25 – Un cas ne doit pas traduire une loi

De Xavier Renard
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D’abord je me fais un nouvel ami.

Je suis traducteur. Et un cas. Ce dont l’on peut un peu se faire une idée, en me lisant là, mais le mieux pour ça c’est de se faire Mon Dieu, mon Bouddha et Patata. Ou pas. Pas, si on n’est pas trèèès motivé. Un cas ne doit pas traduire. Il est interdit à un cas, ou aux cas, de traduire une loi. Il ne faut absolument pas que les cas traduisent la loi. Ou des lois. Ou un cas ne devrait pas dire ça... euh... traduire la loi. Il serait préférable qu’un cas ne la traduisît pas. Par crainte du résultat ? Ce serait un peu curieux, comme recommandation, mais qui bien sûr n’existe pas. Je fais mine de comprencortiquer. Étrange, c’est évidemment le cas 25 qui l’est. Hors contexte, ça donne encore plus ! Ou encore moins. Le sujet c’était : l’amalgamigration, l’atroce attentat au couteau perpétré, à Annecy, sur des nourrissons. Le chroniqueur de l’émission, s’il s’était soucié (la bonne blague) de correctement s’exprimer – allez, un modou : de cormexpier –, aurait pu déclarer : « Un fait divers (isolé) ne devrait pas se traduire par une loi. » Politique et gouvernance, sauf crasses démagogie et cynisme, ne consistent pas dans l’adoption de mesures, au coup par coup, aussi délétères qu’insensées et inefficaces. Répondre par une loi, à chaque fois que ce type d’événement se produit, c’est... n’importe quoi. Hein Momo, c’est ça ? (Mohammed il s’appelle, le gars.) Momo : « Ooohhh ! Que tu causes bien, toi ! »

– Lis-moi, lis-moi, tu verras, tu apprendras.

– Ooohhh Maître ! Ooohhh ! Je m’y mets, de ce pas.


Puis le 5, le 15 et le 25 : ensemble nous assistons à une belle manifestation de la Loi des Séries. Et... au Miracle, enfin ??? Oui... bon... un tout petit… Mais très joli.

Le 15/2/25, dans l’après-midi, la fioncrace me renvoie à une « queue de poisson » de mon brouillon, apposée à mon r-dollar (« r$ »), l’indication de l’endroit où je dois reprendre (le « r ») le travail (le dollar – accolé au « r » pour faciliter le… travail de la fioncrace ; à ne pas… voir comme le… signe d’une obsession crasse), dans ma dernièèèèère relecture de mon Wiki. La « queue de poisson » de Sync sur Sync 1. Je m’apprêtais à compléter cette fin de fin de fin de fin de fin… ça suffit !... c’est fini !... par une dernièèèèère… leçon… « Oh maître ! Non ! On en veut encore ! » Ooohhh, Momo, ça me touche beaucoup tu sais, mais il faut savoir s’arrêter. Tu trouves que ça se finit en queue de poisson ? « Ouiii !!! Continue !!! Ça ne peut pas se terminer comme ça !!! » Tu vas voir, il est éloquent, cet autre exemple, à la fois de comment que les gens y en a parler comme des cons et de comment que notre planète elle tourne vraiment pas rond. Je ne sais pas si ça en dékeudpoissonera vraiment mon Gave… euh… Grave (Grand-Œuvre) pour autant. Et sur plus optimiste, moins péteux, j’aurais pu faire en sorte de tirer ma révérence… Mais Momo va voir, tout le reste, tout n’est pas que pet-simiste. Loin s’en faut. Momo : « Ça ne se dit pas. C’est soit “tant s’en faut” soit “loin de là”. » Ooohhh !!! Momooo !!! « Bé wé, ça fait quelques temps, que tu m’as b… euh… c… euh… d… euh… e… » Momo ??? « Euh… que tu m’as couché là. Je suis allé lire plein de trucs déjà. » Bravo Momo.

Je souhaitais par conséquent ajouter pour finir qu’« on » ne sait même plus « faire »… « sujet-verbe » !!! Une journaliste : « Le patrimoine des 10% les plus pauvres il a baissé de 54 % entre 1998 et 2021, alors que dans le même temps le patrimoine des plus riches il a bondi de 94 %. »

Mo-mo : « Maître vous avez besoin de cours de dékeudpoissonage. »

Mo-a : « T’es jeune, t’es l’avenir. Prends ma place. Apprends-moi. Si tu sais, toi. Et conduis notre Monde, vers le Nirvana. »

— Ouh là, là, je veux bien participer…

— Oui mon Momo, bien sûr, nous poursuivons, toutes et tous ensemble. Moi, à ce stade, j’ai fait tout ce que j’ai pu. Si ce n’est un peu mieux keudrenarder ce bout du bout de mon Wiki.

