Épi... logue ? Mon (ancien) log : « Qui ça ? Moi ? » Non. « Alors qui ? Quoi ? » Qui vivra, ici-bas, là-haut, verra.
Fin du Film d'Avril
Du 20 au 22. Le Fil de la Vie se déroule. Mais un jour : Fin de la Bobine. Jack, et tes camarades de plongée, désolé, vous avez fin-bobiné.
Je voguais avec Jack et ses camarades de plongée, à bord du « Titanic », dans ce qui a d'abord été, au Chamou 67, une Relec-6-è. Mais dans ce bateau-topo, oh ! oh ! oh ! ça faisait trop d'eau. Il risquait de couler, mon Chameau... euh... mou. Et Dieu sait si les chats, mous, durs, n'aiment pas l'eau. Originalité du propos. Parfois, oui, je sais, c'est un peu trop. D'aucuns... la (grande) majorité ?... préfèreraient que je m'exprimasse plus simplement, que j'expliquasse, tout simplement : que, trop long, pour une Relec-6-è, c'est devenu cet épilogue. La (grande) majorité : « Que nous aurions préféré que par cet unique terme tu l'eusses intitulé. » Ah, vous voyez, vous aussi vous chiadez. C'en est un et ça n'en est pas un, ne serait-ce qu'en ce qu'il constitue un dépadadoudage, en principe strictement interdit. Mais c'est ma soirée... euh... mon wiki, et j'ai décidé qu'il en serait ainsi. De mes propres règles je fais fi, et refile :
On peut manquer de fin-bobiner, et finalement conti-bobiner. Perso, j'ai failli fin-bobiner quelques fois, dont une au Rwanda. En Afgha, ça n'était pas très loin (distance entre moi assis à mon bureau et une bobi... euh... bombinette dans le jardin) non plus. Autre failli-fin-bobinerie en Hisponiola. Haha. Qui rimera rira. Cette fois-là c'était en un bout de fil en Haïti, la partie occidentale de l'île. Une autre encore, « dans le Montana »...
Pourquoi ces guillemets ?... Je coole le début du Chamou 67, ce sera plus... simple :
- And now, what?! Inde nao, ouate ?! Inde : ok. Nao : « non » en portugais ? Ouate : zeu pape ? Ou : quoi d’autre maintenant ?! Ainsi Leonardo Di Caprio pose-t-il la question, dans Titanic, à la divine Kate Winslet (un de mes plus grands Amours de Cinéma avec Emmanuelle Béart dans Manon des Sources et Jean de Florette il y a trente-quatre ans), juste après le crac-boum du paquebot dans l’iceberg. On s’arrête un instant – ça fera ça de plus à Jack et aux quelque mille cinq cents autres victimes du Paquebot de la Mort à vivre –, sur Emmanuelle Béart, dans Manon des Sources. Emmanuelle dont je me suis d’abord dit « Génial, ce prénom, pour “un des mes plus grands Amours de Cinéma” ». Mais le meilleur suivait juste après : l’anagramme (encore !) de Manno !!! Voilà. Je relance la bobine au début de la fin du héros du bateau et de tous-toutes les autres sur le pont... euh... point, avec lui, de tomber à l’eau. Lui, au moins, aura bien profité de ses derniers instants, dans des ébats torrides avec Kate. À ce stade du scénario ielles en sont encore à faire les zigotos. Mais inde nao ouate dans le monde ? Un début de fin aussi, avec une pandémie.
- À mon retour d’Inde, les flots d’informations sur le coronavirus déversés par la radio et la télévision ont fini par m’atteindre, au cours des quelques semaines qui ont précédé la mise aux abris. [...]
Mince, ça n'explique pas les guillemets du Montana. Ah, c'est là (Chamou 69 ; bé oui, dans zi inde de zi inde, maï freynde) : « Je blague un dernier coup avant d’écrire non pas “THE END” [zi inde] parce qu’on n’est pas dans le Montana [aux États-Unis]. » Bon, dé-guillemettons et dé-dans-le-zons : failli-fin-bobinerie au Montana, l'hôtel de Port-au-Prince qui, lors du tremblement de terre du 12/01/10, s'est écroulé. Comme toute la capitale. À quelques jours près, j'aurais pu y « rester ».
Ça fin-bobine, ça zi-inde (ça la-fine)... Pour Aita ça vient d'inder, ça y est.
À la télé, à propos du pape, mort ce... 21 avril (Dieu mon... 21-Avril !!!) : « Il n'y a pas eu d'agonie. Il a eu une belle mort. Dieu a dit “ça suffit”. » Agonie miraculeusement abrégée pour Aita aussi. Au 22TT, depuis ma table verronde côté fenêtre j'ai dit à Thiago allongé devant sa tablette dans le canapé à l'autre bout (ouh !...) de la pièce (...de notre 18m2), en lui montrant la vidéo de France Info, que j'ai mise sur pause, sur l'écran de mon ordi : « Mon père est mort le dimanche de Pâques, ma mère était partie le jour de la Toussaint, et regarde qui est mort, après mon père. » « Franciscooo !!! » Ooohhh !!! C'était joliii !!! Comment c'est sortiii !!! De la bouche, de mon Brésiii !!!... lien. Francisco, un Franco 6-é. Ouate-zeu-pape à Sabine et Denis : « Mon ordi aujourd'hui. Repose en Paix Renard. » Photo à l'appui : du fond d'écran de mon ordi. L'image, pour l'occasion, choisie par lui, d'un renard dans la neige endormi. Pas très raccord avec le temps du moment, quoiqu'avant-hier : record centenal, un mètre de neige tombé dans les basses Alpes en une heure. Rallumage d'ordinateur, un peu après minuit, la date « mardi 22 avril » barre une photo du téléphérique du Pain de Sucre à Rio !!! Un des moments les plus fantastiques de mes jours parmi les plus fantastiques, passés à Rio, avec Thiago. Rallumage suivant : le Renard revient, il est toujours vivant. Bon, ça c'est la chanson, avec un matou (dur ou mou ?) et non notre renard, dedans. Celui-là dort, majusculé il est mort. Dernier rallumage de la série à 3:33. Ce qui me conduisit, à une heure si tardive ? Pas une nouba en tout cas.
...333 rallumages d'ordinateur et de téléphone portable plus tard... S'il y avait moyen de vérifier, je parierais que c'est ça. Entre temps il y a eu : fin de longue incertitude et angoisse quant à savoir si je pourrais me rendre aux obsèques de mon père... Comment la question peut-elle se poser ???... Il faut vraiment que... Bref. Maouaza de Sabine : « Si c'est un problème financier, on peut t'aider. [Com joujou j'ai UN problème, dans la vie. De tous les autres : finances, que sais-je ?... je me sors et me sortirai toujours !!! 13h33 quand je retranscris ça.] On aurait vraiment tous envie que tu sois là. Fais comme tu peux. » [17h09, l'heure de son maouaza ; à 7h37, Denis, lui, m'avait écrit : « Cher frangin. Viens partager ta tristesse avec nous. Quand arrives-tu ? » ... J'attendais... un signe... que « ça bouge »... une main tendue... Ultime hésitation de quelques secondes, puis allez !... regarder les trains... Les horaires de celui susceptible de me convenir : départ de Paris à 12h33, escale de 33 minutes à Bordeaux, arrivée à Baiona à 17h22. Débile, ma synchronicimanie, pour beaucoup, mais c'est très pratique. Ma chiffropathie, là, a fait que, sans plus hésiter une seconde, j'ai écrit à Sabine : « OK. Prends-moi mon billet. » Je ne pouvais pas me le payer... avec ma CB... Ma situation était compliquée... à un peu tous les niveaux en réalité... Sur « Dernier rallumage à 3:33 », je suis repassé à 14h41, tandis que Telpo sur lequel je tapotais ça m'affichait un tadar de 88 %.
C'était dans le train du retour de Baiona à Paris. Ma chiffropathie m'a de nouveau servi. Le 14:41 qui me dit : demi-tour ? Repartir à Baiona ? Vraiment ? D'autres éléments ? Le 88 : doublage de doublage de doublage (double 8, double 4, double double 4) + l'âge auquel le pape est mort. Celui de mon papa + 1. Le jour de la mort de mon père + 1, le même week-end de Pâques. Et ses funérailles ont lieu le même jour que mon père, à la même heure + 1. Que d'eau au moulin. C'est certain ? Je réfléchis... Mon regard hagard accroche le 13 du siège à ma gauche... le pape a été élu le 13/1/13... puis le 22 de celui de devant... Nécessité de dmitrer confirmée. Mais on a passé Bordeaux, trop tard. Dès qu'on arrive à Paris je repars. Dans ma nochiée, après « Dernier rallumage à 3:33 », j'avais : né en 36, 266ème pape. Un né en 3 et 3-3 (3x2) suivi d'un 6 et 6-6. (Encore) un 333 suivi de son... (vilain) double. Au salo du 22, sur la note de mon café à 3 euros : table 300 – 3 – Mohammed. J'enchaînerai sur le Maroc. C'est du hasard-aide-allah-décision.
Arrivée à Paris. 18:37 qramé popote. Tadar 76 %. ASAR... euh... ARAS (absolument rien à signaler) : pourquoi, comme le voudrait la normababilité, n'est-ce pas beaucoup plus souvent le cas ? Tout le mystèèère est là. Je n'ai pas pu cafcloper à la terrasse où j'ai l'habitude d'aller, la première en sortant de la gare. Pour finalement trouver la seule table libre, sur une centaine de mètres, au soleil. Me retrouvant à prendre le métro à... Gaîté. Pour chapeauter un épisode sous le Signe du Deuil. Quels magnifiques Adieux, encore. Que la tristesse a disputé, non à la gaieté, nous n'irons pas jusque là, mais à la beauté d'une cérémonie par laquelle l'assistance à été éblouie. Si j'en crois les commentaires élogieux dont j'ai été assailli. Sur tout son déroulé et la manière dont Sabine, Denis et moi avons su rendre à notre papa un hommage à l'image, et à la hauteur, de la personne qu'il était.
Mamadieux (ça marche aussi pour un papa), dans l'ordre de passage :
Sabine :
- Papa,
- Me voilà orpheline.
- Je retiendrai de toi, mon cher papa, entre autres :
- - le plaisir que tu avais à nous amener à la plage de Miramar
- - tes talents de moniteur de ski et cette passion que tu m'as transmise ainsi qu'à Marc, Léa et Hugo
- - ton intérêt et tes facilités pour les travaux qui nous ont permis de nous installer avec Marc dans notre premier nid douillet rue de Masure
- - ta gentillesse, ton humour et ta sensibilité.
- Je sais, j'ai compris que tu as fait comme tu as pu, partagé entre l'amour pour tes enfants, tes petits-enfants, ta famille et le besoin de vivre ta vie.
- Je te pardonne papa et surtout te remercie pour tout ce que tu m'as transmis.
- Je t'aime papa, pars en paix.
- Embrasse maman pour moi.
- Vous allez me manquer.
Moi :
- Nere Aita maitia,
- Mon papa chéri,
- Si je devais garder un seul souvenir de toi, ce serait le suivant. Otto Jean-Claude, au lycée René Cassin, près de... chez nous, Villa Arans, a fait la connaissance de Taïnam, devenu un ami de la famille. Resto à Paris, il y a une trentaine d'années, à proximité de là où habitait alors Joseta, avec elle, toi et Ama. Celui de Taïnam et de sa femme Virginie, tous deux d’origine cambodgienne. Aux murs, des affiches avec ce titre, en grand... attention, accrochez-vous : « Indochine française » !
- Nous nous sommes installés à une table, toi dos au mur, moi face à toi. Tu t'es retourné sur l'affiche dans ton dos [non pas une impossible contorsion ; c'est un raccourci], l’as observée quelques secondes. Puis, dans les yeux, tu m'as dit, d’une voix douce, dans un léger sourire, un mélange d’incrédulité, d’une profonde désolation et d’une sorte de mansuétude : « Tu te rends compte !... »
- Je n'oublierai jamais ton air, ton regard, dont transparaissaient toute ta sensibilité, ton humanité et ta conscience politique... Aussi émouvant qu'à... mourir de rire ! Te balancer, nous balancer, cette « Indochine française » ! Si on avait pu dire à ces pauvres Taïnam et Virginie ce qu'on en pensait ! Et encore ton pays (d'origine, du moins) n'est-il pas, ou plus, colonisé ! Hahaha. Assez ri. Jaune.
- Je suis fier et heureux d'avoir pu passer beaucoup de temps auprès de toi, comme avec Ama – bien que le plus souvent exilé –, profitant de vous, jusqu'au bout, et contribuant, dans toute la mesure du possible, à tout ce qui a dû être entrepris à la fin de votre vie. Et je crois qu'on peut difficilement rêver de plus belle relation avec son papa que celle que j'ai entretenue avec toi. Peut-être plus profonde encore qu'avec Ama... ça n'est pas peu dire..., sur le plan... spirituel, notamment je dirais. Car tu es resté plus longtemps, et j'étais moi-même plus loin sur mon Chemin.
- C'est un beau cadeau que je t'ai fait, je sais, que ma Foi retrouvée en Dieu. Sur notre Foi, l'Au-Delà, nous avons pu tant partager. De même que sur tous les autres sujets. Et si on ne... croit pas encore : ta Révérence à Pâques, celle d'Ama à la Toussaint. Encore plus fort qu'elle... décidément..., dans tes pas vers l'Au-Delà : le Pape ! Rien que ça. Appelé à son Patron, le notre à toutes et tous, un jour après toi. Ses funérailles ? Une heure après les tiennes. Bon, en un lieu un plus... grandiose...
[Qui n'enlève rien à la beauté de celui-ci, aurais-je pu ajouter ! Pardon monsieur le curé. Il était très bien, tout le monde a également beaucoup apprécié sa prestation. Comment il a jonglé. Entre paroles pour les croyants et paroles pour les athées. Et évoquant nos Mamadieux pour illustrer les divers modes d'expression de l'accomplissement de la Mission d'Amour, qu'on la croie ou non assignée par Dieu, qui devrait être celle de tout-toute un chacun-cune.]
- Nous avions en outre en commun l'amour... des droits humains ! Qui bientôt, tu verras, déploieront toute leur puissance ! C'est un peu mal barré, au vu de l'évolution de la situation de ce pauvre monde, pire que dans les scénarios les plus flippants que l'on eût pu imaginer ? Oui, c'est certain, il faudra un Sacré Coup de Main du Divin !
- Tu étais un homme bon, tellement apprécié de toutes celles et tous ceux qui ont eu la chance de te côtoyer. Tant aimé de ton Pierre chéri aussi, qui depuis de nombreuses années partageait ta vie. Que de délicieux moments passés avec vous deux.
- Je t'aime, mon papa chéri.
- Tu vas tant me manquer.
[Bonus. Je ne te l'ai pas lu. Le temps... était compté... Mais gardons :
- Amour, Paix, Justice. J'ai envie de résumer par ces mots les Grandes Valeurs qui t'ont porté, Aita, ainsi qu'Ama, et que vous nous avez léguées. Vous en parlez, dès que vous vous serez rejoints là-haut, et vous me le confirmez ? Non parce que c'est comme ça que je le vois, en gros, notre héritage. Je dis « notre » parce que je pense que Sabine et Denis seraient assez d'accord avec moi. On a bon ? Hamdoulillah.]
Denis :
- Mon cher Papa, Il y a trois mois, nous avons déjà cru te perdre. En pleine nuit, l'interne nous avait appelé pour te dire au revoir, incertain de ton sort. Mais tu n'avais pas dit ton dernier mot... c’est qu’il était costaud le bonhomme. Dans la nuit de samedi à dimanche, cette fois, tu as rendu ton dernier souffle. Ton état général s’était beaucoup dégradé ces derniers jours. Je suis venu te rendre visite quelques heures avant ton départ, et te voir ainsi souffrant a été une épreuve terrible. À ce moment, on ne pouvait que souhaiter que la libération frappe à ta porte, et c'est ce qui est arrivé, Dieu Merci.
- C’est toujours difficile de perdre un parent, surtout que tu étais le dernier, ama étant elle partie, il y a six ans déjà, un peu dans les mêmes circonstances. Même si notre relation n’a pas toujours été facile, il y a une dizaine d’années, nous avons pris le temps et le courage de discuter de notre vie passée. Cela avait permis, grâce au pardon, de partir sur de nouvelles bases et d’entamer une relation plus paisible. J'ai su alors te voir avec un autre regard et prendre conscience de toutes tes qualités et de toutes ces belles valeurs que tu portais.
- Tu étais quelqu’un avec beaucoup d’humanisme, tu n’aimais pas l’injustice et tu étais toujours prêt à défendre les plus faibles et vulnérables. Tu avais un grand sens de l’humour. Et tu étais quelqu’un de très fin, toujours ouvert à la discussion. Tu as su nous mettre à l’abri, toujours prêt à nous aider et ceci jusqu’à la fin. Tu aimais beaucoup bricoler et n’hésitais pas à filer un coup de main. Tu aimais également le bon vin et les bons petits plats que tu cuisinais volontiers pour les gens que tu recevais.
