25 – Un cas ne doit pas traduire une loi

De Xavier Renard
Révision datée du 16 décembre 2024 à 14:38 par Xavier (discussion | contributions) (Page créée avec « Je suis traducteur. Et un cas. Ce dont l’on peut un peu se faire une idée, en me lisant là, mais le mieux pour ça c’est de se faire ''Mon Dieu, mon Bouddha et P... »)
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)
Aller à la navigation Aller à la recherche

Je suis traducteur. Et un cas. Ce dont l’on peut un peu se faire une idée, en me lisant là, mais le mieux pour ça c’est de se faire Mon Dieu, mon Bouddha et Patata. Ou pas. Pas, si on n’est pas trèèès motivé. Un cas ne doit pas traduire. Il est interdit à un cas, ou aux cas, de traduire une loi. Il ne faut absolument pas que les cas traduisent la loi. Ou des lois. Ou un cas ne devrait pas dire ça... euh... traduire la loi. Il serait préférable qu’un cas ne la traduisît pas. Par crainte du résultat ? Ce serait un peu curieux, comme recommandation, mais qui bien sûr n’existe pas. Je fais mine de comprencortiquer. Étrange c’est évidemment le cas 24 qui l’est. Hors contexte, ça donne encore plus ! Ou encore moins. Le sujet c’était : l’amalgamigration, l’atroce attentat au couteau perpétré, à Annecy, sur des nourrissons. Le chroniqueur de l’émission, s’il s’était soucié (la bonne blague) de correctement s’exprimer – allez, un modou : de cormexpier –, aurait pu déclarer : « Un fait divers (isolé) ne devrait pas se traduire par une loi. » Politique et gouvernance, sauf crasses démagogie et cynisme, ne consistent pas dans l’adoption de mesures, au coup par coup, aussi délétères qu’insensées et efficaces. Répondre par une loi, à chaque fois que ce type d’événement se produit, c’est... n’importe quoi. Hein Momo, c’est ça ? (Mohammed il s’appelle, le gars.) Momo : « Ooohhh ! Que tu causes bien, toi ! »

– Lis-moi, lis-moi, tu verras, tu apprendras.

– Ooohhh Maître ! Ooohhh ! Je m’y mets, de ce pas.