25 – Un cas ne doit pas traduire une loi
Je suis traducteur. Et un cas. Ce dont l’on peut un peu se faire une idée, en me lisant là, mais le mieux pour ça c’est de se faire Mon Dieu, mon Bouddha et Patata. Ou pas. Pas, si on n’est pas trèèès motivé. Un cas ne doit pas traduire. Il est interdit à un cas, ou aux cas, de traduire une loi. Il ne faut absolument pas que les cas traduisent la loi. Ou des lois. Ou un cas ne devrait pas dire ça... euh... traduire la loi. Il serait préférable qu’un cas ne la traduisît pas. Par crainte du résultat ? Ce serait un peu curieux, comme recommandation, mais qui bien sûr n’existe pas. Je fais mine de comprencortiquer. Étrange, c’est évidemment le cas 25 qui l’est. Hors contexte, ça donne encore plus ! Ou encore moins. Le sujet c’était : l’amalgamigration, l’atroce attentat au couteau perpétré, à Annecy, sur des nourrissons. Le chroniqueur de l’émission, s’il s’était soucié (la bonne blague) de correctement s’exprimer – allez, un modou : de cormexpier –, aurait pu déclarer : « Un fait divers (isolé) ne devrait pas se traduire par une loi. » Politique et gouvernance, sauf crasses démagogie et cynisme, ne consistent pas dans l’adoption de mesures, au coup par coup, aussi délétères qu’insensées et inefficaces. Répondre par une loi, à chaque fois que ce type d’événement se produit, c’est... n’importe quoi. Hein Momo, c’est ça ? (Mohammed il s’appelle, le gars.) Momo : « Ooohhh ! Que tu causes bien, toi ! »
– Lis-moi, lis-moi, tu verras, tu apprendras.
– Ooohhh Maître ! Ooohhh ! Je m’y mets, de ce pas.
Le 15/2/25, dans l’après-midi, la fioncrace me renvoie à une « queue de poisson » de mon brouillon, au niveau de mon r-dollar (« r$ »), là où je dois reprendre le travail, dans ma dernièèèèère relecture de mon Wiki. La « queue de poisson » de Sync sur Sync 1. Je m’apprêtais justement, quand je me suis d’abord enquis de cela, à compléter cette fin de fin de fin de fin de fin… ça suffit !... c’est fini !... par une dernièèèèère… leçon… « Oh maître ! Non ! On en veut encore ! » Ooohhh, Momo, ça me touche beaucoup tu sais, mais il faut savoir s’arrêter… Tu trouves que ça se finit en queue de poisson ? « Ouiii !!! Continue !!! Ça ne peut pas se terminer comme ça !!! » Tu vas voir, il est éloquent, cet autre exemple, à la fois de comment que les gens y en a parler comme des cons et de comment que notre planète elle tourne vraiment pas rond. Je ne sais pas si ça en dékeudpoissonera vraiment mon Gave… euh… Grave (Grand-Œuvre) pour autant. Et sur plus optimiste, moins péteux, j’aurais pu faire en sorte de tirer ma révérence… Mais Momo va voir, tout le reste, tout n’est pas que pet-simiste. Loin s’en faut. Momo : « Ça ne se dit pas. C’est soit “tant s’en faut” soit “loin de là”. » Ooohhh !!! Momooo !!! « Bé wé, ça fait quelques temps, que tu m’as b… euh… c… euh… d… euh… e… » Momo ??? « Euh… que tu m’as couché là. Je suis allé lire plein de trucs déjà. » Bravo Momo.
Je souhaitais par conséquent ajouter pour finir qu’« on » ne sait même plus « faire »… « sujet-verbe » !!! Une journaliste : « Le patrimoine des 10% les plus pauvres il a baissé de 54 % entre 1998 et 2021, alors que dans le même temps le patrimoine des plus riches il a bondi de 94 %. »
Mo-mo : « Maître vous avez besoin de cours de dékeudpoissonage. »
Mo-a : « T’es jeune, t’es l’avenir. Prends ma place. Apprends-moi. Si tu sais, toi. Et conduis notre Monde, vers le Nirvana. »
— Ouh là, là, je veux bien participer…
— Oui mon Momo, bien sûr, nous poursuivons, toutes et tous ensemble. Moi, à ce stade, j’ai fait tout ce que j’ai pu. Si ce n’est un peu mieux keudrenarder ce bout du bout de mon Wiki.
