoir « tel potage » au lieu de « telpotage », ne serait-ce pas encore plus rigolooo ? Que prévoient mes propres redoupes[4] à ce propos ? La tolèrent-elles, la désolidarisation ? Vérification dans le Gaga-mou-frais : la première esmoupe[5] à se signaler à cet effet, « en tupu code odeur » (entendu depuis le coin de mon ordinateur), atteste que je me la suis jusqu’à présent autorisée. Mais je ne suis plus d’accord avec moi-même et me commande, à partir de ce jour, dans l’esmoupisation des mots des ernanies[6], de préserver leur intégrité. Non, mais.

Avis à la population, enfin : les telpotage-é-papotonages ça n’est pas toutes les cinq minutes, loin de là ! J’estime la fréquence des qramé-popotages synchronicitiques à trois, quatre, cinq, peut-être dix fois supérieure, en moyenne, à celle de qramé-popotages ordinaires. Ce ratio, au regard de la probabilité, ratio qui de manière générale doit à minima, pour les synchronicités toutes catégories confondues modoupaéannexrapportées, se situer dans ces étiages-là, s’envole vraisemblablement à des cent et des mille dans certains cas, voire même... au-delà !!! ]

Tout à l’heure on m’a enculé-piment-crotéé. Normalement dit envoyé un cul[7], comportant ce que j’ai désigné en tant que « petit élément de synchronicité » (modoupaïanisé dans la foulée « piment-croté ») : les dates de début et de fin de la construction des Twin Towers du World Trade Center de New York abattues en 2011 : de 1966 à 1973. Dates piment-crotéïennes en ce semblant de Nombre du Diable et le 13 qu’elles contiennent.

J’ai rendez-vous à 14h. Faut que je roule une demi-heure avant, m’ont dit les deux gars venus ququ japa[8] me décalaminer et me vidanger. Me décalaminer : ça s’était avéré inutile. Seule une vidange, en fin de compte, fut requise. Deux Types en Or. Hyper honnêtes et consciencieux (le T2, le vidangeur, m’a été recommandé par le T1), alors que le décalamineur 1 que m’avait indiqué le T3, dans l’ordre de la phrase, celui du contech, m’avait tout de suite annoncé un prix au téléphone, près de 200 euros rien que ça. M’aurait-il décalaminé pour rien, pour juste prendre sa tune ?... « Ça ne m’étonne pas » (de lui), avait opiné T1 quand je lui ai indiqué le nom de sa société, Guadeloupe Hydrogène. Voilà, comme ça « tout le monde » sait, un arnaqueur à éviter.

Le vidangeur. Depuis vingt ans en Gwadloup, originaire du Gard où il est récemment reparti vivre avec sa femme gwadloupéyèn qui y a trouvé un boulot bien mieux que celui qu’elle avait ici, mais lui a finalement une super offre adan lil annou pour janvier, sa femme pourrait également se faire embaucher, ielles reviendront sûrement. Il l’aaaiiime sa Gwada. Comme moi. Tu m’étonnas.

Dans le Var un type lui devait de l’argent depuis un moment. Il connaît plein de Gitans : « Tu vas finir dans le coffre de leur voiture ». Il l’a remboursé.

Tout finit par se payer. T2 : « Je suis bien d’accord. » Dans cette vie ou une autre. L’Univers c’est : Action, Réaction.

Telpotage é papoton, elta 16h22 qramé popote.

À côté de moi à un salo[9] pendant que je telpotapote : « C’est la vie. Chaque chose est à sa place ».

Le surlendemain à Mondial Pare-brise. L’employé qui m’a reçu, tandis qu’assis sur une chaise dans son bureau j’attends la suite des opérations, à la personne dont il s’est occupé après moi quand elle repart : « T’es honnête. L’honnêteté ça paye toujours en retour ».

Contech le 18. Le type raconte qu’un jour il a explosé... le pare-brise de sa femme. De colère. D’un coup de poing. Un autre Gwadloupéyen est avec nous dans son bureau adjacent à son atelier. Il me propose de s’occuper de mon pare-brise. Il a un garage à Lapwent[10]. Il faut d’abord que je l’achète. Il passe des coups de fil pour moi. Le gars du Contech l’a appelé Jean-Marie. On passe tous les trois en revue toutes les possibilités, pour mon pare-brise : qui, pourquoi, comment ? On rigole. Son coup de poing, le type, et tout ça.

— Je n’ai pas d’ennemi, pas que je sache...

Une dame entre : « La Haute-pyrénéenne ! ». J’ai vu ton 65 sur ta pamoncul[11] ma chérie. À travers la paroi vitrée, quand t’es arrivée. C’est le département des gens auxquels sa tuture elle a acheté.

Continuation de pinajparbriz[12]. On est assis tous-toute les trois la dame, JM et moi. JM en regardant la Papirénéyènmédésévriyèn me taquine : « C’est pas une dame au moins (qu’a bougné parbriz an-mwin[13]) ? ». La dame : « Quand-même... ». J’éclate de rire en lui vendant le T3 (le pointant du doigt) : « Lui, il l’a fait, au pare-brise de sa femme ! D’un coup de poing ! ». Keskon rigole au moins les trois gars.

M’en vais. Superbe iguane au sol dans le soleil au centre de l’ouverture sur toute la hauteur et largeur du fond de l’atelier. La veille au soir : le même ! Identique méga-gabarit (1,50 m de long [queue comprise]). Sur la murette à gauche de la pac-de-pine-a-tata de mon voimi Fred[14]. Je l’observe. Allez, fais un bond ! Dans les arbustes en contrebas de la murette. Juché sur le rebord, la partie avant du corps dans le vide il semble s’y apprêter. Sur ce Fred déboule, dans sa grosse bagnole, se gare, et l’iguane... fait un bond ! Dans les arbustes en contrebas de la murette.

Mondial Pare-brise. Le gars au téléphone : « Yenki (rien que) parbriz-la 1 007 euros ? ». Dans ma voiture derrière mon pare-brise en toile d’araignée quand j’ai commencé à rouler une fois la sirpriz découvrie jmidi[15] : « Ça va me coûter 1 000 euros ». (C’est dans quelques instants ma pas-minecarogette qui me fera penser... que je suis quand-même assuré !). Z’avais dit 1 000 euros ? Le gars donc aussi, alors que tout de suite après c’est « 800 euros » qu’il a dit. Improbable et troublante, ou troublante parce qu’improbable, mon « évaluation ». Mille euros ! Dans ma Sandero low cost je m’imagine que je roule en quoi ?! Je lui ai posé la question, à Monsieur Mondial, qu’est-ce que c’était-y que quoi son parbriz à 1 007 euros, et combien qu’y coûtait le mien. « Yenki parbriz-la » : je comprends mieux ! Lui-même s’était étonné du montant, pour « rien qu’»un pare-brise, le prix ouï comptant en réalité, m’a-t-il expliqué, des lunettes latérales et japu[16] quel tralala. Titine : « C’était combien pour moi alors ? ». Tu ne te vexes pas, hein ? Dans les 340 euros.

J’ai profité de mon patientement pour relever des nochiées dans mes bloc-notes de ma sacoche achetée dans le Kerala très jolie mais de femme à lunettes et telpo :

Amende du... 18 ! (07 – de l’année dernière !). Jélica[17]... le 18/07 !!! Le Judas-Dixit-Jule[18].

J’ai envoyé ma (2ème) lettre au commissariat de Lapwent pour m’autodénoncer (en tant que conducteur le jour du fouyapen... euh... de la prune – c’est Manno qui l’a prise + les points en moins) hier ! Et pour rouler comme recommandé je suis allé à Gozyé bourg où je suis passé à l’antenne des services de la sous-préfecture (relever le numéro de téléphone) où je m’étais rendu avec Manno pour démannoéxabicartegriser Titine. Plus de quatre ans après notre séparation. D’un claquement de doigt les choses se font, c’est ça qu’est bien, dans la vie.

Corbos[19] puis au retour au stop à côté du salo : pamoncul 666. Il en fallait bien un... pour de bon. (Également acolité, page 17 : « Dix pays [parmi 21 à haut risque] conjuguent une forte exposition aux conséquences du réchauffement climatique [...] La France se situe à la 166ème place.) 30,969 secondes après : un XR. Mazo iri ouvadac santoua.[20]

Arrêt carogettes. Chez la belle. Ça n’est pas elle. Mais une grosse. Ooohhh... Jolie aussi dans son genre.

— Y a des courgettes nulle part !

J’ai pris des tomates. Ça fait 2 euros 19. Je lui donne 2 euros 20.

— C’est bon. (Les 1 centimes.) C’est pour toi. C’est généreux, n’est-ce pas ?

— Très généreux !

Je ris !!! De la manière dont elle l’a dit.

Repartage. Elle est dehors.

— Et ça, c’est généreux ? En lui montrant le pare-brise.

— Règlement de compte ? Sont les mots qui lui viennent immédiatement.

Quand j’y pense... Après les histoires de voyous du Gardien (je xi[21] le Gardois).

Et après, après... les coups de feu !!! C’est Jean-Marie qui m’a remémoré ça. Sa belle-mère habite la résidence Perle des Caraïbes. En face de la mienne ! La plus les-pieds-dans-l’eau. Le super plan, dans ce pays ouragvagsubmersounamisant. C’est celle de l’ancien bureau de locations d’appartements de ma France. France ma très chère ex-voimie. Que d’eau (pas que scintillante – pour elle surtout) a coulé depuis. Elle est partie. En... France. Dans le Gard elle aussi ! Ici-même à deux pas du pine-ma-ride, post-aile orientale de Ma Porte des Caraïbes : le Zénith. Du moins fut-ce longtemps le nom de ce night-club, que Manno é mwen fréquentouillâmes à l’époque, qui a fermé et réouvert, et changé d’appellation, trente-six fois. Depuis le décovidrestrictionnement c’est reparti comme en karant. Et ça fait trois week-ends que... ça tire !!! Au bout de la nuit des jeunes fous. (Calme plat la nuit du méfait c’était en semaine.) La beldoche de Jean-Marie lui a dit, que ça avait pétaradé, dimanche dernier. À coup de plusieurs rafales en effet. Va pas tarder la boîte je sens à refermer.

21:31 quand je regarde l’heure estonie[22]... (31:21 au minutage d’une émission sur mon ordi-télé le lendemain quand je reprends mon tapotage.)

Page 3 sur 3 de mon fichier, 1 290 mots.

Des chiffres encore, bécogorpatourageux[23], dans des acolits, docho[24] :

Politis 1704 Sync sur Sync... euh... du 5/5.

Page... 18 (à 20).

À Dijon, les services de l’État usent de méthodes brutales et illégales pour inciter les familles déboutées de leurs demandes d’asile à quitter leur hébergement d’urgence.
Préfet [tout pourri] de la Côte d’Or
Règlement de fonctionnement
Abri de nuit
1 rue des Creuzots 21000 DIJON

Dates : 30 juin 2021 ; 11 avril 2018 ; 22 avril (juste après « la Cimade », l’assos’ d’aide aux migrants-grantes, ma Grande [Sinistre] Sync 21-Avril) ; 13 avril ; (28)/11/21 ; 13 juillet ; 1/11/22 ; 12/12(/17) ; 22/3/22.

Fin sur une nobapa et ses articles (du « code de l’action sociale et des familles ») : L345-2-2 et L345-2-3.

Page 21 : 25 avril. Page 22 : 22 000 tonnes de munition ; 1 500 soldats russes de la 14ème armée soviétique (22:00 quand je regarde l’heure estonie) ; 21 février ; fin septembre 2021 ; stade de 14 000 places (situé à l’entrée de Tir...aspol [Ah, c’était Paul ? Angelu : « Bravo Xabi !... Attends, je compte... ». Quoi ? « Combien de lignes t’as tenu avant ton premier jumo[25] de collégien de cette nouvelle Paxikite[26]... 115 ! ».] ; 11 millions de litres de spiritueux par an [« Dont que tu as bu, combien ? ». Ah, parce que Toi T’es fin, tiens.] ; billets locaux de 5 roubles ; hiver 2021. Page 23 : Avenue du 25-Octobre ; parade de la Grande Guerre patriotique du 9 mai ; 2 mai ; les hors-séries dès 2,21 avril... nooon... 4,50 €.

Au fait, le 115. Dans la lettre de l’enfoiré :

Une famille ne présentant pas de critères de vulnérabilité peut, s’il reste des places disponibles, être provisoirement hébergée. Toutefois, cette famille doit quitter l’Abri de nuit si une autre famille remplissant les critères de vulnérabilité sollicite le 115. [Parmi les clauses d’enfoiré (illégales)]

À deux autres reprises par l’acolit le 115 est cité. Sur lui aussi mes sync-antennes avaient frémi. Épi bof jmidi. En palé[27].

Sync de +. Le coup de poing de T3. J’étais mort de rire quand il nous l’a raconté, dans son atelier. D’autant qu’il n’y eut pas... mort de femme. « Au moins je ne l’ai pas frappée », a-t-il lui-même déclaré. « C’est sûr il valait mieux que tu tapes sur ta voiture », ai-je observé. Il est assez froid T3 souvent, mais quand il s’allume un peu plutôt quelqu’un de sympathique. Le coup de mon pare-brise ça l’a éclaté. Il m’a un peu surpris pour tout dire, son aveu ! Il n’est pas spécialement attrayant et pourtant c’est un coureur de jupons m’en a dit Manno. De qui ne sait-il pas quoi ? Bien que pas exactement extraordinaire pour un Gwadloupéyen. Le fait du jour dans l’actualité politique française : le lâchage (enfin) par son parti de l’un de ces « candidats investis par LREM malgré des accusations de violences faites aux femmes ». Qu’ils cognent, les mecs, sur ce qu’ils veulent ! Sur les femmes, sur qui que ce soit : faut-il être possédé.


20/05 — Je regarde un maouaza de mon ami Philippe comportant une photo et une vidéo depuis un bateau en train de quitter le Vieux Port à Marseille.

Que c’est beau.

Je lance la vidéo, puis la doigte pour qu’elle me montre sa barre. De défilement. À droite : 39 secondes. Et hop mon œil vire à gauche : elle en est à 21 secondes.

Attirance en pestant[28] de mon œil vers l’angle inférieur gauche de mon ordinateur... dont je m’apprête à relever les incroyatistiques de la badinerue[29] d’un autre fichier... cherchant mes mots quelques secondes... ma pensée divagante me suggérant alors de voyons-voirer un peu les données pages et mots des deux autres des trois fichiers superposés, dont toi, Sync sur Sync 3... et là, là...

Donque-donque, mon œil attiré vers le bas-gauche a d’abord capté : page 9 sur 9, 3 622 mots. Jojo mais pas la mer à boire, no. Sauf que ducournau... euh... du coup, quand je zyeute juste en dessous, sur ta badineroue... euh... rue, toi, toi, Sync sur Sync 3, tu m’affiches quoi ? 3 822 mots. Et sur ce dernier... mot voyons-voirons maintenant combien t’en as : 3 921. Ouah.

Pute a pain[30] !!! J’étais revenu à Jojo sa mer, cogitant que le 3 622 après le 39-21 oui, c’était assez joli. Or n’est-ce pas du miel que nous avons là ? T’as pas le miel, toi, toi, mon Sync sur Sync 3 ?

Sync sur Sync 3 : « Jumotte, jumotte, sur ton modou, doudou ».

— Yes chouchou, mon modou « ta-le-miel », « totalement démentiel ».

— C’est quoi qui l’est doudou ?

— Ton 3 921 bisû[31]. Gros bisou et miaou.

— Tu t’en vas ?

— Non, je te bise et te remercie beaucoup (« merci beaucoup » : c’est ça que ça snifoune[32] « miaou »), et précise que j’ai ma faffe...

— Moi aussi, pour le 12 et le 19 juin.

— On est comiques, hein ? J’avais tchékeupé le Gaga-mou-frais[33], révizvocabulant à l’okaz un peu, dans la matinée. Je me suis souvenu d’une esmoupe avec « pas fait gaffe » ainsi remémorée. Jmidi que j’allais la placer. J’ai vérifié : c’est « j’ai ma faffe », pour « j’avais même pas fait gaffe ». J’ai ma faffe... la Sync 39-21/3 921 !!! J’avais juste microtté[34] sur le 21, et mes chira[35] et top chira 3 et 9. Rends-toi compte que je comptais uniquement biter[36] la microtte de ma Foune (Philippe dit « Fifoune » qu’ainsi de temps en temps je le défie), rapidos, n’ayant pas que ça à foutre, mais oubliant que ça n’est pas Gozyé mais Marioupol que j’habite.

— C’est un message de solidarité ?

— Je ne sais pas mais ça n’est pas facile tous les jours non plus d’être synchrosnaïpé, sans arrêt, sans arrêt.


21/05 — Je tchèque mon fichier « Notes xabiwikitage » : quelles nochiées conviendrait-il d’insérer ? File d’attentes de quelques vieilles. Si j’insérais ? Façon cheveux sur la soupe, que je trouverai bien comment agrémenter. Bien que j’aie aussi des jeunes à me taper. Il ne s’écoule pas trois secondes : une Gasconité[37] est déjà en train de me coller aux basques. J’avais : « a déjà sauté dans mes bras basques », qui me satisfaisait moins, pourtant c’est moins désobligeant, et autrement conforme à mon sentiment, car Gasconité tu me vois cotojo[38] au contraire fort obligé. Peux-Tu Te présenter ?

Gasconité : « Mon nom est Triple-15 ».

[Avertissement. L’événement, cette mise en garde quant à ce qu’un élément du récit pourrait ne pas (immédiatement) être compris (d’un côté, « triple » le 15 ne l’est pas tout à fait, de l’autre il est beaucoup plus que cela...), est tel qu’à la seconde où j’avertissemente : boum ! Le feu d’artifices démarre, en ce 7ème Jour de mon Hiryottage[39] débuté le 21. En ce 27 avril 2022, les Gwadloupéyen célèbrent les 174 ans de l’Abolition de l’Esclavage dans leur île. Les fusées sont tirées au bourg de Gozyé. Sur ma terrasse je me poste pour admirer.]

— Intéressant ce nom, Triple-15. Je vois bien un astronome le donner à une planète. Tu appartiens à la Famille des Atoniques, les Astres Synchronicitiques, ou des Souridiles, les Synchronicités Poussières d’Étoile ? Les Synchros Phares d’un côté, leurs Auxiliaires Illuminatrices de l’autre ?

— Si je te dis que j’embrasse ton Ama ? Ah mais non, ça ne va pas.

— Ma Défunte Maman Adorée ? Si, bisû, Tu peux l’embrasser. Et sois certaine qu’à ce compte-là le grade d’Atonique d’office je T’octroierai.

— Je n’en doute pas. Le hic c’est que mon appellation Triple-15 implique un embrassage global rendant la distinction entre Ato...

— Te bil’ pas, sur Planète Modoupa[40] on n’en est pas à une légère incohérence près. Planète Modoupa c’est Planète Bordel Complet...

— Allons, très organisé.

— Ouuuiii, on s’arrange toujours, sur Planète Touti Rix, Tout-Existe-Rien-N’Existe. Atonique, Gasconité... : cette Dernière, ou Première (à la Base), est que quand j’ai entrepris de m’occuper de Mes Vieilles, c’est justement La Mienne Tant Aimée qui depuis ses Cieux il y a quelques trois années regagnés a jailli...

— On calcule ?

— 1er Novembre 2018 – 21 Avril 2022... ça fait...

Vingt-six mois. Je précise dans une séquence ultérieure à propos d’une vision étrange que je suis à jeun. Je ne suis pas davantage sous l’emprise de produits stupéfiants pour l’exécution du présent calcul, dont je propose de différer la livraison du résultat. Les 26 mois sont ceux de ma nouvelle carrière d’écrivamateur écoulés et de la durée d’un emploi des signes pour l’écriture des dialogues erroné. Il me manquait un guide. Un Guy de Mautpassant. Dont j’ai commencé à lire une histoire de pédés : Bel-Ami. D’où cet intitulé donné à un site porno gay que j’ai eu, dans d’autres récits philosophiques, l’occasion de mentionner. Trêve de pinerie[41]. Traite : « trêve de plaisanterie » c’est en principe comme ça qu’en modoupaïen ça se dit. C’est à dessein, pour l’effet comique, que j’ai préféré le formuler de la sorte, en conservant « trêve » en français, de manière à employer la pinerie qui seyait.

Lu pendant que j’écris ça : un Affreux-Afro du PSG a refusé de disputer un match où des maillots anti-anti-gay (« floqués » aux couleurs de l’arc-en-ciel) devaient être portés. Tu sais comment il s’appelle le con Ama ?

— Non.

— Idriss... Gueye.

— Ça ne s’invente pas !!!

Tant de finesse, de soin apporté à la forme, une telle beauté du style, pareille maîtrise de la langue, et je trouve, le moyen de me vautrer, tout ce temps, sur les tirets, les guillemets, et la ponctuation au cul des tirades, con. Dans d’autres lectures des dialogueurs-gueuses m’avaient bien alerté, mais il faut croire qu’ielles avaient manqué de clarté les pédés-dées. Démonstration :

Gasconité : « Mon nom est Triple-15 ».

— Intéressant.

[...]

— 1er Novembre 2018 – 21 Avril 2022... ça fait...

La Gasconité et les deux points : OK. Ouvrez les guillemets : OK. Fermez les guillemets : non ! Le point d’abord. Saut de ligne, tiret : OK. Jusqu’à la fin du dialogue. Tiret, dernière tirade, et... c’est là, qu’on ferme les guillemets !