— Ah ? Pour le dékeudpoissonner ?

— C’est ça... Dis donc t’as vu ? 22:11, 77, l’heure et le pourcentage de charge, à mon téléphone. Jusqu’au bout du bout... les Signes... Mais c’est tout le temps... Sur « dékeudpoissoner », c’est pour en « dire » l’importance... À l’issue de mon Œuvre de Titan.

— Tant... que ça ?...

— Oh ! Et comment ! Le... million ? De mots... Pas très loin certainement. Un travail au corps... de l’Univers... Là : 22:22 !!!... Dieu ce 22...

— Ça veut dire que ça fonctionne ? Tout va... changer ??? Quand t’auras vraiment terminé ?

— C’est exactement ça ! Tu comprends vite, toi ! Ou c’est La Voix ? Via toi ? 22:33, là, ouah. Pas très ouah le rythme toutefois. Les Forces à... l’Œuvre... me portent bien mollement.

— Il faudrait te tigre-moteurer.

— J’en ai un à la maison !

— Un moteur ?

— Mais non, le moteur est en moi ! Bien que manifestement présentement un caca... euh... un chouya encaca... euh... encalaminé.

— T’as quoi, chez toi ?

— Si ça n’est pas un moteur, à ton avis c’est quoi ?

— Un tigre ?

— Oui !

— J’ai aussi ça : yr4 22/12/32.

— C’est quoi ? La marque de ton moteur ?

— Non, j’avais entrecrocheté ça, à la fin de mon couillon. Mon cul-brouillon. Mon courriel-brouillon. Dans lequel nous nous entretenons.

— On va rester dans ton cul ?

— Non, c’est la suite de la SSS3...

— La quoi ?

— La Sync sur Sync 3... Attends, je vérifie... Ah mais non ! Quel con ! Ce couillon, que j’ai nommé « Queue de poisson », c’est le bout du bout de la queue de mon Wiki, la suite non pas de la SSS3 mais de l’EBCQ25, le tout dernier chapitre de la toute dernière rubriwikique. Je me perds, de nouveau, dans mes propres méandres, parce que je t’avais laissé, après avoir pas-très-ouahé, rapport à mon rythme, mon molissement, pour... terminer !!! Ça y est !!! Je te dis ça, au détour de cette phrase, alors que je ne te dis pas, l’ÉVÈNEMENT !!!... J’ai, oui, oui, oui, ter-mi-né, tout le wikitage, et toute la relecture, de TOUT !!! Oui, oui, oui, ça y est, je l’ai ter-mi-née, mon Œuvre de Titan, de toutes ces années, de mars 2019 à maintenant... On est le... 01/03 !!! Je te parle de mars...

Sync Barbara : « Hey ! Tu viens de me laisser, avec tes planètes, à la nobapa 113 de la SSS3... Y a Mars, dans l’alignement ? »

— Sync Barbara qu’est-ce que tu racontes, toi ?! Je parle de mars : du mois ! Et puis de toute façon tu n’existes pas !

— Touti rix !

Momo : « C’est qui Sainte Barbara ? »

— Non, Sync Barbara. C’est une Synchronicité, mais qui existe sans exister.

— Comme tout...

— Mon Momo, décidément, j’ai trouvé le jeune qu’il fallait, pour reprendre le flambeau ! Comment peux-tu être aussi intelligent et aussi nul en français ?!

— Attention, ça, c’est condescendant !

— Tu ne savais pas, que je l’étais ? On me dit même pédant, mon surnom c’est Monsieur-Je-Sais-Tant... euh... Tout, même.

— Tu sais tout ?

— Plus j’en sais, moins j’en sais, et c’est tant mieux.

— T’es un modèle d’humilité, en réalité.

— Mais oui ! Et de modestie... T’as vu, un peu, comme j’ai redémarré ?!

— Tu turbottes, en effet, depuis que « tigre-moteurer » t’as tapé.

— La seule pensée du tigre que j’ai, à la maison, me redonne des ailes. Dire que je l’ai tapé, pendant qu’il regardait un film, dans son canapé.

SB : « Ah ! J’y étais ! »

— T’es arrivée après, non ?