— Ah ? Pour le dékeudpoissonner ?
— C’est ça... Dis donc t’as vu ? 22:11, 77, l’heure et le pourcentage de charge, à mon téléphone. Jusqu’au bout du bout... les Signes... Mais c’est tout le temps... Sur « dékeudpoissoner », c’est pour en « dire » l’importance... À l’issue de mon Œuvre de Titan.
— Tant... que ça ?...
— Oh ! Et comment ! Le... million ? De mots... Pas très loin certainement. Un travail au corps... de l’Univers... Là : 22:22 !!!... Dieu ce 22...
— Ça veut dire que ça fonctionne ? Tout va... changer ??? Quand t’auras vraiment terminé ?
— C’est exactement ça ! Tu comprends vite, toi ! Ou c’est La Voix ? Via toi ? 22:33, là, ouah. Pas très ouah le rythme toutefois. Les Forces à... l’Œuvre... me portent bien mollement.
— Il faudrait te tigre-moteurer.
— J’en ai un à la maison !
— Un moteur ?
— Mais non, le moteur est en moi ! Bien que manifestement présentement un caca... euh... un chouya encaca... euh... encalaminé.
— T’as quoi, chez toi ?
— Si ça n’est pas un moteur, à ton avis c’est quoi ?
— Un tigre ?
— Oui !
— J’ai aussi ça : yr4 22/12/32.
— C’est quoi ? La marque de ton moteur ?
— Non, j’avais entrecrocheté ça, à la fin de mon couillon. Mon cul-brouillon. Mon courriel-brouillon. Dans lequel nous nous entretenons.
— On va rester dans ton cul ?
— Non, c’est la suite de la SSS3...
— La quoi ?
— La Sync sur Sync 3... Attends, je vérifie... Ah mais non ! Quel con ! Ce couillon, que j’ai nommé « Queue de poisson », c’est le bout du bout de la queue de mon Wiki, la suite non pas de la SSS3 mais de l’EBCQ25, le tout dernier chapitre de la toute dernière rubriwikique. Je me perds, de nouveau, dans mes propres méandres, parce que je t’avais laissé, après avoir pas-très-ouahé, rapport à mon rythme, mon molissement, pour... terminer !!! Ça y est !!! Je te dis ça, au détour de cette phrase, alors que je ne te dis pas, l’ÉVÈNEMENT !!!... J’ai, oui, oui, oui, ter-mi-né, tout le wikitage, et toute la relecture, de TOUT !!! Oui, oui, oui, ça y est, je l’ai ter-mi-née, mon Œuvre de Titan, de toutes ces années, de mars 2019 à maintenant... On est le... 01/03 !!! Je te parle de mars...
Sync Barbara : « Hey ! Tu viens de me laisser, avec tes planètes, à la nobapa 113 de la SSS3... Y a Mars, dans l’alignement ? »
— Sync Barbara qu’est-ce que tu racontes, toi ?! Je parle de mars : du mois ! Et puis de toute façon tu n’existes pas !
— Touti rix !
Momo : « C’est qui Sainte Barbara ? »
— Non, Sync Barbara. C’est une Synchronicité, mais qui existe sans exister.
— Comme tout...
— Mon Momo, décidément, j’ai trouvé le jeune qu’il fallait, pour reprendre le flambeau ! Comment peux-tu être aussi intelligent et aussi nul en français ?!
— Attention, ça, c’est condescendant !
— Tu ne savais pas, que je l’étais ? On me dit même pédant, mon surnom c’est Monsieur-Je-Sais-Tant... euh... Tout, même.
— Tu sais tout ?
— Plus j’en sais, moins j’en sais, et c’est tant mieux.
— T’es un modèle d’humilité, en réalité.
— Mais oui ! Et de modestie... T’as vu, un peu, comme j’ai redémarré ?!
— Tu turbottes, en effet, depuis que « tigre-moteurer » t’as tapé.