Miaou Guidou.

Qui c’est-y sinon la Vieille Numéro Une ? La voili, la voilou :

Amamonculs / 84 dans le Ciel. À fond dans mes pensées pour Ama sur la route la 1ère pamoncul que je « croise et regarde » : un (1)84 XR. J’avais devant moi un XV (de France). Coucher de soleil ! Précédé d’un 763 (sans intérêt mais sait-on jamais).

Ama : « Ene Seme Maitia[42], nous ne nous étions depuis quelques temps point retrouvé-vée ! Et ça arrive... un 21 mai ! Le taux de charge de ton telpo t’as visé ?! ». [Guidou : « Qu’est-ce que c’est que ce point après un guillemet lui-même précédé de signes de ponctuation ?! Le point, ou point d’exclamation, ou d’interrogation, ou de suspension, doit figurer à l’intérieur des guillemets ! » Miaou.]

— 21 %, le taux... Madré mïa... Quel Retour en Beauté, pour avé Ma Peste du 21 Mai Enculée[43], en Cheffe de File de mes Vieilles Nochiées, en ce 21-Avril Plus Un Mois invitées, Génialement te Synchroniser ! [Guidou : « Ton guillemet, vu que tu dialotirettes, après, doit être placé à la fin de l’énoncé du dernier tiret. » Miaou.]

— Ce 21 ces derniers temps devenu comme une des Grandes Incarnombrations de tes Éginies[44].

— Le 21 du 21-Avril Infamie ça n’est pas très gai, si ?

— Le principal c’est que toi tu le sois.

— Tu n’as pas toujours dit ça.

— Que tu es sot, ene semea.

— Ah ça tu l’as toujours dit !

— Avec tendresse, pour rire. Quand tu faisais le pitre.

— Qu’est-ce qu’on a ri. Tu me manques.

— Tu me manques toi aussi.

— Le 21-Avri... euh... vril, alors ?

— Eh bien appelons-le comme ça désormais !

— 21-Avri ?

— Oui. Kon sa tout rira, tu verras.

— N’empêche, c’est aujourd’hui le 21 que j’ai de nouveau croisé, pour la première fois depuis des mois (c’est fou), Laurent mon voisin Om. Et que je me suis retrouvé à lui répondre, à lui (quelle diablerie), afin de couper court, parce que je n’étais absolument pas en état de m’embarquer avec lui sur le sujet de ma pute mie, ma putain de maladie (ce terme, « maladie », que lors de notre dernière Gratte-et-Garonne[45] j’avais pris la résolution de ne plus employer), et parce que c’est vrai, à sa question « ça va ? » : « C’est de pire en pire ! ». Il a rétorqué par un « ah là ! là ! » qui disait toute la désolation du monde. Et j’ai ajouté sans m’arrêter (en chemin d’un pas décidé vers la sortie de ma résidence) : « Je suis en train de crever !!! ». En point d’orgue d’un nouveau terrible échec d’une démarche médico-spirituelle dans laquelle je m’étais engagé, avec une telle FOI, pourtant, comme à chaque fois. Tiqu[46] m’a récemment balancé cette vilaine remarque au téléphone que je « ne fais[ais] rien jusqu’au bout ». Mais quand passé plusieurs mois je ne ressens pas le moindre frémissement, et qu’au contraire ce cancer qui ne dit pas son nom continue de dégénérer, à quoi bon dans la « thérapie » engagée – couteuse en tout : temps, efforts si ce n’est « sacrifices », argent... – persister ? Peut-on se voir reprocher de « laisser », au bout d’un certain temps, la motivation s’émousser, et le désarroi... le désespoir... le dégoût l’emporter ? J’essaierai de prendre l’avion pour la France le 5 juin. Pour la première fois depuis près d’un an et demi. Au Pays basque ça fait pas loin de deux ans et demi, de loin mon rotolu[47] – il était précédemment d’un an et demi –, que je n’ai pas mis les pieds... Depuis plus de deux ans je dois sortir 2, 3, 4 heures max par jour. Mais TOUS LES JOURS. Sauf éventuellement charretute (charette de tutes, de traductions). “Ma vie est désormais entièrement tronquée, même si je continue d’en tirer le peu que je peux avec joie”, ai-je enculé SaDeJo. Mais je ne vois pas comment je parviendrais à effectuer le voyage. Et si je monte dans l’avion ça va juste être l’enfer. Non que je sois incontent... si, cependant ici ce sera plutôt tinant, mais je suis mal, mal, mal, tout le temps, tout le temps, tout le temps... Il n’y aura pas de Banda Divina pour moi ainsi que tiqu aussi me l’a écrit. À part me divertir, avec Ses synchronicités, si ce n’est me narguer, à coup de forces à la con qui ne peuvent rien pour moi. Mon faux départ du 18 juillet 2021 m’a inspiré cette réflexion selon laquelle la mort avait rebondi sur moi comme sur un fronton une pilota ! Car je suis TROP VIVANT !!! Mais elle rode la salope depuis. Des idées très noires, depuis des décennies que je morfle, du matin au soir, tous les jours que le « Bon » Dieu fait, je n’ai pas commencé hier à en avoir, mais je n’aurais jamais cru jusqu’alors qu’elle entrerait ainsi réellement dans ma vie. Je suis en sursis. Trop vivant ? À moitié mort, oui. [15 655 mots ici.]

— Ah, oui, t’es très gai en effet mon chéri.

— Exultation, insultation. Et toi, kèstu branles ? Une thérapeute un jour m’a dit : « Ils peuvent nous aider les gens là-haut, si on leur demande ». Je me marre !

— Elle a dû faire l’école du rire elle aussi.

— Bon les SM alors c’est pour quand ?

— Tu verras. Sur Terra tu resteras. Le Triple-15, ahora, hiryotte-nous ça[48].

Je leur colle des puces, à mes Patientes (les Vieilles de la Queue) ? Des numéros ? Comptage. Je suis sûr qu’elles ont le bon. En palé !!! Elles sont 9 !!!

— Ma Vieille Tu es donc Numéro Une. Les Amamonculs...

— C’est charmant...

— Tu sais bien ce que c’est...

— Mais oui mon fils je pine.

— Les Pamonculs-Ama, de tous les côtés, tout au long de la journée, le Jour de la Toussaint 2021, pour le Troisième Anniversaire de Ta Mort[49], dont tout un tas ont arboré tes initiales, JR, parfois accompagnées des miennes et d’encortiqu, ainsi que d’autres Chier-durs[50]... Je ne peux pas tout dire, mais cette Journée, et Ton Nuage, le Nuage 84, ce 84 Dans Le Ciel le 5 mars 2021 également, le Jour de Ton 84ème Anniversaire, sont parmi les manifestations les plus dingues à ce jour des Forces, qui à part ça me la mettent bien profond.

— Quel poète.

— Tu sais quelle heure il est ?

— Bof l’heure, Là-Haut...

— Non mais c’est rapport aux frite-rondes...

— Les forces qui te la mettent bien profond ? Avé de l’huile ?

— Kèskon rigonde.

— T’as l’heure (dont je n’ai que foutre) alors ?

— Oui. Il est 15h14. Le 15, et le 4 du 84.

— Et cette pamoncul de ta nochiée, et le XV de France, et le coucher de soleil, c’est quoi toutes ces frite-rondes ?

— De la France on n’a que foutre...

— Ça d’accord...

— Mais ce XV m’a intrigué, et c’est finalement le V qui m’attendait... dans le ciel, arrivé dans mon quartier à l’issue du trajet en voiture théâtre dudit frite-rondage. J’ai poussé jusqu’au parking petit-bras... euh... au petit parking abra[51], cinquante mètres après ma résidence, pour admirer le coucher de soleil, d’une beauté ce soir-là ! J’en ai vu un des plus fantastiques aussi hier. Un du Lyonnais. Maouazaté. Dans notre Euskadi[52] ils n’ont pas non plus quoi que ce soit à envier à ceux d’ici, hein Ama ?

— Je les vois tous partout tous les soirs maintenant, c’est les nôtres les plus beaux.

— Chauvine.

— Et ton V, là, l’a pas intérêt mon record de Frite-rondes du Ciel de m’enlever.

— Nooon, ça n’était pas aussi extraordinaire que ton 84, mais ça m’a bien troué le cul aussi.

— Prout... euh... pouet mon poète.

— C’était un Triangle Inversé de Lumière Noire... de Luminoire, tiens... c’est au chamou 53-Livre/54-Wiki. Poco bité, maman cascu lidio.[53]

— Tu ne me casses pas du tout le cul, mon idiot préféré.

— Kèskon se marre. Entre deux rayons de lumière de part et d’autre d’un nuage ça faisait un immense Vriangle Noir.

— Et le 763 ?

— « Sans intérêt mais sait-on jamais », ai-je nochié. En palé ! Ama. En palé ! Il a synqué le 21 au soir au trou dans Les Caractères de Jean de La Bruyère[54]. C’est doublement stupéfiant. Le texte du roman, dit « d’apprentissage » (de la vie) – c’est l’appellation du genre du roman, apprends-je comme un collégien –, est suivi de six « Séances » (pour les bacheliers), subdivisées en un certain nombre de points. Combien ? Comptage : 21 !!! Je te jure, elles comptent toutes 21 points !!! Sauf 2 qui en ont 20. Et à la page 227 de la Séance 4, je dégotte mon 763... Bon, dans le désordre, un 637, dans l’année de naissance d’un certain Sébastien Leclerc (1637). Et c’est quel point de la séance, je te le donne en mille ?! Le point 15 !!! Tout fiorituré qui plus est, mis en exergue (entouré d’une frise), dans un encadré de ses trois lignes de consignes (« Effectuez une recherche sur Socrate et Platon... »). À la Séance 1 c’est le cas du point 12, à la 2 également celui du 15, et à la 3, à la 5 et à la 6 celui du 16. De toutes les Séances, de la page 214 à la page 237, bourrées de nombres de pages, de dates, etc., c’est la seule occurrence, c’est le seul 763, dans l’ordre ou le désordre, à part un autre 1637 page 224 (l’année de parution du Cid).

Ce 21, en parlant de Laurent... Il faut entre autres se reporter aux Syncs de Sync sur Sync 1 pour piger... C’est un de ces frite-rondage aussi... dans Les Caractères page 225 (etna coi[55] le 224 nous précédait...), point... 19 !... : « Pierre Teilhard de Chardin affirmait que “nous ne sommes pas des êtres humains vivant une expérience spirituelle, mais des êtres spirituels vivant une expérience humaine” ». Il faut vraiment aller faire un tour chez SS-1...

La Paxikite pas d’accord : « Teu, teu, teu. Nous nous en tiendrons à Sync sur Sync si tu veux bien. Sauf envie de brunir davantage encore le paysage. Quand le besoin est tel de plutôt le verdir.

— La Syyyyynnnnnc !!!!!

— Tu es trop bon, à saisir l’occasion pour montrer au monde en perdition à quel point je suis digne de mon nom. Mais non. Pas au prix de la trahison...

— T’exagères pas un peu, non ?

— Je m’attache à l’être au moins de tes rimes à la con.

— Contradiction !

— T’as raison, digne d’un truc à la con...

— Tu sèches ? Attends, en « on » on a... maison, charbon, saucisson... ça vient pas kon sa doudou dis donc... tronc, pont, long... des mots d’une seule syllabe c’est facile, sinon... estragon... merci Telpo pour ta contribution... ah ! contribution... moi j’allais taper esturgeon... Esturgeon ?

— Voyons : t’as raison, digne d’un truc à la con je crains que ça ne soit trop du goût des esturgeons.

— Une lapalissade : ah, non ! Sur ce pion... euh... plan au mion... euh... moins je n’avais me semble-t-il pas encore trop prêté le fion... euh... flanc. Cessons. Mais félicitations pour ton honnêteté mon garçon, le Ciel Vert qui nous attend c’était déjà dans la boîte quand danupag[56] je t’ai joint au boxon. »

Les On : « C’est bon, nous te libérons. »

Écripausage. Je lis : « Une bonne dizaine de noms, dont ceux de Marisol Touraine, Valérie Létard ou Catherine Vautron [ont été cités...] » !!! Je blagouille c’est Vautrin, mais ça avait bien commencé, avec « noms, dont », et, en vrai, mon cerveau cononditionné, ça m’a fait un drôle d’effet.

Dans SS-1...

La Paxikite ne laisse toujours pas passer : « Non !!! »

Pardon. La Phrase. Dans Sync sur Sync 1 c’est bien simple elle est carrément italiquée, grassisée, centralisée. Kon sa :

Nous ne sommes pas des êtres humains vivant une expérience spirituelle mais des êtres spirituels vivant une expérience humaine. [J’ai topchiraïsé le nombre de points de retraits (invisibles), qui dans Sync sur Sync 1 n’étaient que 3.]

Ouah ! ouah ! ouah !...

Gidou en passant : « Tu miaules ou tu aboies ?

— Les chiennes ne font pas des chats. »

Je rouaouaouate. Estomaqué par la Moussetique[57] en train de s’opérer, comme jamais !!! Ça n’est pas peu dire. Sur les propos que je suis en train de tenir. Et lesquels !!! Incessantes Moussetique et Mousse de l’Otonex[58], par-dessus celle de tous les Inétan-sémors[59]...

Re-écripausage. Sortage. Au bout de quelques centaines de mètres demi-tour pour cause d’oubliage. Contactéteindage sur « i ka priyé Bondyé » (« Il prie le Bon Dieu », dans une chanson à la radio).

Les Mousses. Ça ne peut pas encore durer comme ça 107 ans. Façon de parler pour placer... le 107 !!!!! Concon[60] ? Non, que dalle, il n’a rien de spécial. Par contre ce soir le ciel du crépuscule est vert. Mais VRAIMENT vert. Genre bouteille. Le contenu d’aucune je ne me suis sifflé. Je suis à mon éternelle drogue light, la seule avé la clope que je puisse m’autoriser désormais, la pré-nonne(encore elle)-pure(avant purification)-qanon(l’un n’empêche pas l’autre)-pasque-bonne(c’est pour ça) [la pas-forcément-très-bonne-pour-ce-que-j’ai-non-plus-mais-pas-que-pas-bonne] : j’ai nommé le café. Ça y est, c’est fini. Le ciel. Tout d’un coup. Il a repris une couleur normale. Et je n’ai pu solliciter l’avis de personne, dans l’espoir d’avancer un tant soit peu sur la voie du percement du mystère, si mystère il y eut. « Vers l’établissement de ce qu’il fut ou pas » serait plus exact. Si conclusion commune à l’étrangeté du phénomèèèèène c’est là, qu’ensemble, à en rechercher la cause nous nous serions attachés-chées, ou ché-chée, ou ché-chées, selon que le conseil eut compté deux membres seulement ou davantage, que j’eus constitué ou non le seul représentant de la gente mâle, patita[61]. Féministes de Tous les Pays vous accepterez que je cesse là le passage en revue des cas de figure.

Les Féministes de Tous les Pays : « T’as vu c’est chéant, hein, le masc-fem ? ».

— C’est comme ça que vous saluez mon engagement ?

— On te charrie chéri. Grand bravo, le Ciel te le rendra coco.

— Nous le rendra à tous-toutes. Les Énergies d’Amour et de Respect par Chacun-cune Déployées sont des Énergies pour l’Humanité.

L’Énergie Verte de Mon Ciel de ce Soir : je ne vais pas les embêter avec ça. Tout seul comme un grand j’adjuge : l’explication réside probablement une fois de plus dans la brue-sara[62] qui roussit mes lunes. Des éclairages de l’hôtel pouvaient-ils en être responsables ? Cela ne semblait pas être le cas. C’ÉTAIT la couleur du ciel, en cet instant T. Cela, c’est certain. La brue-sara, par conséquent, verdirait le ciel au couchant ? Première nouvelle. C’est du jamais vu. Ce sera un deuxième point pour les astro-atmosphérologues qu’un jour j’interrogerai sur mes boules de feu, à priori des débris de météorites, observées ile qannée à quelques centaines de mètres au-dessus de ma tête abra dans un ciel bleu.

Du piment-croté bouteille. Après que dans la journée du 21 l’addition d’une vingtaine de montants de TVA des factures de mes traductions a abouti à un 5 000 tout rond comme un ballon, dans la soirée sur mon ordi-télé cette nouvelle : « Cinq mille bouteilles de vin ont été sorties du Lac Léman. » Dans la foulée, le ballon, et un... triplé de Mbappé, puis une performance de l’équipe de son homologue féminine Wendy Renard.

107 ans supplémentaires de Mousse des Inétan-sémors ça ne sera pas possible. Ni même un seul. L’Épilogue est imminent.

La Quenèle[63] est :

COMMENT TOUT CELA VA-T-IL SE TERMINER ?????????!!!!!!!!!

Tou-9-le-mastic : c’est l’esmoupe consacrée pour les maxi-emphases. Les emphases voyelliques toutefois. Il est temps que je m’en équipe pour les sespions[64]. Messieurs pour vous ce sera toujours ((...))

— Les sespions, me coupent les sespions.

— Salut, les sespions. J’esmoupise ou modouïse (terme générique : modoupaïanise) généralement plutôt sur l’expression ou le mot ou groupe de mots en français intégralement.

— On te le fait, si ça te sied : ((...))

Guidou en passant : « Je prends la place de l’élève : je suis curieux de ces doubparantèztroipoindoubparantèz. Sans parler des nids de poule...

— ... Dans mon cheminement... Je sèche... Je regarde l’heure estonie : 21:12 !... C’est quand je sèche, justement, les doubparantèztroipoindoubparantèz. Les nids je laisse pour quand j’aurai faim. Laisse-toi porter. Pas évident pour un guide j’imagine. Disons que c’est ta pause.

— Dans ce cas volontiers ! Non mais je jicle[65], ce bric-à-brac.

— Tu parles modoupaïen ?

— À tous-toutes tes Omnipotents-tentes Visiteurs-teuses tu vas poser la question ?

— Je la pose à tous-toutes mes Omnipotents-tentes Visiteurs-teuses ?

— Je suis en train de lire la suite : « Aux infos à 23h07... » Un rappel des dates ? Nous sommes le 26, et ce sont des infos du... ?

— 21.

« 963 Américains interdits d’entrée en Russie » ; puis un gros 221 et un gros 224 se sont affichés : la part des membres du parti des Démocrates et de ceux des Républicains dans la liste en question.

Guidou continue de licouter et moi de relicrire.

Mais pause moi aussi à... 12 120 mots !!!

Puis je lis dans Politis : « Deux semaines plus tôt, un certain...

21 AVRIL 2002 !!!!!!!!!!!...........

... la ville [Soissons] avait propulsé [VOMI] au premier tour de l’élection présidentielle à plus de...

21 % !!!!!!!!!!!...........

... cinq [sic] points de plus qu’à l’échelle du territoire national. »

Guidou : « Après ça je vais m’étonner que tu aboies. Et pas de doute ta Mousse ça n’est pas de la fausse.

— Guidou moi je suis en train de frissonner... comme jamais...

— Qu’est-ce que tu sens ?

— Mais je ne sais pas, Guidou, je ne sais pas... Rends-toi compte, cette manière dont le 21 avril 2002 ressurgit dans cette Hiryotte du 21 Mai... On y est...

— Mais où, à quoi ?

— Je ne sais pas, Guidou, je ne sais pas... Et la Quenèle !!!!!!!!!!! La Quenèle !!!!!!!!!!! Je n’avais même pas fait le rapprochement !!!!!!!!!!!...........

— Avec celle du fachmoriste en son temps...

— Oui !!!!!!!!!!! J’onzpoindexclamationnise tout, et j’onzpoinderetréïse le 21 avril... Bikoz le 11, tu sais, un top nopapa[66]...

— Je sais, je sais, et si tu pouvais tu sissansoissantpoindexclamationniserais et sissansoissantpoinderetréïserais.

— Maman, j’ai peur... »

Guidou : « Bonjour Madame. Il a peur... »

Ama : « Bonjour Monsieur. Zer da ene semea ?[67]

— Tu ne vois pas ?

— Si-si, chooo, chooo... »

Elle me chochotait kon sa kan j’étais piti pour me consoler. C’était plutôt du X, du « cho » basque, du xo de je ne sais quel moxoxo.

Voilà dans quel état j’errais, à une heure assez avancée de la nuit du 26 au 27 mai, après minuit en tutu[68] (j’ai heureusement installé une grande porte-panneau-plexi façon moi contre ma baie moustiqueraie – pask’à travers elle trop de courants d’air parfois –, dont le battant d’origine vitré ne ferme pas). Soit, déjà, le 27 mai... Pourrai-je un jour finir une phrase, comme celle-là dans laquelle je m’apprêtais à dire que je n’avais pas vu la moitié des synchronicités, sans que ça ne se remette à synquer de tous les côtés ? Ne serait-ce que suminu[69] ? Ce 27 mai le minutage de la fenêtre de « C à vous » calée en haut à gauche de l’écran et aux deux tiers dissimulée par mon fichier est de 00:27:47... En haut à gauche de ladite fenêtre elle-même : S13 (Saison 13)... Sur ce 13 sur la badinerue de mon fichier : 13 665 mots, donc 13 666 sur « sur ». Fichier qui en est à sa page 14 sur... 27.