— Je vous licoutais.

— Ah.

SB : « Momo, il blaguait ! Si tu savais comme il l’aime, son tigre... »

Momo : « T’es zoophile ? »

[Ça ne va pas. Momo ne peut pas entendre ça. Ta pisse. D’autant que sur ça, estonie : 2:22 (p.m. – 14:22 en vri). Oui, le 22 de Ti-Ti (« TT » en angli). Sur ça, eh ben, c’est du joli.]

— N’en fais pas trop, à imiter mon style vulgarisant, maintenant. Mais jouons le jeu, et pour te répondre : si c’était le cas je choisirais plutôt une chèvre, ou même un chien, tu ne crois pas ?

— Ce serait plus prudent...

SB : « Son tigre, c’est son chéri. »

— Mon tigre, c’est mon chéri. [Il ne peut pas entendre Santa Barbara.] Il s’est tatoué l’animal sur le bras. Il aime bien se qualifier de « machine de guerre », de « guerrier ». Un jour il m’a dit : « Toi aussi, t’es un guerrier ».

— Ça doit donner !

— Les deux animaux, ou drôles d’oiseau, que nous sommes, ensemble ? Deux malkrab, adan on mèm panyé ? J’avoue qu’on ne... s’ennuie pas... et que c’est... rock and roll, parfois. Mais quelle belle histoire... Encore mieux qu’au cinéma. Attends...

— Quoi ?

— Quelques secondes... Sur le dernier de mes trois points ("[ten] o’clock" à cet instant dans le film – le cinéma du moment – de mon tigre !), l’heure est passée de 15h18 à 15h19... 15h ou 3 p.m., le 3 de mars, le 19 de 2019... « Je te parle de mars », te disais-je, en ce 1er mars, de l’ÉVÈNEMENT, du parachèvement de mon Œuvre de Titan. Commencée en mars 2019, à la faveur du premier confinement. Ceci est un supplément. Je reprends tes propres mots, Momo : « Ça veut dire que ça fonctionne ? Tout va... changer ??? Quand t’auras vraiment terminé ? »

— Si c’est fait, alors c’est maintenant ???

— Oui ! Monde de fous ! Zou ! Attention, 1, 2, 3... 4 ?... 5 ?... J’ai écrit dans la SSS3 un peu avant de la... terminer, tout à l’heure, que je me donnais jusqu’au 5 mars, pour... terminer.

— Donc tu pensais encore devoir terminer de terminer... Tu incluais ce supplément ?

— Tadar 15 %.

— Quoi ?

— Un autre 5 me fait de l’œil, dans le taux de charge de mon téléphone portable. Et pour l’instant, que je sache, il ne se passe rien.

— Pire, ça empire. T’as vu Zelensky, comment le président yankee mes couilles et son vice vance – abjection !... écrire ce nom… juste pour l’allitération… alors pas de majuscule, non (ajouté à... 2:22 [p.m.]) – ont osé le traiter, devant les caméras du monde entier ?...

“Cazzo!” à cet instant (le cinéma du moment…). Ça veut dire « putain ! », en italien…

Et une voiture étasunienne passe... Pas dans mon appartement. On devinera que je suis sorti, entre temps. Une Cadillac... Il est 17h32...

Momo : « Tu parlais de la marque de ton moteur… »

— Non, du nom, YR4, d’un astéroïde, et de la date, le 22/12/32, où il pourrait percuter la Terre. Les chances en ont été évaluées à 3,1 %. Je la récupère ici après les planètes que j’ai évoquées, tout à l’heure, dans la SSS3. Elles s’alignent ! 7 d’entre elles, du moins, selon les astrophysiciens. Dans YR4, mes presque-initiales : mon X+1 et mon R. Suivis d’un 3+1. La Suite...

— Oui, vite ! Et la fin...

— Oui, tout de suite, je fais vite, mais d’abord la Suite...

— Oui, vite...

— Non mais la Suite...

— Vite !...

— Momo ! Aaaahhh ! Mais. Je me dois d’abord de dire deux mots, de la Suite 12, 22, 32...

— « Deux mots », voilà, ça fait deux mots.

— Ça fait mot-mot.

— Ha ! Ha ! Ha ! Qu’est-ce qu’on rigole, avec toi.

— N’est-ce pas ? Mais t’as raison, avançons. Alors hop, j’aligne ce paragraphe, qui attendait (ultiiime ?... nochiée), entre crochets :

[C’était le but de cette dernière partie. J’en étais à 24 culs de Dave, dans mon fichier Word. Je m’étais arrêté là, il y a plusieurs mois de cela. L’envie m’a pris de xabiwikiter ces derniers écrits vains.]