- Tu as toujours fait du sport et tu as gardé tes beaux pectoraux et ta silhouette jusqu’à plus de quatre-vingts ans. Je crois qu’on peut dire que tu as eu une vie bien remplie et que tu peux partir pour ce nouveau voyage, l’esprit tranquille. Merci pour tout ce que tu as fait pour nous, tu peux être fier. Tu vas laisser un vide, mais je garderai toujours un souvenir d’un papa aimant que j’aimais très fort également. Milesker Aita Adiorikez !!!
Micro, brièvement, à Léa et Hugo les petits-enfants, puis Cousine Bernadette s'étend (tant... mieux, plein de choses elles nous apprend...) :
- Régis, c'est à travers ces quelques mots que je voudrais ranimer ton histoire avec le Sud-Ouest et plus particulièrement le pays de Saint-Émilion où tu es né. Tu en es parti relativement tôt pour pour épouser le pays basque. Cependant ton histoire, ce sont aussi les liens familiaux que tu as toujours su préserver dans le temps, avec une intensité à la hauteur de tes disponibilités. Mais lorsque tu revenais sur tes terres natales, tu y étais vraiment.
- Je n'oublie pas la présence chaleureuse et attentionnée que tu as eue auprès de mes parents, et plus particulièrement auprès de ma mère dans la dernière décennie de sa vie. Tu as su donner de ton temps pour venir partager à plusieurs reprises, avec elle, quelques jours de vacances, même lorsque la maladie interférait douloureusement. Elle était très attachée à toi. Vous avez partagé des moments de vie très intenses.
- Tu as vécu plusieurs mois à Bordeaux, chez mes parents, pendant tes études à l'École normale. Il y a donc eu des sorties et des moments festifs. Mais il y a aussi eu, à cette époque, de longues semaines où tu as accompagné ton papa, hospitalisé pour un cancer. Vous avez donc partagé le traumatisme de cette maladie à une époque où la prise en charge des soins n'était pas celle d'aujourd'hui. Ceci a sans doute cimenté une relation à jamais indestructible.
- Ceci étant, il y a aussi eu des périodes plus calmes, doucement familiales que tu venais partager à Bel-Air, dans la maison natale de ma mère, où tu as laissé la trace de ta patte de bricoleur. Tu aimais cette maison, où tu venais partager une poêlée de cèpes. Tu n'étais pas le dernier pour partir à la cueillette avec ma mère, dans les bois de la double [?]. Moi j'ai un peu hérité de cette belle relation bien construite et ancrée dans le temps, comblée de ton bel humanisme.
- Enfant, Jeannette et toi m'avez accueillie en vacances. Je n'oublie pas l'apprentissage de la natation sur la plage du Miramar, et mes premiers pas aux fêtes de Bayonne dans les heures les plus sages. Aujourd'hui, cette histoire nous permet avec ma famille de vivre de vrais moments de bonheur avec tes enfants et petits-enfants. Ils occupent une place de choix dans notre cellule familiale, et nous les entourons de nos plus chaleureuses pensées.
Gaîté. Montparnasse. Mon chéri m'attend ? Au 22TT ?
Gaité ? Ou... désespoir ?... Dans lequel mon bébé m'a (de nouveau) plongé, ne me donnant... plus le moindre signe de vie... après que je suis parti. De notre TT. Samedi. Pour le train de 33. À destination de Baiona. Arrivée à 22. Bon, chemin faisant (dans mon choix du train), je réalisai que, non, c'était à Ondres qu'il fallait s'arrêter. C'était prévu ! À Ondres, un arrêt. Pour le train que j'ai regardé en premier. Regardé ? Je ne suis pas une vache, mon appart' n'est pas avec vue sur chemin de fer. Ça suffit. Les indices. Pour déduire ce que ça signifie. J'aurais pu tomber... De ma fenêtre ? Si j'étais une vache dont l'appart' aurait vue sur chemin de fer et qui s'y serait trop penchée, estimant ne jamais pouvoir assez bien contempler ses trains ? Ça suffit. Les conneries. J'aurais pu tomber, sur... le site de la SNCF, sur un TGV jusqu'à Baiona, auquel cas sur le petit bout de quai faisant office de gare, dans le bled landais, de stop il ne pouvait s'agir d'escompter. Or c'en était bien un faisant escale à Bordeaux, où c'est un TER que les passagers-gères doivent ensuite attraper. Qui s'arrête partout. Y compris dans ce trou. Qui rimera rira, et à la plage ira.
Pas loin, qu'elle est, depuis ledit quai. Station balnéaire s'il en est, alors pour un trou, vous repasserez. Pas bien grand, non, ça n'est, mais que de vacanciers-cières, de partout, l'été ! Par l'office de tourisme de la ville j'ai été embauché ? Pas que je sache. Alors reprenons un rail... euh... le rail : c'était à Ondres que je descendrais. Où je louerais, comme à chaque fois depuis que je ne vais plus chez papa, qu'il n'y a plus de chez-papa, l'appartement de la sœur d'Anne, établie... en Guadeloupe ! La sœur. Anne et son mari Michel, anciens voimis de papa, comme « voimis » le dit, à Ondres ielles habitent, elleux, s'occupant des locations de la guadeloupée, comme je le fus, et m'accueillant à chacune de mes arrivées. Heure de celle-là ? 17h17.
Dans le train de Paris à Baiona, j'étais en mode avion. Sans connexion. J'ai cru à un problème d'impayé, n'ayant pourtant pas dépassé le délai, me semblait-il, pour la facture concernée. Ce n'est qu'une fois mon logem'Ondres intégré que j'ai réalisé que je m'étais hors-ligné, je ne sais quand ni comment. Thiago était sorti, vendredi dans l'après-midi, pour le boulot, m'avisant toutefois qu'il serait de retour, le lendemain matin, avant mon départ vers 11h30 pour le métro. Mais no. 15h22, quand ici je mais-notte. Quand je me suis reconnecté : aucun message de lui. Je lui ai écrit « chéri appelle-moi ». Mon message n'est même pas passé. Ce n'est que le lendemain en fin d'après-midi que j'ai vu qu'enfin il m'avait reçu et lu... mais pas répondu... Je lui ai réécrit. Plus rien, de nouveau, ne passait...
Gaité ? Je vais le trouver, quand je franchirai la porte du 22TT ? Ou désespoir ? Il ne sera pas là, voire... il aura disparu, il sera parti, emmenant toutes ses affaires ? Des raisons de le penser ? Il ne m'aime pas, plus, mon bébé ? Ça allait plutôt bien ces derniers temps. Malgré une petite dispute. Mais il n'était pas du tout fâché, quand nous nous sommes quittés. Au contraire, il avait été d'une grande douceur et tendresse, quand je lui ai appris que mon papa était décédé. Il avait même parlé de m'accompagner...
Gaité ? Désespoir ? Le mardi 29 avril aux alentours de 19 heures quand... j'ai tourné la clé ?... Elle a fait deux tours. Merde, il n'est pas là. J'ouvre la porte, je rentre... « Tout » (ses affaires) est là. Il est repassé, deux fois apparemment, la deuxième fois rapidement... Le plus rapidement possible ? Il y a cette trace de semelle de tennis sur le canapé... Il n'a pas pris la peine de se déchausser pour monter dessus et attraper... quoi (en haut du placard) ? Il continue de ne pas réceptionner mes maouazas. Je l'encule une fois puis une deuxième le lendemain.
Gaston ! « Quoi ? » Toujours pas de réponse du garçon. « Moi c'est quand y a le téléphone qui son qu'on me sonne. » (Le Matou : « C'est encore une chanson. La vie est plus marrante... C'est encore une chanson. ») Ah. « Désolé, je ne peux rien pour toi. Tu n'as qu'à prier. » Haha. « Quoi ? » Je ne fais que ça. « T'as demandé à ton papa, de t'aider ? » Oui ! Dans son cercueil ! « Il fallait rester à l'extérieur, peut-être que ça l'a contrarié. » Oh ! Arrête ! Il ne manquait plus que toi, à mes Pote-tesses de la Banda Divina ! « Ouh là ! Je ne rivaliserai pas ! C'est une PAP[1], des Écrites [2]. On s'est bien amusés en tOU-OUt cas, avec le colonel, dans ton bureau, au Rwanda. » C'est ça, c'est le moment de nous raconter nos souvenirs. Tu veux pas un verre tant que t'y es ?
J'ai rencontré Thiago le 8 janvier 2023
Le lendemain... de l'anniversaire d'Aita. Sa sœur est du 7 janvier, comme Aita. Notre relation est née ce jour-là, et va mourir avec la mort de mon papa ? Un record de tous les temps d'Ironie du Sort, ce serait. Et qui, jusqu'à la fin des temps, le demeurerait. Une Palme d'Or de tous les diables. Un Ange passe (séchage)... Vysir, le ticket de mon café. Oh ! Après la date : 17h07. Et derrière moi j'entends : « ... train... » Non c'est pas vrai, j'ai rêvé. Je tends l'oreille : « ... la chercher à la gare... ». Gare-toi... gare ton... garçon... merde, c'est quoi déjà ??? Gaston : « Quoi, moi ? » C'est qui ? « Gaston. » Oui, Gaston ! « Eh bé, quoi ? » J'ai oublié. De toute façon tu n'es pas un P de BD, tu n'as pas de poutanas. « Mais ton papa ??? Tu n'as pas fini de nous raconter. »
Oui. Le mercredi 23, Sabine me maouazate qu'Aita serait visible, dans son cercueil, jusqu'au jeudi 16h. Porté par le Flux Sœur Chérie qui m'a finalement fait lui faire prendre mon billet, je lui téléphone pour lui dire que justement j'y pensais... : ai-je envie, besoin, de le voir, une dernière fois ? Ou bien je reste sur mon impression du très beau Tout Dernier Moment passé avec lui, en un après-midi entre Ehpad de La Martinière à Saint-Martin-de-Seignanx et Bord de Mer à Angelu ?... Elle était en route, quand je lui ai téléphoné, pour le funérarium de SMS.
Des amis-mies devaient l'y retrouver et, quand elle aurait terminé avec elleux, elle me rappellerait. Dans l'heure, ce fut fait. L'Adieu de visu, en visiouate-zeu-pape, à Aita. Son visage ? Il aurait pu m'effrayer. Méconnaissable. C'est le qualificatif qui m'est venu mais que je n'ai dit à Sabine qu'à demi-mot... Visage creusé, paumettes saillantes voire enflées, énormes cernes... « Méphistoïen » m'a également traversé l'esprit... J'efface !!! C'est (évidemment) un Moment de Grâce. Je suis transporté, le vis du plus profond de mon Âme, riant, pleurant... À Aita : « Mon papa chéri... tu ne veux pas me laisser ne pas venir, mais j'espère que ça ira, aide-moi je t'en supplie, aide-moi... »
C'était doux, au téléphone, avec Sabine. Mais le ton a changé, quand je l'ai eue au funérarium, et avec cette réflexion, à un moment donné : « Qu'est-ce que tu ne me fais pas faire ?! » Ou quand je lui ai demandé pour plaisanter, osant prudemment le mot « méconnaissable », pour Aita, si elle était sûre que c'était lui et si elle ne s'était pas « trompée de chambre mortuaire ». Ça ne l'a pas fait rire, et il y avait comme un agacement, dans sa réponse : « Non !... Je ne me suis pas trompée... » Elle a répété, cette fois à l'adresse de ses amis-mies : « Qu'est-ce que je ne vous fais pas faire ?! » Ah d'accord, pensé-je, tout le monde est encore là... J'ai dit à Sabine ma joie de vivre ça, tentant de la « détendre », et peiné que j'étais par le ton réprobateur que je percevais...
Cette attitude à mon égard, depuis quelques temps, tout ce qui pouvait « se dire » sur moi... Je déconne, tu déconnes, nous déconnons. J'ai pu déconner, à mes heures... Comme dans mon départ le plus précipité de ma vie : de chez Aita, le jour de ses quatre-vingt-cinq ans, pour Paris. Où, dès le lendemain, j'ai rencontré Thiago. Quelles forces m'avaient poussé ?!... Le rangement et débarrassage, dans mes affaires, ne furent pas tout à fait accomplis, par mes soins, à la mesure de ce qu'il aurait dû l'être. Furie de Sabine et Denis, quand il a fallu vider la maison d'Aita, peu après, en vue de sa vente, et organiser son déménagement à sa résidence sénior de Baiona...
Malgré cette « provocation » (comment mieux tendre le bâton pour se faire battre ?), je ne démordrai jamais de ce que j'ai toujours affirmé, à savoir que pour tout ce qui a dû être entrepris à la fin de la vie tant d'Ama que d'Aita, je ne suis absolument pas en reste ! Et l'étiquette de boulet (la pire tare – je préfèrerais presque un fasciste-mais-fiable, sur qui on peut compter, dans la vie ; un fasciste gentil, tant que j'y suis), je ne me laisserai jamais accoler. J'ai « contribu[é], dans toute la mesure du possible, à tout ce qui a dû être entrepris, à la fin de votre vie », ai-je déclaré ? Aux obsèques d'Aita. Mais qu'est-ce qu'Aita, depuis son cercueil, avait voulu me faire dire ? Que j'avais « largement accompli ma part de tout ce qui [avait] dû être entrepris à la fin de [leur] vie » ? Ainsi que je l'avais d'abord écrit. Car est-ce toi Aita, ou sont-ce mes poutanas, qui ont voulu que j'entendisse comment... Sabine a bavé sur mon compte, à l'adresse de ses amies-mis, et au pied de ton cercueil ? N'hésitant pas à... profaner... ce moment...
En effet, après que Sabine et moi nous sommes adiobisoutée-té, ça n'a pas coupé. Re « ooouuuhhh !!!... là, là !... mais qu'est-ce qu'il ne me fait pas faire ?! », ou « qu'est-ce que je ne vous pas faire ?! », puis du « bon, j'sais pas, d'abord il a rigolé... », assez méprisant, du « j'ai dû lui prendre son billet ! », suivi d'un splendide... y a pas mieux ?... me relisinterrogé-je... qu'est-ce qu'en dit mon stylo... tout un tas de truc marqués dessus... « hé, Zavyé ! »... ne recommence pas, moi... « ZÜRICH by Fassbind – Hôtel du Théâtre »... Théâtre du Splendide ?... splendide !... alors va pour « splendide »... un splendide quoi ?... ça : « Parce qu'on en est rendus là, quand-même ! » Ma bonne dame. La communication, « enfin », s'est interrompue à ce moment-là. Comme si QUIII ???... avait jugé que c'était bon, que j'avais entendu « ce qu'il fallait »... pour avoir... « le coeur net », quant à l'opinion que l'« on » pouvait désormais avoir de moi, quant au fait, en tout cas, que je ne paranoïais pas...
J'ai cru... tomber de ma fenêtre. À la barre transversale extérieure en fer de laquelle j'étais accoudé, tout le temps de l'Adieu-visiouate-zeu-papage. Thiago était là, j'avais voulu adieu-visiouate-zeu-paper en bas, devant la porte de notre immeuble, sous notre joli 22 faïancé [10:22 qp pour relecture dans le métro et inscription des corrections, pour la première fois, dans le Cahier « Morse Code »/Foxtrot-Tango (morse du F et du T), cadeau de Thiago], mais pas de connexion... Maudit mode avion déjà activé je suppose parce qu'effectivement ça a duré quelques jours cette histoire... J'ai dû remonter... Tellement sonné, j'ai ensuite oublié de lui dire « désolé chéri, je n'avais pas de connexion à l'extérieur... » J'espère que ça ne l'a pas trop troublé... C'est un hyper-hyper-hyper sensible... Une sorte de HPI « lui aussi » ?... Un homme pas inquiet. Les HPI, ces cerveaux pépères... Il « voit » même des choses, comme je le raconte ailleurs... Il voit... Il a vu... Un cercueil !... Blanc. À la mort de son grand-père. Chez sa grand-mère. Quand il était petit. Qui n'existait pas. Jélica !!!... QUIIIII veut faire disparaître Thiago de ma vie ?????!!!!! Ouf je me suis trompé, en tapant son prénom. J'ai tapé Thaigo. Ce n'est... pas lui. Il ne disparaîtra pas de ma vie. Il est juste allé se changer les idées quelque part. Il va revenir. Ça ne peut pas se finir... COMME ÇA !!!!! Si diaboliquement. Aita ma venue ne m'a pas coûté la perte, en plus de toi, de mon Thia ! Noa ! Euh... Não ! Qui se prononce « nao », « nan » ? Entre les deux ? NOOOOOOOOONNNNNNNNN !!!!!!!!! Car « NOOOOOOOOONNNNNNNNN !!!!!!!!! », c'est « NOOOOOOOOONNNNNNNNN !!!!!!!!! » Tou-neuf-le-mastiquage bisû [de base + le relec-triplage]. Si ça ne tou-neuf-le-mastiquait pas là, où, je vous le demande, cela tou-neuf-le-mastiquerait-il ? [Résultat {3x9=27, 2+7=9} : ça neufe plus que jamais.]