J’ai ma faffe (en modoupaïen). Dans Politis 1706 page... 15 !!!!! Déjà ça, pour commencer, je ne l’avais pas relevé. Ialla-la-iallisme[70] de numéro de page : une photo sur toute la moitié supérieure de la page est surmontée sur sa droite de cet intitulé en majuscules du dossier : « GAUCHE : NOUVELLE CAMPAGNE 1/5 ». Sous ces trois mots un encadré rogne le coin de la photo. En hommage à l’honneur de ce troulderchant et passionnant acolit, en ce Jour Extraordinaire, sorte de Journée anti-faffe, car celle de la Commémoration de l’Abolition de l’Esclavage en Gwadloup, en voici le contenu :

Si La France insoumise a su mobiliser les quartiers populaires urbains lors du dernier scrutin présidentiel, la Nupes doit désormais convaincre les électeurs des zones rurales attirés par le Rass-de-merde. C’est le sujet de notre série.

Sur la première page c’est tout. C’est dans la deuxième partie du paragraphe (qui débute à la page 15 et se poursuit à la suivante... 00:21 quand je regarde l’heure estonie [je ne la vérifie vraiment qu’assez « rarement » !]) que La Phrase est amenée par « un État, à l’époque gouverné par la gauche plurielle, incapable de soutenir les milliers d’ouvriers perdus par Soissons et ses alentours après les différentes vagues de licenciement ».

Autour de l’Atonique du 21 avril 2002, la plus troulderchante Souridile est peut-être celle de cette légende de la photo à droite du demi-pagragraphe de La Phrase : « Les locaux de l’entreprise Baxi, fermée définitivement en 2014 ».

S’ouvre, par ces mots, sous le Demipalapa, le paragraphe suivant : « Vingt-six ans plus tard, le scénario [vomitif] s’est répété, avec la fille [dans la famifaffe] cette fois [...] ». Mongole. Qui snifoune « mais non je rigole ». C’est l’une de ces esmoupes toto-momo-batataïennes, en ce qu’elles s’accordent avec l’objet qui n’en est pas un. Or on en serait presque à souhaiter de l’objet en question, si l’on s’amusait à appliquer à ce terme son acception française, que le mongolisme constituasse sa principale caractéristique. Mais je m’égare, et le mongolage, dans le cas présent, a trait au fait que « vingt-six » ne débute pas l’énoncé susvisé, et ne microtte pas, au regard d’une affirmation de ma part entêtée par ce même nombre, mais « vingt ».

Les lignes ont à peine le temps de remplir l’espace entre le cliché Baxi (d’un bâtiment désaffecté, ça n’est pas joli-joli) et la marge de gauche qu’elles re-synquouillent, dans ce tronçon de phrase : « en 2011, dans un rapport de Terra Nova ». Mix monbalesque[71] du 11 le nopapa, suite à la fifaffe à papa, et de la Terra où Ama m’a dit que je restera. Et ça synxplose : « Une erreur stratégique [la recommandation par... Terra Nova... en réalité du gros caca, car un « think-tank » du PS, qui conseilla au parti de « se détourner des ouvriers dont le poids électoral était jugé insuffisamment important » – etna coi on ne nageait pas dans le cynisme le plus complet], comme le rappelle... » Antantion mesdames et messieurs c’est là : « ... comme le rappelle l’économiste... » Il est... 15h44... Roulements de tambours... : « ... comme le rappelle l’économiste... BRUNO AMABLE !!!!! » [Ciqu catali sex ama bisû.[72]] Et qu’est-ce qu’il rappelle l’AMABLE, hein ???!!! Qu’est-ce qu’il rappelle l’AMABLE, hein ???!!! Qu’est-ce qu’il...

Angelu : « Ça me manquait, les beugues de mon Xavier ».

Guidou je viens de taper une première fois le guillemet suivi du point, puis le point suivi du guillemet, puis le guillemet suivi du point. Japa japu jepu[73].

L’économiste rappelle que les ouvriers « représentaient encore à l’époque... 21 % !... des personnes ayant un emploi ». Qu’on se l’aime ce Bruno, hein Ama ??!! D’autant qu’il est « l’auteur de La Résistible Ascension du néolibéralisme ». Génial, cette expression !!!!!!!!! Etna coi nous étions en plein... week-end... de l’Ascension ! Je dis ça, je ne dis plus rien. J’ai épuisé tous les mots d’extamerveillultation.

La Mère : « Je ne lui dis pas pour l’autre concordance des temps de narration et de célébration, pas pour qu’il ne se surextramerveillultationne pas, mais pask’y s’en tape, nimportkoman, des fêtes à patin-couffin.

Résistible Ascension, Géniale Expression, Ama et moi en chœur :

RÉVOLUTION !!!!!!!!!

En l’hommage à l’honneur de Bruno, son acolitée citation :

L’État a abandonné son rôle de planificateur, de financier et de premier client des firmes industrielles pour devenir, au mieux, un investisseur passif. Passé d’acteur du développement à banquier d’affaires, l’évolution de son rôle a conduit la direction de ces entreprises à adopter les pratiques et les choix stratégiques associés au capitalisme financier mondial.

Mi tou ![74] Saut de ligne après la Bramablade et enchaînement, directement, sur les brûlants (bramabliens) débris de comète suivants :

Cette nouvelle doctrine de l’État vis-à-vis de l’industrie s’incarne dans ce que certains appellent une « maladresse » de Lionel Jospin [qu’il pouvait être crétin ; face à Chieurac, en 1995, à l’écoute d’une phrase prononcé par lui (« nous aurons tout fait pour... » : quelle « gagne » !), à un moment donné du débat de l’entre-deux-tours, jmidi « il a perdu »], alors Premier ministre sous cohabitation, le 13 septembre 1999.

Le 13, mon mois, triple top chira. Colonna (tiens j’en ai causé hier à l’Hôreuré avé un toutou et David le Rasta) d’en faça : re-triple top chira... mais si ça n’était que ça... :

Les levrettes de Nadine n’attendent pas : elle se lèvera tôt.

On peut rire un peu, hein, Ama ? Tout sensationnel et talmiel qu’il puisse être, notre Spectacle Synchropyronicitique Dans le Ciel, tout ne prête pas qu’à s’esclaffer.

Pour l’économiste Nadine Levratto, [l’État considère] qu’il ne faut garder des industries que les secteurs de la recherche et développement. Elle cite la loi Allègre de 1999 [...].

Là Ama et moi on se regarderait et on eeexploserait dans le même « booohhh !!! » et éclat de rire.

Pour comprendre pourquoi, lire la fin il faudra.

Dans quel état j’errais, dans la nuit du 26 au 27 mai... J’ai un peu exagéré. J’ai pleurniché pour attirer Ama, et afin que nous reconvergeâmes vers où je l’avais laissée le... 21. Dans Politis 1705 du... 12/05. Ça aussi : le 21, le 12, et c’est du numéro suivant, le 1706, du... 19, dont sont tirés les précédents extraits, jusqu’à l’Incroyable... Dénouement ?... Page 2 dans un « Courrier des lectrices et des lecteurs » : du Pacha Mama, plein de A comme Ama (Al-Andalus, Albert Apelbaum l’auteur du courrier), de la Lumière et des Planètes, ainsi que les Antilles et Haïti, bien que sous un triangle... euh... angle très... noir :

On pourrait s’étonner que le scrutin du second tour aux Antilles et à la Réunion soit à I’inverse de celui du premier tour. Que des descendants de populations colonisées puissent donner leurs suffrages à l’héritière des colonialistes dépasse Ia compréhension. Mais, à y regarder de près, l’exemple d’Haïti est à considérer. Né de la lutte victorieuse des esclaves qui se sont soulevés pour arracher leur liberté jusqu’à obtenir un État indépendant, ce pays est devenu au fil de I’histoire la dictature féroce des « tontons macoutes ». De même, la civilisation des Lumières d’« Al-Andalous » se trouve réduite à I’intolérance et à la persécution dans les mondes musulmans.
ll n’y a pas de « Peuple élu » qui détiendrait la grâce. Celui des Soviets, loin des espérances attendues, a mis en place un système de goulag, et sa chute se traduit à présent par une guerre brutale qui risque de devenir nucléaire. Ce monde est devenu celui de la lutte de « chacun contre chacun », pour des « voraces » dont le besoin de possession est inextinguible, au point de sacrifier notre « Pacha mama ». Et nous ne sommes pas au bout de nos peines puisque le « triomphe de la science et de la technique » se donne pour objet de coloniser l’espace et les planètes du système solaire.

Ama : « C’est quoi Pacha Mama ?

— Japa, AA ne le dit pas, alors je mouchineta[75], et trouva que c’était la « Terre-Mère » des Incas.

— Nous nous étions retrouvé-vée après qu’en ce 21 Mai ton salo... euh... depuis ton salo-sola de l’Hôreuré salbachi[76] tu avais enculé...

— Ça :

Record de tablée à l’Hôreuré. À mon solarium du moins. Le jour. 15 toutous en partance apparemment. Sous l’espèce de « préau » de l’aile pointant vers Mon Temple Abra[77]. Un soir il y a fort longtemps je m’étais retrouvé à une table à faire la fête avec peut-être un plus grand nombre encore de personnes (que je ne connaissais pas) que ça... Souvenirs, souvenirs...

Les Autres Vieilles :

2. Un Xavier m’a « remplacé » , à la Cimade. [Après que ma SANTÉ a fait que pas plus de quelques semaines je n’avais pu y bénévoler.] Il a fait sa toutpie[78] apparition (avec sa femme) en même temps que ma toutnie[79], à la manif devant la sous-préfecture de Lapwent en soutien à nos Amigrants-grantes.

3. Maouaza à la Cimade pour le décès d’André [Le Doyen – Mes Amitiés Camarade – telpotage é papoton, elta 23h21 qramé popote] envoyé à 16:16.

4. Maouaza Manno 27/01 [Ama : « Agur[80] mon chériii !!! »]: Fox Trot, le renard star des pistes d’Orly met en lumière la biodiversité dans les aéroports.

Ama et moi : « Trop délire !!! » Ama : « T’as pas une histoire de Fox Trot akètpar ? »

Il a de tout pour tout ton filou :

J’ai livré, lors d’une autre pas très ancienne édition, mon dernier grand numéro de prestidigi-fêtard. Seul après avoir semé, une fois de plus, toute la compagnie avec laquelle je me trouvais, à une heure bien avancée de la nuit, je me suis d’abord pris pour un fakir. Les occupants-pantes d’un grand appartement du deuxième étage d’un immeuble de la rue Marengo, dans le Petit Bayonne, où une fête dans la fête était organisée, ont eu la génialidée d’installer leurs enceintes aux fenêtres, diffusant une musique de soul, funk, salsa, bossa et tous autres styles aux accents de techno d’une rare qualité. J’ai ôté, pour mieux me trémousser, les sandales avec lesquelles je n’avais pas hésité à m’aventurer dans la jungle babakienne[81] ce soir-là, ne me méfiant pas des bris de verre dont le bitume s’était, ça et là, inévitablement retrouvé jonché. Je me suis tout de même assez rapidement ravisé, remettant mes nu-pieds[82].
Cette séquence endiablée terminée, au petit matin, j’ai repris le chemin de la maison. Rue des Basques, de l’autre côté du pont Pannecau, je me suis assis à un guéridon. Sur le trottoir, devant une peña, en effet, où des fêtards-tardes étaient encore assemblés-blées, dans et devant le local, une petite table ronde, une chaise, une bouteille en verre et un couteau en inox attendaient que Fox trotte là. Je me suis mis à taper sur la bouteille avec le couteau, en rythme, sur la musique qui passait. Une performance de pas moins de trois quarts d’heure non-stop a ainsi débuté. Les uns-zunes après les autres, autour de moi, m’ont emboîté le pas, s’embarquant dans leurs propres numéros de percussion avec ce qu’ielles pouvaient sur ce qu’ielles pouvaient, qui avec une chaise sur le bitume, qui avec ses mains sur un store... Jusqu’à nous retrouver à une cinquantaine de participants-pantes à un grandiose charivari. Dans ma transe, je gardais tout de même un œil sur ma troupe, rétablissant l’ordre quand l’un a par exemple voulu se mettre à battre la mesure avec une bouteille de bière. Je me suis interrompu pour l’invectiver, dans ce moment d’extase collective, fermement mais avec le sourire : « Non, pas le verre !! ». L’indiscipliné a immédiatement obtempéré, lâchant son dangereux objet.

5. Un prof ministre : la cata...

Ama : « C’est agréable !

— T’étais pas ministre.

— Un-une prof-proffe ne devrait pas l’être ? Je sais, t’envisageais de dresser tout un tableau des profs-proffes dépourvus-vues du sens d’un certain nombre de réalités, mais que ça n’empêche pas d’imaginer savoir tout mieux que tout le monde... Je te préviens je dévoile la suite de ta nochiée, ta note tout court d’ailleurs, sans synchronicité, qui dit « cours d’organisation + autocritique ; je peux être mielleux, pédant, ici j’expose ce qu’il en est vraiment ».

— Eskerrik asko Ama[83]. Je ne suis ni l’un ni l’autre. Je ne sais pas qui a écrit ça.

6. « Retrouver le goût de la dispute intellectuelle » (P. Juvin) / « acutisation de la discussion »

Pas une synchronicité non plus. C’était à éventuellement glisser au chamou de l’« ancestrale tradition de tolérance et de multiculturalité menacée », en Inde. Poco bité, maman cascu lidio.

7. Appel de Véronique

Ique... euh... qui ?

8. Xabi perché. Poème Baudelaire MALF p. 382

Je livre-40/xabiwiki-41-chamouse les désopilants étiquetages. Vlan[84]. Poco bité, maman cascu lidio. Vlan allez je le colle là :

Autre remarque à mon endroit du genre iati untutu qoqu[85] : « T’as de la chance d’avoir trouvé Manno, pour s’occuper de la logistique ! ». Indécollables étiquettes du style « Xabi = perché ». Ces écrits, pourtant, ne témoignent-ils pas avec force de l’inanité d’un tel qualificatif ? Hiiiiiii ! [Car le gros délire : étonnant, non ?] Plus sérieusement, mon CV, mon parcours et nombre de mes réalisations ne devraient-elles pas inciter à le relativiser ? Un parcours qui aura davantage eu pour effet, me semble-t-il, de par mon expérience dans l’humanitaire et la solidarité internationale, de renforcer mon sens de la citoyenneté et des responsabilités, ainsi qu’une certaine clairvoyance, quant aux réalités, jusqu’aux plus dures, de ce monde – je le constate plus que jamais, avec la crise du coronavirus, et l’inconséquence et la naïveté (pour ne pas parler de l’égoïsme) qui prévalent –, plutôt que de m’enfumer les neurones ! Xa(bi) perché l’organisateur de grands rassemblements dont tout le monde lui est tellement gré à chaque fois : n’y a-t-il pas comme une légère contradiction ?
Il n’est rien que je déteste tant que la mauvaise foi... « On » m’a foutmagueulé, avec un certain mépris, au cours de la préparation d’un Grawek[86], à propos d’une disposition des tables, pour la salle, que j’avais proposée. Alors que si je n’en avais pas lancé l’organisation (et j’aurais très bien pu me débrouiller tout seul, comme à nombre d’autres occasions du genre), le problème, c’est certain, ne se serait pas posé, car l’événement se serait résumé à un banal repas dans un resto, avec deux fois moins de convives.[87] Catégorisation, besoin de se rassurer sur son propre compte voire de toujours se sentir meilleur, en ne reconnaissant surtout pas trop de qualités à l’autre : ainsi le phénomène peut-il être résumé.
On est là au cœur de la bête et de son instinct de domination. Je ne m’exclue ÉVIDEMMENT pas de ce travers. Mais j’ai à cœur d’y résister, comme à d’autres, m’efforçant de pointer ce qui va, chez mes congénères, plutôt que ce qui dégoise. Même si je ne dis pas que j’y arrive moi-même toujours très bien ! Hors manifestation les plus redoutables de cette tendance, chez les plus dingos, néanmoins, elle peut également nourrir, plus positivement, l’envie de se dépasser. Pour ce qui est de m’inventer des tares toutefois, j’estime pour ma part avoir assez de celle, pour ne parler que de la pire à mon goût, de la fragilité qui me pourrit la vie et n’est pas non plus pour toujours embellir celle de mes plus proches, en faisant notamment de moi un objet... d’« inquiétude » !!! Homar[88].

Incompréhensible, déconcertant, pour ne pas dire désolant... Ce qui précède ? Non ! Je suis relou mais à ce point... Quoique, quoique, sur le xapercharge supposé, n’hésitant pas à cette fin à détourner le trésor qui vient je reviens ! Mais c’était une insertion post-incompdéconcertzolantation de ce qu’ils sont rares les textes de la littérature française, sur... mille ans !... (et cinq cent pages) de Miel-é-fraise[89] auxquels j’aurai vraiment accroché. Les écrits géniaux, de l’acabit de celui-ci de... Baudelaire donc... eh oui, tu m’estonnies Johnny :

[Écriposage d’oiseau... euh... pausage à... 00h00 ! L’Heure Parfaite, pour ce Rendez-Vous Avé ZEU Poète !]

L’Albatros
Souvent, pour s’amuser, Ies hommes d’équipage/Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,/Qui suivent, indolents compagnons de voyage,/Le navire glissant sur les gouffres amers.
À peine les ont-ils déposés sur les planches,/Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux,/Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches/Comme des avirons traîner à côté d’eux.
Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !/Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid !/L’un agace son bec avec un brûle-gueule,/L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait !
Le Poète est semblable au prince des nuées,/Qui hante la tempête et se rit de l’archer ;/Exilé sur Ie sol au milieu des huées,/Ses ailes de géant l’empêchent de marcher.

Dans le Gaga-mou-frais, « Pinard » en « Pinar » je viens de modifier ! Le pinard qu’avec on est bourrés-rées et qu’on n’arrive plus à marcher ? Non, le Prince des Renards ! Qu’on ne me taxe pas de vantard ! Je ne me suis évidemment pas moi-même attribué ce surnom ! Qui, alors ? Ne nous en préoccupons pas, allons. De cette ialla-la-ialla comme tout le long de mes racontenards nous le faisons nous nous émerveillerons. Le reste passons.

Ce n’est pas un statut particulier que je souhaite vanter. Des statuts je t’en foutrai. Désopilants étiquetages. Causons plutôt ramage. Xabi poète. Ça oui ! Comique au sol. Laid ? Sans mentir, mon plumage à part le poids ça va. Dans mes évolutions sur le plancher des vaches je ne boîte ni ne suis gêné par aucune infirmité (autrement qu’au sens premier). Aux antipodes de l’Albatros, quel animal pour incarner mon agilité ? Encore une ruse : je fais mine de chercher.

Bel-Ami page 49 :

Ses camarades [de régiment] disaient de lui [Georges Duroy le Bel Ami] : « C’est un malin, c’est un roublard, c’est un débrouillard qui saura se tirer d’affaire. »

Dans ma déamburédaction j’étais à l’instant quelques lignes plus bas sur ma maman, qui questionne la triplité du 15 dans les Vieilles Nochiées, semblant se demander s’il n’est pas que double le bougre, et quand je décide de retourner consulter Le Guide, je retrouve un 15, un double, ligne... 151 du Chapitre 3, à l’embranchement de laquelle se dressent « les maisons de la rue de Rome », rue du quartier des Batignolles dans Paris où, début 1999, je m’étais rendu à un premier rendez-vous à l’agence David Immobilier avec Charles... euh... le particulier qui m’a vendu l’appartement de la rue Ramey, dans le XVIIIème arrondissement, où j’ai vécu jusqu’à fin 2000, dont j’ai ensuite confié la location à une agence immobilière, puis que j’ai cédé en 2018.

L’appartement était situé au numéro 15, comptait un salon et une chambre de 15 mètres carrés chacun-cune, c’est le bus 15, qui passait dans la rue, et je l’ai payé 150 000 francs. Cette seule valeur dit toute l’invraisemblance.

Le Zinc... euh... 15 : « Marre-toi. Que ferais-tu sans moi, un presque Sync, à l’envers, sans moi à l’envers ou à l’endroit, et sans tous tes autres chiffres et nombres de toutes sortes et autres chiras, chirapas, nopas et nopapas[90] ? De ton Grave[91] il resterait quoi ?

— N’exagère pas. Mais pour zinquer les zanmi dans la série vous zinquez, ah ça : »

Bel-Ami page 63 :

Il ne fit plus attention qu’à son jeu [de bilboquet, Saint-Potin l’ami de Duroy, aux bureaux du journal où il l’a fait embaucher], et il continua à compter lentement : neuf, dix, onze, douze, treize. Il manqua le quatorzième et, jurant : « Nom de dieu de treize ; il me porte toujours la guigne. Je mourrai un treize certainement. »

Moi j’ai entenvu quelques années en arrière sur la route à Basse-Terre que je mourrais à soixante-treize ans.[92]

Ama : « Bé alors kesté là à prédir le pir ?

— Exultation...

— Insultation. Justement, n’insulte pas l’aviation. »

Manno : « Non !!! »

Écripausage. Taux de charge de mon téléphone portable...

Telpo : « Qu’est-ce que t’attends pour modoupaïaniser mon taux ?

— T’es rigolo. Ça n’est pas automatique. Mais d’accordo : « Tarte... ta-cage... » J’ai pas. Il est de 64 %.

Ama : « Tu m’entends ? N’insulte pas l’aviation ! »

Manno : « Non !!! »

— Les cocos je vous signale que la formule c’est : « N’insultationne pas l’aveniration. » C’est passé, ça. Je suis tout à mon zinquémerveillement. Zinquémerveillez-vous avec moi. Ama tu sais, quand je blague sur depuis combien de temps que t’as mo... euh... mouru... »

Ama : « Chameau.