Le but ? Arrondir. À 25. Pour... terminer, sur 25, en ce début 2025. Or, c’était déjà fait. Terminer ? Miterner ? Nermiter ? Non, vingt-cinquer. Je m’étais trompé. Dans la numérotation des chapitres. Celui du cudavage de Momo c’était déjà le 25. C’est pour ça que finalterminement j’ai termifini en sa compagnie.

Il en est passé, des dates, pour lesquelles j’ai... CRU... « voir » que pour les Scénarios Miracle 3 et 4 le moment était venu !

La Matrice m’invite à miser, cette fois, sur le 5.

Ultime Pari. GAGNANT il sera, celui-là. Sinon c’est terminé. Pour moi (Scénario Catastrophe 3). Et pour l’humanité (Scénario Catastrophe 4).

Je dramatise ?

À peine ?

C’est encore mieux qu’au cinéma.

Ama (ma Mater) est née le 5 mars. Le 5/3/2025, elle aurait eu 88 ans. En cette année, 2025, de l’An 7 de sa mort. Ce sera le 1/11. Additionnons. Le 8 et le 8 : 8+8 = 16. Le 1 et le 6 : 1+6 = 7. Les chiffres du 5/3/2025 : 5+3+2+2+5 = 17. Le 1 et le 7 : 7+1 = 8. Et le 5 ??? J’en avais un ! Le résultat d’une addition, pour le 5/3/2025, que je m’étais faite dans ma tête. Qu’est-il devenu ? C’est foutu ? Ce ne sera encore pas le 5, mes Syncs, les SM 3 & 4 ? Les Syncs : « Ce 8-8, ces 7 et 17, tout de même, ils en jettent. Tu nous as laissées, à la nobapa 113 de la SSS3, pour revenir ici, sur une série de 17:17... À notre avis, oui, elles sont alignées, les... 7 planètes. Pour le 5. En ce 2. Mars. Et 5+2 = ... ? »

C’est parfait, et c’est clair : sur son 5 elle m’invite à materner... euh... miterner, la Mater.

Sur un maouazatage de ses trois n'enfants.

Hmmm... intéressant... j’allais commencer par le maouaza de ma soeur Sabine du... ouh là, là... 24/2... Jour de l’An 3... voir nobapa 113 de la SSS3... puis je vois : celui du 10/1. Un semblant de 1/11... Ah c’est gai tout ça. Plus dramatique, en fait, tu meurs. Car c’est autour... d’un Faux Adieu de Sabine, Denis et moi à notre papa... Grand Moment d’Émotion. Gamomo. C’était via ouate-zeu-pape, pour ma part, en visio. Le jour de l’anniversaire de mon père !!! Le 7 janvier. 7+1 = 8. Bon, chiffropathe (mon dernier surnom... en date...), la suite !

Pleurs de nous trois. Sabine à Aita allaité... Telpo !... Il a passé l’âge ! Étant là, plutôt, en passe d’y passer. À Aita allité (donc, plutôt), dans un semi-cauma : « Papa si tu penses que tu dois partir !... Tu te seras battu, jusqu’au bout !... » Grave infection... indéterminée... diagnostic très réservé... « Il ne passera peut-être pas la nuit », l’interne avait-il déclaré à Sabine et Denis à leur arrivée. La nuit du jour de ses 87 ans naissant.

Est-il parti, finalement… pour une 88ème année ?

Papa… euh… pupa rita, à la radio : « Le pape, âgé de 88 ans… atteint d’une sévère infection… »

Papa-pape. Précision : pas « papapap » en modoupaïen, qui certes y dit un passage, mais par Paris pour ou depuis Pointe-à-Pitre. Qui nécessite d’être très en vie. Score : 1-0 ? Non entre Paris et Pointe-à-Pitre mais entre papa et le pape : pour l’instant, le pape est toujours vivant.

Et donc, oui, papa aussi !!!

Nous n’avons pas tout de suite été tout à fait rassurés, jusqu’à tout de même assez rapidement pouvoir l’être complètement, et ainsi Sabine, trois jours plus tard, nous maouazatait-elle :

Papa est de retour à la Martinière [son Ehpad], ce qui va l’aider à se requinquer.