— La seule pensée du tigre que j’ai, à la maison, me redonne des ailes. Dire que je l’ai tapé, pendant qu’il regardait un film, dans son canapé.
SB : « Ah ! J’y étais ! »
— T’es arrivée après, non ?
— Je vous licoutais.
— Ah.
SB : « Momo, il blaguait ! Si tu savais comme il l’aime, son tigre... »
Momo : « T’es zoophile ? »
[Ça ne va pas. Momo ne peut pas entendre ça. Ta pisse. D’autant que sur ça, estonie : 2:22 (p.m. – 14:22 en vri). Oui, le 22 de Ti-Ti (« TT » en angli). Sur ça, eh ben, c’est du joli… Comme si de rien n’était je poursuis :]
— N’en fais pas trop, à imiter mon style vulgarisant, maintenant [ah, voyez, j’en suis conscient]. Mais jouons le jeu [je fais l’enfant innocent], et pour te répondre : si c’était le cas je choisirais plutôt une chèvre, ou même un chien, tu ne crois pas ?
— Ce serait plus prudent...
SB : « Son tigre, c’est son chéri. »
— Il s’est tatoué l’animal sur le bras. Qui dit, c’est vrai, certains traits de sa personnalité... Il aime bien également se qualifier de « machine de guerre », de « guerrier »... Il m’a dit un jour : « Toi aussi, t’es un guerrier »...
— Ça doit donner !
— Les deux ensemble ? Deux animaux féroces ? Deux malkrab, adan on mèm panyé ? J’avoue qu’on ne... s’ennuie pas... et que c’est... rock and roll, parfois. Mais quelle belle histoire... Encore mieux qu’au cinéma. Attends...
— Quoi ?
— Quelques secondes... Et c’est bien simple, sur le dernier de mes trois points... "ten) o’clock" à cet instant dans le film (le cinéma du moment) de mon tigre !... Sur le dernier point l’heure est passée de 15h18 à 15h19... 15h ou 3 p.m., le 3 de mars, le 19 de 2019... « Je te parle de mars », te disais-je... En ce 1er mars. De l’ÉVÈNEMENT. Du parachèvement de mon Œuvre de Titan. Commencée en mars 2019, à la faveur du premier confinement. Ceci est un supplément. Je reprends tes propres mots, Momo : « Ça veut dire que ça fonctionne ? Tout va... changer ??? Quand t’auras vraiment terminé ? »
— Si c’est fait, alors c’est maintenant ???
— Oui ! Monde de fous ! Zou ! Attention, 1, 2, 3... 4 ?... 5 ?... J’ai écrit dans la SSS3 un peu avant de la... terminer, tout à l’heure, que je me donnais jusqu’au 5 mars, pour... terminer.
— Donc tu pensais encore devoir terminer de terminer... Tu incluais ce supplément ?
— Tadar 15 %.
— Quoi ?
— Un 5, au taux de charge de mon téléphone portable. Et pour l’instant, que je sache, il ne se passe rien.
— Pire, ça empire. T’as vu Zelensky, comment le président yankee mes couilles et son vice ont osé le traiter, devant les caméras du monde entier ? Du jamais vu...
Une voiture étasunienne passe... Pas dans mon appartement. On devinera que je suis sorti, entre temps. Une Cadillac... Il est 17h32...
Momo : « Tu parlais de la marque de ton moteur… »
— Non, du nom, YR4, d’un astéroïde, et de la date, le 22/12/32, où il pourrait percuter la Terre. Les chances en ont été évaluées à 3,1 %. Je la récupère ici après les planètes que j’ai évoquées, tout à l’heure, dans la SSS3. Elles s’alignent ! 7 d’entre elles, du moins, selon les astrophysiciens. Dans YR4, mes presque-initiales : mon X+1 et mon R. Suivis d’un 3+1. La Suite...
— Oui, vite ! Et la fin...
— Oui, tout de suite, je vais vite, mais d’abord la Suite...
— Oui, vite...
— Non mais la Suite...
— Vite !...
— Momo ! Aaaahhh ! Mais. Je me dois d’abord de dire deux mots, sur la Suite 12, 22, 32...