— Émerveillage, fagolage[93], tu préfères ça, non ?

— Oui, n’exulinsultationne pas trop souvent, c’est mauvais pour ton cholestérol.

— J’ai le meilleur du monde ! Tu te souviens, comment qu’elle en revenait pas Martine notre médecine. Jouons. Joue avec moi.

Telpotage é papoton, elta 17h21 qramé popote.

— Ce 21 alors. Zinquer n’est-ce pas uniquement pour le 15 ? Le 21 ne va-t-il pas se sentir lésé ?

— Que je sache il n’a pas cette faculté, inversé, à presque-synquer. Par conséquent par extension, pour changer, lui et. [J’ai supprimé ce nid de poules (à 15 525 mots, page 21 sur 31), j’en ai assez.] Sens-tu le flux ? C’est puissant, hein ? C’est Guy, le nouvel Envoyé Spécial de La Banda Divina pour m’émerveiller. Sa zinquerie suivante : il nous amuse au moyen du 64 de notre Euskal Herri[94] !

— Oui tu parles, un département Pays basque, « même ça nous ne l’avions finalement pas obtenu », le 16-chamouses-tu, vlan, en attendant de le biter. Alors, la 64-inquerie de ton Nouvel Ami ?

Page... 64 :

Duroy ayant serré toutes les mains [des employés-yées]...

— Yeah ! Yeah !

L’anglais ! En vrai Ama ne le connaissait tellement pas : aucune chance qu’elle sortît ne serait-ce que ce mot-là.

— Ou bien la crainte de me ridiculiser m’en aurait-elle empêché ?

— Puisque c’est comme ça je ne te dirai pas, le 64-inquage de Duroy. Allez va, Jeannette, ne pleure pas, c’est ça :

Duroy ayant serré toutes les mains sans savoir même le nom de leurs possesseurs, redescendit le bel escalier, le cœur joyeux et l’esprit allègre.

— C’est le dernier paragraphe du chapitre 3, et « allègre » est nobapayé...

— Empaillé, oui, je te l’aurais.

— Ha ! Ton ancien ministre de l’Éducation ! Je me le paye au chamou 29, vlan, rapport à qu’il avait fait évacuer toute la zone du chef-lieu de Bastè[95], autour de la Soufriyè, pour cause de début d’éruption, contre l’avis d’Haroun Tazieff. Économiquement dévastée, en conséquence de cette mesure « de précaution », elle ne s’en est jamais entièrement remise depuis. Qu’est-ce qu’il portait mal son nom, ce con. Ce sinistre ministre. Mais ne sommes-nous pas en train de le laisser nous gâcher notre plaisir ? Et voilà. Pour un bon mot. J’en salis une fantastique Sync-Joie.

Telpotage é papoton, elta 18h21 qramé popote !

— Ces qramé-popotages, mon fils ! C’est le premier depuis le 17:21 ?

— Oui ! Kèstu crois ? Que je triche ?

— Toi ? Sûrement pas. Les chiennes ne font pas des chats. Des Xabi, oui ! Hihi.

— Kèskon fagole.

— Ta Sync-Joie ???!!!

— Tu vas voi. Dernier mot du chapitre, « allègre » est renvoyé...

— Hip ! Hip ! Hip !...

— Couillonne allez, il nous a assez pollué. Le mot tout seul en gras...

— Beurk ah ouais en plus il était gras...

— Ah ça, t’aimais pas. Du coup t’as chabié une brindille. Tu me verrais...

— Je te vois qu’est-ce que tu crois...

— Dans tous les couchers de soleil.

— Ta Sync-Joie ???!!!

— Unique nobapa : « allègre » en gras suivi de deux points et de l’adjectif « joyeux ». Page suivante, la 65...

— La 65 !!!

— Après la 64, on ne va peut-être pas trop s’exciter pour ça. Sauf si sur « ça » mon fichier m’affiche 15 544 (mots). Et ce qui n’était pas obligé c’est qu’entre 64 et 65 ma Sync-Joie fût à-chevalée, comme elle l’est.

— Et le pont est jeté, avec ta...

Écripausage. Docho après un salo zinquerie dans des tuyauteries. Dans le... « fameux » !!!... Politis 1706 du 19/05. Article 1 (le courrier d’un lecteur), première lignes : « Le réacteur Bugey 2 [du site nucléaire du même nom] est en maintenance jusqu’au 15 mai. » Les réacteurs 3, 4 et 5 sont arrêtés pour « contrôle des tuyauteries ». « Le réacteur Bugey 4 [...], en l’absence de fissures, devrait redémarrer ce 21 mai. » Le 21 qu’on ne présente plus, nos 4 et 5... Manque-t-il le 6, pour parfaire l’effet ? Non, il est là aussi, dans un mélange de 64 et de 1 du 21 en plus de ça, et dans un total c’est la totale : « Il y a actuellement en France 28 réacteurs à l’arrêt sur 56 au total, et il manque 32,7 GW de production nucléaire sur un maximum de 61,4 GW, soit 53,3 % manquant. » Nous ne manquerons en outre pas d’apprécier ce 33 final. En contrepoids du 21. Cotojo : Mon Bal. Sucem morabnodem baduf : page 17 sur 21, 10 481 mots. Ama, 81 ans (et demi) c’est l’âge où t’as mouru. Le 21 sinistrinque derechef dans le courrier 2 : « Les derniers raids aériens [en Ukraine] ont provoqué des milliers de morts, dont environ 11 200 mineurs. » Ama t’as mouru dans un Epahd... et c’est le thème du courrier 3 !!!

— Le Bal. Tandis que ta Sync-Joie fait du cheval. Et il est 21h00, quand à l’instant tu regardes l’heure estonie... Ma parole c’est plus dingo, ce à quoi j’assiste avec toi sur Terre, que tout ce qui peut se passer Là-Haut. Rien que Ton Bal sorti du Mix Bien-Mal, qui ne pourrait mieux dire l’Éternelle Ambivalence, l’Incontournable Yin-Yang. Comme dans ta Super Sync-Joie parasitée par un affreux jojo. T’hésites sur « affreux jojo », pas très original car déjà fait (loin, loin, loin dans ton Grave mais tu t’efforces en permanence, mon brave, d’innover !), or çuilà y va rester (et comment !!!), car ton regard chope le prénom de l’auteur du Courrier 1 : Joël !!! Sync-Joël... euh... Joie donc maintenant entrecoupée par le nucléaire... français... puis par l’Ukraine (et le sien en sous-main...), sa population massacrée... Mon fils on se la met tout de suite la balle ?

— Janeta je VEUX faire le programme de Perfectionnement de l’École du Rire Niveau 7(ième Ciel).

— Moi c’est fait.

— Merci, j’avais remarqué.

— La fin de la Sync-Joie ???!!!

— À cheval sur 64 et 65, ce qui n’est pas sans rappeler la peste du Contech. Vi joi 18/05.

— Là tu triches ! « Vi joi » ça snifoune « voir Miss-Jottise... ». Voir Sync machin, aussi étonnant que cela puisse paraître, tu ne l’as toujours pas. Vyc ?

— Ooohhh !!! C’est mon Premier Modou, ma Première Esmoupe de toi !...

— Faisons ça bien.

— Non !... Ne me dis pas que t’es en train de jumeler... euh... jumotter « Vic-Fesansac » ! Ma parole t’es pire que moi. Coniakerie pour coniakerie[96], le Gaga-mou-frais, quand je lui ai demandé « voir Sync... », est resté muet, mais le Gamou-nase-sot[97] l’avait : c’est « V5 ».

— C’est le plus allègre... euh... alerte qui se plante et qui va écoper de la corvée vaisselle...

— Ne me dis pas que t’es en train de jum...

— Laisse-moi finir : et c’est le carrément nase et sot qui à ta question est foutu de répondre. Quant à toi pour la Sync-Joie combien de fois va-t-il falloir que je te la pose ? T’es encore vivant tu me diras, c’est le principal, les bombardiers B5 (de syncs) n’ayant (eux) heureusement jamais tué personne.

— La Sync-Joie, entre 64 et 65, clôt le chapitre 3. Sous sa nobapa unique en deux mots, « allègre : joyeux » : le nombre (numéro de la page) 64. De la même manière, page 65 elle ferme la marche, calant exactement contre la marge, au début de la dernière ligne, cet énoncé :

« Georges Duroy. » Ça y était ! Quelle joie !

Et que ça rime de surcroît. Georgio découvre en outre que son article a bien été publié, dans Le Figaro. No. Georges Duroy découvre que son article a bien été publié, dans Gil Blas. Na ! Mais no. Georges Duroy découvre que son article a bien été publié, dans Le Gaulois. Non pas. Georges Duroy découvre que son article a bien été publié, dans La Vie Française.

— Tu penses qu’il a fait exprès de publier un article dans celui des quatre journaux cités pour lesquels Guy de Mautpassant a travaillé qui ne rime pas ?

— Toto momo batata. Ça snifoune « tout est possible dans Mon Dieu, mon Bouddha et Patata ». Il faut que j’ajoute « et ses annexes ». Voilà c’est fait, dans le Gaga-mou-frais et le Gamou-nase-sot... Put... quelle pédérie ecnos. « Pédérie » c’est de « pas intérêt de déconner »... C’est dans un glossaire parallèle... Pas très logique en même temps ce modou... « Ecnos » ça snifoune « encore une fois ».

— T’as coniaké, ecnos ?

— Oui. « Glossaire modoupaïen-français de Sync sur Sync » c’est « Glaire-mou-de-synus », pas « Gamou-nase-sot ». Ce qui décrédibilise ton dernier brillant jumo.

— T’as corrigé ?

— Oui, ça y est. La synchronicité suivante c’est un mot en passant.

— Ça c’est un très charmant jumo, dont je déduis qu’elle aussi est signée Guy-Georges.

— Sans commentaire, de tous les côtés suminu les chiffres s’en chargent : le minutage à 00:20:22 de « C dans l’air », et 11 170 mots, page 18 sur 22 (11 200 mots ici) à mon fichier. Ça alors...

— Ah oui ça alors...

— Mais non ! Ça alors que j’allais préciser qu’il ne s’agissait en l’occurrence pas d’une synchronicité chiffrée mais lettrée... Quand je réarrête « C dans l’air », je retapote, mon regard est re-attiré vers le minutage : il est à 00:21:00. C’est dingue. À part ça j’ai redondé, sur mon joli jumo : synchro mot-en-passant/pas-chiffrée-mais-lettrée. Ta pisse.

— T’as raison, des fois qu’on fasse preuve de trop de raffinement tout d’un coup.

— Vous me faites tous-toutes le coup, de fagoler ma pisse, alors que vous savez très bien que ça n’a rien à voir avec ça. Tu ne crois pas si bien dire en matière de raffinement toutefois, car c’est une synchronicité interdite aux moins de dix-huit et aux plus de soixante-dix-huit ans que je te propose cette fois. Tu restes ou pas ?

— Quelle questionna.

— Est-ce que je t’y autorise ? Le temps de la réflexion je conne[98] ce dont d’aucuns-cunes ne doivent pas comprendre que j’aie pu le laisser passer, sans m’extasier, le trantsimilpoindexclamationniser, le capitaliser, le centralisationner, le poinderetréïser...

— T’accouches mon bébé ?

— Ou je te laisse accoucher ? Ce serait plus logique...

— Oh, à mon âge, même si j’avais pas mouru... Venons-en au fait : le 64 !!!!!!!!!

— Tu l’as combiendepoindexclamationnisé ?

— Bé 9, té. Car quand danupag t’as écripausé, et 64 tarte-ta-cagé, tu n’avais bisû pas en tête que dans le mouvement subséquent...

— Stupéfiant, comment que la démence fronto-temporale qui a eu raison de toi ne l’a pas eu de ton vocabulaire.

— C’est Pascal... euh... paskeu Tonton Pierre, pas mon frère mais le préposé à la Porte des Cara... euh... du Paradis nous réinitialise tous-toutes, les Entrants-trantes.

— Dans le mouvement subséquent, tu disais...

— Que tu es tombé des nues... elle est très bien cette expression finalement... au vu de ce que nous 64-zinquions, après, à fond les mon-ballons. Du Monde sans conteste tu es le Champion, mon fiston, de la Synchronicitisation. »

Les On...

Moi : « Pas vous, non. Plus tard si vous n’y voyez pas d’inconvénion les garçons.

— T’es complètement perdu, pris dans ta propre machine à synchressorer. C’est y a quelques épisodes qu’on onne kon des dératons.

— Tant que vous ne ratonnez pas.

— Mais nous revenons.

— Ama en revanche tu peux rester. Régénérée, et m’ayant synchromondochampionné, t’as gagné ton ticket pour licouter la dernière GG (Guy-Georges)-Synchronicité :

C’est un truc à saisir, pensait [Georges Duroix], en voyant certains confrères [se burnedorer] [...] Il lui fallait pénétrer le mystère, entrer dans l’association tacite, s’imposer aux camarades qui partageaient sans lui.

— Moi je perce. Dans Bel-Ami logiquement... telpotage é papoton, elta 20h21 qramé popote... on préfère pénétrer. Ah, et quand y en n’a plus cotojo y en a encore. J’en ai une autre, originale, rien que pour toi. Page 80 en toute fin de chapitre (le 4) toujours, sur l’aux trois quarts blanche page au trou j’ai nochié...

— T’as pas chié ?

— Ne te fais pas plus grasse que moi.

— C’est Allègre qu’est gras.

— On va finir par... allègrement le dépasser. J’ai nochié : « trad 24/05 : ta... » [16:21 quand je décide de ne pas le révéler, optant pour le mamadevinetter.] Dans une turlu... euh... tute[99] d’une attestation de naturalisation je devais taper plusieurs fois le nom de cet homme : Tahim Abdulaziz Mohamed Altamimi, qui a changé de patronyme pour Mohammed Abdulaziz M Alhumaidhi. La technique consiste dans ce cas-là à n’écrire que les initiales des mots concernés puis à les fioncracer[100]. Tu devines les initiales, maman, si t’as bien été dédémansfrontotemporalisée comme tu le prétends ?

— Tadadan... tama et mama ! C’est mignon. Miaou mon Xa.

9. Après quinze ans de révolution , l’empereur Napoléon met de l’ordre. Un ordre qui repose sur la propriété, avec un document unique au monde : le Code civil. Mariage, héritage, filiation, depuis 1804.

« Non, pas les On ! Pas révolution ! Pas Napoléon ! Pas filiation ! »

Les On : « On est déjà re-là ?

— Non ! Non ! Non ! Ordre ! Propriété ! Mariage ! Famille ! Patrie ! Ça oui ! »

Les On entre eux : « Le laisser nous allons, qu’est-ce que nous en pensons ?

— Ouais, vaut mion.

— Non !!! Pas Mion !!! Un soi-disant ponton... non... ponte... que j’ai consulté à Lyon... Non !!! Pas Lyon !!! (À cause des On uniquemon, et de Mion, sinon avec la plus intense des joies, con.)

— T’as pas mieux que « con » ? Tant pis pour toi débrouille-toi, couillon.

— Et vous, auriez-vous moins cavalier ?

— Oui, pardon : polisson. »

Synchronicité, pas synchronicité, je ne sais ce qu’à l’origine elle était, ma nochiée, mais à l’arrivée c’est le bouquet...

... Hésitation, réflexion... Non, pas les On !!!

Les On : « On est déjà re-re-là ? Pour te prouver qu’on n’est pas des cons, on te fait ce trocon... non... troncon... non... tronçon...

— Çon... Çon... Quand nous finirons, de gravir tous les syncréchelons, il ne nous restera plus que ça, franchir le Mur...

— Du Son. Une fois passée ton hésiflexion...

— Comment qu'on fait ça, con ?

— Chuuut... Et ton regard de parcourir l’écran de Telpon.

— Il s’appelle Telpo, faites pas les cons.

— Tous ces cons, pas facile la vie de On... En haut à droite le tadar...

— Taux de charge, merci, ça manquait à ((...))

Guidou en rerere...passant : « Encore un nid de poule ? Tu te prépares à un siège ?

— On n’est pas à Mariopoul.... euh... Marioupol.

— C’est étrange ce blocage sur une modoupaïanisation, comme pour les sespions... À cette différence près que les On n’ont pas attendu, pour s’exécuter. Dans le temps ta tentative (sucem morabnodem baduf : 15 111 mots) de modoupaïaniser « taux de charge de mon téléphone portable », à la demande du premier intéressé, a eu lieu avant ou après ?

— Après.

— Tu retiens « tadar », pour « taux de charge », sans « de mon téléphone portable » ?

— Telpo qu’en penses-tu ? »

Telpo : « C’est un bon début. »

Les On : « Telpon tadarait à 33 pour santon, au moment de ton hésiflexion, à propos de ton top-chiraïen numéro de nochiée, quant à comment amener le con (à comment le commenter ; « con » snifoune commentaire nous le rappelons). Les 9 Vieilles, c’était ta première stupéfaction.

— C’est très sympathique les On mais vous ne me facilitez pas vraiment la tâche. Je poursuis, pask’on est d’accord que nimportkoman c’est moi qui écris, et tout onner au bout d’un moment merci.

Le 9 c’est fait. C’était très joli.

Telpotage é papoton, elta 20h11 qramé popote. Non le 11, pas toi ! Pas de nopapa ! Laisse-moi avé mon top chira !

Et après, après...

Après : « Ma majuscule !

— Certainement. Un mot, un seul, toi, Après, et après toi déjà : le 15. »

Telpotage é papoton, elta 20h15 qramé popote !!! 20h15 subséquemment à 20h11, rien de très miroballon... non... mirobolant, objectera-t-on. Oh con... euh... OK, encore fallut-il qu’en con... non... qu’encore je fusse pris d’une hésiflexion et qu’un écran noiron (oui, ça se dit) il redégainasse, Telpon.

Les On : « À son secours raccourons !

— Vous êtes mignons mais non, sans façon. »

Après avant le 15-qramé-popotage j’avais ça : « Un seul mot, toi, Après, et après toi déjà, le 15... De Planète Triple-15 t’es le Roi ! »

Après : « Vraisemblablement le 15 t’a-t-il coupé afin que tu n’affirmasses pas cela.

— Pourquoi ? »

Le 15 : « Parce que pour la Planète Triple-15 point de Roi mais une Reine, ton Ama !!! »

Ama : « Enfin ! J’attendais. Hein, ene seme maitia, n’étais-tu pas un peu en train de m’oublier ? Et toi, l’Attente ? Du Gato[101] de Ta Mère. Je n’eus pu ne pas être à la hauteur, et redescendu vers toi c’est En Tête d’un Flamboyant Cortège de Synchronicités que je me suis avancé. Mais comme à l’accoutumée tu es fort bien accompagné. Les On, Après. J’ose à peine m’incruster.

Les On et Après : « Vous pinez, Majesté. »

Sa Majesté : « Que d’honneur. C’en est beaucoup pour le 15 également, sauf votre respect Nombreussieur. Je ne remets pas en cause votre démonstration, entre le XV et son V Pamoncul-Coucher de Soleil d’Ouverture et les « Quinze Ans de Révolution » de Clôture, en passant par... quoi d’ailleurs... pas grave, gardons votre Triple-15, ne jetons pas le bébé... la Planète BB (youpi ! y en a une !). De toute façon je vous invite, mes petits, à regagner la Terre, pour ce qui m’apparaît plus fort encore que le 15. Sucem morabnodem baduf : 9 221 mots, page 16 sur 19. Les congénères du 15 semblent de mon avis.

Le 15 : « Moi aussi, même s’il ne me semble pas avoir démérité. »

Sa Majesté (renégate ?) : « Que ce soit clair, au contraire, je suis coite. »

« Le 1804 n’est pas très parlant », songeais-je dans ma voiture entre Bas-du-Fort et l’hôtel La Créole (je l’ai K-ié ailleurs mais c’est bien le « C » qui lui sied). Radiozappage jusqu’à une station où ça cause en français, mais avec un accent d’ici, alors j’écoute, et de qui parle-t-on ? De Napoléon ! La Vieille Nochiée s’est pointée à point nommé, à l’approche du Pont du 27 Mai : ainsi que le rappelle le présentateur, le 27 mai 1848 le gouverneur de Gwadloup a proclamé l’abolition de l’esclavage. C’était la deuxième. La première avait eu lieu en 1794, dans le sillage de la Révolution. L’esclavage avait été rétabli par l’Enculé en 1802. (Je suis de plus en plus grossier, je sais. Mais qu’il y a de quoi le détester [je déteste aussi ce mot], et c’est pour compenser : j’ai déjà écrit trois fois le nom de ce con.)

Ama : « Tu comprends pourquoi je ne voulais pas être exclue de la Cérémonie de Clôture de la Fête des Vieilles, et du Spectacle Pyrotechnique de cet Entète-des-cons[102].

— Toi la Militante pour les Droits Humains Douvan Léternel, oui, j’imagine à quel point il te tenait à cœur vivre cette merveilleuse saga jusqu’au bout. 15 200 mots ici... Et si je te dis... 15 210... que pas un quart d’heure ne s’est écoulé, entre deux feux d’artifices ? Celui de Gozyé aussi vrai que tu aimais la saucisse (et la purée) et ta parabole, que dans un rerere...mon-passage je redécouvre.