Cracra, papa, comment, en mourant, tu deuzes, vingt-deuzes, trente-neufes (trente-septembres) et trente-troises. Extrait d'un doc du notaire d'Ondres. Un notaire de l'ombre. Comme trois Noirons que j'ai vus dans un parc à Paris : trois jeunes hommes noirs de peau et tout de noir vêtus. Trois larrons noirs. Rien à voir. Mais le notoire :
- Monsieur Jean Régis RENARD, en son vivant retraité, demeurant à Saint-Martin-de-Seignanx (40930) 424 route de l'Adour Ehpad La Martinière.
- Né à Libourne (33500), le 7 janvier 1938.
- Veuf de Madame Jeannette EXILARD et non remarié [...]
- Décédé à Saint-Martin-de-Seignanx (40930), le 20 avril 2025.
- [...]
- L'acte de décès numéro 34 de Monsieur Jean RENARD a été dressé le 22 avril 2025, et une copie intégrale en date du 22 avril 2025 est annexée.
AMA, AITA, SCORE FINAL :
- AMA
- 5/3/1937 – 1/11/2018
- 81 ans, 7 mois et 26 jours
- AITA
- 7/1/1938 – 20/4/2025
- 87 ans, 3 mois et 13 jours
Re-cracrAitage, ce vingt-quatre-vingt-cinquage (et treizage de clôture de bilan). Après le triplunAmage. Totof bisû surtout, le déparatoussaintage d'Ama et le déparapâquesage d'Aita.
Avant cet insert d'HommAmAitage, après le mastiquage, ça continuait comme ça :
Forces surhumaines...
... depuis des décennies, sur-sur-humaines ces dernières années, sur-sur-sur-humaines ces dernières semaines, qui m'ont fait tenir jusqu'à présent face à... Alors cette nouvelle monstruosité... Oui, c'est comme un deuxième monstre, cette... disparition, qui a pris possession de moi et s'est mis, avec l'autre, à me ronger.
Mon Corps et mon Âme sont le Temple de Dieu : démons de tous ordres, désolé, va aussi falloir vous faire vos adieux, car vous n'y ferez plus long feu.
« Je suis sorti et j'ai tout vomi » (c'était la suite) : à modifier, ayant encore tant inséré. Un 656 quand je commence à y réfléchir. Un 566 une fois « Je suis sorti et j'ai tout vomi » inséré. Deux quasi-666 de pamoncul (un 556 sur ce mot) confirmant la nécessité – outre la clarification requise – d'un peu dévomisser (dé-sissississer). Un 996. Un 677. Un 556. En un jet. Le propos était : une fois l'entrevue avec sœurette et papounet sur le PaPar (Palier du Paradis) [et sa stupéfiante prolongation] conclue, je suis sorti tout bazarder. Vroum, un RX : auto-validation. C'est moins sissississeux que le verbe en V. Bazardage (sur mon clavier, de téléphone portable, à une terrasse de café, comme pour la présente relectinserture, après laquelle, en retournant à mon 22, je suis passé sous un drapeau ukrainien accroché à un 22 – rue de Messine – et par une place de Rio de Janeiro) :
- Salut Sabine,
- Papa a voulu que j'entende ce que tu as dit à tes amis... Ou ce sont mes pouvoirs. Il me semblait que j'en avais quelques-uns, mais alors là... Un Phénomène n'allant jamais seul, message de Josette que je trouve juste après, me disant « les pensées bienveillantes de nous tous à ton égard pour te soutenir ». Alors que je venais donc d'avoir la preuve, de la plus incroyable et flagrante des manières, au contraire, des pensées ignobles à l'œuvre me concernant. Ce « sentiment » que j'ai, depuis longtemps... [...]
- C'est « marrant » parce que j'aurais presque perçu chez tes amis... euh... qu'ils n'en revenaient pas ?... qu'ils étaient eux-mêmes choqués ?... [...] Pas mal non plus, quand ils t'ont demandé où je créchais : « Bé vous savez, chez... » ... la dame dont je t'ai fait part du doute, heureusement, qui nous aura évité d'envoyer tout le monde au funérarium, au lieu du crématorium... Tout le monde peut merder... Le boulet que je peux être, en raison de la maladie, je veux bien le concéder. Mais pour ne pas correctement assumer les responsabilités « du quotidien », pour sa propre existence, si ce n'est subsistance, ainsi que vis-à-vis de ses proches : jamais de la vie. [...]
- Dois-je dire que j'ai eu le malheur de saisir cette main tendue ? [Allusion au seul... « premier » choc... Le suivant, jamais je ne l'aurais imaginé...] Je ne peux pas utiliser ma CB en ce moment... Des difficultés ?... Ok. Mais pas de souci je m'en sors toujours, tout comme j'ai évidemment eu prêté main (très) forte à d'autres moi-même... [...] J'étais content. Ton geste m'a mis du baume au cœur, et naïvement, j'ai pensé que tu faisais ça de bon cœur. [...] J'étais heureux que l'Amour semble l'emporter une fois de plus, heureux de cette espèce de petit miracle de nouveau, y voyant la volonté, sinon de Dieu, du moins celle de papa. [...]
- Tout semble de nouveau me crier : n'y va pas !!! Mon état, et cette ambiance... C'est par rapport à Thiago aussi que ça me rend malheureux... Parce qu'il veut m'accompagner, non seulement à Ondres, mais à la cérémonie ! Il a ses soucis, ses angoisses, lui aussi... Je voudrais tellement pouvoir ne lui apporter que du bonheur ! [...] Cela signe mon propre échec... d'homme de paix et d'amour pour lequel je me suis toujours senti, oui, une véritable vocation ! Ne cessant d'ailleurs de clamer autour de moi que c'était vraiment idiot de ne pas arriver à surmonter nos différends, dans nos relations, au sein de nos familles... Que l'on s'étonne que le monde ne tourne pas rond quand on n'est même pas capables de ça ! [...]
- Je n'ai pas l'habitude de nier mes responsabilités dans les problèmes que je peux rencontrer, dans mes relations, quelles qu'elles soient. Les torts sont toujours partagés. Je suis conscient des attitudes et des propos à la con qu'il a pu m'arriver d'avoir. Je pense être doué d'une certaine capacité de remise en cause, moi... Je connais le sens de tout ça. Je sais, quel est le véritable ennemi. Celui qui rend les êtres humains malheureux, qui a inventé... les conflits, les guerres, la misère, les... maladies...]
Je me suis arrêté là. J'ai laissé ces mots de mes deux à mon couillon[3]. Car ça m'a moi-même complètement gavé. Quiii ???... n'a pas voulu, que j'expédiasse cela ? Quiii ???... m'a sorti, de ce dégueulis ? Je trouvais zarbi que le but de cette opération... maintien de connexion !... (quand il ne fallait pas) pût avoir pour but un lavage de linge sal en famille. En pareilles circonstances !!!... Toi, Aita, tu voulais ça ??? Bon, que tu aies à cœur... que je vieillasse... « Qui ça ??? Moi ??? Je t'ai déjà dit un jour que je ne te laisserais pas me traiter comme une serpillière !... » T'as tant aimé que ça rire jaune, au crématorium ? Car c'est drôle et pas drôle, ça, dis-moi. C'était ça, notre relation de rêve ? C'était il y a looonnntemps. À la poubelle, le pas drôle, le linge sal, la serpillière. Non, pas la serpillière. Car c'est assez risible, ce que mon psy en avait analysessoré, quand je lui avais rapporté. « T'as l'habitude de te balader avec une serpillère, toi ? Je savais que j'avais un fils zarbi... » Hihihi. Bien déjauni. [Je le lui avais rapporté, aurais-je dû écrire, ça aurait moins marché, mais ainsi était-ce, dans le premier jet.]
Mon psy : « C'est curieux, non, cette façon de se féminiser ? » Ben c'est que les deux tiers des mecs, dans la famille Renard, c'est vrai qu'on est un peu pédés... Lessive de blanc à quatre-vingt dix degrés. À 17h17. Toujours le 2. Ah, et Denis m'a rassuré. « Ah oui ? » Dans sa nouvelle maison, c'est d'une chambre à coucher, seulement, dans un premier temps, dont il souhaiterait pouvoir disposer. « Qu'est-ce qui t'inquiétait ? » Ah, c'est vrai, je ne l'ai pas encore raconté. « Je te fais marcher. Don d'ubiquité des esprits éthérés, je t'ai déjà lu, de là où je suis. Jack et Rose, donc, aussi. » Pourquoi tu me parles de luile ? « Attention ! N'en verse pas, sur le feu ! Tu vas te comprendre, dans quelques lignes. » De vie ? Hmmm... il va y avoir des pompiers ? « Tu n'en pas assez eu, ces derniers temps, dans ta... vie ? » Ah, aussi, après le maouaza de Denis, ta fille... « Tu m'étonnes, après, qu'on soit tous... » Arrête. Toi et moi, c'es tout. Ça suffit. Après Denis, le MESSAGE de Sabine : « Coucou. Ce matin j'ai récupéré l'urne de papa (après la cérémonie de l'oncle de Marc [son mari], frère de Jeanine [sa {défunte} belle-maman], même âge que papa dcd le même jour). Denis a pris l'urne en attendant d'organiser le moment où l'on répendra ses cendres sur la plage d'Ondres. Bisous. » Tu te souviens ? C'est sur ma table de chevet chez toi qu'Ama poussière avait attendu son inhumation dans le caveau familial de son village natal...
« Les petites touches d'humour qui vont bien. » Hmmm... tu as vu, qui elle fut, l'autrice de ce trocon, à propos de mon petit discours pour toi ?... De plus en plus jolie. Son prénom i-rime aussi. Elle vieillit... magnifiquement ! Je vieillis, nous vieillissons... Ma vieillasse, sérieusement... C'est qui ??? C'est toi ??? Qui a tenu à ce que je veillasse à ce que l'on me respectât ? Au sein des milliards de bits ou je me bite (sur ce site), je me perds dans des hiérarchisations des Synchros et autres Phénos. Eh bien, Aita, définitivement : je te palmedore ! Tu as fait de ta pierre (« C'est MON Pierre, je te rappelle qu'on est... ») plein de coups. C'est toi, oui. Ça m'a rincé. Tout ensuite, au Pays, s'est déroulé de telle sorte que j'ai eu le sentiment de... récupérer ma famille. Ces énerfamigies négatives qui m'empoisonnaient se sont épanouies. Trol, ce lapsusbit (cette coquille informatique). Le v se pèse, et c'est l'exact contraire du mot voulu qu'il nous fait péter.
Je me fooouuus de ce que Sabine a sémessé... euh... dit, à SMS... De toute façon, je l'ai écrit ailleurs, je lui reconnais ce rôle d'aînée, de cheffe de la sorotrie... Qui ne veut pas dire que c'est elle qui doit tout assumer, paaaaas du tout... mais... juste : mes respects madame...
Le Tout Tout Dernier Moment d'Aita et Xabi ensemble, accompagnés de Sabine : d'Anthologiiie !!! Le Gaaag du Sièèècle !!!
Échouer, dans ma... Mission d'Amour ? Échouer, tes trois enfants, vos trois enfants, Ama ta Aita ? Je me disais bien, que ça n'était pas... Dieu possible.
Fin de cafcloptapotage en terrasse
Après un audiouate-zeu-pape à Zaza (de 2min42sec – 12:20 le lendemain qramé popote pour le rerevérifier). Mais avant de lever mon séant, ticket-sync-cherchage. Encore pas déçu du voyage.
18:20 qramé popote pour te coucher là (seulement ce qui m'excite), petit :
- La Lorraine
- 2 place des Ternes
- 01 56 21 22 00
[Et que je te 20-21-22-ise.]
- BAR TAB 224
- Biton B
[Ouaaarrrf !!! C'est quoi, ça ??? Et nous ??? Ne bitions-nous pas ???...]
- 1 x Café Expresso 4.00
- Clé 20-Serv 20
[Et que je te 20-sur-20-ise. Ça sent le Plan (Parfait de Dieu).]
- Caisse 6
[Et que je te 6-hé !-ise.]
Mon cul sur la commode... euh... déchaisé, je me rentre mais au bout de quelques mètres vois un truc... un uc... Je fais... demi-tour (arrivé à Paris : j'avais changé d'avis ?... non mais qui ???... me crut ?), me tiens de nouveau devant le restaurant La Lorraine, où je stationne une minute, à côté de la terrasse où, quelques minutes plus tôt, je siégeai... La musique à l'intérieur de l'établissement parvient à mes oreilles... C'est... Norah Jones ???!!! La chanteuse préférée de Thiago, qu'il est allé voir en concert à Florence avec une amie, où je l'ai rejoint quelques jours... Je n'entends pas bien, mais capte quelques paroles, les mouchinette, avec le nom de la chanteuse, sur mon téléphone portable. Il s'agit de : « Feelin' The Same Way ». We're feeling the same way my love, nous ressentons la même chose mon amour : je t'aime, tu m'aimes, toi peut-être pas autant que moi je t'aime, mais tu m'aimes je le sais, tu as besoin de moi, j'ai besoin de toi, tu ne m'abandonneras pas, tu reviendras, je serai toujours là pour toi, tu seras toujours là pour moi.
Le 25 septembre 2024, nous avions griffonné dans ton carnet :
Toi : « Mon chéri m'a donné encore une chance. Suis content. » Moi : « Nous nous sommes dit que nous nous aimons et que nous nous soutiendrions toujours. Que ça va changer, et qu'il n'y aura plus que de l'amour et de la tendresse entre nous. Il y a longtemps, tu m'avais dit : "Je vais changer, je ne serai plus qu'amour et tendresse." »
Bitonnage (ça le fait, en mélangeant quelques susdits éléments s'y rapportant) sur ce même cahier l'avant-veille de mon départ pour les obsèques de mon père :
Toi : « Chéri stp pardonne-moi. » Moi : « Oui mon Thiago, mon chéri, mon amour, je te veux jusqu'à la fin de mes jours, je veux vivre avec toi, qu'on soit heureux tous les deux, nous serons toujours là l'un pour l'autre. »
Un peu en retrait de la terrasse où j'étais installé avant de partir et de revenir comme si... Norah Jones m'avait appelé : « Xavier ! [À part « chéri », c'est comme ça, et non Xabi – ni Txabio d'ailleurs hihihi – qu'il m'appelle mon chéri.] C'est Norah, la chanteuse préférée de ton chéri ! Reviens écouter quelques notes de moi pour vous deux ! Pour votre amour éternel ! T'inquiète pas, il revient ! Il est juste allé faire un tour ! Tu le connais ! Vous êtes faits l'un pour l'autre ! Vous avez besoin l'un de l'autre ! Vous vous retrouverez ! Et vous vivrez ensemble, heureeeuuux !!!... jusqu'à la fin de vos jooouuurs !!! »
Tant et tant et tant de moments merveilleux au fil de notre incroyable aventure jusqu'ici, à Paris, Bilbo, Florianо́polis, en Bourgogne, à Florence, Rio, São Paolo, Essaouira (et São ira !!! Jumo, toutefois, qu'invaliderait Thiago : ça l'agace, qu'on dise “Sao”, « ça se prononce “San” ! », selon lui... bien que pas tout à fait mon chéri...), à Marrakech... Arrivé dans cette dernière, tandis que j'essaou-Sao-San-irais, Thiago s'était exclamé, au téléphone : « On va mourir ici ! » Au Maroc. C'est à dire, avait-il jugé bon de préciser : on va y finir notre vie... Tellement il l'enchante, ce pays. Il était tellement heureux et enthousiaste... Inoubliable sourire jusqu'aux oreilles, aussi, qu'il m'adressa, quand nous nous sommes retrouvés à l'aéroport la première fois que nous avons mis les voiles pour Essaouira... Et Rio ! Où on avait commencé à acheter un appartement !!! Pourquoi tout s'est petit à petit écroulé ??? Torts partagés ! Pourquoi la déprime, la maladie, la sienne, la mienne, ont-elles pris le pas ? Pourquoi ces assauts répétés du Diable, contre lui et contre moi ?
Je me suis énervé contre Thiago... Au cours de la nuit de notre dernière sauterie... Pas tout à fait sans raison... Mais après dans le cahier il avait écrit ces mots : « Chéri stp pardonne-moi. » Il m'a dit aussi : « C'est la première fois que tu t'énerves comme ça contre moi... » Je me suis excusé, moi aussi, le lendemain, lui disant : « C'est quand je suis très mal... » Et je l'ai félicité... pour son courage... Je les prends en photos, nos mots ?... J'allume mon téléphone portable : 11:44. Le 2 mai. Oooohhh !!!... C'est vrai, c'est... l'anniversaire de Denis... Je lui fais, tout de suite, son audiouate-zeu-pape... C'est fait. Terminé à... 12:02.
Aita, Gaston, Norah : « Tu lui as dit quoi ? Pas tout... » C'est qui Patou ?... Ne me hahatez pas, je ne plaisante pas, je ne voudrais oublier personne... « C'est personne. » Vous rigolez mais quand je me suis relu, au début... « Tiens, t'es quel style d'écrivain ? Du genre à te relire ?... » Bof, si peu. Et donc... ça ne m'était encore jamais arrivé : je me suis fait incendier par mes personnages (ça ne s'est pas entenlu). Je ne vous dis pas qui ! « Tant pis. » Mais si : Jack et Rose !!! Leonardo Di Caprio et Kate Winslet !!!...