— « Deux mots », voilà, ça fait deux mots.
— Ça fait mot-mot.
— Ha ! Ha ! Ha ! Qu’est-ce qu’on rigole, avec toi.
— N’est-ce pas ? Mais t’as raison, avançons. Alors hop, j’aligne ce paragraphe, qui attendait (ultiiime ?... nochiée), entre crochets :
[C’était le but de cette dernière partie. J’en étais à 24 culs de Dave, dans mon fichier Word. Je m’étais arrêté là, il y a plusieurs mois de cela. L’envie m’a pris de xabiwikiter ces derniers écrits vains.]
Le but ? De quelle manœuvre ? L’écrivain s’interroge-t-il lui-même. Réflexion... Dans mon brouillon, mon Fiord, Eh bé ce cul, ô Dave ! comptait 24 chapitres. Le but de « cette dernière partie »... Si, concernant celle-ci, je ne me souviens plus trop de ce en quoi elle consistait, de son but, si : arrondir. À 25. Pour... terminer, sur 25, en ce début 2025.
En vrai, c’était déjà fait. Terminer ? Miterner ? Nermiter ? Non, vingt-cinquer. Je m’étais trompé. Dans la numérotation des chapitres. Celui de ton cudavage, Momo, c’était déjà le 25.
Il en est passé, des dates, pour lesquelles j’ai... CRU... « voir » que pour les Scénarios Miracle 3 et 4 c’était le moment.
La Matrice m’invite à miser, aujourd’hui, sur le 5.
Ultime Pari. GAGNANT il sera, celui-là. Sinon c’est terminé. Pour moi (Scénario Catastrophe 3). Et pour l’humanité (Scénario Catastrophe 4).
Je dramatise ?
À peine ?
C’est encore mieux qu’au cinéma.
Ama (ma Mater) est née le 5 mars. Le 5/3/2025, elle aurait eu 88 ans. En cette année, 2025, de l’An 7 de sa mort. Ce sera le 1/11. Additionnons. Le 8 et le 8 : 8+8 = 16. Le 1 et le 6 : 1+6 = 7. Les chiffres du 5/3/2025 : 5+3+2+2+5 = 17. Le 1 et le 7 : 7+1 = 8. Mais quid du 5 ? Le résultat d’une addition, pour le 5/3/2025, que je m’étais faite dans ma tête. C’est foutu ? Ce ne sera encore pas le 5, mes Syncs, les SM 3 & 4 ? Les Syncs : « Ce 8-8, ces 7 et 17, tout de même, ils en jettent. Tu nous as laissées, à la nobapa 113 de la SSS3, pour revenir ici, sur une série de 17:17... À notre avis, oui, elles sont alignées, les... 7 planètes. Pour le 5. En ce 2. Mars. Et 5+2 = ... ? »
C’est parfait, et c’est clair elle m’invite à materner... euh... miterner, la Mater, sur son 5.
Sur un maouazatage de ses enfants.
Hmmm... intéressant... j’allais commencer par le maouaza de ma soeur Sabine du... ouh là, là... 24/2... Jour de l’An 3... voir nobapa 113 de la SSS3... puis je vois : celui du 10/1. Un semblant de 1/11... Ah c’est vraiment gai, tout ça... Plus dramatique, en fait, tu meurs. Car c’est autour... d’un Faux Adieu de Sabine, Denis et moi à notre papa... Capitalisation, oui, parce que... dans le genre Grand Moment d’Émotion... Gamomo... C’était via ouate-zeu-pape, pour ma part, en visio... le jour de l’anniversaire de mon père !!!... Le 7 janvier... 7+1 = 8... Bon, chiffropathe (mon dernier surnom... en date...), la suite !
Pleurs de nous trois. Sabine à Aita allaité... Telpo !... il a passé l’âge !... étant là, plutôt, en train... d’y passer... À Aita allité (donc, plutôt), dans un semi-cauma : « Papa si tu penses que tu dois partir !... Tu te seras battu, jusqu’au bout !... » Grave infection... indéterminée... diagnostic réservé... « Il ne passera peut-être pas la nuit », avait-il été dit, à leur arrivée, à Sabine et Denis... La nuit du jour de ses 87 ans naissant.