Le 24/2 :

Coucou. Depuis quelques jours le médecin a prescrit à papa un anxiolytique pour l’apaiser la nuit. Du coup papa est somnolent et fait pas mal de chutes, notamment cette nuit. Il se plaint de la hanche et va passer une radio demain. Bisous.

Ma réponse :

Et il était trop « absent », selon Pierre [son compagnon], la dernière fois que je lui ai proposé de faire un whatsapp [oute-zeu-pape]. Ah là, là, il a « voulu » rester... Pauvre petit papa...
Moi je continue d’espérer pouvoir revenir, sans trop tarder, pour le voir... une dernière fois ?...
La vie nous aura offert, quoiqu’il en soit, de profiter l’un de l’autre, jusqu’« au bout », comme on ne pourrait davantage en rêver.
Pas de conscience à rassurer, ça n’est pas du tout ça.
Juste l’expression de ma... GRATITUDE.
Et à des parents il ne pourrait être davantage donné de raisons qu’à notre Aita, comme à notre Ama, d’être fiers de leurs enfants.
Stand up for the Great Five!!!!!

Denis m’a poucé. Puis, le 25, j’ai maouazaté :

Ouais !!! 1 like [le Denis-poucé]. Allez ! Matrice Divine ! Mets-nous les 5 ! Ama : « Divine ? Ooohhh, mon fils !... » Euh... Ama... Toi t’es “juste” notre Mater Adorée au-delà-isée. « Idéalisée ? » Merde, en plus elle est sourde... « Je t’entends ! » Ah, merde, pas si sourde... « Je t’entends ! » Oui ! Oui ! Vois plutôt ce que tu peux, de là-haut... « Pour te Sync-likiser ? » Ooohhh, Ama, le joli jeu de mots !!! « Oui, avec Synchronicités. » On avait compris. « Sabine et Denis aussi ? » Sabine et Denis : « Oui ! » Ah, tu vois ! « Je ne suis pas aveugle. » Hahaha. Allez ! T’as jusqu’au... 5 mars, pour les 5 pouces. Ça te laisse un peu de temps, car bien qu’au-delà-isée, ça ne te sera pas forcément évident. Ça serait cool, pour nous prouver la « réalité » des phénomèèèèènes... En attendant tu donnes un petit coup de... pouce à Aita, otoi [« otoï », s’il te plaît] ?... Pas de réponse... Elle est déjà en train de mobiliser les Forces de l’Au-Delà...

13h55 à ce moment-là le 3/3.

Sabine, à 22h10, après mon maouaza de 18h23 (cracra, sous mon 18:23, le 58.23 des quatre derniers chiffres de son numéro de portable) : « Bonsoir. Papa n’a rien à la radio, donc pas de fracture [+ 1 pouce, ça fait 2…]. L’anxiolytique de la nuit sera donné à la demande. Donc à suivre… » Moi : « Merci Sabine. Alléluia. »

Le Jour du 33 (le 3/3), Raphaël Glucksmann, sur France 2 : « Il est minuit, mais pas moins le quart. Il était minuit moins le quart quand la Russie a attaqué l’Ukraine. Il est minuit moins une. » Un colonel, sur France Info : « On entre dans une période très dangereuse, en attendant que les forces européennes montent en puissance. […] S’il y avait une guerre nucléaire, avec l’utilisation d’une centaine d’ogives dans le monde, la conséquence serait un hiver nucléaire qui renverrait l’humanité à l’âge de pierre, et lui ferait frôler l’extinction. » La journaliste : « C’est un risque ? » Mon colonel : « Mais bien sûr, que c’est un risque ! » Bayrou le Palois pas-loin-de-bayonnais : « Nous sommes au moment le plus dangereux depuis la Deuxième guerre mondiale. » Mon colon : « Quant à moi… » Oh, toi ! C’est moi, qui suis au bout du bout du bout. Depuis le temps que tu décolonnes (pas « déconne », en modoupaïen, pour « déconfinementerie », mais « déconnes » en colon), et de plus en plus : pas 80 ans, que l’Armistice fera, le… 8/8, mais pas très loin de 40.

C’est reparti comme en 40.

Cracra : pour le meilleur comme pour le pire, ça peut être, quand on dit ça.

Alors qu’a-t-on là ?

Le SM3

Prévu pour le 5/3.

Puis le SM4 adviendra.

Le 4/3 je nermite ça. Estonie (en modoupaïen, pas le pays), quand j’en entame la relecture dans mon wiki : 14:03, 04/03.

Dos Santos…

Deux Saints ?