Hier le 26 à l’Hôreuré, la question d’un jeune vacancier (trèèès sympa, fin, intelligent...) : « Ça existe, les békés ? »

Guidou, quand le guillemet est suivi d’une phrase il le faut bien le point, après, même s’il est précédé d’un signe de ponctuation, non ? (Si un Guide Omniscient capable de répondre à toutes mes questions au fil de mes rédactions existait, évidemment ça se saurait.)

Magie du rerere...passage : ça me pète aux yeux qu’il est superflu le point après le guillemet. C’est pour ça k’a pu. Et qu’on se demande pourquoi la question « Guy... euh... mais... le point, après le guillemet ?... » est posée.

La question 2 c’est fait. La question 1 du gars c’était en présence de David le Rasta. Échange nourri garanti. Rappel de ma part de ces propos qu’un... béké – oui, jeune homme, pour exister ils existent bel et bien les pé... pés –, avait osé tenir depuis sa Matinik ile qannée[103] à la télé, quand à l’éventualité d’un mariage d’un quelconque membre de sa famille avec un-une Noiré-rée : « Ça ne serait pas très harmonieux ». David : « En Martinique ils ne se cachent pas, ils sont sans vergogne. » Des chauds Gwadloupéyen ils se méfient un peu plus... Mais quand trop c’est trop le-la Matiniké luile aussi s’enflamme, et l’enculé de sa race (oh ! hé ! hein !) avait été exfiltré pour la France par la police afin de ne pas terminer, un 27 mai, ligoté à une fusée.


NE PAS LIRE !!! ÇA N’EST ENCORE QU’UN BROUILLON !!! MERCI !!!

31/05 — 11, 21... 31 ? 11-Septembre. 21-Avril. Dates d’Infamie. Et le 31 ? Tandis que je me vintéuntrantéuquestionnais ainsi, un vintéuntrantéunquestionnement qui n’avait jusqu’alors tant gagné mon esprit, un acolit s’est mis à onzvintéuntrantéunner dans le 1706 qui, à travers l’acolit précédent, m’accompagne dans l’Hiryotte du 21. Ça ne onzvintéune pas mais ça disvinte d’emblée, page 18, sous le titre « Bruxelles sur la voie de l’insoumission » : « Dimanche 10 avril, peu avant 20 heures, l’enceinte et la terrasse du bistrot La Dynamo de Bruxelles sont remplies de militants et sympathisants insoumis, pour la plupart des Français résidant en Belgique. » Quelques lignes plus bas, à la fin de la colonne 1 d’un tiers de page, le voilà déjà : « Avec 31 % dans la capitale belge, leur candidat a réalisé un exploit. » À part un 2010 colonne 2, que j’allais snober, avant de jéliquer[104] qu’il n’était pas sans rappeler les ouvreurs 10 et 20, un 90 et un 500, un 500 000 et un 3 500 (mon top chira et le 5 qui, de ladite vinténunienne Hyriotte [du 15], a constitué ni plus ni moins qu’un des centres d’intérêt), dans l’ensemble des dates et autres nombres de la page... 19, ce ne sont que des 1, des 2 et des 3 : 2011, 100 000, 2 000, 120, 2012 et 32 000.

Mon fichier Sync sur Sync 3 en est ici à sa page 29 sur... 32. Cette Sync ou Hiryotte du 31/05, dite « Sync 31/05 », est ainsi baptisée parce que j’en ai commencé l’écriture le 30 et l’ai terminée le 31 [ou comment prendre ses désirs pour des réalités], au contraire de la Sync/Hiryotte du 21/05, dont la date est celle du premier jour de sa rédaction, qui s’est étalée sur une semaine environ.

Morceaux de cul du 30 :

[...] Moi qui n’ai pas eu « peur » de grand-chose dans la vie, cette putain de Covid quelle angoisse. En plus « du reste »... Quand je vois comment tu morfles, toi qui pètes la forme. Et cette immunité « naturelle » qui ne vaut rien, puisque te voilà contaminé et souffrant de nouveau. [...] Ce sera prudence maximale pendant le voyage [Gwada-Frantzia]. Et après... Ici comme je l’ai écrit je ne vois quasiment plus les gens qu’« en plein air ». Faire le vaccin, quand j’arriverai en France ? J’y songe, malade pour malade, mais ENCORE plus malade : non. Attendre une hypothétique meilleure santé... mais alors je ne voudrai peut-être pas prendre le risque de me flinguer de nouveau... Et vu l’efficacité des vaccins... Mais qui protègent à priori tout de même contre les formes les plus graves de la maladie. « Pourquoi veux-tu [au sens de « crains-tu de »] l’attraper [la Covid] ?? », m’a sorti Sophie ma moutonne [enculée (16 464 mots sur ce) en français : micronutritionniste]. Pour me déclarer dans la foulée qu’elle l’avait chopée ! Dans un bus, à... Nice ! Elle n’est pas non plus vaccinée, souffrant quant à elle d’une insuffisance hépatique. Elle n’a été que peu malade. Les effets du vaccin, de la maladie, sur les gens atteints de certaines « fragilités » (hors diabètes et autres « comorbidités » de ce genre, pour lesquelles il n’y a apparemment pas trop photo) : ça reste un mystère. C’est la roulette... russe ! [105] Elle m’a dit : « Regarde (quelque-chose comme « après toutes les épreuves que tu as traversées »), et les amibes que tu as attrapées au Rwanda, t’es toujours là ! » La question que je me pose en tutu (non ce n’est pas ma nouvelle habitude vestimentaire – la vie est suffisamment compliquée ; ça veut dire : en tout état de cause), c’est comment, dans ces conditions, reprendre une vie normale... Venir vous voir toutes et toutes... pas tant que je serai aussi mal qu’en ce moment de toute façon... 21:02 qramé popote (c’est pour ma gouverne) [c’est le premier rallumage]. C’est la joie tout ça y a pas à dire. Nous tâcherons tout de même de garder le moral, n’est-ce pas ? Quoi d’autre à faire, hein, les loulous ? Bisous.

L’heure le soir qadja mina[106] pour regarder une émission : 22h13. À l’image du différé : 12:00. Je passe presque immédiatement à un autre replay : le Merluche. Sous la roche... euh... l’anguille... euh... sous lui, quoi, sur le bandeau des infos qui défilent en bas de l’écran : « 21 personnes contaminées par le virus de la variole du singe. » 21 ne fais pas trop le guignol, la simili sync Covid-variole ça n’est pas très drôle. Doigtage de pavé pour mettre, à l’aide du curseur, l’interview un peu en arrière : je l’arrête, saqu culé bisû[107], à 42:21. Au tour de France Info de doublevintéuner et de trentedeualenvèréalendroiter : je constate que j’avais interrompu l’écoute d’une tranche d’informations de 2:14:27 (2 heures, 14 minutes et 27 secondes), quand je la reprends, à 23:25:21. Branchement plus tard sur la quotidienne « Télématin » de France 2 laissée à 21 minutes de la fin du programme.

Dans Bel-Ami, Bel-Ami devient Bel-Ami page 102 (deux lignes après la... 115) :

L’enfant parut, s’arrêta interdite, puis courut vers Duroy en battant des mains, transportée de plaisir en l’apercevant, et elle cria : « Ah ! Bel-Ami ! »
Mme de Marelle [sa mère] se mit à rire :
« Tiens ! Bel-Ami ! Laurine vous a baptisé ! C’est un bon petit nom d’amitié pour vous, ça ; moi aussi je vous appellerai Bel-Ami ! »

Hésiflexion sur comment que j’introduis Bibi. Regardage d’heure estonie : 21h41. Tof[108] le 41, qui dans le mouvement de la narration confirme la dynamique de la série 11-21-31 en nous invitant à la poursuivre ! Excellente intervention, et contribution, bien que nous soyons (pour l’instant) sur les dizaines en 1 des mois.

C’est qui Bibi ? C’est moi. C’est n’importe qui, qui qu’on veut, qui qui veut l’être, qui qu’en a envie, en vertu de l’expression : « C’est qui qui (a fait ci ou ça) ? C’est Bibi ! » Sous-entendu : « C’est moi » ! Mais quel Bibi plus légitime qu’un Xabi ? Je ne me prive pas de me bibiser, de bi... euh... ci, de là, dans mes écrits. Et Guy, après avoir bellement vintéuné ni plus ni moins que son Bel-Ami, dans sa toutpie appari (oui, ça se dit, si on diminie), alafoilevintéunéletrentéunbienkalenvérise un Bibi !!! Ainsi, page cent-vingt-tri (oui, ça se dit, si on anglicisie) : « Une gaieté s’éleva dans le groupe qui l’entourait [la meuf de Bel-Ami, verte de gris, descendue d’un fiacre où elle le plante paskeu furax pask’y l’a trompée avec une tepu des Folies Bergères où ils l’avait emmenée et qui l’a vendu, des badauds tout excités à la vue de la scène s’étant autour d’elle attroupés]. Un monsieur dit : “Bravo, la petite !” », et un jeune voyou [...] : “Bonjour Bibi !”. » Nobapa sur Bibi, où l’on est cependant instruit de ce qu’à la fin du XIXème siècle à Paris ça n’est pas qui qui veut mais les femmes ou les enfants, uniquement, qui peuvent être dits Bibi.

Tout ça c’était le 29. Ce que j’écriclare à... 22h11. Le 30. Suminu je récupère dans les brouillons de ma bourre-trique[109] l’épisode telpotapoté à l’extérieur. Coolage[110] dans un fichier vierge afin tout d’abord de bitverlagaucher les petites bites toutes raides : les apostrophes ainsi fagolement désignées, déculées (extraites de leur cul), sortent toutes droites. Je les fioncrace pour les courber, puis je coole le texte dans mon pas-faf fichier (mon fichier Sync sur Sync : pas le droit de le S-S-iser). Combien, verlagauchées ? 30.

((Tiens, le passage des bitettes c’est à partir des bananettes.)) Sortons plus tard, nous sommes encore à la maison. Je mate deux-trois maouazas, dont un retour suite à ma commande de ventilateur : il m’en faudra un, à Montréal-en-Bourgogne. Au gîte. Pour de très valables raisons en rapport avec patita. Si j’arrive jusqu’à là-bas. J’aperçois l’heure sur mon telpo, 9h49, et son tadar, de 99 %. Je sèche deux secondes, mon regard bifurque : les heures-minutes-seconde en bas à gauche de l’écran d’un replay à gauche de mon fichier en sont à 00:02:23...

Maouaza 2 hallucinant, dans cette Synchiotte de l’enculage de ma « vie entièrement tronquée » : « J’espère que tu vis ta vie pleinement ». Réponse de ma part modorreurante.

Sortage. Kontvisit contech finale express pour mon pare-brise détoildarégnésé pour juste que me soit remis le rapport définitif. Étape démannoéxabicartegrisation de la voiture également finale.

Arrêt carogettes. Pas vrai. Bananettes. J’ai besoin de monnaie. Pour chier. Au bas mot déballer. Mais non, Telpo ! Tu parles d’un cadeau. DéBUller. Tu sais pas skeu c’est ? Eh bé t’as qu’à imaginer. Aux chiottes de Gozyé. Parking de la plage de La Datcha. À l’entrée.

Telpo : Une datcha tu sais ce que c’est ?

Bon sang mais oui, je sais ! Mais ça n’est pas le sujet.

Je croyais qu’il fallait une pièce de deux euros, pour ces toilettes automatiques. En fait c’est gratuit, il suffit d’appuyer sur le bouton. Pour entrer. Et pour ressortir. « La porte va s’ouvrir », annonce la voix. Mais à la sortie elle ne s’ouvre pas. Je rappuie. Elle ne s’ouvre toujours pas. Je rerappuie. Je découvre la clostrophobie, ou plutôt la redécouvre, c’est la deuxième fois de ma vie. La première fois c’était à Paris, dans un ascenseur tout riquiqui. Bruit de moteur. Double flip, celui de mourir aspergé de produits chimiques et asphyxié. L’idée m’a véritablement traversé l’esprit que c’était peut-être là, comme ça, que j’allais mourir. Mourir pourquoi mais non, pas comme ça ! J’ai mis un coup de pied dans le bouton rouge de secours au bas de la cloison perpendiculaire à celle de la porte, et me suis mis à tambouriner contre celle-ci. La voix avait parlé une fois, à ma première pression, puis s’était tue, puis là en même que celle d’un homme à l’extérieur elle a de nouveau retenti, et la porte s’est ouvrie. Un homme était là. D’où était-il sorti en si peu de temps celui-là ? Il n’avait jamais vu ça. Le flux de merde ! Journée karma caca.

Lointaine visite antérieure de mon salo trou-le-gol[111], dont je l’honore aujourd’hui.

Maouazas :

Entrant 1 : « Tu vas te geler avec un ventilateur. »

Sortant : « Me geler, moi ? Trop chaud le gars. (Smiley langtirajpoufaj) »

Déplacement mental du récit de l’instant Bibi. C’est ici que je lis, docho, ces lignes de Guy. Sont chauds Bibi & Bibi.

Entrant 2 (suite de... sucem morabnodem baduf : page 32 sur 34, 17 969 mots... vie pleine/tronquée) : « Comment te dire que moi non plus ça ne va pas ? » PJ image d’un Penseur à la Rodin noir et ce commentaire : « La vie : c’est comme la boxe, il faut apprendre à encaisser les coups, et à vivre avec des cicatrices. » Heure de réception : 11:21. Nopapa et le 21. C’est dingue.

Entrant 3 : « Pamoncul rigolote : 412 ANS 69 » [69 mon anisse[112] ; et 9, outre mon top chira, et c’est mon top chira entre autres pour ça, le 9 de mon mois]

Sortant : « Ouah cette 21-pamoncul !!! Avec cette indication de « longévité » ??... Suivie du 69... Aujourd’hui surtout... Où j’ai même cru mourir dans les toilettes... tu sais les fameuses à Gozyé... Ce sera peut-être dans une... un peu sombre Sync...

Repassage à la maison.

Bel-Ami page 133 :

Bel-Ami en personne : « Je n’envisagerais jamais le mérite, toujours contestable, des candidats [à l’Académie française], mais leur âge et leur santé. Je ne demanderais point leurs titres, mais leur mal. Je ne chercherais point s’ils ont fait une traduction rimée de Lope de Vega, mais j’aurais soin de m’informer de l’état de leur foie [...] ». 18 120 mots à mon fichier sur çuilà.

Vega a lui aussi droit à sa nobapa, qui dans une parenthèse précise ses anisse et... année de mort. En modoupaïen je n’ai pas... Ane-mor ? Allez, ane-mor. Parenthèse dans laquelle nous sont donc fournies anisse et ane-mor : 1562-1635. Systématiquement je calcule, combien d’années qu’il ou elle a vécu Trucmuche ou Tartampionne.

Juste rigolote ta pamoncul ma Sarah ? Sarah l’auteure du maouaza pour ne la nommer pas. Faut dire qu’à force de s’extamerveillultationner elle aussi...

Écripausage. J’attrape Telpo et la peau de gâteau... Haha. Le sachet plastique de délicieux petits biscuits, des « dentelles de fruits » dont j’avais découvert une première sorte l’année dernière chez « mon » (un de mes deux) primeur(s) de Gozyé. Telpotage é papoton, elta 17:17 qramé popote. Ce qu’en dit l’étiquette :

Sans gluten, sans sucre ajouté, sans additif chimique. Ingrédients : coco, banane, cannelle. Allergène : ne contient ni œuf, ni lait. Produits ManaPéyi. 97 180 Sainte-Anne. Tél. : 0690 213 773. 12 biscuits (50 gr.).

Tout est dit. (Avant le jeditou qui suit.) Sur les dentelles 2. Découverte des D1 : c’était chez le primeur 1. Découverte des D2 : chez le primeur... ah mais si, 1 aussi. J’achète des D1 tantôt chez le P1 tantôt chez le P2. Les D2, chez le P1, le jour où jes ai achetées, il n’y en avait que 2 malheureux petits paquets. J’ai demandé à la vendeuse mais pourquoi que comment que z’en n’avez que 2 ? Elle m’a répondu que je n’avais qu’à téléphoner au numéro de téléphone indiqué sur le sachet. Ce que j’ai fait, paskeu pour 1 des 2 parfums des D2, la mangue, le biscuit est vraiment très pas sucré, limite ça n’a pas de goût cette m... mais c’est en réalité très intéressant, pask’ idéal pour un colopathe kon Bibi, et en cherchant bien ça n’est pas si mauvais. Ça pourrait me faire mon dessert, dans le cadre du nouveau « régime » envisagé. Chez Vanessa. À... Montréal ! (Faisons comme si je n’avais pas déjà précisé où ça se situait.) Ouais, ça va faire deux ans et demi qu’à part deux mois, début 2021, de Paris, Nice et Lyon (de même pas Euskadi – première fois de ma vie que je retourne en France sans y aller – j’étais encore très en forme !), je n’ai quasiment pas dépassé un périmètre de cinq ou dix kilomètres, alors hé, ho, hein. Hé, ho, hein rien. Montréal c’est le bled de Vancouver... Ha ! Telpo ! J’ai dit « bled », d’abord, et Montvanrécoualver on n’a pas encore inventé. Montréal c’est un tout petit petit bled, le bled de Va-NESSA, qui compte... 210 habitants-tantes !!! Nooon. Je l’ai déjà faite celle-là. C’est environ deux cents, même pas tout à fait. Et ça n’est pas au Québec mais... en Bourgogne !

Avant d’heurmiroirqramépopoter, sur « Gozyé », c’est à 17h13 qu’au moment d’appeler le dentelleur j’avais qramépopoté. Besoin de mes explications, pour s’extamerveillultationner, sur ce qramé-popotage, au vu du numéro de téléphone portable, et sur ce dernier ? Yenki (« yinki » : rien que) le 213 !!!... Écrit de cette manière, alors que les numéros de téléphone le sont le plus souvent par deux ! Les 21 et 31 ici Rois Hiryottiens, Figures de ma 21-31-Atonique, qui se mélangent, se marient, s’accouplent... le 69 de notre indicatif local que je jélique, en même temps qu’il s’inscrit tout aussi merveilleusement dans le flux hiryottien et, en l’espèce, 412-ANS-69-ien.

À force de s’extamerveillultationner, ma Sarah, elle ne l’a donques que cérigoloté la Pamoncul 412 ANS 69. Elle ne pouvait pas non plus se douter de ce qui suivrait (18 721 mots ici). Aurait-elle dû ? De ce qui se passerait encore des choses pas possiiiiibles !!!!! Telpotage é papoton, elta 21h12 qramé popote !!!!!!!! (Ah ouais là je neufpoindexclamationnise - il faudrait que je modoupaïnise ça).

Angelu ((...))

La nature de Son Intervention s’est perdue dans les Limbes de l’Univers.

Des choses pas possibles.

Angelu : « Des cha-sosis.

— Ah ! C’était ça ! « Cha-sosis » c’est joli ! Miaou Angelu !!! »

Des cha-sosis. Du repamonculage à fond les bolides. Les Amamonculs du 1er novembre 2021 c’était avec eeeeeeeeelle !!!!!!!!! Oui, je le dis ! Je dis tooooooooouuuuuuuuut !!!!!!!!! Avec l’assentiment de Madame. Kèstu fais mystère que les Amamonculs i tou c’était ansanm ansanm ? m’a-t-elle encurrogé. Je dis tooooooooouuuuuuuuut !!!!!!!!! Que nous vivons ansanm ansanm la plus grande et belle des amitiés, doublée d’une fantabuleuse aventure modoupaéannexienne, depuis que nous nous sommes retrouvé-vée, à l’occasion de l’amour... Telpo t’es pas possible !!!... à l’occasion de la BestAmaXab[113], la méga-teuf de mes 50 ans, en novembre 2019, Euskal Herrian[114]. Deux autres Grons[115] ansanm ansanm, au mariage de nos ami-mie Amaia et Kiki, et aux 40 ans de Sandrine on dòt chteuneue[116]...

Telpotage é papoton, elta 18h18 qramé popote. Double 81 qu’est l’âge qu’Ama a mouru à l’envers.

Par-dessus le marché des fachos me coupent. Dans le Gron de la narration de mes dernières Gratouilles</ref>Grandes Retrouvailles</ref> avec Sarah et de notre amitié. Leur camionnette-campagne déboule alors que je suis installé à un salo à Sentann[117].

Sarah et moi nous sommes primogratouillée-yé au Gron MariAmaKi puis regratouillée-yé au Gron Sansan-40-Ans... après avoir été amanmoureufolfous il y a... 31 ans !!!!!!!!!

Angelu : « Tu tiftires pas un peu ? »

— Non Monsieur. J’ai hésité un instant, raison pour laquelle j’ai tiftiranguéloué...

— En bon français, pour laquelle tu m’as fait te demander si tu ne tiftirais pas un peu...

— Oui c’est ce que ça veut dire...

— Arrête on va croire que c’est pas moi qui dis...

— Haha. C’était au cours de l’année universitaire 1990-1991. 31 ans : c’est exactement ça !!!! Ma, ma, ma, la synchro de malade ecnos du cosmos entre nous.

Et ansanm ansanm, en Gwadoup, c’est toute la Dinguissime Édition 21-ToussaintAma que nous avons vécue. Jusqu’à la Bougie Pour Elle à Mon Temple Abra et à l’Étoile Filante. Nous avons AnsanmToussaintAmaé, Sarah, moi, ET Ama ! Elle était là. Elle s’est manifestée tout au long de la journée, jusqu’en la Cérémonie Nocturne.

Telpotage é papoton, elta 21h41 qramé popote.