Pas de brésilien aujourd'hui !!! « Tu veux ton Brésilien ou tu n'en veux plus ? » Sa langue. Je parle de sa langue. Ça parle portugais du brésil à côté. Interaction et rapports entre Portugal et Brésil, et leurs portugais respectifs : c'est de la balle, en vrai, de consévrer, con, c'est vrai, de converser, de ça et de tant d'autres passionnants sujets, avec mon T. C'est le mec le plus génial que j'ai jamais connu. En termes d'épaisseur de personnage, de richesse de profil (international !...), d'intelligence, de finesse, de drôlerie... « Plus drôle que toi tu meurs. » Moi, pas aujourd'hui. Parce qu'autant vous dire qu'avec toute l'eau, tout à l'heure, l'incendie... « Tu vois, pas besoin de Brésiliens, de Cambodgiens, rien qu'avé le Basque qu'est-ce qu'on rit ! Bon, qu'est-ce que t'as dit à Denis ? » Je trie alors (encore), voici :
- (Après l'avoir zorionaké :) Force et courage dans ta construction, ce projet magnifique. Bravo ! Chapeau ! Ainsi que s'exclama Sabine, lors de notre visite tous et toutes de ton chantier, en ce week-end meeerveilleux. Papa doit être tellement heureux de nous voir là, tous les trois, et tous ensemble, chez toi. As-tu déclaré aussi, Sabine, chez Denis. C'était sublime, tout était sublime, cette cérémonie pour papa. Elle a tellement plu. Les compliments ont plu. N'est-ce pas ? Vous en avez eu, certainement, comme moi, de tout le monde. Je ne sais pas si à chaque fois tous ces gens s'y sont pris à trois fois [rire] pour nous dire ces mooots !!!... d'une beauté !!!... [...]
- La réflexion qui me vient est que je crois qu'il y a au sein de notre famille une humanité exceptionnelle, qui fait que, comme dans ces moments-là, les gens sont, je ne sais pas, comme... éblouis... oui, c'est presque irréel tout ça... je suis moi-même presque surpris, émerveillé, de tous ces commentaires qu'on peut nous faire, mais c'était le cas aussi pour Ama. C'est même très instructif, je dirais presque sociologiquement, sur le bien que ça fait aux gens, dans ce monde qui se déshumanise, s'individualise, se fascise...
- Voilà pour cette Œuvre Ultime de nous trois pour nos parents. Bon, je n'aurais en l'occurrence absolument pas pu contribuer à la préparation de tout ça, dont je vous remercie [sanglot], moi-même, et vous félicite. Alors la mort, la vie, la vie, la mort. La vie, notre vie, la vie pour nous tous, pour nous trois, ma sœur et mon frère chéris. Alors mon frère chéri, nere anaia maitia, ton chantier, parlons-en. [...] C'est impressionnant, admirable, et ça n'est que... beauté ! C'est magnifique, et ça le sera de plus en plus, au fur et à mesure de l'accomplissement de cette œuvre. [...] Suffisamment avancé, pour que tu y vives ?... Moi, dans ma petite tête, sur ton chantier, c'est comme une petite voix qui m'a dit : « Un an et demi ! » Non mais je te dis, sans même réfléchir, au vu de l'état de la construction... [...]
- Je t'en conjure, fréro, lève le pied ! Tu m'as dit « j'ai deux disques en moins » [...] Tu t'es déjà fait très mal, ne te fais pas encore plus mal... [...] Pas vouloir aller plus vite que la musique... [Norah : « Et pas partir avant... »] Et le temps, tu connais ? Il fait sa vie, lui aussi, il s'en fout de savoir si on le trouve trop court ou trop long ! [...]
« Brouillon enregistré à 22:21 » : ainsi mon ordinateur, dans mon cul, ce 2 mai, me souhaite-t-il la bonne soirée.
Le 3. Ai-je inclus, jusqu'ici, toutes mes nochiées ?
Vysir. Non. 1. « Maouaza à Stef. Je vois : notre dernier contact, le 19 avril, un "appel vidéo" de 22 minutes. » Je précise : à transcrire. Je m'obéis : « Salut Stef. Nouveaux développements pas très heureux de mon côté... J'ai besoin de te voir. Demain à Montreuil comme la dernière fois à 14h ça t'irait ? » Envoyé à 16h55. En réponse, légende d'une photo de Sophie sur le parvis d'« une » cathédrale : « Hé, Zavyé ! » Je fais appel à mon moi créole à chaque fois que j'ai besoin de guillemets... « français ». Oui, c'est comme ça que ça se dit en plus. À savoir que ne disposant actuellement pas de logiciel de traitement de texte, je m'en vais cueillir ces derniers (et d'autres caractères spéciaux) dans mon Chamou 69, où leur première occurrence, pas trop espacés, est celle-là. Mais ce n'est pas moi, dans cette retranscription (mes désirs sont des ordres !), que les guillemets étreignent, et que Sophie coiffe, mais ça : « Coucou Xabi, on est à Reims pour le week-end ! »
Pause cafclope [maison], 12:09 qadj ramina – 12:12 qramé popote pour contistranscrire :
À Stef je répaudiotte : « Hé, Zavyé ! » Suffit, Zavyé. Xavier : « Entrez-y. Priez pour moi. Dans ZEU cathédrale. On se voit lundi, alors, Stef. Thiago est parti. Je te ferai un chèque de trois mille cinq cents euros. [Maître Renard... C'est quoi dans ta fable, Jeannot, de l'emprunteur ? Un lapin ? C'est une emprunteuse, plutôt ? Pluto : « Hé, Zavyé ! » Arrête ! « Ok, juste te dire que ça n'est pas un chien. » Une fourmi ?] On touche un reliquat de mon père, très rapidement. [...] » Sou-sou-te-moi une dernière fois, et tu pourras donc très bientôt encaisser le tout... Envoi : 18:22. Stef m'a okété. Rendez-vous lundi 5 à 12h devant la mairie de Montreuil où il s'est expatrié avec sa Sof et son Gasp depuis leur 20ème il y a deux-trois ans.
Sauf que... zut de flûte j'ai déjà... trois rendez-vous lundi à 14h !!! Bon, plus qu'un. J'ai reporté les deux autres. Mais QUIIII ???... tient à ce que je vieillisse... et veut à tout prix m'empêcher d'aller... chez le médecin ??? Rendez-vous qu'avait pris Thiago pour moi sur Doctolib. Toujours une couille : problème de mot de passe ou de je ne sais quoi, moi je n'y arrive pas. D'abord pour le 28 avril. Entre temps, fin de vieillissement d'Aita. « Ça suffit ! », Dieu a donc dit. Tout le monde descend ! Aita du Train de la Vie, moi à Baiona. Bon donc un peu avant sur le petit quai d'Ondres. Le 28 je ne serai donc pas à Paris. Pour le 5, un RV, mon chéri m'a repris. Puis : deux personnes de la même agence de traduction me convoquent, en ligne, pour un brief, l'installation de logiciels, etc., dans le cadre d'un nouveau contrat de collaboration, ce même lundi 5 à cette même heure !!! Je leur réponds d'abord oui puis réalise... Nous nous entendons finalement pour le 6 avec la première, le 7 avec la deuxième.
QUI ???... M'empêcher d'aller chez le médecin pour que je vieillisse. Depuis quand n'avais-je toto-momo-batataté ? Si je ne toto-momo-batatate pas là, quand... Alors : toto momo batata. Paradoxe qui n'en est pas un, toutefois. Car ce ne sera pas la première fois, loin de là, que je vais chez le médecin pour me procurer de quoi...
Où suis-je parti encore ?... Car seules deux lignes, dans ma nochiée, séparaient « hé, Zavyé ! »... arrête, moi !... séparaient « dernier contact le 19 avril » de « hé, Zavyé ! »... va-t-en, toi !... de ça : « le 19 me norah-pelle ».
Auvent de La Lorraine compote... contente ?... ah : composante d'une enveloppe, d'un cocon, pour Thiago et Txabio. Enveloppe, cocon, que constitue tout l'espace de la salle à l'intérieur où nous siégeâmes, tous les deux, il y a à peu près un an de cela, en de Grandes Retrouvailles, une Grande Explication... Ces jours-ci toute l'angoisse, la tristesse, et toutes les images de précédentes périodes où, loin de lui, sans trop de nouvelles de lui, voire aucune, j'ai cru le perdre, remontent. Le pire ce fut toute une semaine (nous y sommes doudou dis donc de nouveau, depuis hier...), après quelques jours à Avallon ensemble. Il était reparti... en Italie !!! Chez son ex...
Mais ce n'est pas fini : 1. Entre nous. NOOOOOOOOONNNNNNNNN !!!!!!!!! 2. La description de l'enveloppe, du cocon. Du sol au plafond. Norah-jonesés : un Écrin. De notre Amour. Que prolonge la toile tendue au-dessus du trottoir et sa bordure, qui arbore fièrement : La Lorraine Brasserie Depuis 1919. C'était hier. Cette mystimagique tranchette de vie. 16:33 qadj ramina chez moi, France Info, tweet de Marine Tondelier : « Ce soir, j'annonce quelque chose. » Dans l'« Affaire conclue » que j'ai ensuite visionnée (je le rappelle : aux chiottes, car j'ai d'autant mieux à faire dans la vie, sinon, que les chiottes me... ceci, cela, tralala) : un vase d'Émile Galley orné de chardons, emblème de la Lorraine, symbole... d'un amour inatteignable. Affaire conclue mon cul !!! Affaire conclue : « Pardon, Zavyé ! Regarde, pour me rattraper, l'affaire d'après ! »
Narrapause. Estonie : 13:25 – 03/05/2025. C'est le Franciscooo !!! 9. Intitulé numéroté de mes couillons successifs de cet épi de log. Cracra, quand je pense que Lolo mon log, au Rwanda, ne risquait pas d'en avoir. Pourtant aussi jeune que moi, il n'avait en effet déjà plus beaucoup de cheveux.
14:44 qramé popote. Autre affaire, autre vase. Repassons cette vidéo de l'émission concernée. Qu'est-ce qu'elle a ?... elle ne veut pas... je clique et reclique et quand enfin, j'obtiens, l'image et le son, ces heures et minutes : 22:20 !!!... Sur la barre de progression de la vidéo, qui défilent, en principe, et la barre disparaît, mais là non, et elle reste bloquée... Je laisse tomber... J'avais noté : « Montjoie Saint-Denis ; dans le Var auprès de la Sainte Victoire ; signature Théodore Legras ; vert impérial ; décor de chaînes et de glands. »
Cris de Guerre, et de... Victoire !... de T&T :
- RIOJA !!! 22 V'LÀ TT !!! CROIX-NOTRE-JOIE !!!
Déviation pour cette dernière par mes soins de la Croix-Montjoie du Chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle aux abords de Vézelay... Je commande à mon Wiki de chercher Vézelay... Il m'envoie au chapitre... 22 !!!... de Eh bé ce cul, ô Dave ! Ô Dave, si tu veux te joindre à nous, toutes les contributions sont les bienvenues ! Dis-nous un peu, ce que je conte, en ton 22 ! « Ça, par exemple, où il t'a aiguillé, direct, quand tu lui as entré, dedans, “Vézelay” : 13h33 maintenant. [...] Un chœur ! Où j’ai fait briller un crucifix ! En métal doré. En la mythique Basilique de Vézelay. [...] Seigneur j’ai mal ! j’ai mal !... [C'était, je suppose, en ta « fameuse » semaine, Sainte Mère de Dieu...] [Le Seigneur :] En toi, c’est en toi, que je crois, mon Renard des bois. Et en ton Tigre. En ton Tigre et toi. »
Et en le TROIS ? C'est notre fête à tous les deux. Le 3. Mai. Aujourd'hui. Celle de Thiago. Le 3. Décembre. La mienne. Je lui ai maouazaté : « C'est la fête de mon chéri aujourd'hui ! » De temps en temps, un petit maouaza ?... Pour qu'il ne... disparaisse pas, de la liste... Envoyé à... 11:19. Je l'ai noté sur un papier... à 21:12. Je l'ai couillonné... à 21:33. Je viens de le biter... à 15:33.
Mouchinet ? Oui, viens, toi aussi ! Dis-moi, à propos de ce 3 :
- Les apôtres Philippe et Jacques sont célébrés ensemble, selon une tradition romaine attestant que leurs reliques furent déposées à Rome un 3 mai au VIe siècle dans la basilique des Douze apôtres.
Je me serais bien arrêté là
Parce que ça en jetait, les 3 nobapas, sous ce petit 3-pitre. Mais une fin, à mes pitreries ? On peut toujours rêver. Les Douze Apôtres : « Ça en jetait, ça en jetait... Et Nous ???... » Oui !!! Vous, surtout !!! Plus canon que ces deux mots pour terminer... « Tu meurs. » Si... VOUS... le dites... « On n'a pas dit quand. Et au moins, attends, de raconter... » La Suite. Je ne peux pas dire que je n'en attendais pas moins de Vous : que m'arrêter sur Vous produisît un tel effet. Je suis, non comme Vous, mais comme « tout le monde », à savoir que si, « à chaque fois », je suis scotché, là c'était... pas de mots... plus de mots... C'est... QUI ???... C'est... MOI ???... Qui ai provoqué ça ?... Et là : « Brouillon enregistré à 12:33 » !!!
Le Texte de (Presque-)Fin était mûr pour sa Mise en Ligne. De Vie. Ma vie, retracée tout le long de mon Wiki. Qui ? Oui, c'est qui, lui ? Depuis le temps que j'écris son nom, je n'avais jamais recherché sa signification. Mouchinet ? « Entre ! » Dans toi ? « Oui, ta demande. » Celle-ci : signification de wiki. Résultat : « Site web collaboratif, au développement duquel les visiteurs peuvent participer par l'écriture de pages web et la création de liens. » Un site collaboratif. Première nouvelle. Tout sauf un wiki mon wiki alors. Texte de Fin pas à la fin de mon (pas-)Wiki. Dans l'espace de celui-ci : non. Dans le temps : oui. L'Écriture dure depuis exactement 5 ans. Période, de début 2020 à début 2025, au cours de laquelle elle a cependant été interrompue, en 2023-2024, pendant une bonne année et demie.
Entre. Texte. Dans mon Wiki. Dont l'écriture (petit é, petit œuvre dans le Grand-Œuvre) dure depuis... 15 jours. Boulolilibouté, couillonné, corrigé, recorrigé, rerere...corrigé, et hop ! Xabiwikité. Xabité. Bité. Il est... 11:22 !!! Le 5/5. Le métro cale... sur la voie... un peu avant... Croix-de-Chavaux !... Dans mon Historique, un Jalon en rapport avec Manno. Pour « ne rien dire » de... la Croix... De Txabio. Bon, dans mon Histoire avec Manno, ZEU station c'est bisû plutôt Mairie de Montreuil... qu'annonce « la voix », dans la rame, à l'instant où je l'écris !
Je sors. Du métro. Après une heure trente avec Stef je rerentre, dans le métro. Je rerentre, dans mon texte. Petit t, petit texte dans le Grand Texte. Le Grand Texte de Fin. C'est la suite (de la fin ?), mais pas encore entrée. Le GTF, c'est du 20 au 5/5. 13:03 qramé popote quand je rerentre dans une rame après un changement. Le GTF-20-5 est grand, effectivement, si l'on en croit ce qu'il a déclenché, quand je l'ai entré. Dans mon kiki. J'ai cliqué sur Enregistrer, en bas de la page, cet Épi-quoi-qui-vivra-saura. Je suis allé siéger, aux double-V... Pas une minute s'était écoulée... 13:13... Et alors dehors, ce qui s'est mis à tomber !!! Enfermé dans ma SdB, je me serais cru dans une case en Guadeloupe quand s'abat un énorme « grain » (une pluie diluvienne) sur son toit en tôle. Sauf que là, il y a encore un étage, au-dessus du mien, dans mon immeuble parisien ! J'ai manqué le spectacle. Je n'en ai vu que les miettes, les restes, quand j'ai ouvert ma fenêtre : des tas blancs aux angles des panneaux de zinc des toits. Les grêlons qui ont accompagné l'orage et la pluie, dans ce Phéno Météo qui venait de frapper Paris, z'ont dit aux infos, ont atteint jusqu'à quatre centimètres de diamètre. Qui ???... est entré ?... 13:22...
Bé oui, c'est vrai (« entre autres ») : les Douze Apôtres.
5/5/25. 5x5=25. Journée Mondiale des Chiffropathes. Ou juste des kermesses locales. Ça n'est pas non plus le rarissime palindrome du 22/2/22. J'ai d'abord vu le 55. « Ah, c'est ça ! », m'est-ce venu. Ça : la Fin de Série. Sur 22, 33, 44, 55, re c'est vrai, j'ai jusqu'à présent pas mal chiffropathé. C'est aujourd'hui que ça finit ? Si Thiago n'est pas revenu, à l'issue de « sa semaine » prolongée (par le pont du 1er mai). Après mon rendez-vous chez le médecin, que « personne » n'est parvenu à empêcher, c'est la fin ? Je passe à la pharmacie et c'est parti ?