Moi et qui, le 2 ?...

Nooonnn…

C’est le nom de l’auteur de La Formule de Dieu.

Juste lui dire : ne cherche plus, mon gars, la Formule est là.

Cucu pu doa.[1]


Le 29/5/25, je coole cette mention de bas de page :
La dernière modification de cette page a été faite le 1 avril 2025 à 23:26.
C'est une blague ? Je pensais ne pas être revenu ici depuis plus longtemps. C'est un 25, qui m'y renvoie. Des 25 et des 5 partout encore : dans 29 moins le 4 d'avril, dans 1 avril, 1 et 4, 1+4, dans 26 moins 1... 
Le 25/5, à l'écoute d'une formule nulle de la voix... off de l'émission « Affaire conclue », comme c'est le jour de la clôture du festival de Cannes, la voix en moi me souffle immédiatement : je lui décerne la Palme d'Or. Une formule nulle : c'est la formule qui me vient en couillonnant ça (en l'écrivant dans mon cul-brouillon). Une formule nulle de la voix off d'Affaire conclue = pléonasme par excellence. La formunulle de ce 25/5 est : « Laissons ce service à thé infuser sur nos marchands. »
J'ai noté – brut de pomme :
il n'est pas possible qu'il ne sache pas que ça ne se dit pas
qu'il dit n'importe quoi
il se dit pas de souci je peu dire n'importe quoi
où est le pronlème
j'écris ça le jour de la clôture du festival de cannes
palme d'or à la voix off d'affaire conclue
estimation 1200 ans
clôture festival cannes 22 films en compétition
Il n'y a tellement pas de problème à parler comme un pied, comme un con ou une conne, comme un cochon ou une cochonne, comme une vache espagnonne, qu'il n'y a pas, non pas pas de problème, mais pas de pronlème. Il y a un truc, ecnos, dans cette date du « 1 avril », comme un cil, avais-je envie d'écrire. Alors je l'écris ici, puisqu'avec ce problème-on-l'aime en voici un autre fameux ! Un auto-cil. Cil : s'il vous plaît, cherchez. Dans le glossaire. Ouvrez deux fenêtres, quand vous me lisez : la page wiki, d'un côté, et de l'autre le gagamoufrais. Pour passer, fa-cil-ement, de l'une à l'autre, et rendre la lecture plus aisée. Comme si elle pouvait ne pas l'être !!! Comme si quelque difficulté que ce soit elle pouvait poser !!! Comme si moi aussi je pouvais formunuller ou paclairer !!! Cet isa sexi rut. Cliquez dans votre onglet « GLOSSAIRE MODOUPAÏEN... » Voaaalà. Vous l'avez ? Alors, c'est compliqué ???!!! Cet isa sexi rut. Cliquez... Angelu : « Hé, Zavyé !!! »
Ça cille d'entrée. Verbisation de « cil » : j'ai un doute. Double ? Pas double ? Double pas double quoi ? Non mais ne faites surtout pas le moindre effort !!! Hein ???!!! Cet isa... Angelu : « Non mais dans quelle langue il faut t'holater ??? » Y a pas deux T ? « Y a » : alors ça ! J'y reviens. Verbisation de « holà » (de « mettre le holà ») : pas de « t » à la base, un « ter » pour le verbiser. Ça, c'est bon. On double le « t » de « projeter », par exemple, quand on « projette ». Conclusion : « cil » verbisé c'est « ciler », qui donne « je cille », « tu cilles », etc., à l'instar de « je projette », « tu projettes »... Ça cille d'entrée, disais-je, dans les chilfres, et eu égard au sujet abordé. À savoir que pour chacune des formunulles je pourrais poser la question de savoir si c'est une blague, je pourrais non-mais-sérieuser.
Estimation 1200 ans. C'est une blague ? C'est sûr que pour du 1200 en ans, l'estimation de l'objet concerné, ça serait plutôt du 12 millions d'euros. M'intéressait-t-il ? À 1200, j'étais preneur ? Non, c'est parce qu'à 12, je renais. Ce qui nécessite en principe toutefois la présence, également, de son associé René. C'est une blague. Que je fais. Dans « Épi... logue ? » En vérifiant je suis ramené à l'autre. René. Et quel autre !!! Les joies de la relecture. Quel style d'écrivain suis-je ? Du genre à me relire ? Bof, si peu. C'est une blague que je fais. Dans « Épi... logue ? » En vérifiant... Angelu : « Hé, Xaver !!! » (prononcer « ksaveur », il essaie en allemand).