Ansanm ansanm nous avons sans le savoir, pour la Science et l’Humanité, accompli le Test de l’Établissement de la Preuve de la RÉALITÉ du Phénomène des Synchronicités. Je ne le cinqèse pas en Phénomèèèèène cette fois : c’est tout ce qu’il y a de plus SÉRIEUX. Ce Phénomène pour lequel je m’automoque, de temps à autres, dans mes récits, depuis deux ans et demi, par souci de ne pas apparaître plus dingo-le-canidé-comme-Bibi que je ne le suis. Je ne savais pas que j’en dresserais le constat, en cette Sync-31 aux senteurs de Grogue[118], aux allures de Gilou[119], celle-ci faisant suite à sa Prédécesseure Vinténunienne, où transparaît cette notion. Nous y voilà, au Constat. Non qu’il ne fût possible dans bien d’autres instances. Qualifions néanmoins celle-là de particulièrement... probante.

« Probant » le vingt-trois-mille-untévinien mot, danupag, de mon fichier.

Grande instance car Grande Témoin, notamment, dont j’ai joui de la présence. Disons-la Témoine, fagolement, car "une témoin", mascfèmement, écriturinclusivement, fémininistement parlant, eût été acceptable. Fagolons, fagolons, Ma Gatine (modoupaïanisons-la), synchromoine(soldadat)ons-nous. Ma Gatine pourrait donc attester de ce que tous ces Chier-durs ToussaintAmaïens, sur routes et parkings, ça ne s’est produit que ce jour-là. Elle m’a notamment écrit, peu après son séjour d’une dizaine de jours à... cheval entre fin octobre et début novembre 2021, que sur un assez long trajet accompli par elle en compagnie de ses deux enfants qu’à aucun moment Jeannette Renard de ses initiales ou de son âge ne l’avait pamonculée.

DiBouPa[120] : « Ça te prend souvent ? »

Bibi : « Non. Mais l’expérience était exceptionnelle. Je n’en oublie pas pour autant notre maxime toutirixienne. »

DiBouPa : « Ne concluons à rien. Si ce n’est que rien n’est balayable d’un revers de main.

— Quelle découverte !

— Et le Père Einstein ? La physique quantique ? Tu oublies ? Relativement à la capacité des atomes à communiquer entre eux quelle que soit leur éloignement les uns des autres dans l’Univers. Tout être humain est potentiellement doué de pouvoirs infinis. De là à les maîtriser... »

J’ai envie d’user d’une parabole. Au cas où la réception ne serait pas satisfaisante, de la conférence rachotte (anciennement fachotte) audio. Au cas où mes tympans n’auraient pas leur compte. Ils l’ont eu ! Dès le débarquement en fanfares de la camcam sous mon nez, quand elle a stoppé au passage pour piétons perpendiculaire à mon salo de la terrassette de la boulangerie à l’angle...

(Telpotage é papoton, elta... 15h21 qramé popote. Ce QP, par exemple, ne compte pas. PQ [parce que] trop de pauses, en un instant historique le 5 juin. Aha...)

... de la ruelle menant à la plage du bourg de Sentann. Zeu tchécoslovaque. Non Telpo, on parle parti raciste. Zeu tchoc. Telpo : « Mais c’est quoi, ça, tchoc ?! » Oh, hé, hein, bon. Sono à fond, tour à tour slogan musical, le pire car invitant gaiement à voter pour le parti, dont le nom chanté ponctue chaque diffusion. La camcam redémarre, mais le calvaire ne va plus cesser. Tandis que je telpotapote l’insupportable bruit – il l’est quel que soit le parti, alors vu le parti... – se poursuit.

Je suis obligé de rester. J’attends le dentelleur. Je l’ai perdu... après l’avoir rencardé sur le parking du Leclerc de Dunoyer, à mi-chemin entre chez moi et Sentann à peu près. (Celui de mon quartier, depuis le déluge du 30 avril, où il avait été dévasté, plus d’un mois après, est toujours fermé.)

Chez moi en fin de matinée quand j’ai saisi mon telpo pour tchéquer un maouaza son tadar était de 31 %. J’ai allumé mon ordinateur à... 15h31, heure à laquelle mon dealer de biscuits m’a alors appelé pour me donner rendez-vous...

Éliel – miracle je me souviens de son prénom, du premier coup c’est rarissime, mais je lui ai fait répéter, et l’ai moi-même dit deux ou trois afin de m’assurer que je le prononçais correctement, et parce qu’il est original et joli comme je lui ai dit... Éliel et moi donc nous sommes ensuite voitissuivis (sa xabien pa kréyol), jisk Sentann...

Halte sur le chemin du récit – un dans la vraie vie suit – pour photographier cette joyité : « sa xabien ». « Sa » + le nom ou l’adjectif, an kréyol = « c’est... ». Sa bel = c’est beau. Sa xabien = c’est du xabien. Joyité avec « SaXa », où nous sommes dans du basque toutefois, dans de la « Sa » mouillée, si je puis dire, de la « cha » (le « s mouillé » est un quasi « cheu »). An kréyol notre « sa » est sec. « Sa » et « sec », justement : le « s » est le même.

Jisk (sa kréyol) Sentann nous avons repris la route, ansanm ansanm, afin que je tirasse de l’argent pour régler les 56 € de mon achat... Je l’écris ainsi car le montant et sa monnaie m’apparaissent sous les yeux pendant que je recopie ce passage rédigé dans l’avion au stylo sur les trois quarts de l’espace vierge du verso d’une facture ! 56 € les 16 paquets de D1 (j’en avais commandé 30 mais monsieur n’en avait pas davantage en stock) et les 12 paquets de D2. Les trois guichets automatiques de mon supermarché et de ses à-côtés étant HS, je n’avais pas pu me procurer de cash. Dans mes rêves (je savais très bien que ça n’était pas le cas), j’ai songé en trouver un à Magaya, on loin du Leclerc, où habite Manno. Rien de tel à cet endroit. Je me suis arrêté au bord de la route. Éliel était juste derrière moi. Je m’étais même déjà arrêté afin de laisser passer une voiture entre nous deux et de m’assurer qu’il me suivait bien. Le pauvre qu’est-ce qu’il n’est pas dégourdi.

Je ne suis plus parvenu à le joindre. Je lui ai finalement texté que je l’attendrais à la boulangerie de Sentann, raison pour laquelle en vrai je n’étais pas coincé à devoir écouter les discours débilissimes des descendants d’esclaves alliés aux bruns. J’y squattais en effet depuis suffisamment de temps, sachant de toute manière qu’Éliel ne m’avait plus donné signe de vie. La transaction, en fin de compte, aura lieu par virement. Mon séjour post-camcam-débakman à la terrasse de la boulangerie n’a duré que quelque vingt minutes de plus.

Pardon tout à l’heure j’ai confondu parabole et antenne parabolique. J’ai envie d’user d’une parabole, pas d’utiliser une antenne parabolique. D’une parabole pour l’hallucinant mélange des moments. Du Moment SaXa, Sarah-Xabi, d’une part. Prononcer « chacha ». Cracra[121] ces deux cheus dont aucun ne s’écrit cheu. Ce sont les deux cheus basques. Le « s » mouillé et le cheu franco de port. Sarah avec son « s » c’est la poule (mouillée), moi je suis le porc (port). Deux animaux très intelligents il paraît.

Du moment innomable d’autre part. La parabole sera la plage de Sentann – inutile d’en dire la jolité – qu’un tsunami de boue envahirait tout d’un coup.

Upu lulu jacta, au JT de France 3, trois plages de Gwadloup ont été citées en tant que lauréates parmi les dix plus belles plages « de France » sélectionnées sur Internet ! La Grande-Anse et la Perle, toutes deux dans la commune de Déhé[122], dans le nord-ouest de Bastè, et Petite-Terre, un îlet au large de Senfwansa[123], dans le nord-est de Granntè[124]. Trois petits bijous. Les trois plus belles plages de Gwadloup : je valide. Un cran au-dessus des deux autres peut-être : Petite-Terre, perdue au milieu de l’océan, son lagon, ses requins citrons...

J’ai regagné ma voiture garée à quelques dizaines de mètres. Il faudra vraiment qu’un jour j’établisse un classement de mes synchros et parasynchros les plus incroyables. Voire un tableau récapitulatif, que l’on se rende bien compte. La Sync SaXa/caca bouda, ça, ne serait pas dans le bas. La Sync qui suit est Numéro Une d’au moins une catégorie : celle des plus dingues provocations du destin. Une « Lalu-sur-totem »[125] serait exagéré ? Toujours est-il que La Diva m’y a mené. Je cherchais cette esmoupe, j’ai convoqué La Diva[126] (un peu plus bas), j’ai constaté, grand diable, qu’elle était absente tant du Gaga-mou-frais que du Glaire-mou-de-synus, dans l’un et l’autre je me suis empressé de réparer cet inouïbli, et ielle était là, mon-ma Lalu, dans le Glaire-mou-de-synus, devant la place qui à La Divina revenait et que depuis longtemps elle aurait dû occuper. Une Lalu pour ma Sync, exagéré japa, mais l’hallu là, là.

Les A : « Même nous la rima bouda, au vu de l’objet concerné, nous n’aurions pas osé. »

Pas plus surréaliste que sur la route croiser un chameau, opinais-je plus haut. Me voilà de nouveau à mélanger le laid et le beau. En ce samedi 4 juin 2022, la veille du 5 historique (aha !...), à Sentann, le très laid m’a cerné. J’ai retrouvé ma voiture, où je l’avais garée, entre une camcam Racho devant et une camcam Racho derrière. 2 4x4 d’ailleurs plutôt. Là où je ne la gare jamais !!! À Sentann toutes les places de stationnement des deux côtés de la nationale qui longe le front de mer sont toujours occupées. Au niveau de la boulangerie, je prends systématiquement une route sur la gauche vers la partie résidentielle en direction de l’intérieur des terres où sans difficulté je trouve à me garer.

Il est peu de dire qu’en découvrant la scène je bouillonnais. J’aurais presque pu entendre Titine me crier : « Xabi, t’as vu ça ???!!! Sors-moi de là !!! » Les haut-parleurs continuaient de gueuler. Le pickup à l’arrière de Titine était vide. Un Gwadloupéyen, la soixantaine, se tenait debout sur le trottoir, se donnant la constance qu’il pouvait, le pauvre, qui au fond de lui-même devait se sentir bien mal à l’aise, en se dandinouillant sur la musique du slogan qui passait en boucle, son téléphone portable en main sur lequel il ne devait véritablement rien avoir à consulter. Je n’ai pas tout de suite été certain de ce qu’il s’agissait de l’homme de la camcamcaca, puis le jaugeant tout en commençant à ouvrir la portière de ma voiture j’ai remarqué la présence sur la partie supérieure droite de son tee-shirt noir de la photo en tout petit de l’affiche de campagne comportant la gueule de l’affreuse et de son ou sa candidat-date, je n’ai pas bien vu, et on s’en tape.

Ne pas laisser passer. C’est ce à quoi je m’efforce, ainsi que je le raconte ailleurs, lorsque par exemple des propos racistes sont tenus en ma présence. Ou lorsqu’en 2003 je croise un couple d’États-unien-nienne sur une plage à Saint-Martin en maillots de bain aux couleurs du drapeau de leur pays peu après que leur armée a massacré des centaines de milliers d’Irakiens-kiennes. Dans le cas présent, me dirigeant vers l’homme sur le trottoir, quand il a levé le regard, dans ma direction, esquissant un sourire (il n’allait pas être déçu), je lui ai à moitié hurlé dans l’oreille à cause du raffut...

Le « magnifique » 666 à cet instant ! Un 666+ : ce ne sont pas trois, mais quatre 6 que je vois. Le 6 n° 1 : l’heure que je regarde, estonie, à ma place 9D, dans l’avion... pour Paris ! L’instant historique du QP c’était ça : mon départ pour la France pour la première fois depuis un an et demi. Il est 00h16. Du moins en Gwadloup, l’heure sur laquelle mon ordinateur est réglé, mais moins une car il avance toujours d’une heure. Les 6 n° 2 & 3 : la date, au-dessus de l’heure, le 06/06. Le 6 n° 4 : un 6 dans un petit rond à l’angle d’une icône « messages » (non lus).

Sucem morabnodem baduf : 25 110 mots. C’est un sucem spécial Sarah, un sucem date de son arrivée en Gwada, le 25/10 (2021). Auquel – vu le contexte on ne s’en étonnera pas – se mêle le 11-nopapa.

Contexte triplessissien+. Mon hurlement à l’oreille du fafcampagneur :

— Vos ancêtes esclaves doivent vraiment se retourner dans leurs tombes !!!

Instant colère noire, furie que ma remarque, ainsi que je l’escomptais, a instantanément provoquée chez lui. Ah il n’a pas peur, le Blanc, d’aller à la baston (verbale) avec un Gwadloupéyen ! Ce n’était pas sans une certaine appréhension, encore que – plus renversant mondalenvérisme tu meurs ! –, c’est moi précisément, dans l’affaire, qui ai endossé le rôle de défenseur de l’intégrité morale de son peuple !!! C’était chaud, chaud, chaud... Je me suis gardé pour ma part du moindre ton rageur ou haineux, évitant de verser, plus que de nécessaire, de l’huile sur le feu, et c’est dans un rire que je lui ai déclaré tout en retournant à ma voiture, exécutant en même temps le geste pas-vu-ça-n’existe-pas (cette triste réalité) des mains qui balayent le visage de haut en bas : « On aura vraiment tout vu, dans ce pauvre monde ! » Doigt et crachas (oui, tout de même) en direction des deux faces de ratte ou rat-ratte... pardon les rats-rattes...

Les rats-rattes : « Trouve autre chose ! Rat féniant. »

... les deux faces sur l’affiche électorale à l’avant de la camcam qui serrait Titine par derrière. Et quoi à la télé à sta oapa [127], à mon appart’hôtel de Clichy le 07/06 à... vysir[128]... quelle heure ?... 10h11 !... la face de la Ra(cho)tte !!!... Dans son clip de campagne des législatives.

Crachas en retour, vers moi, du Gwadloupéyen. Quand je lui ai tourné le dos, le temps que je regagne ma voiture, deux comparses (une féminine et un masculin, un peu et nettement plus jeunes respectivement) l’avaient rejoint, attirée-ré, je suppose, par l’esclandre, depuis l’intérieur de leur pickup de devant. « Qu’est-ce qu’il y a ? », ai-je entendu la fafcampagnette demander au G1 en ouvrant ma portière. « Fascistes », l’ai-je entendu répondre dans une phrase dont je n’ai pas perçu les autres mots. Des « fascistes », oui, n’ai-je pas manqué de lui rappeler que ce sont, les responsables politiques en question. Monsieur : « Ils sont TOUS [Macron, Mélenchon...] fascistes ! » Moi : « OK [« consentant » à « entendre » ses arguments...], et pour lutter contre des fascistes vous vous ralliez à des encore plus fascistes ! »

La fafcampagneuse, le pied droit sur le trottoir, l’autre sur la route, s’est juste à moitié tournée vers moi, m’adressant dans la moue et le geste de la main correspondants, un « mais oui, c’est ça ». Le G2 est demeuré impassible, dans la posture telpo dans une main que je feins de consulter, et aux lèvres un sourire aux couleurs d’un assortiment de pas particulièrement grande fierté de la bannière brandie (ç’eut été dans ce pays il n’y pas longtemps encore totalement inimaginable) et de conscience, quelque part (à l’instar de ses deux collègues), de ce que l’Histoire de « mon » pays et continent est lourde d’un certain passé, conscience de ma conscience, et de ce que fascisme veut dire.

Œuvre de salut public, ça s’appelle. J’en suis très fier, et heureux. Mes zanmi gwadloupéyen-yèn : la tempête que j’ai déclenché chez celleux-là (le fafcampagneur en chef surtout) ne sera pas, j’en suis certain, sans faire quelques vagues... dans leurs crânes... Ce mot, « fascistes » (ce que les Rachots-chottes parviennent « merveilleusement » à faire oublier qu’ielles sont) : comment dans leurs esprits aussi pourrait-il ne pas salement résonner ?!

Du rire, de l’humour, quelqu’un ? Toujours le 07/06, je descends de mon apparthôtellement prendre un café au distributeur de la salle de réception et de petit-déj pour le boire et cloper, dans le patio, dans le soleil qui perce péniblement à travers un ciel encombré. Mon appartement : le 303. Lolo m’a enculé en Gwadloup pour la première fois depuis assez longtemps pour me demander si je rentrais cet été... la veille de mon départ !!! L’heure de réception de son cul : 03:03. Appartement 303 de fond de couloir. Sur le mur perpendiculaire à ma porte un extincteur. Son numéro : le 021.

Vous avez demandé de l’humour ? Demandez-moi du sucre. Ne m’a pas demandé l’employée de l’Appart’City, une Noire (de circonstance, « à la sortie » de Sentann), à laquelle j’ai quémandé du sucre pour mon café. Elle s’afférait à sa mise en place des tables de la salle à manger. « Y en a sur toutes les tables ! », a-t-elle, gentiment moqueuse, rétorqué. « À moins que vous ne vouliez un sucre spécial », a-t-elle ajouté.

— Oui ! C’est ça ! J’ai besoin d’un sucre très spécial !

— D’accord ! Je vais aller demander à Macron ! Qui demandera à Brigitte !

— Oui, Brigitte ! Très important l’avis de Brigitte !

Elle est drôle cette petite ! Qu’est-ce qu’ielles sont sympas ici ! C’est bien simple c’est partout où je vais. Ma mama souri.[129] Loin de là ! Et le chef, à la réception ! Il est a-do-rable. Im-pay-able. « Ah non mais il est à fond ! Il est incroyable ! », me suis-je exclamé hier à l’adresse de deux dames qu’il venait, comme tout le monde, de gratifier de sa joie et de sa bonne humeur, qui leur avaient inspiré cette réflexion : « Vous êtes dynamique, vous ! » Je l’ai complimenté, et il m’a dit : « Vous savez, Monsieur Renard, je suis né comme ça. Quand je suis sorti du ventre de ma mère, j’étais... » Il a mimé un sourire jusqu’aux oreilles. « Vous n’avez pas pleuré, vous avez éclaté de rire ! » « C’est dans le sang », a-t-il conclu. De la plus belle espèce. Le Sang de la Vie. De la Joie.

Le Triple Neuf de la Vie. De la Joie. Pour me beaume-au-cœurer La Diva n’a pas attendu Clichy. À Sentann, quand Titine et moi nous sommes enfin sortie-ti des griffes des pickups fardés des faces de faf-faffe, quelles mutardes[130], par le truchement de la première congénère de ma transporteuse sur le début de trajet devant nous Elle nous a 999-XA-pamonculée-lé.

Halte sur le bas-côté, pendant que dans ma tête j’élabore mon timing d’avant le Gépar[131], afin de vérifier un maouaza de Manno. Je n’avais pas vu celui-là : « Je pars ce soir pour la Thaïlande. » Son deuxième séjour en deux mois pour un stage de massage. Reçu la veille de Paris à 03:09. Le tadar de Telpo est de 18 %. Docho, dans Bel-Ami, mon renard ressort du bois page 169. C’est un Boisrenard (qui dans le présent récit, bien que plus tôt dans le temps, ne surgit que plus tard), dans un départ... pour un duel entre Georges Duroy, auquel il accompagne ce dernier, et un critique de son canard qui l’a accusé de mensonge. Georges a été sommé par son employeur de défendre son honneur et celui de... La Vie Française...

Y a Saint-Potin l’ami de Duroy qui meurt, aussi, aux alentours du 3 juin 2022. Mais Georges li pa mò. Il va pouvoir continuer à jouer au bilboquet. Ouais, l’ami lui a communiqué sa manie.

À ce propos mes personnages de fiction se synquent eux-mêmes ! Le Phénomène n’a AUCUNE limite... Il prend toutes les formes possibles et (in)imaginables. Page 138, « [Duroy] arriva, pour la première fois [à la boula], à faire vingt points de suite. [...]“Bonne journée, pensa-t-il, j’ai tous les succès”. Car l’adresse [à la boula] conférait vraiment une sorte de supériorité, dans les bureaux de La Vie entre parenthèses... euh... française. » Saint-Potin et Duroy. Ils couchent ensemble ou quoi ? Je ne sais pourquoi en les écricouplant des images du film de pédés que j’ai regardé la veille au soir me reviennent. Pour ce qui est de cette nouvelle formule, ça n’est pas grossier, c’est même extrêmement fin, ce dont l’on ne peut toutefois se rendre compte que si l’on lit l’H-21. Le film c’était « Été 85 », de François Ozon. Bouleversant. Plusieurs scènes m’ont retourné, me renvoyant à la mort... de mon couple avec Manno. La mort dans « Été 85 », d’un tragique sans commune mesure, c’est celle de David l’« ami-amant » (me dit Mouchinet) d’Alex. Ma divagation a pour but de traduire le iablotisme-l’air-de-rien[132]... il est 22h22 !!!... de ce que Duroy imite son ami, en se payant un 13 lui aussi. Sa « bonne journée » débute (seule bouboule... euh... bobonne... euh... bonne s’y trouve) à la ligne 413 du chapitre.