Est-il parti, finalement… pour une 88ème année ?
Papa… euh… pupa rita, à la radio : « Le pape, âgé de 88 ans… atteint d’une sévère infection… »
Papa-pape (pas « papapap », en modoupaïen : « passage par Paris pour ou depuis Pointe-à-Pitre ») : 1-0 ? Pour l’instant, le pape est toujours vivant.
Et donc, oui, papa aussi !!!
Nous n’avons pas tout de suite été tout à fait rassurés, jusqu’à tout de même assez rapidement pouvoir l’être complètement, et ainsi Sabine, trois jours plus tard, nous maouazatait-elle :
- Papa est de retour à la Martinière [son Ehpad], ce qui va l’aider à se requinquer.
Le 24/2 :
- Coucou. Depuis quelques jours le médecin a prescrit à papa un anxiolytique pour l’apaiser la nuit. Du coup papa est somnolent et fait pas mal de chutes, notamment cette nuit. Il se plaint de la hanche et va passer une radio demain. Bisous.
Ma réponse :
- Et il était trop « absent », selon Pierre [son compagnon], la dernière fois que je lui ai proposé de faire un whatsapp [oute-zeu-pape]. Ah là, là, il a « voulu » rester... Pauvre petit papa...
- Moi je continue d’espérer pouvoir revenir, sans trop tarder, pour le voir... une dernière fois ?...
- La vie nous aura offert, quoiqu’il en soit, de profiter l’un de l’autre, jusqu’« au bout », comme on ne pourrait davantage en rêver.
- Pas de conscience à rassurer, ça n’est pas du tout ça.
- Juste l’expression de ma... GRATITUDE.
- Et à des parents il ne pourrait être davantage donné de raisons qu’à notre Aita, comme à notre Ama, d’être fiers de leurs enfants.
- Stand up for the Great Five!!!!!
Denis m’a poucé. Puis, le 25, j’ai maouazaté :
- Ouais !!! 1 like [le Denis-poucé]. Allez ! Matrice Divine ! Mets-nous les 5 ! Ama : « Divine ? Ooohhh, mon fils !... » Euh... Ama... Toi t’es “juste” notre Mater Adorée au-delà-isée. « Idéalisée ? » Merde, en plus elle est sourde... « Je t’entends ! » Ah, merde, pas si sourde... « Je t’entends ! » Oui ! Oui ! Vois plutôt ce que tu peux, de là-haut... « Pour te Sync-likiser ? » Ooohhh, Ama, le joli jeu de mots !!! « Oui, avec Synchronicités. » On avait compris. « Sabine et Denis aussi ? » Sabine et Denis : « Oui ! » Ah, tu vois ! « Je ne suis pas aveugle. » Hahaha. Allez ! T’as jusqu’au... 5 mars, pour les 5 pouces. Ça te laisse un peu de temps, car bien qu’au-delà-isée, ça ne te sera pas forcément évident. Ça serait cool, pour nous prouver la « réalité » des phénomèèèèènes... En attendant tu donnes un petit coup de... pouce à Aita, otoi [« otoï », s’il te plaît] ?... Pas de réponse... Elle est déjà en train de mobiliser les Forces de l’Au-Delà...
13h55 à ce moment-là le 3/3.
Sabine, à 22h10, après mon maouaza de 18h23 (cracra, sous mon 18:23, le 58.23 des quatre derniers chiffres de son numéro de portable) :
- Bonsoir. Papa n’a rien à la radio, donc pas de fracture [+ 1 pouce, ça fait 2…]. L’anxiolytique de la nuit sera donné à la demande. Donc à suivre…
Moi : « Merci Sabine. Alléluia. »
Le Jour du 33 (le 3/3), Raphaël Glucksmann, sur France 2 : « Il est minuit, pas moins le quart. Il était minuit moins le quart quand la Russie a attaqué l’Ukraine. Il est minuit moins une. » Un colonel, sur France Info : « On entre dans une période très dangereuse, en attendant que les forces européennes montent en puissance. […] S’il y avait une guerre nucléaire, avec l’utilisation d’une centaine d’ogives dans le monde, la conséquence serait un hiver nucléaire qui renverrait l’humanité à l’âge de pierre, et lui ferait frôler l’extinction. » La journaliste : « C’est un risque ? » Mon colonel : « Mais bien sûr, que c’est un risque ! » Bayrou le Palois pas-loin-de-bayonnais : « Nous sommes au moment le plus dangereux depuis la Deuxième guerre mondiale. » Mon colon : « Quant à moi… » Oh, toi ! Je suis au bout du bout… Depuis le temps que tu décolonnes… Oui, on dit comme ça, en colon… Pas 80 ans, que l’Armistice fera, le… 8/8… Mais pas très loin de 40.