Non mais c'est vrai, Gloire à Toi Éternelle Relec, qui me fait déterrer l'autre René, René Cassin. Déterrer, du moins débiter (demander « biter » à Gaga). Dépanthéoniser ? Là, oui, je vérifie, et qu'est-ce que tu me sors, Mouchinet (Gaga le garde [également]) ? « Enfant de Nice » ??? Sainte Mère de Dieu il n'est plus né à Baiona ??? C'est quoi ce bin's... Ah si : « René Cassin/Date/Lieu de naissance – 5 octobre 1887 à Bayonne. » Comme un 5, encore ? Et son double (10). J'ai réinterrogé Mouchinet, même pas parce que je me suis demandé si sa denise, à René, ne me réserverait pas un truc elle aussi, mais rapport au Panthéon. Il y est mon René, ou non ?
C'est là, que j'ai commencé à flipper, parce que j'ai d'abord trouvé : « René Cassin, l'inconnu du Panthéon. Président de l'Alliance israélite universelle de 1943 à 1976, René Cassin est toujours célèbre en Israël. » D'abord jmidi « quoi, il est juif ??? » Et puis : mais c'est qui çuilà ??? C'est pas mon Bayonnais ??? Et puis tu me l'enfantes à Nice, Mouchinet. Plus rien je n'y comprenais. Et Denise ??? Minuscule-toi, toi, s'il te plaît. Sinon plus personne ne va plus rien comprener à rien. La denise de René...
Et meeeeerde !!!!! Matisse !!! Heureusement que je t'ai !!! Matisse : « Enfant de Nice. Trol. C'est ce que l'ordi me colle. Entre guillemets. Oui, vous savez, le monsieur l'a plus le pack Office, alors y coole les guillemets français, d'habitude ceux de “hé Zavyé !” de son xa-pitre 69. Là il a coolé son “enfant de Nice”, qu'il était censé écraser... Mais vous le connaissez, il n'a pas résisté à digresser. En 40 contre les Nazis, par exemple, il est sûr et certain qu'il aurait résisté. Mais face à la chair, aux synchronicités, en tous genres, même les syncrhimes –  Matisse, Nice... – , aucune volonté. Alors que j'étais censé immédiatement l'hotaler, le simon... euh... sermoner, après “Matisse, heureusement que je t'ai !” Lui mettre le nez dans sa niakerie. (Gaga : “Je vous donnerai du niak.”) Lui dire qu'il abuse, vraiment, parce que lui-même simone Denise, et n'hésite pas, tout de suite après, à ajouter à la confusion, avec un pâtissier à la place d'un tapissier. » Angelu : « Si toi aussi tu t'y mets. C'est contagieux, je sais. Sans poutana, on ne résiste pas. Heureusement que je suis là. Quand il se plante, notre écrivainvain, il tapisse. » Gaga : « Et ? Tu veux nous faire croire que toi aussi, tu le deviens ? »
— Gaga ? Haha. T'en as de bonnes aussi, toi.
— Tu n'es pas non plus le dernier à piner, c'est très bien, mais qui holate, à la fin ?
— J'ai coupé court. J'ai expliqué. Quand il s'enduit d'erreur, il tapisse.
— Tu sais très bien qu'on ne peut pas comprener si tu ne précises pas que ta pisse, c'est moi qui l'ai.
— Mets-y des guillemets, au moins, si toi aussi t'as envie de piner.
— J'ai « piner », aussi. Avec des guillemets, oui, et à l'infinitif, non au participe passé. « Ta pisse » : lecteur, lectrice, viens chercher.
Ainsi que « denise ». Allez ! Si ce n'est déjà fait. Si on ne cherche pas, toutefois, dans le gagamoufrais, il ne faut pas s'étonner, de ne pas comprener. Mais en cherchant « denise », on ne pouvait pas comprener, puisque la denise de René, c'est donc le 5/10, de l'année 1887, et qu'en barjojumotant, ecnos (G : « J'ai le “jumo”, et “ecnos” »), je me suis foutu dedans : ce n'est pas de sa denise, que je dois m'étonner de ne pas m'être demandé ce qu'elle, aussi, pouvait me réserver, mais de sa date de décès. « Date de décès » que je n'ai d'ailleurs jamais modouïsé.