Le 8. Il est... vysir... quelle heure ?... 11h47. Nopapa et total de 13. À moi les petites Anglaises ? Justement je reviens de cafcloper au soleil dans le patio de mon Appart’City de Clichy. « Par ici la monnaie » : c’est l’humour (c’est écrit ainsi)... du distributeur de boissons. Qui me la prend, ma monnaie, mais ne me donne pas de gobelet. Le liquide coule dans le vide. Réclamation auprès de la copine du président. À sa machine elle me sert un autre café. Et le président, elle l’a appelé ? en profité-je pour lui demander. Non, ma commande, ainsi qu’elle m’en avise, je ne lui ai pas donnée. C’est vrai. Et son étrange accent, d’où qu’y peut bien venir ? D’où que donques vous êtes originaire, Madame ? Elle est sénégalo-mauritanienne.

Au joyeux réceptionniste à son poste de travail quand je vais pour reprendre les escaliers : « Salut Mister ! À fond la forme ?!

— Ooouuuiii !!! J’ai même pas bu de Redbull.

— Surtout pas, vous allez vous envoler !!!

— La machine à café ne marche pas, y a plus de gobelets...

— J’ai vu ça !... On m’en a servi un autre, il est très bon...

— On vous l’a offert j’espère.

— Ooouuuiii...

J’enchaîne sans autre forme de procédure scientifique sur Sarah et notre maouazatage longévité, dont nous examinons l’Écho des Saravannes dans, ah... Belle Amie, le mâle à présent. L’écho dans son roman, du moins celui de Guy, de Maupassant. Là où je l’ai laissé, au calcul de l’âge du dramaturge et poète espagnol Lope de la Vega.

Sync 21/05, dixit Bibi : « J’ai entenvu quelques années en arrière sur la route à Basse-Terre que je mourrais à soixante-treize ans. »

Présente Sync 31/05, dixit Bibi bis : « Rigolote ta pamoncul ma Sarah ? Ça commence, l’air de rien, et tu te dis “c’est rigolo” »...

Rappel : 4 + mon éternel untévin (12), des ans (ANS) et mon anisse (69). Entre parenthèses Sarah m’a envoyé peu avant Vie entre parenthèse d’un auteur espagnol, Antonio Otero Seco.

« Systématiquement je calcule, combien d’années qu’il ou elle a vécu Trucmuche ou Tartampionne ». Lope est mort à... 73 ans.

Sarah je t’avais prévenu, elle sera un peu sombre cette Hiryotte-là. Georges Duroy, japu quelle page tant pis :

« Je suis comme vous d’ailleurs et j’aime beaucoup lire dans les échos de Paris...

Je le jure – sur la tête de personne, je n’aime pas ça ; devant Dieu : Monsieur je peux ? –, pas le moindre micro-reliquat des échos de Paris ne subsistaient dans mon esprit, le génial jumo (l’« Écho des Saravannes ») m’ayant été soufflé par mon seul génie (« il » [le jumo – en réalité complètement conno me suis-je dit] m’avait moi-même surpris).

Ce qu’il aime lire, dans les échos de Paris, le personnage de Guy :

[La nouvelle du] décès d’un académicien. Je me demande tout de suite : “Qui va le remplacer ?” Et je fais ma liste. C’est un jeu, un petit jeu très gentil auquel on joue dans tous les salons parisiens à chaque trépas d’immortel : “Le jeu de la mort et des quarante vieillards” ».

Sur ce tronçon de route synchronicitique entre 30 et 1er, dans ces non pas pamonculiennes, étoilfilantiennes et autres manifestations – dans un roman c’est plus difficile –, à sa manière, tout aussi honorable, même si nous redescendons d’un cran, à du plus modeste, du plus microttien, Maupassant met du sien.

Telpotage é papoton, elta 22:31 qramé popote.

Sombritude. La Faucheuse. Les Vieilles (Nochiées) en attente de bitage, dans la Sync 21 et d’autres, et celles, dans les Epahd, dont la Mienne (Ama), en âge de crever.

Cette horrible formule n’est pas gratuite. 1992, dans un petit commerce du quartier de Neuhaus, à Strasbourg, où j’effectue mes études. Je suis avec un type, la quarantaine... telpotage é papoton, elta 14h14 qramé popote... pas vraiment un copain, quelqu’un que j’ai connu japu où et comment, genre acariâtre mais rigolo, et dont l’horrible formule qu’il balance à la face d'une... vieille à la caisse du magasin qui l’a énervé (les vieux-vieilles cons-connes on connaît) m’a bien fait rigoler : « C’est pas parce que t’es en âge de crever qu’il faut que tu m’emmerdes ! »

Des vieillards. Qu’est-ce-que ce 23 222 (mots) en bas de mon fichier quand danupag je cherche à les qualifier ? Bel-amiens, guy-georgiens ?

Mzut je les ai déjà cités. Dégagez.

Danqutipasse[133] : « Ne serait-ce pas mon tour ? C’est aux oubliettes, moi, que tu m’as casé.

— Je ne te fais plus aucune confiance. Désolé.

Il est 14h21. Pas de telpopapoqrapopotage, c’est l’heure en haut à gauche de l’écran de Telpo en tout piti-piti qui, de manière inhabituelle, me fait de l’œil. C’est même une syncpremière entre nous Telpeurtoutpitipitie, non ?

Telpeurtoutpitipitie : « Oui.

— Et on est quel jour ?

— Ça n’a pas grande immportindzi.

C’est du telpeurtoutpitipitien.

Le 21, quand la date – le 31 –, était encore connue :

« Je t’emmène au Bal. À ton "Mon Bal" modoupaïen. Je suis né infâme, je sais, le 21 avril 2002. Il y a eu le 21 avril, ile qannée, dans un hôtel à la télé, du Xavier le flic assassiné. Tu aimes tant les flics, tu avais été très touché. Puis le 21 avril 2021 de ton entretien d’embauche en tant que bénévole à la Cimade, l’asso des Amis-mies des Migrants-grantes, à laquelle à ton grand désespoir ta pute mie (dans cette sync noirante je la remploie, l’esmoupe bannie) tu n’as que très peu de temps pu offrir tes services. On sait tout ça. Par conséquent dans tes hiryottes où j’apparais, sara sara[134], je suis un nopapa, un nombre plutôt pas sympa. « Plutôt » monbalesque, tout est là. Pour l’horrible formule j’ai cédé ma place à une heure-miroir, un doublé de mes deux tiers – la 14:14 si l’on veut bien s’en souvenir –, afin de marquer que je ne suis pas toujours pas sympa, lui succédant à la faveur du plus joli syncrenard que tu aies croisé jusque là.

— Tu t’es rattrapé, tu veux dire !

— Comment ça ?

— Quand je suis sorti de ma résidence tout à l’heure pour aller cafcloptelpotaporapiner[135] (et si affinités papoter, garonner...)... Attends, d’abord ça, c’est au chapitre 41 de Modoupa, vlan – et vlan 21 123 mots ! –, mais poco bité (maman cascu lidio) : »

Les astres et leur balance, mon signe astrologique, ont fait de moi un épris de justice. Et de justesse. Côté pile ma capacité de discernement, peut-être, mais côté face l’égo, l’« attente » que l’on ne manque surtout rien de ma si exceptionnelle personne ! À ma décharge, cependant, il s’agirait justement d’atterrir un peu, car les idées préconçues [« Xabi perché » : c’est pas croyable ça ecnos du cosmos, parce que c’est tout un thème de la H-21 !], outre les œillères dont elles sont synonymes, peuvent être source d’erreurs d’appréciation, et empêcher de voir des choses bien utiles ! Exemple : Aita en visite chez moi en Gwada. Je lui prête ma voiture et, avant qu’il ne monte dedans, l’enjoins on ne peut plus expressément à faire preuve de la plus grande prudence, en franchissant la grille de la résidence, en raison de la très mauvaise visibilité au niveau du virage tant de droite que de gauche. Sans compter la vitesse à laquelle, souvent, les voitures déboulent. Les accidents sont réguliers, dans ce quartier – comme dans toute la Gwadloup, au demeurant, dont la mortalité sur la route, proportionnellement à la population, est près de trois fois plus élevée qu’en France ! Manno épi mwen avons obtenu de la mairie de Gozyé, avec force courrier et pétition des riverains-raines, dans le virage de l’entrée de l’hôtel Fleur d’Épée, qu’un mini rond-point soit installé. Psychédélique en plus, avec des lumières bleues clignotantes tout autour, bien que nous n’ayons pas précisé, dans notre commande, ce dernier détail. Le vase avait débordé avec un accident que j’ai eu avec un deux-roues qui m’a coupé dans la route, une spécialité dans ce p... de virage, alors que Bernie, Okis et leur tout petit Maximilien, pour qui j’ai eu très peur, se trouvaient à bord. Mais sans aucun dommage heureusement. Dans les deux virages de part et d’autre de notre résidence également des ralentisseurs seraient nécessaires ! À quand la prochaine pétition ?!
J’ai observé Aita quand il est sorti de la résidence au volant de ma voiture : il s’est avancé jusqu’à la grille, lentement, certes, mais tout juste a-t-il jeté un coup d’œil des deux côtés. Il n’a même pas marqué l’arrêt, et s’est engagé. En palé : il a coupé la route à une voiture qui arrivait, sur sa gauche, dans le fameux angle mort, mais pas trop vite heureusement, et qui a pu s’arrêter à temps. Je me demande s’il n’aurait pas fait plus attention si je ne l’avais pas briefé. Ça a dû le troubler. Il devait être en train de se dire : « Une mise en garde de mon hurluberlu de fils ? On aura tout entendu ! ». La même de Sabine (un exemple au hasard), et il aurait tellement eu à cœur de l’appliquer à la lettre que je suis sûr que son cou se serait allongé et que sa tête serait sortie de ma Dacia pour aller voir, à gauche et à droite, si une voiture ne déboulait pas ou si un chameau n’arrivait pas au galop. Mais je force le trait, et c’était également l’occasion d’un concon, avec le chameau, car il est vrai que l’on voyage beaucoup ici. Et, globalement, ma face de lune ne m’a pas joué d’autres tours, à ce jour, que quelques blessures d’amour propre.

Le 21 : « Tu vas me foutre le presk’accident de ton père sur le dos maintenant ?

— Non mais j’ai commis la même imprudence que lui aujourd’hui, manquant pour la première fois – je fais hyper gaaafe d’habitude !... c’est le plus traitre des angles... morts que je connaisse... –, exactement comme Aita, de m’en prendre une, de caisse dans ma poire. Caisse qui comme dans son cas pas à fond heureusement ne roulait pas. J’ai effectué un petit écart, me suis engagé sur ma voie, non sans un grand signe skizémwen !!! de la main, et sur celle-ci devant moi que voilà-t-y pas : une pamoncul 721 JS. Toi, saligaud, et les initiales de Jeannette et de Sarah !!! Le J c’est aussi le mien. Dans la seule langue à me désixer, l’espagnol, qui me jotate, du « j » de raclure de george... euh... gorge bisû.

— Je t’arrête. Tu vas prétendre que tu as jumojotaté sans voir la phrase qui suit : « J’ai d’abord sollicité le concours de Guy-Georges » ?

— Croix de bois de renard...

— Et tu vas prétendre que tu as jumoboirenardé sans savoir...

Le 1er juin (flash-back éliellien) ala jacta[136] : ding-ding, SMS de mon fournisseur de dentelles : « Je suis désolé je ne peux pas venir au final il est tard. Demain si Dieu le veut certainement ». Je le note car le tadar est alors de... 31 %. Ma réponse à ce branleur de cul-bénit (il faut l’entendre – et ses « si Dieu le veut à tout bout de champ » – assez commun chez les Gwadloupéyen, mais d’un certain âge [il est jeune], les femmes surtout, et pas à ce point) : « Tard, 19h ? Je t’ai attendu, moi, ça n’est pas très sympa. » + « Maintenant c’est demain “si Dieu le veut”, “certainement” : je peux compter sur toi ou pas ? Tu invoques Dieu tout le temps mais c’est d’abord auprès des humains qu’il faut tenir ses engagements ! » Je vais pouvoir me les foutre où je pense, mes dentelles...

Le 21 : « Tu t’es retenu de débiljumotter, en mode “je n’y suis pas allé par quatre chemins”, sous-entendu “je n’ai pas fait dans la dentelle”, y a du progrès.

— Laissons les jumos, cesse de détourner la conversation, et revenons à notre chameau. Poiltirage, or elles sont à peine moins surréalistes, mes apparitions. Les routières notamment, au cul et à la proue des véhicules automobiles. 721 JS. Ce 7, dont jmidi R.A.S., et tu me sors tout un binz sur tes tiers...

Je qramé-popote un 19:19 en vérifiant si l’autre abruti me répondit. Keutchi. Il a tout éteint, et allumé ses cierges. Prière, une soupe et au dodo. Prière quant à moi de m’excuser de n’avoir pas tenu... mon engagement ?... de torcher l’H-31 le 31... Il est... 21h01 !... Et d’y être encore le 01... Et que ça va déborder sur le 2... Ou comment rajouter un téunvin... Mais c’est encore mieux : ainsi le 31 revêt-il un caractère central, entre 30... et 1 ! Le 2 : « Tu viens de dire... » La quasi-totalité l’aura été, rédigée, le 30, le 31 et le 1.

Le 5 juin : la majorité l’aura été, rédigée, le 30, le 31 et le 1.

Le 9 : telle sera au final la date de fin. Top-chiraïenne ! Saqu culé bisû. Wagon de queue du train de coïncidences : ding-ding sur mon telpo à 14h14 de la validation de la réservation de mon billet de train queue-de-renard pour demain. Billet pour Montbard (à trente-cinq kilomètres de Montréal).

Démonstration en passant par pas-la-Lorraine (bien que pas si loirin... euh... loin), tous les numéros de ma réxa... euh... za :

TGV INOUI (sic) 6745 – Voiture 5 – Place 48 – Référence client : 0029090162020573257 – N° e-billet : 831547271

Un 21 ? Un 31 ? D’autres Chier-durs ? Que nenni. Autre... Preuve par le contre-exemple !

Mince y en a bien un, vois-je, de 31. Et la place 48 : c’est le nombre de pages, quand je termine, de mon fichier. J’avais même écrit « plage » (au lieu de « place » – que je viens de corriger) !

Autre soupçon de joyitisme, au vu de l’occasionnelle tonalité de notre hiryotte, et de ses personnages... :

Dossier voyage : RSPDAZ

Le 9 moins japu combien :

« J’ai d’abord sollicité le concours de Guy-Georges. »

Il me semble avoir déjà licoutendendulu ça quelque part. Croix de bois, croix de fer, mon jumo était innocent, et aucune compromission, eu égard à Guy-Georges, ne saurait être suspectée. Mon jumo (« des vieillards guy-georgiens ? ») n’a d’égal que sa bonté[137].

Qui parlait? Le 21, dont on oublierait presque le mal qu’il se donne pour me syncmerveiller, par le biais du romancier :

Cette fonction [chef des Échos] avait été remplie jusque-là...

Miaou Guidou. Il est mon Guidou, Guy, dans la H-21, mon guide de placement des signes de ponctuation dans les dialogues. Et je le miaoute là pour « jusque-là ». Je n’affectionne pas cette locution adverbiale, je la trouve bancale.

Guidou : « Évidemment, si tu ne lui colles pas sa petite bite. »

Guy a envie de piner (plaisanter). Moins trivialement, sinon, il aurait choisi l’image de petite béquille, en référence au tiret entre « jusque » et « là ». Maître ton élève remarque cependant ce défaut d’ordonnancement des mots dans « cette fonction avait été remplie jusque-là », la règle de syntaxe étant qu’en cas d’emploi de l’auxiliaire « être » au passé composé, l’adverbe s’intercale entre son modal « avoir » et le participe passé « été », ce qui donne : « cette fonction avait jusque-là été remplie ». C’est plus fluide, le rythme s’en trouve amélioré. C’est l’un des milliards d’exemple de médiocrité langagière dont je n’ai de cesse de me lamenter, et dont je constate une fois de plus qu’elle n’épargne pas entièrement « les plus grands-grandes ».

N’est pas Renard qui veut. Mongol. C’est pour ma transition, car tadadan, le « Chef des Échos » jusque-là était :

Le secrétaire de la rédaction, M. Boisrenard, un vieux journaliste correct, ponctuel et méticuleux comme un employé.

N’est pas correct, ponctuel et méticuleux qui veut.

Le 21 : « Feignasse sur ta plage à l’aise Blaise tout à l’heure tu as renoncé à syncortiquer un acolit du 1706 comportant pourtant un anal-chat[138] 21-31-41 (jusqu’à 51 même), alors que je t’avais préparé un chouette à-côté, dans la continuité, ménageant un effet tout particulier d’un 41 décomposé, assorti de son 31. C’est ça, je reproduisais l’anal-chat, j’échottais le 21-31-41. Admire, à la queue de la phrase du renard (à l’orée de son bois ?) : »

Depuis trente ans [Boisrenard] avait été secrétaire de la rédaction de onze journaux différents, sans modifier en rien sa manière de faire ou de voir.

« Les Renard vous vous en tenez une. Il m’a l’air d’un sacré fumiste celui-là. Le contraste avec ma virtuosité n’en est que plus saisissant : le 31, en plus du trente + onze (c’est génial, non ?), ne t’a pas échappé je présume. Je l’ai calé, t’as vu, dans le 310 du numéro de la ligne du chapitre à la page... 135, à laquelle la phrase du trente + onze (c’est génial, hein ?) se termine. Toutes les cinq lignes leur numéro est précisé dans la marge : dans celle de la page 135 figurent les numéros 310 à 335.

— Beau boulot amigo.

— Fumiste. Mongol. J’ai l’air de critiquer les renards, alors que j’ai mis tout mon amour à en dénicher. Bon, je m’approprie peut-être un peu abusivement le deuxième, qu’aucun 21 n’accompagne, mais disons que c’est la même lignée, dans Politis 1706 qui dans mon Hiryotte, la 21, s’est déjà tant illustré. C’est à la page de ma dizaine, à laquelle je consens... suis-je bête c’est pour ça l’absence de 21 !... de remplacer mon 1 par le 6 de notre fameux numéro :

[L’univers de Elle tourne comme ça] va ainsi, à la poursuite de quatre géants qui cherchent un chez-eux, tiennent en main un renard, se font picorer le doigt par un ours, soulèvent la mer pour s’y glisser comme sous une couverture.

Des gens sympas fignolent pour nous. Rapha et Valou :

À l’image du titre, cet album jeunesse est simple et mystérieux. [...] Tout semble ouvert, hypothétique. Grisant et doux. Une faille, un interstice, peut-être créés [c’est mieux que « créés peut-être », non ? que j’ai pris la liberté d’inverser...] par la rencontre entre l’autrice Martine Laffon et Icinori, alias Mayumi Otero et Raphaël Urwiller, formidable duo de dessinateurs-graveurs-autoéditeurs, qu’a provoquée Valérie Cussaguet, l’éditrice des Fourmis Rouges.

Raphaël et Valérie. Du prénom du personnage, Raphaël, le héros de La Peau de chagrin, de Balzac, le plus maupassantien de mes lectures de ces dernières années pour le premier. Dans l’ordre chronologique et du classement des maîtres de leur genre, qualifier de balzacien un personnage de Mautpassant serait certes plus exact. La deuxième est une Échosaraïenne. Maouaza de Sarah :

Je te raconte pas comment a joué LA pointure de ce soir Valérie Sokolov ! Extrêmement émouvant. Il est d’une gentillesse exceptionnelle comme souvent les très grands. [...]

Valérie, « il » ? Moi :

Ces pamonculs !!! [Encore et encore, qu’elle m’a maouazatées après.] Le 21:21 de la photo !!! [Heure de réception par S de la photo Couv-Modoup/Accueil-Xabiwiki d’Ama et moi que pour une raison X je lui avais (r)envoyée.] Ce concert !!! Bravo championne. Génial cet entretien avec... Valery ? Tu écris « Valérie », puis tu dis « il »... [Orthographié de la sorte par son telpo à l’insu de son plein gré ainsi que je m’en étais douté.]

Le plus beau pour la fin, dans la même colonne de l’acolit et de ce remarquable détachement :

Pour tourner ça comme tourne la Terre, il y a là la texture délicate de l’impression et l’impression fine de la magie.

J’ai repris la liberté d’inverser, le sud de l’acolit et son midi. Ça tourne comme ça, si poétiquement, juste avant Marion Dumand. La signature, après le point final, que précède « la magie ». Car les mots que pour clore j’ai choisis sont encore plus jolis. Fiers et vigoureux ils paradent, eux, à la moitié de leur colonne sur toute la hauteur de la page. Ils regardent la Vie en face ! En effet, autre détail de leur disposition dans le panorama milsètsansisien : dans l’espace entre l’acolit mono-colonne de gauche et son voisin de droite à trois colonne, mais sur une seule moitié de la page, au-dessus d’une photo, ce mot, à leur niveau : « Alive ». Alive (« eulaïve ») ! Vivant(vants/vante/vantes) ! C’est le titre d’un album dont l’acolit précise en sous-titre qu’il est « la première réalisation de Mona Soyoc et du guitariste Olivier Mellano ». Qualifiée de... « sombre » !... (et « puissante »).