L'année dernière, du travail m'a retenu. Le... jour « où il le fallait », un gros dossier est tombé. De... treize mille mots. Ce 5/5, un 5/5 d'une agence de traduction, encore, pour voler à mon secours : pas un, mais deux RV 1+4 (à 14h), à la même heure que mon RV chez le médecin. J'ai résisté, je suis allé chez mon médecin. Mais j'ai remis la pharmacie à demain.
Si, à part la maladie, je suis capable, ainsi que je l'affirme, de tout surmonter, pourquoi me laisserais-je abattre par cette « autre monstruosité » ? À cause de la première. Qui rend ma vie impossible. Tout est un combat, et mobilisation de forces sur-(sur-sur-)humaines. Comme pour ce week-end des obsèques de mon père où j'ai pu... tout faire : le restaurant, après le crématorium, et le déjeuner chez Denis le lendemain. Toutes les activités et sorties avec des proches ou des amis-mies, dont on se réjouit tant, normalement, à l'avance, sont pour moi l'objet d'un tel stress, d'une telle angoisse... Vais-je pouvoir ? Vais-je devoir annuler ? Comment serai-je ? Pendant ? Et (surtout)... après ???!!! Pendant : je jouis tant, le plus souvent, de ces moments (quand, finalement, je ne me sens pas trop, trop mal...), de plus en plus rares. Me changer les idées, et (encore) « refaire » ma vie : dans mon état... Reviens chéri. Il n'y a que toi qui puisse supporter ça. Qui puisse me supporter. Me soutenir. Oui, tu reviendras. Et ÇA, et TOUT, OUIra.
Le 6 je t'encule
À travers Stef. Au cas où tu m'aurais également bloqué dans ta bourre-trique :
- 1. Je fais quoi ???
- 2. Je signale ta disparition à la police ???
- 3. Donne-moi de tes nouvelles je t'en supplie.
- 4. Et faisons la vente, même à distance, ne me mets pas dans une situation impossible.
- 5. Je crève de tristesse, on était plutôt bien ces derniers temps, et jamais je n'aurais imaginé que tu me ferais un truc pareil, au moment de la mort de mon père.
- 6. Tu as été si doux et tendre pour me réconforter, tu voulais même m'accompagner...
- 7. Mais je te comprends et ne t'en veux pas, je veux qu'on reste amis.
- 8. Je serai toujours là pour toi.
Nouveau petit jeu. Je viens de couillonner ce cul. En dessous : quelques nochiées et autres notes... Je les lis... J'en fais quoi ?... J'enchaîne comment ?... Bon, un écri-vain-zéro-sur-vingt (minute dédé [dégoût, désespoir...]) qui bosse, quoi... Chiffrophatie pratique : combien de lignes ? De notes. Et dans mon cul. Je parie qu'il y en a le même nombre, auquel cas j'ai ma transition : je les bite telles quelles et je développe.
En palé. Cul-Nochiées : 8 à 8. Et re un 88.
Bitage telles quelles. À part le numéro. Pas de numéro dans mon cul à Thiago bisû non plus.
- 1. journée mondiale de la langue portugaise
- 2. à la mort de son grand-père
- 3. baghera jones expédition 33
- 4. Isa Shadow réponse à 15:22
- 5. basket ; il n'est plus « lui-même » dans ces moments-là
- 6. [Elle n'est pas restée.]
- 7. [Elle en a eu marre de poireauter elle aussi.]
- 8. [Elle est également allée voir ailleurs si elle y était.]
Je blague. Mes notes 6, 7, et 8 ne se sont pas fait la malle, je n'ai tout simplement pas jugé utile, une fois les notes 1 à 5 développées, de le faire pour ces trois dernières. On ne s'en serait pas douté ? Je n'aurais pas apporté cette précision si, le jour de ma décision de ne finalement pas leur donner voix au chapitre, je n'avais découvert, en regardant la télé, que la vérité, en dépit des apparences, était effectivement que le 6, le 7 et le 8 s'étaient barrés, de leur propre chef. Non, je pense, qu'ils fussent vexés. Mais parce qu'ils avaient un cours de l'Histoire a faire basculer ! Sans conséquence. C'est du passé. Elles ont juste voulu disparaitre en beauté. C'est dans ce documentaire, diffusé à l'occasion du... 8 mai :
- 1939-1945. Et le monde bascule. Épisode 2 : L'abîme.
- En quelques jours, le cours de l'Histoire a basculé. Le 6 décembre [1941], devant Moscou. [Dans leur invasion de l'Union soviétique, les forces du IIIème Reich ont finalement été repoussées aux portes de la capitale.] Le 7 décembre, à Pearl Harbor. Le 8 décembre, à Washington. [Après l'attaque de la flotte étasunienne par le Japon, le Congrès a ratifié l'entrée en guerre des États-Unis.] L'URSS combattait déjà auprès de la Grande-Bretagne. L'Amérique les rejoint. Les deux futures puissances du XXème siècle sont à présent engagées contre l'Axe.
Tout s'est passé, pour les 1, 2, 3, 4 et 5, normalement
- 1. Journée Mondiale de la Langue Portugaise
Qu'est-ce que j'en savais ??? Journée Mondiale des Chiffropathes : écrit avant, après ??? (Réponse dans la question.) Avant que j'en apprisse, le 5/5, l'existence ??? Mouchinet : « En 2019 [sic], la 40ème session de la Conférence générale de l'UNESCO a décidé de proclamer le 5 mai de chaque année Journée mondiale de la langue portugaise. » Moi : « Interaction et rapports entre Portugal et Brésil, et leurs portugais respectifs... » Écrit avant, après ??? Rédaque. Ou ranson. Ou ranqune (r-a-n-q-u-n de « question pour un champion »... euh... « réponse dans la question » + e final pour le féminin, le modou conservant toujours le genre du français) : pas mal non plus... Si je puis dire... Non, bisû, à propos de langue, je choisis « rédaque » ! Et de ces lignes en lien avec la magnificence et l'excellence de mon Thiago, de ma relation, mon histoire avec lui, Ranqune t'es mignonne mais tu dégages. Pardon, je ne devrais pas m'énerver. Mais laisse-moi, s'il te plaît. Ranson : « Et moi, chef ? » Pâtissier ? Vous demandez ? Thiago ? Txabio ? Nous deux en chœur : « On adooore !!! Ranson... de Notre Gloire !!! Rioja !!! 22 v'là TT !!! Croix-Notre-Joie !!! À boooiiire !!! » Pour célébrer ça. Alors un peu, oui, que tu restes là. Et écoute ça :
Nous trottions et bavardions gaiment, Thiago et moi, il y a une quinzaine de jours de cela, entre notre rue de l'Arc de Triomphe et le métro... Ternes. Arrêtons-nous là. « Aaahhh !!! Enfiiinnn !!! » Qui a dit ça ??? Qui que cela soit : non, nous ne nous arrêterons pas là, ni à Ternes, puisqu'au contraire nous partirons de là, pour la Villa. Je capita-sacralise cette appellation de la rue de l'élu de notre cœur : l'appartement, au 6 Villa Saint-Michel, pour lequel notre offre, à sept mille euros en dessous du prix demandé, a été acceptée. Nous nous arrêtons juste, là, sur ce nom. Ternes. Pas comme nos vies en tout cas !... Entre Triomphe et Ternes... Encore un TT !!! L'un dont on se demande ce qu'il fout là. On T'aime bien quand-même ! L'autre... Oooh !!! Celui-lààà !!!
En cette avant-veille des 80 ans de l'armistice du 8 mai (re-re un 88), de la fin de la Deuxième guerre mondiale, qui a éclaté 30 ans et 30 jours avant ma naissance, je lui ai parlé. Au Grand T. Je le tette ? C'est plutôt un Grand U, non ? À l'envers. Ooohhh ! La lettre... d'après. Le T. De qui je veux parler ? Ça suffit. Les indices. Trop bon, trop con ? Tant pis, je réponds : l'Arc. Ça suffit. Complément déjà fourni. Ci-dessus. Je lui ai dit : « Nous ne sommes pas arrivés jusque là pour que ça se termine comme ça. Si tu es avec nous, qui peut être contre nous ? » Dérivé de l'un de mes Mantras enseignés par ma comporcognithérapeute Karima : « Si Tu es avec moi, qui peut être contre moi ? » Nous aurons noté le T. Majuscule. Car, à la base, ça s'adresse à Dieu. Le U tête en bas ne Lui arrive pas à la cheville ? Tout monumental qu'il est, non, bisû. Rien. Ni personne. Sacré Morceau, tout de même. De par son gigantisme, ce qu'il représente, son... Aura... : qui avec soi l'aura (comme l'Autre ?), aura.
Thiago, aux « premières heures » de Notre Histoire. Il est à... Tel Aviv (re T comme Triomphe, lui et moi – T&T –, et A comme Aura). Je suis à... Orthez. Explosion de rire. Je pense que personne ne s'oublie : tous mes personnages – dans un aka (déploiement de puissance), en tout cas un à-qui, couvrira-l'autre – en sont. Orthez : « Qu'est-ce qu'il y a de si drôle ? » Ne relève paaas !!!... « Morthez !!! Ouaaaaarrrrrfffff !!!!! » Je t'avais dit !... Thiago me ouate-zeu-pape le tatouage, au verso de son avant-bras, des coordonnées spatiales de l'Arc de Triomphe. Son Monument Préféré. Symbole de Victoire. Non que nous n'ayons jamais eu pour objectif de vivre à proximité ! Ça n'est que Zazar, Balthazar ! Mon champion se dira, dans un autre échange, une Machine de Guerre. J'ai un peu dit, l'épaisseur du type...
« Ils ne sont pas à la hauteur. Ils ne sont pas intéressants. » A-t-il un (BEAU) jour asséné, à propos de types... Il avait... oui... déjà essayé, de me « remplacer »... Au pays des aveugles j'étais encore son borgne. Mais il faut croire que je ne suis pas à la hauteur, moi non plus, finalement. Surtout physiquement. Qu de vivi je prendrai des kilos, des muscles, et je rajeunirai. Hé ! Dix ans de moins que mon âge, déjà, je fais. « Je comprends, t'es pas à 100 %... » : un copain, à qui je tentais de justifier une pas très grande forme, se foutant de ma gueule (j'avais... genre... vingt-deux ans...), pendant les Baionako Bestak.
Thiago, de nouveau : « Tu sais, quand je suis moi-même... » Il ne l'est pas avec moi ? Tout ce baratin (hé, ho, pour une fois) pour dire un POTENTIEL. De Bonheur qui dépasserait tous les Plans Parfaits de Dieu Lui-même, entre cet homme et moi... Un cœur !!! À l'envers !!! Dans le Ciel !!! Je vois à peine ce que je tapotte. Il m'a ébloui. C'était un cœur-trou-de-lumière dans les nuages. Le 84 dans le ciel le jour des 84 ans d'Ama, en Gwada, un an après sa mort, je l'avais dessiné. Dans mon CaFaDès (Cahier de Notre Fabuleux Destin) petit cœur, toi, tu iras.
Station Ternes. Face à La Lorraine. Thiago a dit... Ooohhh !!! Ça fait « Jacques a dit » ! Hihi. Il m'a dit : « J'ai une bonne nouvelle pour toi. Je viendrai au Brésil avec toi. Enfin... au Pérou. » La même nuit de... bascule... Oui, je crois que mon... potage... Telpo pas du tout envie de rire... mon pétage de plombs n'est pas pour rien dans sa (subite) décision. La même nuit que « je vais venir avec toi à Ondres... je ne sais pas si je pourrai venir à l'enterrement, je ne connais personne... » J'étais aux Anges, il évoquait même cette possibilité-là !!! « Je... ne sais pas... Mais... c'est mon rêve !!!... de te présenter à tous ceux que j'aime ! Bon c'est peut-être un peu compliqué, dans ces circonstances... », avait été ma réaction. Mais comme souvent quand il est sous... le lendemain il n'en était plus question... « Je suis trop fatigué pour voyager », a-t-il affirmé, quand j'ai de nouveau abordé le sujet. Et maintenant, « comment » est-il ? Où est-il ? Lors d'une « précédente crise », il m'avait dit avoir failli repartir au Brésil, sans aucun bagage. Je n'avais pas vraiment cru qu'il en eût été capable...
Station Ternes la nuit. C'est pour ça, ce nom ? Non. Le « jour » du tiger-fox-trot, aux guichets du métro, nous nous affairons, dans un échange rigolo, à tirer des machines nos tickets. Dans le cours de l'opération, mon regard capte, à ma gauche, sur l'écran publicitaire de la cloison extérieure d'un photomaton : « Pérou » « Regarde !!! Pérou !!! » « Perdu », a rectifié Thiago. Hé ! Ho ! Il ressemblait à un o, le d, c'est vrai. Ça ne l'a pas vraiment fait rire... Je ne le faisais plus vraiment rire... Il ne me suivait plus, dans mes « délires »... On communiquait de moins en moins. Quand il m'aimait, sous de meilleurs cieux, à l'apéro, au resto... : « Le temps file avec toi ! » Dans nos discussions à bâtons rompus. Et un an, dans un 18m2... Stef m'a déclaré : « Je pensais que vous ne passeriez pas l'hiver... » Il était impressionné. IL Y A, quelque-chose de trèèès fort, entre nous.
Dieu.
Le Monument le Plus Puissant de la Terre.
(Qui n'en possède pas pour autant le pouvoir de faire de moi un nouvel admirateur de Napoléon, ni d'aucun autre homme de guerre [de conquête].)
Et nos tout aussi puissants Arcs (a-r-c-s d'atomes crochus).
Notre cohabitation ne fut pas, non, sans difficulté. Il y a même eu des flics. Et, donc, des pompiers. Terne, notre vie ? On touche là, cernes... euh... certes, au côté assez obs... eh ben !... obsèques qu'il me sort, l'autre (Telpo)... mais c'était, dans mon idée : obscur, de la force. Je tente le Diable, en m'efforçant de marcher dans les Pas... de Dieu... Pas de Dieu ? J'excite le Diable. Il fait contre-feu. « Je ne te connais pas », le Seigneur a-t-Il récemment fait dire à La Voix. Celle de Karima. (Un 777 passe, sur une pamoncul.) À qui j'avais demandé de me réaffirmer qu'Il ne permettrait jamais que quoi ce fût d'irréversible arrivât. C'est ce qu'elle m'avait dit, Karima : sans Horizontalité – « alignement personnel », estime de moi-même –, point de Verticalité : que descende, sur moi, toute la Grâce de Dieu.
Cinq jeunes s'agitent, et rient, autour de deux tables rondes de la terrasse de l'Indiana, de l'autre côté de la rue. Je cafcloptapote à celle de la boulangerie « Merci Jérôme ! ». Je venais de les viser du regard. Deux d'entre elleux étaient elleux aussi en train de me regarder : je devais être en train de m'approcher de « la Grâce ». Qu'est-ce qu'ielles ont ? J'ai fini par comprendre : Dieu venait de faire descendre, sur l'une des deux tables (je devine la présence sur celle-ci, depuis la mienne, d'une tâche blanche), une... merde de pigeon.
Dieu ne demande qu'à me venir en aide, mais Il ne peut pas. Je L'en empêche. Je n'ai pas encore assez bien travaillé. Et j'ai merdé, ça a merdé, ces derniers temps, dans ma vie, au point que je ne... bénéficie plus, d'une Protection... minimale ??? Qu'Il... ne me connaît plus ??? Et ces pigeons... Ils me font chier, comme jamais, depuis tout à l'heure. Merci, Jérôme. Si toi aussi tu t'y mets... Jérôme : « Bof, je ne suis pas moi non plus un P de BD... » Et que je viens de t'y coller un coup de pied, encore, à un de ces cons d'oiseaux. Gros P. Dieu : « Attention !... » Ça va vraiment trop loin, oui, là. ParDon. Ce D c'est celui de l'Autre (D) !!! Pardon. Pardon. Pardon. 19:12. Permets-moi de le voir comme l'affirmation que je le suis, pardonné. Et que non, Tu ne me laisseras pas... complètement... tomber... Qadj ramina, chez moi : 19:33.