C’est reparti comme en 40.
Cracra : pour le meilleur comme pour le pire, ça peut être, quand on dit ça.
Alors qu’a-t-on là ?
Le SM3
Prévu pour le 5/3.
Puis le SM4 adviendra.
Le 4/3 je nermite ça. Estonie (en modoupaïen, pas le pays), quand j’en entame la relecture dans mon wiki : 14:03, 04/03.
Dos Santos…
Deux Saints ?
Moi et qui, le 2 ?...
Nooonnn…
C’est le nom de l’auteur de La Formule de Dieu.
Juste lui dire : ne cherche plus, mon gars, la Formule est là.
Cucu pu doa.[1]
- ↑ Lâchez-moi ! Les Synchronicités. De toute façon, je ne vous raconte plus. Les Synchronicités (à voix basse, je n’entends pas) : « Tu parles... » Bon, une dernière ! Non mais vous, alors. « Ah, tu vois... » (Ça doit être la Sync Barbara, qui ne sait décidément pas quoi faire pour exister. Mais je ne l'entends pas.) Je cafclope, en terrasse, à Monsieur Madame. SB : « Ça doit être moi. » (N’importe quoi. C’est un bar-restaurant, en bas de chez moi. Heureusement que je ne l’entends pas.) Une femme est encore tombée ! C’est la deuxième fois ! Mais celle-là ce n’est pas moi qui l’ai ramassée. C’était à une dizaine de mètres, sur un passage piéton. C’est un autre passant, qui s’en est chargé. C’est avant-hier, qu’en rentrant, j’ai dit à Thiago : « Je viens de ramasser une dame ! » Sur un trottoir. « Elle tombe en arrière… », dit une nana à une table à ma gauche !!! Prenant... le contre-pied ! La mienne c’était un putain de vol plané en avant ! Sur plusieurs mètres. Impressionnant. Au même endroit, quasiment. Elle a buté sur un morceau de bitume qui dépassait. Je ne les entends pas, disais-je des Synchronicités. Mais là c’était... le contraire ! Je n’ai rien vu, juste entendu ! Un « bim ». Si l’on peut dire ça, du son... d’une poêle qui percute le sol ! Que je n’ai pas vu non plus – je n’ai pas vu, ni la dame, ni la poêle, voler ! La dame était par terre, quand vers elle le bim de poêle mon regard a attiré. La dame m’a montré le traître carré de goudron qui affleurait et l’avait fait valdinguer, dans la descente (dans le sens où elle allait) de l’avenue Mac-Mahon. J’ai supposé qu’en plus elle devait marcher assez vite, ce qu’elle m’a confirmé. La pauvre, elle était sonnée. « Vous vous en sortez bien ! », lui ai-je également déclaré, car pas de gros bobo. Son épaule droite, sous l’épaisseur de son emmitouflage d’hiver, a bien encaissé le coup. La Chute 2 : « Ça fait deux, comme les pouces », m’est spontanément venu à l’esprit. + Un truc avec « signe », genre « c’est quoi ce signe encore ? » Là, un autre « genre » dans ma tête, en réfléchissant à ma phrase suivante : genre l’illustration de comment tout est en train de se casser la gueule... La fille de la chute en arrière, en même temps : « Genre... » Quand en même temps que le signe dans ma tête (« c’est quoi ce signe encore ? ») ce fut une autre nana, à ma droite : « C’est un signe. »