Les mots du Vivant :

NOUS SOMMES EN PRÉSENCE D’UNE GRANDE ET BELLE CONJONCTION DES PLANETES. [139]


{Glaire-mou-de-synus : [A] À sta oapa = À l’instant où je tape ça ; Abra = Au bord de l’eau ; Acculer = Afficher à l’Accueil ; Acolit = Article de Politis ; Aditita = Advient ce qui DOIT Advenir ; Anal-chat = Assez génial enchaînement ; Ane-mort = Année de mort ; Angelu mon Anar = « Anguélou » mon Ange Gardien ; Anisse = Anné de naissance ; Attilà = Attention, c’est là [B] Badinerue = Bande inférieure bleue (en bas des fichiers Word-mes-couilles) ; Bague-dotte = Blagounette du Moment ; (Synchronicité) Béco-gor-patou-rage = Brute-de-décoffrage-comprenne-qui-pourra-et-pour-ma-gouverne ; Mobilique = Modou bisyllabique ; Bisû = Bien sûr ; Bolsom = Bordel sans nom ; Bourre-trique = Boîte de courrier électronique ; Brue-sara = Brume de sable du Sahara [C] Capir fou olaf = C’est la première fois qu’on me la fait ; Catacunu-sapocu = Cataclysme survenu dans un pays où j’ai vécu ou séjourné ; Chamou = Chapitre de Modoupa ; Chier-durs = Chiffres et Lettres de l’Univers ; Chira = Chiffre plutôt sympa ; Chirapa = Chiffre plutôt pas sympa ; Chteuneus-neues = Chers-chères et tendres ; Cia moi = C’est bien la première fois ; Cil = Clin d’œil ; Ciqu catali (sex ama) = C’est moi qui capitalise (et poindexclamationnise) ; Coi-ma-tata = Critique de Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata ; Coi tulapa = Comme si tu ne le savais pas ; Comjadi = Comme je te/lui ai (déjà) dit ; Con = Commentaire ; Cona-nase = Colon-lonne de base ; Concon = Contrôle de concentration (pendant la lecture de Modoupa) ou de connaissance (de ses xapitreries) ; Cooler = Copier-coller ; Corbos = Courses au bio ; Cotojo = Comme toujours ; Coucou pépé = C’est fou ce phénomène ; Coular = Côté Obscur de la Force ; Couli = C’est pour la rime ; Cracra = C’est marrant ; Crucu = Cri du cœur ; Cul = Courriel [D] Dadane = Date d’anniversaire ; Danqu tipasse = Dans un quasi-ultime repassage ; Denise = Date de naissance ; DiBouPa = Dieu, Bouddha et Patata ; Diva = Divine Matrice ; Docho = De retour chez moi ; Doudou = Dans/de mon bouquin [E] En tutu = En tout état de cause ; Ecnos = Encore une fois ; Enculer = Écrire (dans) un cul (à.../au sujet de...) ; Endur modlé rata = Entends-je sur mon ordi-télé en écrivant cela ; En palé = Et/Eh bien ça n’a pas loupé ; Entète-des-cons = Enchaînement complètement dingue de synchronicités ; Ernanie = Expression en français ; Esmoupe = Expression de modoupaïen ; Estonie = En bas à droite de mon ordinateur ; Etna coi... = Et ça n'est pas comme si... ; Événar = Événement Phare [F] Fachotte = Fameuse synchronicité ; Fagol = Faut rigoler ; Faxon = Fameux personnage ; Figoqu = Figure-toi que... ; Fioncrace = Fonction rechercher/remplacer ; Frache = Fort sympathoche ; Frite-rondes = Forces qui me la mettent bien profond [G] Gachapivi = Grand Chapitre de ma Vie ; Gadou = Grand Honneur ; Gaga-du-Roi ou G3-froi = Grand Gagnant de la Guerre froide ; Gaga-mou-frais = Grand Glossaire modoupaïen-français ; Gamine = Grande Machine ; Gamou-nase-sot = Glossaire modoupaïen-français de (la) Miss-Jottise ; Garonne = Grande Conversation ; Gasconité = Géniale synchronicité ; Gilou = Grand Épilogue ; Glaire-mou-de-synus = Glossaire modoupaïen-français de Sync sur Sync ; Gralion-lapin-loutre-coucou-fada = Grand Saisissement en lien avec la prévision, la perception ou l’annonce d’une catastrophe à la lecture ou à l’écoute d’une information dans les médias ; Gragromoufrais = Grand Glossaire Modoupaïen-Français ; Gran-Bol = Grand Bordel ; Granmère = Grande Première ; Grapio = Grand Épisode ; Grassist = Grand Saisissement ; Gratte = Grande Rencontre ; Grave = Grand Œuvre ; Grise-ronde-lune = Grande Caisse de Résonnance de l’Univers ; Groi = Grand Noir [H] Hirachotte ou Hire-a-chronne = Histoire sans synchronicité ; Hire-a-chronne ou Hirachotte = Histoire sans synchronicité ; Hirelle = Histoire drôle ; Hirirale = Histoire incroyable ; Hôreuré = Hôtel Fleur d’Épée ; Hiryotte = Histoire de synchronicités ; Homar ! = Horreur ! Malheur ! [I] Ia que moi = Il y a quelques mois ; Iabloté = Incroyable synchronicité ; Ialla-la-ialla = Iabloté dans la iabloté de la iabloté de la iabloté ; Ia tata o rare = Il ne faut vraiment avoir que ça à faire ; Ila tou chié = Il y aurait tout un chapitre à écrire ; Ile qannée = Il y a quelques années ; Inétan-sémors = Inquiétants phénomènes et événements en tout genre ; Iyabon = Incroyable phénomène [J] J’ai ma faffe = J’avais même pas fait gaffe ; Japa = Je ne sais pas ; Japu = Je ne sais plus ; Japa japu jepu = Je ne sais pas, je ne sais plus, je suis perdu ; Jasbi = Je sais bien ; Java ça va = J’avais écrit ça avant ; Je xi (« je chi ») = Je veux dire ; Jélica = Je le réalise en écrivant cela ; Jmidi = Je me suis dit ; Jottise = Jolie petite histoire ; Jumo = Jeu de mot ; Juquri = Juste après que j’ai écrit ça ; Joyité = Jolie synchronicité ; Jus-walou = Jeune serveur gwadloupéyen [L] La Diva = La Divine Matrice ; Lalu-sur-totem = Le/La Plus Truc-Truque De Tous les Temps [M] Ma mama souri = Mon karma n'est vraiment pas que pourri ; Madapayenne = Même-quand-y-en-a-pas-y-en-a-une (synchronicité) ; Miaou = Merci beaucoup ; Manu = Manuscrit ; Maouaza = Message ouate-zeu-pape ; Ma-trique = Messagerie électronique ; Maran-lo = Mois d’Avril d’Anthologie ; Matou ou Mi tou = Mais ça n’est pas tout ; Mazo iri ouvadac santoua = Mais allez savoir, si ça se trouve c’est ça, dans ces eaux-là en tout cas ; Microtte = Mini synchronicité ; Miel-é-fraise = Mille ans de littérature française ; Mimouch = Merci moteur de recherche ; Mi tou ou Matou = Mais ça n’est pas tout ; Moine-conar = Moins chouette commentaire ; Modou = Mot de modoupaïen ; Modoupa = Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata ; Mofi = Mot de français ; Molbique ou Monique = Modou monosyllabique ; Moncontula = Moment Congratulation ; Mondo-païen = Monde modoupaïen ; Mongol = Mais non, je rigole ; Monique ou Molbique = Modou monosyllabique ; Mopirs = Mots de désespoir ; Mouche = Modoupaïenne en Cheffe ; Mouchinet = Moteur de recherche d’Internet ; Mousse = Montée en Puissance ; Moussetique = Montée en Puissance Synchronicitique [N] Niak = Nimportnawak ; No-lit = Numéro de Politis ; Nobapa = Note de bas de page ; Nochiée = Note des synchronicités ; Nopapa = Nombre plutôt pas sympa [O] Oursité = Ouragan de synchronicités [P] Pamoncul = Plaque d’immatriculation ; Panatatalamaga = Plus grande manifestation mondiale jamais organisée ; Panda = Plus Grand-Grande Ami-mie ; Papapap = Passage par Paris pour ou depuis Pointe-à-Pitre ; Papiver ! = Pas piqué des vers ; Patépo ! = Pas mal, le téléphone (ce que tu écris là à ma place) ! ; Patita = Patati, patata ; Paxikite (« Pachikite ») = Page XabiWiki ; Peste = Petite histoire ; Piment-croté = Petit élément de synchronicité ; Piner = plaisanter (c’est le Clown qu’a piné : c’est le Clown qu’a dit en plaisantant) ; Piton = Point d’exclamation ; Pochimis-mies = Proches et amis-mies ; Poco bité – maman cascu lidio = Point encore xabiwikité – mais demander au cas où à l’Accueil si dispo ; Poutana = Pouvoir extraordinaire ; Poutoutpif = Pour la toute première fois ; Pute a pain ou Papa nain = Putain de putain de putain ; Pull = Pass-mes-couilles ; Pute a pain = Putain de putain de putain [Q] Qadj ramina = Quand j’ai rallumé l’ordinateur ; Qadja mina = Quand j’ai allumé l’ordinateur ; Qamé popol = Quand j’ai allumé mon téléphone portable ; Qati nara = Quand j’ai terminé de taper ça ; Qrade ta chade é le por = Quand j’ai regardé le taux de charge de mon téléphone portable ; Qramé popote = Quand j’ai rallumé mon téléphone portable ; Quel mutard, hutard, jutard, sutard, putard, nutard (et quelle hutarde, quels hutards, etc.) = Quelques minutes, heures, jours, semaines, mois, années plus tard (Locutions adverbiales qui s’accordent, contre toute logique, avec l’objet pas concerné, mais toto momo batata.) ; Quenèle = Question du Siècle ; Quputupu castoi rotepa = Quelles putes... euh... puces, ces nobapas, à tout le temps se faire... euh... tout le temps sauter [R] Rapinage = diminutif de Renard-poissonnage (Rapiner = nager) ; Redoupe = Règle de modoupaïen ; Réducu = Rédaction du présent chef d’œuvre ; Rétine = Réfection du Monde ; Roti = Record de toute ma vie ; Rotolu = Roti (record de toute ma vie) absolu ; Rude-bitte = Rubrique de XabiWiki ; Rustine = Retouche post-poinfinalation [S] Salbachi = Sur la plage en bas de chez moi ; Salconi = Salon des Synchronicités ; Salo met-lanorac = Spot café-clope murette-devant-le-Panoramic ; Salo-tarage = Spot café-clope Datcha-terrasse-plage ; Salo-tarasse = Spot café-clope Datcha-terrasse ; Saqu culé = Sans que je n’aie rien calculé ; Sara sara = Sans arrêt, sans arrêt, sans arrêt ; Sara-suit-papa-maman-pa = S’accorde avec le sujet qui n’en est pourtant pas un, mais c’est comme ça dans Modoupa ; Sarage = Sacrée Page ; Sespion = Signe de ponctuation ; Siconne = Série de Synchronicités ; Si pipette = Si je puis me permettre ; Socédure = Synchronicité du jour ; Souridile = Synchronicité Poussières d’Étoiles ; Suce-mabouf = Diminutif de Sucem morabnodem baduf ; Sucem morabnodem baduf = Sur ce mot mon regard est tombé sur ce nombre de mots/ces statistiques en bas du fichier ; Suminu = Sur mon ordinateur ; Surotine ou Sotissone = Super chouette discussion ; Sync-a-la-sync = Synchronicité avant la synchronicité ; Sync-sens = Synchro-je-la-sens ; Synchiotte = Sync/hiryotte ; Syromande = Synchronicité à la demande [T] Ta-le-miel ou talmiel = Totalement démentiel ; Ta pisse = Tant pis je laisse ; Tasbi = Tu le sais bien ; Telpotage é papoton, elta... = Telpotapotage, écripausage, telpoxtinction, et il était (telle heure qramé popote) ; Tiqu = Tu sais qui (ou quoi) ; Tof = Trop fort ; Toto momo batata = Tout est possible dans Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata (et ses annexes) ; Totof = Trop, trop fort ; Tou 9 le mastic = Toujours par 9 les voyelles dans les maxi-emphases motrices (sur les mots) ; Toutni/e = Tout dernier/toute dernière ; Toutpi/e = Tout premier/toute première ; Trocon = Trop chouette commentaire ; Tog = Trop génial ; Tosti tosta = Tout est vrai, tout est faux ; Touti rix = Rien n’existe, tout existe ; Trol = Trop drôle ; Trou damapute = Trouvé dans ma pêche aux infos sur Internet [U] Upu lulu jacta = Un peu plus tard le jour où j’ai écrit ça [V] V5... ou Vyc... = Voir Sync... ; Vlan = Vers la fin ; Veutumoi = Visiteur-teuse de mon Site ; Vi joi... = Voir Miss-Jottise... ; Vodou papi... = Voir chapitre de Modoupa... ; Voilier = Voisin de palmier ; Volpa rima si eldy castoi sortamite susleté = Voilà, ça n’est pas terminé, mais j’ai tellement de syncs et de chamous en stock que des fois, désormais, je bâtirai mes histoires en plusieurs pelletées ; Vyc... ou V5... = Voir Sync... ; Vysir = Voyons voir [X] Xabiwikichamouser = Xabiwikiter les chamous</ref>}
  1. Notes de synchronicités
  2. Parking devant ma résidence
  3. Quand j’ai rallumé mon téléphone portable.
  4. Règles de modoupaïen
  5. Expression de modoupaïen
  6. Expressions en français
  7. Courriel
  8. Quelques jours auparavant
  9. Spot café-clope
  10. « Lapwint » : Pointe-à-Pitre
  11. Plaque d’immatriculation
  12. Piner = plaisanter
  13. Ça s’écrit « mwen » : mon pare-brise
  14. Place de parking devant ma terrasse (du premier) de mon voisin et ami
  15. Je me suis dit.
  16. Je ne sais plus.
  17. Je le réalise en écrivant cela.
  18. Jour de mon Pas-Appel du Dix-Huit Juillet. Ouah le 13 dessus. Que je note content... euh... conscient désormais, toutefois, du phénomèèène quputupu-castoi-rotepa*. (*De « quputupu castoi rotepa » : quelles putes... euh... puces, ces nobapas**, à tout le temps se faire... euh... tout le temps sauter. **Notes de bas de page)
  19. Courses au bio
  20. 30/9/69 : ma denise (date de naissance). Mais allez savoir, si ça se trouve c’est ça (les 30,969 secondes), dans ces eaux-là en tout cas.
  21. « Je chi » : je veux dire.
  22. En bas à droite de mon ordinateur
  23. De (Synchronicité) béco-gor-patou-rage = brut(e)-de-décoffrage-comprenne-qui-pourra-et-pour-ma-gouverne
  24. Articles de Politis, de retour chez moi
  25. Jeu de mot
  26. « Pachikite » : Page Xabiwiki
  27. Et/Eh bien ça n’a pas loupé.
  28. En tapant ma « peste », « petite histoire »... D’ailleurs quelle heure est-il ?... 23h21 !...
  29. Bande inférieure bleue
  30. Putain de putain de putain
  31. Bien sûr
  32. Signifie en modoupaïen
  33. Grand Glossaire modoupaïen-français
  34. De « microtte » = mini synchronicité
  35. Chiffre plutôt sympa
  36. De « xabiwikiter »
  37. Géniale Synchronicité
  38. Comme toujours
  39. Racontage de mon Histoire de Synchronicités
  40. Modoupa = Mon Dieu, mon Bouddha et Patata
  41. Plaisanterie
  42. « Éné chémé maïtïa » : mon fils chéri
  43. Écrite dans un cul
  44. Énergies de l’Univers
  45. Grande Rencontre et Conversation
  46. Tu sais qui.
  47. Roti (record de toute ma vie) absolu
  48. Raconte-nous ton Hiryotte, ton Histoire de Synchronicités.
  49. Sucem morabnodem baduf* : page 8 sur 12, 6 126 mots. Les 2 21, l’à-l’envers et l’à-l’endroit, ton 81, l’âge auquel t’as mouru. Ama : « C’est des lalanvèr les 2 tes 21 kèstu racontes toi, dont 1 entre 2 6... » (*Sur ce mot mon regard est tombé sur ce nombre de mots/ces statistiques en bas du fichier.)
  50. Chiffres et Lettres de l’Univers
  51. Au bord de l’eau
  52. « Éouchkadi » : Pays basque
  53. Point encore xabiwikité, mais demander au cas où à l’Accueil si dispo.
  54. Éd. Magnard
  55. Et ça n’est pas comme si...
  56. Dans un repassage
  57. Mousse : Montée en Puissance ; Moussetique : Montée en Puissance Synchronicitique
  58. Objet de mon exultation
  59. Inquiétants phénomènes et événements en tout genre
  60. Contrôle de concentration (ou de connaissances)
  61. Patati, patata
  62. Brume du sable du Sahara
  63. Question du Siècle
  64. Signes de ponctuation
  65. « Je jicle » : invraisemblable construction à partir de « j’adooooore ».
  66. Nombre plutôt pas sympa
  67. « Sèr da éné chéméa ? » : qu’y a-t-il mon fils ?
  68. En tout état de cause
  69. Sur mon ordinateur
  70. De « Ialla-la-ialla » : Iabloté dans la iabloté de la iabloté de la iabloté
  71. De « Mon Bal » : Le Bien. Le Mal. Le Mien. Le Bal. Mon Bal.
  72. C’est moi qui capitalise et poindexclamationnise bien sûr.
  73. Je ne sais pas, je ne sais plus, je suis perdu.
  74. Mais ça n’est pas tout !
  75. De « mouchinet » = moteur de recherche d’Internet
  76. Depuis mon spot café-clope/solarium de l’Hôtel Fleur d’Épée sur la plage en bas de chez moi
  77. Au bord de l’eau
  78. Toute première
  79. Toute dernière
  80. « Agour » : bonjour
  81. De « Baionako Bestak », « Baïonako Bechtak » : les Fêtes de Bayonne
  82. Maryelle, la femme de Jean-Marc, le fils cadet de Graxiana ta JP, a gentiment officié, en tant que l’aide-soignante qu’elle est dans la vie, le lendemain, sur ma plante de pied dans laquelle un tout petit bout de verre était tout de même allé se loger.
  83. « Èchkérik achko » = miaou
  84. Vers la fin
  85. Il vaut mieux entendre ça que d’être sourd – quoi que...
  86. Grand Week-End
  87. Livre... règlement de comptes ? Bon, que je ne m’étonne pas que l’on puisse un tantinet le penser... Mais je parlerais plutôt de... mises au point. Allez, tout va bien.
  88. Horreur, malheur
  89. Mille ans de littérature française, Claude Bouthier, Christophe Desaintghislain, Christian Morisset, Patrick Wald Lasowski, Éd. Nathan
  90. Chiffres et nombres plutôt sympas ou pas sympas
  91. Grand Œuvre
  92. Vodou papi* 49-Livre/50-Wiki. Poco bité, maman cascu lidio. (*Voir chapitre de Modoupa...)
  93. De « fagoler » : faut rigoler
  94. Éouchkal Herri : Pays basque
  95. Basse-Terre
  96. De « complètement niak » (« c’est niak » = c’est nimportnawak).
  97. Glossaire modoupaïen-français de (la) Miss-Jottise
  98. Commente ; tiré de « con » : commentaire.
  99. Traduction
  100. De « fioncrace » : fonction rechercher/remplacer
  101. Grand Retour
  102. Enchaînement complètement dingue de synchronicités
  103. Il y a quelques années
  104. De « jélica » : je le réalise en écrivant cela.
  105. Upu lulu jacta*, commentaire à la télé, suite à la mort d’un journaliste français de... 32 ans en Ukraine, sur le risque d’être atteint lorsqu’un obus tombe à proximité : « C’est la roulette russe. » C’est la première fois que j’entends cette expression depuis le début de la guerre. (*Un peu plus tard le jour où j’ai écrit ça.)
  106. Quand j’ai allumé l’ordinateur
  107. Sans que je ne l’aie calculé bien sûr.
  108. Trop fort
  109. Boîte de courrier électronique
  110. De « cooler » : copier-coller
  111. Terrasse-boulangerie-Gozyé-église
  112. Année de naissance
  113. « BèchtAmaChab ». Ne me souvenant plus dans un premier temps de l’intitulé, j’avais commencé à taper « Ama... » (pour AmaXab), ce qui a inspiré « amour » à mon telpo.
  114. « Éouchkal herriann » : au Pays basque
  115. Grands Moments
  116. Chère et tendre
  117. « Sintann » : Sainte-Anne
  118. Grand Épilogue
  119. Grand Épilogue aussi : j’avais oublié que je l’avais déjà modoupaïanisé çui-ci ! J’ai inspiré le Grogue... euh... été inspiré, pour le Grogue, avant de tchéquer le Gaga-mou-frais, et n’ai pas envie de le balancer.
  120. Dieu-Dieuse, Bouddha-dhoune et Patata-toune
  121. C’est marrant
  122. Deshaies
  123. Saint-François
  124. Grande-Terre
  125. Le/La Plus Truc-Truque De Tous les Temps
  126. La Divine Matrice
  127. À l’instant où je tape ça
  128. Voyons voir
  129. Mon karma n'est vraiment pas que pourri.
  130. Quelques minutes plus tard, la locution adverbiale « quel mutard » s’accordant, contre toute logique, avec l’objet pas concerné, mais toto momo batata.
  131. Grand Départ
  132. Iabloté = incroyable synchronicité
  133. Dans un quasi-ultime repassage
  134. Sans arrêt, sans arrêt, sans arrêt
  135. Rapiner = renard-poissonner
  136. À l’instant où j’ai écrit ça
  137. Belle synchronicité
  138. Assez génial enchaînement
  139. Sucem morabnodem baduf : 22 200 mots