En parlant de jeunes, Tu m'en as envoyé deux, aujourd'hui, absolument délicieux. Le premier fut une première, à la faveur de l'un des 3 RV-5/5-14h devenu RV-6/5-14h. Une collaboratrice d'une agence TT, l'agence Trans4Europe, en direct de la conurbation de Tourcoing côté belge. Toftrolle, son expression, « le combo gagnant », dont elle qualifia le doublé mer-montagne du Pays basque dont je me vantai, à un moment donné, ironisant gentiment sur le climat de son grand Nord. Arguant de la sorte quant à elle que celui-ci n'avait pas, de ce fait, forcément grand-chose à envier au nôtre. Togtrolle, ensuite, à la télé, une Karen Chataîgner, une comique féministe et sensibilisatrice aux problèmes de sexisme. Et totoffe, la même expression employée par elle, dans ces propos : « La femme est douce et sensible... L'homme décide, la femme soutient, voilà du boudin... Je suis sexiste avec moi-même ! Pas d'gras, pas d'poils, pas d'cheveux blancs : le combo gagnant. »
Le deuxième : le vendeur de la boulangerie. Pour la première fois (depuis le temps !), il me devance : « Vous voulez un café allongé ? » On blague. On discute. Il est carrément beau gosse, musclé, bien qu'un peu trop gonflé. Il m'a épaté, à opiner que l'Inde et le Pakistan étaient plus à craindre encore que la Russie, se lançant dans un historique des relations entre les deux puissances nucléaires asiatiques. Illégales : non reconnues par le traité de 1968 sur la non-prolifération nucléaire. Mes compléments d'information ont provoqué cette question, de sa part : « Vous êtes prof d'histoire ? » Il en est un passionné, a-t-il déclaré. À moi, la télé vient d'enseigner : « le tropisme indien de Trump »... 11:11... Dans la lignée du mien : c'est entre autres grâce au business, et à l'argent, les seules valeurs de l'abominable chef étasunien, que là-bas, et ailleurs, on n'a pas encore tout cassé.
Au Pérou aussi on é-T, Thiago i yo, entre notre TT et T, notre 22 et Ternes. Au sens où, en chemin, on en a jaque-T. Jacques... euh... T : « Il faut qu'on remplisse le questionnaire... » [Oups, joliment dit, mais ça m'étonne, tout d'un coup, que ce fût lui, qui le (re)dît. Ce fut plutôt yo. Ta pisse. En français, à ce sujet, chemin faisant également, près de Bilbo où nous air-habibions (signification plus lion... euh... loin), envie pressante de Thiago. Soulagement, dans la rue, dans ce pays, strictement interdit ! Le préviens-je. Tant pis. Il fait. Contre une benne à ordures. Une voiture de l'Ertzaintza {police basque} ne passe-t-elle pas juste à ce moment-là ???!!! Et quelle heurelec là ??? 11:22 !!! Bon, ni amende ni prison, non, pour le pipi, les flics n'en ayant apparemment capté keutchi.] Nous projetons d'aller y effectuer une cure d'ayahuasca. Mon dernier Miracle espéré en date. Thiago m'en a appris l'existence, à Bilbo, au mois 3 de notre histoire. Ça se pratique en Amazonie, dans son pays, et nous pensions, pour cela, aller au Brésil, mais mes recherches sur Internet m'ont orienté vers la partie péruvienne du Poumon de la Terre. Les demandes d'inscription sont examinées via un questionnaire détaillé en matière de santé, de profil psychologique, qu'il est demandé de renseigner.
Renseignons, en attendant, nos 7 autres notes
[V1. Quatre autres uniquement finalement, les trois dernières ayant donc perdu patience.]
[V2. Quatre autres uniquement finalement, les trois dernières (vexées ?) ayant décidé de montrer de quoi elles étaient capables, en faisant basculer le cours de l'Histoire.]
- 2. à la mort de son grand-père
C'était à ajouter dans : « Il a vu... Un cercueil !... Blanc. » C'est fait.
- 3. baghera jones expédition 33
Baghera Jones, une influenceuse, m'attendait, sur mon ordi-télé, après que j'ai laissé Norah Jones, pour commenter le phénomène du nouveau jeu Expedition 33 : trois jours après son lancement, un million de copies vendues.
- 4. Isa Shadow réponse à 15:22
Maouaza d'Isa (Zaza) à son Zaza (moi) : « Xabi ça te dit de garder Shadow [sa chatte] à Anneville au mois de juin ? Je pars du 6 au 25 juin. Simon et Sophie sont arrivés. Si le break te dit, dis-moi. Elle peut aussi rester à Paris avec Lucien [son fils] et Lucile [sa copine – voilà ce que c'est que d'avoir un synchropathe comme zanmi : les potentielles âmes soeur des rejetons se limitent à celles portant quasiment le même prénom]. Je t'embrasse. » Je lui ai répondu, à 15h22 [et il est, quand je le couillonne, 23:22 !!!!!] : « Pourquoi pas ??? Mais je ne peux absolument pas te le dire pour l'instant, on se tient au courant... » Elle m'a poucé.
C'est dans son trou, que j'étais, quand j'ai cru perdre Thiago la dernière fois. La n° 1 c'était quand j'étais à Avallon. Anneville... J'avais oublié, le nom de son trou (même pas un bled – près de Cherbourg) !!!... Et ça, « Avallon. Anneville », y a un truc encore, non ? Ça, c'était la deuxième fois. J'en suis à la n° 3. Il avait duré un paquet de temps, aussi, le silence radio de la n° 2. J'ai dit que la pire fois c'était la n° 1, mais la n° 2, je ne sais pas si c'était vraiment mieux. Bon, la n° 3, ça dépasse tout. Je reprends « trou » : Zaza m'a hébergé, dans son coin paumé, mais sa jolie maison surtout, de son sublime pays, la Normandie. De début à fin avril de l'année dernière. C'était très, très, très sympa. Sophie et Simon sont ses voisine-zin, très, très, très sympate-pa.
C'était à mon retour de mon dernier séjour à Essaouira. Là-bas aussi on avait visité des appartements, Thiago et moi, en vue d'acheter ! L'idée a dans tous les cas été que Thiago résiderait à Paris, pour son travail, dans le studio, et que nous passerions au moins une semaine par mois ensemble dans notre pied-à-terre au soleil. En attendant la belle petite Marocaine, destination, pour ce dernier, pour laquelle nous avons finalement opté, j'ai trouvé à louer à Avallon via mon amixpute (amie et ex-thérapeute) Vanessa. À Essaouira, où j'ai vécu, en trois ou quatre séjours, environ trois mois, Thiago n'aura passé avec moi qu'un peu moins d'une semaine la première fois, et... un jour et demi une autre fois. Nous nous sommes également retrouvés quelques jours à Marrakech.
Tout, partout, est tombé à l'eau, de la baie d'Essaouira, à celle, à Rio, de Copacabana et d'Ipanema.
- 5. basket ; il n'est plus « lui-même » dans ces moments-là
La trace de tennis sur le canapé. Qui dit : vite, vite, il faut décamper ? Ne surtout pas risquer de me croiser ? Quand je reviendrai, après les obsèques de mon papa, pour ne pas avoir à s'expliquer... Thiago... étouffait ? Il l'a toujours dit, c'est trop petit ici (notre 22TT), j'ai besoin de mon espace privé, d'intimité... Miracle, oui ! Que nous ayons pu vivre, pendant un an, dans un dix-huit mètres carrés ! Miracle, pour ce qui me concerne surtout, que j'arrive à vivre avec quelqu'un, étant donné ma... condition... Je vivais seul depuis des années, depuis ma séparation d'avec Manno, et depuis plus longtemps encore je ne séjourne jamais chez personne. Thiago a saisi l'occasion. Ça n'était pas, je le sais, prémédité. Il aime moins que personne « se prendre la tête », avoir à se justifier. Chacun était « libre »... Et la jalousie est un sentiment qu'il ne connaît pas, m'avait-il prévenu dès le début, accédant à ma demande que notre relation passât... d'escorte/client à amants. « Oui, je crois qu'à Bilbao nous pourrons devenir amants », fut sa réponse. « J'ai tout de suite compris que t'avais besoin de moi et que j'avais besoin de toi », déclara-t-il à la faveur d'une vuelta, depuis Bilbo, à Santander.
Au nombre de ses plus belles déclarations : « Oui mais comme ça, on s'est rencontrés. » Grâce au fait qu'il fût contraint de renoncer à un CDI qu'il venait de décrocher dans un prestigieux établissement hôtelier, en région parisienne, à la fin de l'année... 2022. Peu avant ma première « visite » en janvier 2023, chez lui, métro Chaussée d'Antin-La Fayette. Sur la ligne... 9. En 2003 c'était aussi celle de Manno, à prendre jusqu'à son terminus, Mairie de Montreuil. Station, aujourd'hui, de Stef et Sophie. Le vrai métier de Thiago : pâtissier. Il en est un excellent, fort d'un diplôme d'une école de renom en Italie. Son grand professionnalisme est de ces qualités que j'admire chez lui. Je ne l'ai jamais vu à l'œuvre, n'ai jamais goûté la moindre de ses pâtisseries, mais je l'imagine, à travers tous les récits qu'il a pu m'en faire.
Les assauts du Diable... Se dit-il que je lui porte malheur ? C'est ce que je me demande moi aussi parfois. Mais ça a commencé avant moi. C'est un événement horrible qui l'a empêché, fin 2022, d'embaucher. « J'ai bien été amant d'un client pendant trois ans... » Déclaration GELL (lors de la Grande Explication à La Lorraine). Il a vécu avec lui à Paris jusqu'à deux mois avant de me rencontrer, quand il l'a retrouvé mort, dans leur appartement (d'avant CALF). Il était parti un week-end, à Turin, en Italie, chez son... ex. Il passait tous les étés avec lui. Le reste de l'année, il travaillait à Paris, entre son client-amant et ses autres clients. Depuis Turin, ce dernier... ne répondait plus à ses messages... Il souffrait de diabète, dont il avait choisi de ne pas se soigner. Thiago, inquiet, a précipité son retour à Paris. Il avait, pour lui (aussi), une très grande estime.
C'est ma propre maladie, qu'il a fuie. Il était très compréhensif, et à bien des égards, malgré cela, et tout ce qui pouvait ne pas tout à fait aller... « ça coulait ! »
Je reprends... au PRÉSENT !!!!!!!!!
Il est très compréhensif, et à bien des égards, malgré cela, et tout ce qui peut ne pas tout à fait aller... « ça coule ! » Au quotidien. Ainsi que je le lui ai récemment exprimé. On s'entend, sur plein de plans, si bien.
Mais la salope n'est évidemment pas pour faire notre bonheur... « Le pire » c'est que d'une certaine manière ça m'arrange, de me retrouver de nouveau seul. Mieux vaut rester seul, quand on est malade comme moi. Pour... n'emmerder personne... Et ne pas souffrir, comme c'est le cas avec Thiago, d'être empêché de vivre tant de choses avec la personne qu'on aime.
Ne pas pouvoir vire heureux, amoureux, mon amour, quand tout l'y autoriserait... Alors que bientôt, partout, ce sera peut-être la guerre...
Écho sur France Info : « Inde/Pakistan, Gaza, Ukraine : le retour des guerres ».
La voie est libre. Ma maman et mon papa sont partis. Et maintenant, Thiago. Je peux partir aussi. Faire subir à Thiago... 22h33 quand je repasse là... le même traumatisme que celui qu'il a vécu avec son... « précédent »... client-amant. Je ne pouvais pas lui faire ça... Il a fui... il était 13h22 quand je suis passé ici... la mort. Ma mort. Son petit doigt lui ayant dit que ça serait pire encore, après mon dernier voyage ? Car oui, c'est le cas, comme toujours... De pire en pire... Depuis le temps que je le dis... C'est inimaginable, je sais...
Mes autres proches se remettront. Je pense bien sûr surtout à ma sœur et à mon frère. Mais désolé de ne pas avoir envie de dire « désolé ». Et c'est moi, qui pardonne d'avance, à celles et ceux à qui il viendrait (encore) l'idée d'éprouver de la colère, de m'en vouloir, de me trouver égoïste. J'attends au contraire que soient loués les admirables courage, combattivité et positivité dont j'ai toujours fait preuve.
Plus rien ne me retient, et ne m'oblige à tenir. À continuer de vivre cette horreur. Cette double horreur. Surtout l'une, sans laquelle j'aurais tôt fait de régler le compte de l'autre. Une ouverture, par exemple, à la boulangerie ? Il m'a dit « à demain », le petit. Depuis quand, j'y vais tous les jours ? Il était si pressé de me revoir ? Je n'hésiterais pas, si......... (assez de mors, que je me suis juré, tant de fois, de ne plus prononcer...), à tenter de transformer le saut à la perche qu'il m'a tendue, dussé-ce se « limiter » à un froute moment à boire un coup en terrasse et à discuter.
Le 6, Gaston, y a l'téléphon qui son, un peu avant la merde de pigeon. Ce numéro qui finit par... 30.30, c'est V, un des V comme Victoire du chapitre Vente du 22 rue de l'Arc de Triomphe et achat du 6 Villa Saint-Michel. V, c'est Vincent, l'agent immobilier. Je n'ai encore rien dit, ni à lui, ni à mon notaire, de ce qui est en train de se passer. J'avais demandé à Vincent, l'air de rien, quelques jours auparavant, de créer un groupe ouate-zeu-pape pour lui-même, Thiago et moi. « Il n'a pas répondu, le garçon », m'avise-t-il. À l'invitation à rejoindre le groupe. Je prévoyais d'appeler Double V, le notaire, un Vincent V, le lendemain, pour lui faire part de la situation. C'est donc d'abord V que j'en informe. Je commence à lui expliquer, je lui dit « il a profité... » J'hésite une seconde. Il ajoute : « Il a profité de vous... » Qu'il est intelligent, cet agent, il a tout compris ! Mais Agent Immobilier ça fait A.I. : pas étonnant ! Qu'a-t-il senti, le jour de la visite, en présence du beau jeune homme et de son vieux malingre ? Ces draps pourris dans lesquels je me suis mis, en misant sur cette relation, en voulant y croire : serait-ce le pire objet concevable que j'eusse pu poser (acception psychanalytique bisû) ?
L'A.I. : « Ne serait-ce pas le pire objet que vous pûtes imaginer poser ? » Moi : « Que vous êtes artificiellement intelligent ! Mais croyez-le bien, il ne se laisserait pas “acheter” par n'importe qui, le garçon, et avec n'importe qui il ne s'engagerait pas, dans quelque “relation” que ce soit. Je pense qu'il en a eu à peu près rien à foutre, que je le fiste... euh... fisse copropriétaire. Et que je sache, il est parti sans demander son reste. Sans même prendre ses affaires ! » Dans la vraie vie, un peu attrapé, j'ai poursuivi : « Euh... oui... euh... du moins... il a profité de mon absence pour les obsèques de mon père pour partir... » V me dit sa désolation, me demande : « Et vous ça va, le moral ? » « Ben non, c'est horrible... » Je passe un premier coup de sans-fil à 2V le lendemain dans la matinée. Sa secrétaire me dit qu'il est en réunion et qu'il me rappellera. Le téléphone sonne à... 10h22. Affichant le numéro de l'étude, dont son 08.08, au milieu. C'est sa collaboratrice. Mais désolé madame, « c'est très important, c'est un peu grave », c'est au notaire que nous avons vu ensemble, Thiago et moi, le jour de la signature de notre promesse de vente, que je veux parler. Elle me dit qu'il me rappellera vers midi.
Pas de 2V... ou DV..., allais-je écrire, alors que je me mets à fixer, sur l'écran de mon ordinateur : DejaVuX3.Setup. C'est Mehdi, de Trans4Europe, qui est en train de le trafiquer. En train de télécharger ses trucs. Après m'avoir fait installer un truc, pour me... du moins... pour “prendre la main” de mon engin. C'est l'ex RV-5/5-3 reprogrammé au 7/5. 2V n'est pas encore revenu vers moi. Qramé popote, le lendemain 8 mai, pour rappeler le notaire : 11:22. Je compose le numéro de l'office notarial Paris 4ème Île Saint-Louis, appellation complète que le répondeur que j'obtiens – et qui ne s'arrête plus, alors que la secrétaire décroche d'habitude assez rapidement – me permet d' « enregistrer », enfin... À Thiago il y a une quinzaine de jours : « C'est quoi le nom de l'étude du notaire ? » Thiago : « Vincent V... » Le prénom et le nom du notaire, m'a-t-il donné. La signature/logo, dans les culs, le dit aussi, mais ça n'est pas clair, et jusqu'à ce répondeur, qui ne m'a finalement passé personne – la voix m'invitant, au bout de quelques minutes, à laisser un message –, je continuais de me poser la question. En tapant Saint-Louis je me suis dit : « Tiens, je vais recenser mes Saints. » De ce Chapwikitre. Un Saint, en fait, venait d'en appeler un autre. Saint-Louis nous a rejoints à la demande de Saint-Denis. Qui patientait deux lignes en dessous, dans la suite du couillon, dans cet assemblage : « 81.13.22 Mehdi Saint-Denis ». Un mix des trois derniers numéros du poste de Mehdi, l'informaticien de T4E, que j'ai voulu rappeler, composant l'indicatif 02 au lieu de 03, et de ce Saint-Denis, qui s'est affiché, sur mon téléphone, sous le numéro erroné que j'avais composé.
Débarquement de Denis en renfort de Michel et de Louis. Du Saint 3, Saint-Denis. Un 13 et un 22 en mains, + les mêmes deux premiers chiffres, 81, qu'après mon 06.
Vous ne serez pas de trop, mes amis.
Crash. Âge ? 55 ans, 7 mois et 8 jours. C'est trop tôt.
Crachage. Du deuxième morceau.
Attends, moi. Moi : « Tes désirs sont des ordres. Aussi longtemps que tu voudras. » En attendant, juste ça : 55 + 7 + 8... « Putain mais fais-toi soigner !!! » À quoi bon, puisque je ne fais jamais rien jusqu'au bout, il paraît. « Ooohhh !!! Mais arrête de pleurnicher !!! » Alors laisse-moi chiffropather, autant et aussi longtemps que je le voudrais. « Oui ! Oui ! Des sièèècles si tu veux !!! » Je vais en faire un. + 13. Selon ma prémonition. Ça ne serait déjà pas mal. « Cool. Je te laisse faire... ton addition. » 55 + 7 + 8 = 70.
Saint-Denis, Saint-Michel et Saint-Louis : « Qu'est-ce qu'on fait de ça ? »
Moi : « Pour l'instant, rien. »
— Tu craches le Morceau 2 ? Le 1 c'était qu'à la base, Thiago et toi, vous étiez escorte et client ? Que le 8/1/23 c'est en cette qualité, que vous vous êtes rencontrés ?
— C'est ça.
— Un secret bien gardé, jusque là.
— Hahaha. Je ne l'ai jamais crié sur les toits, mais ne m'en suis pas caché, non, auprès de certains-taines chteuneus-neues. Je ne sais par contre plus vraiment à qui j'ai dit quoi, sur quoi, jusqu'à présent, comme ça peut, ce put, être le cas, sur ceci, ou cela, dans ma vie. Je me fous un peu de qui sait quoi et pense quoi, tout en ne m'en foutant pas vraiment, comme nous avons pu le voir précédemment. C'est juste qu'il y a un certain nombre de choses pour lesquelles je me ferai toujours fort de vieillasser à ce qu'elles ne soient pas (par trop) proférées, sur mon compte. Bon...
— Le compte ?
— Hé ?
— Est bon ?
— Nooonnn !!! J'ai besoin de renforts, de Belles Âmes, pas de gros relous, encore ! Je pine... Le Morceau 2 c'est que Thiago a développé une addiction à la c. Quand je l'attendais à Essaouira, et à mon retour à Paris, puis pendant mon séjour en Normandie. Avant qu'enfin nous nous retrouvâmes, en la GELL, Angèle.
— C'est qui ?
— Personne, c'est sur le modèle : « Cool Raoul, tranquille Émile, tu m'Elton, John, c'est Zazar, Baltazar, l'homme décide la femme soutient...
— Voilà du boudin. C'est bon, on a compris.
— Nous avions toujours exclu de vivre ensemble dans notre dix-huit mètres carrés. Moi le premier, JAMAIS je n'aurais imaginé, même avec lui, partager un si petit appartement, au vu de ma...
— SANTÉ !!!
— Oui, merci, je connais : positivité, combativité... FOI !!! JOIE !!! Si quelqu'un a pratiqué, tout ça, et l'a prêché, et écrit, dans les milliards de ligne de ce Wiki... c'est bien moi. Alors : camembert.
— Oh que oui, nous le savons, mais il y en a un dont nous constatons, en ce moment, qu'il est un peu en train de gagner du terrain...
— L'Ennemi... Eh oui...
— Tu nous as recruté pour t'aider à le contrer... Tiens, ça : « La Vie, c'est : entrée, plat, fromage et dessert !!! » C'est ton camembert, qui nous inspire ça.
— C'est du Karima ! Toftrol. Bravo les gars. C'est pour dire que rien n'est trop beau, que non seulement je ne vis pas un Enfer, ou en Enfer, mais que ma Vie est un Paradis, que je suis un être merveilleux, à qui Dieu promet le meilleur...
Pas fan de ma dernière phrase, un peu cul-cul-la-praline (ce n'est peut-être pas l'impression que je donne, mais je ne le suis pas non plus du ridicule), je réfléchis à sa reformulation, ça ne vient pas, il faut que j'aille faire caca, je remonte mon couillon pour me l'enculer (à mon autre bourre-trique), et je vois : « Brouillon enregistré à 13h33 ». Alors : pas touche !
Dégel GELL
« Grande Explication » : c'est beaucoup dire. C'est tout sauf une joute verbale, une bataille napoléonienne. C'est plutôt fleurémoucheté. Feutré. Comme le cadre de cette grande salle moquettée de resto bourgeouïonnant. Il est du genre taiseux, introverti, mon Thiago. Sauf quand il est... « lui-même » ?... heureux... Le plus joyeux des joyeux drilles, et une vraie pipelette, il peut être... Un Janus, mon jules. [Il va en naître un, avec une majuscule, dans la famille, après la mort, en une semaine, de papa, d'un oncle côté beauf, et de ma pauvre toute jeune cousine Marion...] Plus que jamais, face à lui, à une table du restau, il me faut viser juste ; parvenir, en peu de mots, à faire passer mon message... Moi, le champion des digressions ? Dans ma narration, de nouveau sur le point de céder à la tentation, en mouchinetant Laurent Pérou – je coupe court, je n'en préciserai pas le pourquoi – j'ai trouvé : « Les livres de Laurent Perru · Masculin en crise. Devenir un homme selon le cœur de Dieu. »[4]
Thiago, à demi-mot, me fait comprendre qu'il n'en pouvait plus d'être seul, mais qu'il ne voulait pas de ma compagnie, parce que... « le Basque... c'est compliqué !... » Ainsi qu'il l'a murmuré, plus qu'il ne s'est exclamé. Il aurait fallu que je dise amen à tout, que je ne proteste jamais... C'est ça, être gentil, avec lui. « Il faut que tu sois gentil, un bon chéri... » Il m'a longtemps fait miroiter la médaille du Meilleur Chéri du Monde, la MCM. Une seule fois il est parti dans tout un délire, ainsi que, oui, lui-même, l'affectionne ! « T'aimes rigoler, j'adore ça, chez toi... », m'a-t-il écrit au tout début de notre relation, mais me mettant en garde contre un certain... « second degré ». Je ne m'y suis quasiment plus risqué. Ce n'est pourtant pas le moindre des paradoxes, car « personne ne comprend » (son humour... sa folie... douce...) m'avait-il déclaré. Contrairement à ce qu'il avait l'air de percevoir chez moi. Son numéro, à Essaouira, dans notre habibi (ça veut dire « chéri », c'est plus doux qu'Air...) : il y était question de Buckingham Palace, où, dans sa fiction, sont prises les décisions quant à l'attribution de la médaille en question. Togtrol. Mon Thiago dans toute sa splendeur.
Embêtant, le Basque ? Et le Brésilien ???!!! Hahéhihohu. Je hahéhihohute, pour changer. Dans l'ordre des voyelles de l'alphabet. C'est aussi celui des voyelles du B et du B ! Je l'ai embêté, mon B ? Oui, je le reconnais, plus d'une fois. J'ai fait très attention, pourtant, mais certainement pas assez. Il faut dire que j'ai cru, au début, que le principal défi serait de surmonter ma jalousie eu égard à ses clients. Mais si ça n'avait été que ça !... Les « torts partagés ». Je ne suis pas parfait, mais ni plus ni moins que lui ne l'est... On connaît la rengaine... Quel... crève-cœur, d'entendre qu'en quelque sorte je lui manquais, qu'il aurait eu envie de venir me retrouver ou de me demander de venir, mais qu'il craignait que je l'embête... Il a essayé de se procurer cette compagnie dont il avait besoin avec un client, qui l'a incité à se... shooter, avec lui.
Il avait toujours été assez raisonnable, et peu partisan du « chemsex », observant une assez excellente hygiène de vie, faisant régulièrement du sport... Sa nouvelle addiction l'a ruiné. Sans produit, plus de libido, plus de... sentiments... Pour le dire... vite... Il en est très malheureux. Il n'est plus « le grand Thiago » d'avant : selon l'expression de sa tante, Ilenha, à laquelle il est très attaché. Il m'a présenté à elle, de même qu'à sa mère, Zilda, et à son oncle, Carlos, à Florianópolis, au sud du Brésil, où nous avons passé plusieurs moments en leur compagnie. Combien de fois ensuite ne m'a-t-il pas dit qu'ielles m'avaient beaucoup apprécié, et que sa mère et sa tante demandaient sans cesse des nouvelles de moi ? Sa tante est sa confidente. Plus encore que sa mère, qu'il chérit tant aussi. Il lui dit tout. Son homosexualité demeurant toutefois du domaine du non-dit.
Tels furent ses mots, ainsi qu'il me l'a raconté : « Il faut que tu redeviennes le grand Thiago. » Elle est une sorte de prêtresse, une grande croyante. Quelque-chose de puissant est passé, entre nous deux. Prie pour lui, Ilenha ! Pour nous ! Elle ne... fait que ça. Thiago m'a fait écouter un message vocal de ses incantations, dans un riyad à Essaouira, me traduisant qu'elle affirmait que j'allais guérir.
— Miroir, ô miroir, je profite de transiter par ta salle, avant d'aller cafclocontitapoter tout ça, pour te demander qui, en ce 8 mai 2025, a la plus belle Tête de Vainqueur.
— Toi. Si tu ne me crois pas sur miroirole, prends toutes les pièces du petit plateau de Thiago, compte-les, et tu verras si, décidément, la GAGNE, n'est pas en toi.
— Des pièces, dans un petit plateau : je ne vais pas gagner des millions ! Mais tu m'intrigues. J'ai bien fait de passer.
— Tu parles d'une visite exceptionnelle ! Allez, va compter.
— C’est un encouragement à la chiffropathie, ça.
— Ça n'est pas pire que ta colo... Allez, vas-y.
Exécution. Quatre pièces de dix centimes. Une moitié de 8 (le 4 de 40), en ce double 8 (80 ans de paix, en ce 8).
Miro : « Je n'avais même pas vu ça, tout à l'heure. »
Moi : « T'es miro ? »
— Hahaha. Je ne l'avais pas relevé, je réfléxi.
— Attends, j'explique.
1. « Je xi » (je chi), en modoupaïen = je veux dire. « Je réfléxi » = « je veux dire » en miroïen. 2. Je te fais réfléchire (dire) tout ça après avoir pris l'initiative, tout seul comme un grand (17:17 à cet instant quand je sors et compte les pièces de mon porte-monnaie, après que le serveur vient de me prier de le régler), de me saisir des pièces du petit plateau de Thiago et de les compter, avant de sortir.
J'y ai repensé plus tard : j'avais déjà transféré, la veille, du plateau à mon porte-monnaie, une première poignée. Je m'étais emparé, notamment, de la seule pièce blanche : une pièce de 2 euros. J'ai mon multiplicateur ! De 4(0) par 2.
Mais le plus fort est à venir.
Les pièces rouges.
La musique démarre. Lançant la Grande Commémoration.
Miro : « Place Rouge ? »
— T'es rigolo, mais pas un P de BD, pas poutanasé, tu ne peux voir, où je siège. Pour deviner, espérant, peut-être, que je te P-de-B-ise, tu saisis les indices que tu peux. Pièces rouges, Place Rouge : tu pines, ou tu essaies de me funérailles...
Gros silence. Même la musique, se tait. Je mens un peu. Ça fait quelques minutes. Mais voilà, il suffit que j'écrive ça, et elle recommence. L'Arc s'est remis du choc. Dis donc, faut y aller, pour l'impressionner. Chapeau, Telpo !
— Non, pardon. Je sais, ça n'est pas rigolo.
— Bof tu sais, moi, pour me choquer...
— T'es encore plus fort que le Mome-Pissar (Monument le Plus Puissant de la Terre) ?
— Et toi, Telpo ! « Funérailles » !... Je voulais jouer sur fin-bobiner et embobiner... Qui dit « fin-bobiner » dit, en effet, dans la lancée, « funérailles »... Mais comment t'as... deviné ???
Ce n'est pas ma fabrication, contrairement à la mir-moi-interaction. On connaît toustes le phénomène du tel-lapsussage. Comment, en tapant quelles lettres, ai-je fait commettre, à mon téléphone portable, un... tel lapsus ???
TATOU (Total des Centimes Rouges) : 19
En plein la Grande Explication à « La Lorraine Brasserie Depuis 1919 ».
Le client, la c, de cela ce n'est pas là, mais chez nous, plus tard, que Thiago s'est confié. Oui, chez nous. Après que, Miracle – je me souviens exactement à quel niveau de la rue des Acacias quelques mètres avant la rue, perpendiculaire à celle-ci, de l'Arc de Triomphe –, il m'a déclaré que je pourrais m'installer avec lui. Rue de l'Arc de Triomphe... Ce nom ! Pour une des plus petites rues de Paris ! Et « il fallait » que nous y atterrissâmes... Eût-il pu y avoir plus improbable, de surcroît, que ce choix, pour ce qui me concerne, d'une telle adresse ??? Ce n'est pas le mien. Le petit morceau dans le Grand Morceau : c'est le résultat de l'application des critères de Thiago pour son travail.
« J'ai bien été l'amant d'un client pendant trois ans » : ça, c'est de la GELLation. Eu égard à la nature de notre relation. 18:18. C'est le 20 sur 20, que j'ai frôlé. À Florianópolis. Dans l'escalator d'un centre commercial. À l'écoute de l'appréciation dont ma star me fit part, dans cette montada, je me suis senti pousser des ailes. Je fusais tout droit vers le Septième Ciel. Puis je n'en ai plus fini de dégringoler. Traduction de l'affirgellation : on vit ensemble, certes, mais tu es mon client au même titre que cet homme avec qui je vivais avant toi l'était.
Et de la liste des candidats-dates de Buckingham Palace je crois bien que j'ai depuis longtemps été rayé. À Rio, un an plus tard, je parvenais péniblement à négocier de conserver, au moins, le statut de sex friend. Même de ce grade-là, donc, Thiago tenta, à La Lorraine, de me déchoir. Il ne pouvait alors plus prétendre demeurer copropriétaire de l'appartement, fut la carte, me semble-t-il, que je dégainai. « Je t'ai fait copropriétaire parce que tu m'as dit que tu m'aimais, parce qu'on voulait faire notre vie ensemble. » Il a fini par consentir à nous donner une nouvelle chance. C'est beau, l'amour...
Mais à d'autres occasions c'est lui, qui me priera, de la lui concéder. Il m'a dit cent fois qu'il m'aimait, cent fois nous avons caressé de si beaux rêves pour notre vie ensemble. Il n'est pas fou de moi, il ne pourra jamais se contenter de moi... Certainement. Qu'il n'ait jamais vraiment éprouvé de « sentiment », pour moi, je ne le crois pas. Qu'il puisse, sans trop de difficultés, se passer de moi... C'est ce qu'il est en train de faire...
Parce qu'il veut rompre avec une existence devenue, à ses yeux, une impasse ? Parce que lors du dernier « trip » qu'il s'était autorisé, ça s'était mal passé, avec moi ? Il avait tenu deux ou trois semaines. Il observait des périodes d'abstinence de plus en plus longues. D'où mes félicitations, le lendemain, pour son courage.
Il a eu besoin d'une rupture TOTALE.
Je suis sûr qu'il est chez sa mère, au Brésil, dans son Paraná, à proximité de Maringá.
En attendant d'aller mieux.
À bientôt mon Thiago.
Je rentre.
Première image aux infos de M. Conar devant la flamme du soldat inconnu. Sur sa gauche derrière lui, le premier nom en partant du bas sur la face interne du pilier de l'Arc de Triomphe : GAIETE.
Puis j'apprends qu' habemus papam. Un journaliste : « Drôle de coïncidence de l'Histoire, un pape qui meurt le jour de la Toussaint et le nouveau pape élu le jour des quatre-vingts ans de la commémoration du 8 mai 45. » Son nom : Robert Francis Prevost. Un « autre » Francis, ça n'est pas faute de t'avoir appelé : ton François-Xavier en est, ici... véridique... tous mes Phénos le sont toujours... à son 26ème « Franciscooo !!! » !!! Rappel : il était le 266ème. Pape. Francisco. Jorge Mario Bergoglio. Dans ma commande figurent également la parenté franco-italienne, le Pérou, et Léon... 23:22... France, Italie : nos pays ! Thiago possède la double nationalité : brésilienne et italienne. Le Pérou : « Ce pape américain... étasunien... » N'en jetez plus, j'ai même droit à cette attention : cet autre journaliste qui se reprend, sur cet adjectif. Avec le premier, bien plus crétin... ooohhh !.. c'est pour le jumooo !!!... aucune chance. Il a dirigé un diocèse au Pérou, où il a vécu vingt ans. Âgé de... 69 ans, né à Chicago, il s'est choisi pour nom Léon XIV, dans la lignée de Léon XIII (2/3/10-20/7/03), mort à 93 ans (mon 100+13-13-10). Léon : que dit la chanson sur notre Saint, de Bayonne, Saint... Léon ? « Ah Léon, Léon, Léon, roi de Bayonne, roi de Bayonne – Ah Léon, Léon, Léon, roi de Bayonne et des couillons ! »
Un Roi-Pape, de mes couillons Franciscooo !!!
« Affaire conclue » : un vase en céramique de Gilbert Valentin, signé sous sa base de son nom et d'un dessin représentant un vase avec deux ailes et une auréole. Nom de sa galerie de Vallauris : Les Archanges.
Passons sur les deux tables de chevet de Johannes Anderson, 1903-1991, qui commence la fabrication de ses modèles en 1930, estimées 300 euros, dans cette émission de 00h 43min 22sec.
Notre Archange Michel veille sur notre future Villa, mon chéri, et son aile est tatouée sur ton épaule. Pareille Armada pour moi, pour nous.
- Nous nous le sommes dit 999 fois : RIEN NE NOUS ABATTRA.[5]
- ↑ Promotion À Part
- ↑ Écoles du rire : é-c-r-i féminipluralisé en ites.
- ↑ Cul-brouillon
- ↑ 1, 2, 3 : je vous quatre, désolé. De toute façon, vous n'en jetiez plus. Et interdiction, dans la GELL, de digresser. Nobapa-quatrage obligé. Pour préciser : c'est Olivier Pérou, co-auteur de La meute, qu'il fallait mouchineter. Mais vu ce que j'ai fait surgir, encore, ça valait le coup de se gourrer. Et il était 9h33, quand j'ai couillonné la correction, après un nouveau mouchinetage. Le 22... Presque... Le 21, je relirai ces... comptons... 7 phrases... Nobapa 1-2-3, 3 multiplié par 7 = 21. Lomo. Ce 21 du futur, je les relirai, dans ma recherche de l'endroit du texte où conter la nouvelle sync-chiffres qui me chopera. Une insertion dans le passage en rapport avec celle-ci ne me conviendra pas. La nobapaïser ? Le détroisage, déjà, m'avait chiffonné : pas envie, maintenant, de déquatrer. Mais nul besoin ! Madam'bapa 4, en 9-33-zant, dans sa 7ème phrase, m'invitera : « Viens ! » Parce que, le 21, la sync-chiffres m'ayant amené à elle aura commencé à 9h33, qramé popote pour appeler une agence de traduction au sujet d'un... impayé. D'une facture d'une traduction effectuée pour elle plusieurs mois auparavant. Le 21 cela fera pile... non... face ?... du moins, à un jour près, un mois depuis le décès de mon papa. Pile ce sera pour la face du pape : sa disparition, le lendemain de celle de mon père, de la surface de la Terre. J'ouvrirai le fichier pdf du bon de commande correspondant. Celui de ma traduction, pas de la disparition du pape, de mon papa ou de qui que ce soit. Le « Bon de commande AFRM010161/1/1 ». Chef de Projet : Charlotte Vincent [...] ; Prestataire : RENARD XAVIER - 22, rue de l'Arc de Triomphe [...] ; Nom du Projet : PTO H175 COMPLETO ; Paire linguistique : Portugais (Brésil) [PT-BR]/Français (France) [FR-FR] ; Date de démarrage : 22.01.2025 ; Délai : 27.01.2025 15:00 [...] ; Total H.T. € 262,22 ; Montant TVA (20 %) € 52,44 ; Total T.T.C. € 314,66. Pas poétique ? Si. Quelle valse. Avec cette image, qu'y associera, sans que je ne lui demande (ce n'est pas forcément celle à laquelle j'aurais pensé, mais... oui, je prends !), mon cerveau : je virevolte, Piazza San Pietro. Plus... grandiose... tu... Ah tiens, j'aurai failli. Le... 11. À Pompidou (l'hôpital), une jeune et jolie kiné tatouée (ah ça, fallait voir, ses deux bras) me fait faire le tour du service de... réa. En déambulateur ! J'avais cru crever, à la faveur d'une grave crise d'asthme, pendant une bonne quinzaine d'heures. La JJKT : « Vous avez un accent ?... » Ça faisait « longtemps ». Depuis Vincent l'agent (immobilier). Qui avait deviné, mon identité. Après elle, une autre pompidolienne : « Vous me faites penser à Francis Cabrel » ! Ah ! On m'en a sorti ! Mais celle-là, on ne me l'avait encore jamais faite ! M'en amuserai-je avec elle. Tout en jugeant bon de lui préciser que je ne suis pas particulièrement fan de... Francis !!! Jélica... Mais j'adooore, parce que c'est une personne à n'en pas douter tout à fait délicieuse, opinerai-je. La kiné me situera (donc) tout d'abord vers Toulouse, si je ne m'abouse. Puis, après que je lui aurai, dans le fil de la conversation, glissé deux mots sur « mon compagnon », introduira... sa compagne... un peu timidement... se disant certainement qu'elle aussi, dans ces conditions, pouvait... En tout cas elle dira « elle... » Elle a vécu... à... Hondarribia (Fontarabie), au Pays basque ! Elle est... péruvienne ! Et voudrait maintenant que sa chérie, ma copilote, aille s'installer avec elle dans mon pays. Soignante 3 (de cette peste ; à l'hôpital des gnantes et des gnants, de tous ordres, entre réa et pneumo, il en aura défilé genre 33) : elle est... péruvienne ! Avec elle (en réa) et une autre (en pneumo), maghrébine, Dieu est entré. Dans la Danse. La Péruvienne, après que j'aurai répondu à sa question de savoir quelle est ma profession et dans quelles langues je l'exerce, sortira dans sa langue naturelle, natale, puisque la possibilité lui en était donnée, les mots qui ont alors afflué depuis le fin fond de son cœur et de son âme. Le Miracle « peut prendre des années et des années ! » Il faut lui dire, au Seigneur, à quel point on l'aime ! « Tu sais !... » : elle se mettra à me parler de ce qu'elle venait, elle, de vivre comme un Miracle. Le pape qui venait d'être élu. En raison de ses vingt ans au Pérou, j'imagine ! Ce n'était même pas ça ! Je me vois, moi, dans mon lit, comme si ce nouveau coup de Pérou m'y avait encore plus enfoncé. Mais le fait qu'il soit... Américain. Oui, « Americano », elle a bel et bien dit, l'Américaine, et non « Estadunidense ». Non, pas « États-Unis, danse ! » (dégage, plutôt, oui !), mais « estadounidènsé », « étasunien ». Usine : « Personne ne dit Américain, en Amérique latine, pour Étasunien !... » Faut que je l'agrandisse de : « Les plus politisés-zées, du moins. » Quel échange, encore. Parce que juste Divin. Mais même pas « seulement » ça (comment j'ooose...) ! D'un point de vue politique, également, ce que sa fulgurance a dit ! Le choix du Léon l'a catastrophée : « Mon Dieu, un Américain !!! Pourquoi ??? » [Estonie : 12:21] Explosion de détestation. Percevrai-je. Du T à la tête des É.U. Puis, se ressaisissant, m'expliquera-t-elle, elle dira au Seigneur combien... elle l'aime... qu'elle lui fait confiance... et qu'en fait c'est un Miracle ! Que le nouveau pape soit de ce pays, la première puissance mondiale, « face » à celui qui la dirige, étant donné le contexte international, la guerre en Ukraine... « Ti aaamo !!! » C'est comme ça qu'elle lui dit, son Amour, au Seigneur. Il faut que je Lui clame mon Amour, encore et encore, au Seigneur, m'a-t-elle enjoint. 12h33. Ça vient de biper. C'est ma cliente, par mail. Je la rappelle. Elle double la mise ! Le même montant à peu près, pour ma traduction d'avant PTO-COMPLETO, ne m'a pas non plus encore été réglé ! Je lui demande de me renvoyer le bon de commande concerné. L'occasion d'une nouvelle confirmation : de ce que ma synchronicimanie n'est pas qu'un syndrome du qitu-pour-des-connes. Car RAS, rien à signaler, dans ce deuxième, ou plutôt avant-dernier BDC. Pas de 22 de TT, de V de VV (de Vincent de nos deux). Pas de Grue. Grande Suite. Élévatrice. Rien de particulier. Si ce n'est, tout de même, mon Nombre de la Renaissance, en bonne place, à... Date de Démarrage... Le 12.11.2024. L'occasion... non, pas ça, mais cet autre truc de dingue-là : aux infos, des chiffres d'un sondage. On dirait une mini-skyline, où le gratte-ciel de la fachotte nationale dépasse largement celui des autres irresponsables politiques dont la potentielle performance dans deux ans est représentée sous la forme d'une barre verticale. Un diagramme en barres, Mouchinet, tu m'as dit que ça s'appelait. Les buildings de la partie orientale de la presqu'île... Eh ! Man ! Attends ! On n'est pas à Manhattan ! Les barres de la droite (du diagramme et de l'échiquier politique) totalisent... 69 % ! Jélica : 31, le total à gauche, c'est aussi le nombre d'étages de la Freedom Tower, la plus haute construction de Manhattan. Hat-hat. Chap'haut. Haho. Je redescends. C'est le même nombre de pourcents que celui de la faffe. Ce joli petit dessin de toutes les couleurs, outre qu'il dépeint une situation à pleurer, me fait en outre réaliser que l'addition du 12 et du 21, son associé René... Héhé. C'est avec sa contribution, en effet, que l'on renaît, dans « 2-1-1-2 : ça descend et ça remonte, graphiquement ça fait un V de Vie ». De mon graphique à mon diagramme, des années plus tard : tof en soi. Mais l'addition ? Hé ? De quoi ? De ce 21:12 (de la France). Ça fait 33 !!! Dans le dessin, la première barre colorée de la droite est celle de l'actuel i-mon(te/de) ministre de l'Intérieur, à 21 % d'intentions de vote. La barre parallèle suivante illustre les 12 % d'un autre candidat de merde. Ooohhh !!!... C'est pour le jumooo !!! Avec mes candidas de merde. Si tu vas à Riooo... Et à Albi, c'est quand ? Je redescends. Le 21, au milieu de ce joli merdier, j'irai prier. En mon Église Saint-Ferdinand. Qramé popote, pour mouchineter « Prière pour guérir » : 16h33.
- ↑ Eh oui, je dénobapaquatre, finalement. Poussant ce dépadadoudage d'épi(no)logue jusqu'au 24. La narration hors-sync s'arrête au 9. S'étalant, donc, sur... 19 jours. Et à ce dépassement supplémentaire c'est La Lorraine du (double) 19, qui m'amène ! « Retrouvé le 24/05/25 à 13:13. Je sors de La Lorraine... J'y étais, dans une relec, juste avant... », ai-je inscrit sur le petit dépliant en carton « La Lorraine – Brasserie Fruits de Mer – 1919 », sur sa 4ème face, sous l'addition du DéjeuGELLner que j'y ai collée, et qui nous renseigne ainsi : TABLE 51 – TOTAL 115.00 – DIMANCHE 14-4-2024 – Clé 40-Serv 40 – Caisse 2. Elle requatre pour moi. C'est gentil. Elle cinque, cinq-une-une-cinque, dans le sillon d'un 19-05-25 – 13:05 d'un autre ticket. Pas très gagnant. Pourquoi ? Mystère et boule de gomme, je ne peux que dépadadou-sync-narrer. 10h15 ici. Le 25. Vraiment pas de quoi me marrer, juste avec mes chiffres un peu m'amuser. Le ticket Lorrerifrite et l'autre, un LibÉgaFra du Tribunal de Paris (eh oui...), figurent aux pages 49 et... 66 !... mon Dieu... du Thia-Txa-CaFaDès. « Vous serez appelé par le numéro P056 », qu'y dit aussi, le titi du tritri. Page 66 : je ne savais pas, que c'était le numéro de cette page où le cafadessage s'était arrêté, à un Café Latéral. Encore un ticket collé, dans son angle supérieur gauche. Combien de temps ça peut faire ?... Grave, le mec, ça fait bien deux minutes que je réfléchis... un ticket de café sous le nez... Ne serait-ce un peu marqué dessus, hé ??? C'était... un 15 !!! Le 15/... 2. À... 15:35 !!! Grue élévatrice 5, 15, 25, 35... Page 49 aussi kité... euh... kilé, le 5 : écrit sous le déplipli, au stylo rooose, s'il vous plaît. Un « 5/12/2023 » souligné datant un « Rappel [de Karima] : chaque fois que je suis activé émotionnellement par une situation, même légèrement, faire systématiquement un protocole de désactivation pour refermer le dossier [ainsi ré]ouvert [...] » Je rouvre celui du Latéral, un de ces cafés d'« à côté » du Mome-Pissar. Face à l'angle de rue et de mur arborant ce TT de queue de la « rue de Tilsitt », sur fond d'Arc de TT. Il est sis au 4 avenue Mac Mahon, me dit TiTi aussi. Le... « SERVEUR 13 » : « On vous ressert un peu de sync-cinq ?... TiTi ?... » TiTi : « Oui. Voilà messieurs : Restaurant 142965 – Table 185 » Messieurs ? Parce que... Oui !!!... Nous y sommes tous les deux, Thiago et moi !!! Il y a bien nos deux cafés. Son « CAFÉ SERRÉ » et mon « CAFÉ ALLONGÉ ». Pas de quoi s'exciter ? Si, parce que... c'est rare. Que nous cafclopions en terrasse ensemble. Nous ne... faisons... plus grand-chose, ensemble, mais nous en avons... tant et tant et tant fait... et en referons... tant et tant et tant et tant et tant et tant et tant et tant et tant. Je neufe, bisû. En comptant ? Et je m'arrête à 9 ? Ben non, j'en veux 9, oui, mais je tantape, tantape, tantape... laisse mes doigts s'exci-T et s'arrê-T tout seuls. Puis je compte. Lomo. Merci mes doigts. Et j'ai collé, le 24/05/25, après la relec « à la » Lorraine, qui ici, et dans mon CaFaDès, m'amène, et à elle-même, me ramène (écripause, 12:22 qramé popote), à droite du titi sississ, un photomaton (putain, ce « maton »...) de Thiago et, sous le sien, un de moi. Au-dessus et en dessous de ça, que j'avais inscrit au stylo : « 16:40 qadj ramina ». Face à ça, sur le ticket : « Total Euro : 11,40 ». Nos photomatons : nous ne les avons pas faits ensemble à Ternes le jour « du Pérou (perdu) » ! J'ai trouvé ceux de Thiago dans des papiers sur la table du studio... J'ai fait les miens pour le TriPa... Je n'avais pas remarqué, en flanquant nos faces là, que c'était à côté du ticket de nos cafés pris ensemble ! J'ai noté, au stylo, sur la première page du reste du CaFaDès resté vierge, les mofids à épiporter. Uniquement, en l'occurence, en termes de grassage et d'italiquage d'entames de certains paragraphes à fin de conversion en sous-titres. Ça remplit pile la page, qui se termine par : « ::::::::: [9 trémas de retrait] Nous nous le sommes dit mille fois [en fin de compte neuf-neuf-neufées] : RIEN NE NOUS ABATTRA. 24/05/25 11:40. » Ça rasse, l'heure, pourquoi je la note ? Me suis-je demandé. Suffisait de (se) demander, et com' d'hab', pour une Belle Série c'était donc reparti. Il me reste trois petits papiers à coller. L'un qui prendra la Bastille. Victoire un jour. Victoire toujours. Parabole extraite de ma tête à la faveur de 68. Le numéro de la page de CaFaDès que couvrira le premier PPC. Le bien nommé ! Qui ne saurait davantage y avoir sa place ! Mais il n'y en a que pour celui-là : une page d'un carnet à spirale de Thiago. Entrée dans le Cahier le... 25/5/25. De même que les deux autres pacaspis (17:09, tadar 19 %), à la page... 69 ! Stupéfiant cheminanissement décidément. Ce sont les mots que nous nous étions écrits, rapportés sous « Le 25 septembre [anisse apelle mois] 2024, nous avions griffonné dans ton carnet : ... » Ce 25/5 il se passe un dernier truc rigolo. À la téloche, dans « Quelle époque ! », avec un Raphaël Quenard. Les Nard autres que Renard je les appelle « queues de Renard ». C'est donc un que-queue de Renard. Eh ben. Parce qu'en plus il est... hmmm... irrésistible, comme elle a dit, plusieur soif... J'ai tapé ça !!!... On a soif, hein, ma Léa ???!!!... « Irrésistible », as-tu dit plusieurs fois qu'il est, le monsieur. Ça n'est pas usurpé. Allongé (toujours seul) dans mon canapé-lit, j'arrête mon ordi, juste le temps pour Madame Salamé de lancer : « Raphaël Quenard ! Dans “I love Peru” [un film qu'il a réalisé] ! Vous connaissez Jeannette [la comique, dans l'émission, qui prend le relais] ? » Dernier rallumage de téléphone portable pour le mettre sur silencieux à 23h33. Ama, Aita, ça gaze là-haut ? Nous deux alors la prochaine étape ça sera où, mon doudou ? « La dernière modification de cette page a été faite le 26 mai 2025 à 11:54. » Oui, bon, hé, 11:55 quand moi j'ai regardé. Estonie. Mon chéri : « TkT. Tu me l'as suffisamment prouvé, que tu le méritais. » Quoi, doudou ? « Hé bé mais le Brésil, le Pérou, tout !!! » RIOJA !!! 22 V'LÀ TT !!! CROIX-NOTRE-JOIE !!! « La dernière modification de cette page a été faite le 28 mai 2025 à 13:12. » Oui, bon, hé, 13:13 quand moi j'ai regardé. Estonie. Véridique, Mobidick ! C'est du fin de page, fin de relec, bisû. Et qp après une sieste : 16:33. Je me dis : « Le Seigneur ne cesse de me signifier qu'Il est avec moi. » Parce que ça ne va vraiment, vraiment pas fort... Puis je vois, la température : 22 °. Et le tadar : 33 %.