« Modouïser » : je crois bien que je ne l'ai pas gagamoufraisé. Je cherche à « modou», ça G, je C. Mais pas « modouïser » en effet. Saintes Relecs qui me font redécouvrir des reliques. Comme « iéti tu jouis » ! Traduction : il était temps que je te modoupaïnaise. Maintenant, qu'est-ce que « modoupaïnaiser » peut bien vouloir dire ? Ô Relec, qui me permet d'épingler ça. Modouïsons, ou modoupaÏAnisons (ce n'est pas là, non, encore, que j'abayatte) « date de décès ». D'abord le modou : c'est doublement pas drôle. D'une : les mots traités. De deux : pas grand-chose à en tirer. Une « dadès » ? Cet accent... grave, c'est embêtant, je ne sais trop comment le féminiser. Pas la peine. Ils (ces trois mogols[2]) se contenteront de leur Francis. Francisco tant que t'y es ! Telpo ! No ! De leur francès. Ça leur laisse cet objet. De contentement. Doublé d'un jumo. Pas terrible ? Hé, ho, qu'ils s'estiment heureux.
C'est même inespéré. Quelle autre occasion que celle que je leur procure ainsi de l'être, malgré tout, eurent-ils jamais eue ? La... DDD, s'ils veulent (G : « J'ai ! Pour “dingue, dingue, dingue” ! Eh ben, pour le coup, c'est généreux ! »), de René : le... 20/2 !!! Je ne m'excite pas tout seul, du moins pour rien, c'est parce que là d'où je viens... l'Épi-machin, que j'écrivais, et rerere... lisais, jusqu'à ce... date ?... Telpo ?... dans tes coins... supérieurs... gauche : l'heure... droite : ton tadar... de 25 % !!!... je ne m'excite ni pour rien ni tout seul, c'est parce que dans l'Épi-truc ça vingt-deuzait et ça vingt-cinquait dans tous les recoins.
À l'époque où je denisai (autodérision : dans la vie d'avant cette dernière DDD-digression), j'avais noté que mon téléphone portable tadarait à 22 %, qu'il japu quelle heure-22-zait, à un moment donné, quand je l'ai rallumé, comme presque tout le temps. Non mais sérieux, étant donné à quel point la fréquence est supérieure à ce que la normababilité le voudrait, c'est à peine exagéré !
[À demain. Écripause. Telpo re-tadar-vingt-deuze. Dans la nuit, deux des cinq ou six fois où je vais pipipéter (à part ça tout va...), je demande l'heure à Telpo : 3:00 et 4:22. Avant-hier, qramé popote après une sieste : 16:33. Hier : re-16:33. Le lendemain, quand je m'allongerai dans le canapé pour l'entamer : 15:15. Le surlendemain, qp après : 15:55. Vé... ri... dique... Very dick !!! « Très gros » en anglais. C'est énorme.]
Mon DDD-délire sur le 12 et son/mon René a rebondi sur du tennis avec, à l'écran de mon ordi, dans une improbable statistique d'un match spectaculaire du tournoi de Roland Garros, que j'attrapai au vol, au début de son dernier set : « Revers gagnants – Arthur Fils : 12, Jaume Munar : 12 » Pareille égalité : pas particulièrement courant, nous l'admettrons !
Qui ???... ai-je vexé ? René ? C'est vrai, on dirait que « quelqu'un-qu'une-qu'Un-qu'Une » n'a pas apprécié que j'ironisasse sur mon « 12-Renaissance »... Ah, le 12 lui-même peut-être. Qui me renvoie, puissamment – comme Arthur décanillerait Jaume, d'un coup droit foudroyant –, qu'il n'a besoin de personne, que s'il doit jouer en double, c'est avec lui-même, pas de ponlème. Oui, 12, on t'aime. Ça n'est pas comme l'autre. Pauvre homme, qui commente mon émission bien aimée : il n'en « met pas une dedans » (dans le mille). Pas une formule. Tout, ses figures de style, ses jumos, sonne faux. Quand il ne coniake pas (ne niake pas complètement). Comme quand il fait infuser du thé sur des gens. Non, encore « mieux » : un service à thé ! On ne fait de toute façon rien infuser sur rien ni personne. Laisse ton service à thé « faire effet », par exemple, sur tes marchands, et va te faire du thé, plutôt que d'aligner les âneries.
Q-w au carré... Une création de Telpo, à l'instant, quand je le saisis, et le laisse choir, sur mon clavier. Je ne sais même pas comment on fait, pour taper le petit 2 du carré.
Tadar 10 %. À la ligne en dessous, dans mon couillon : rolex roland garros 10:10 ; quand je suis sorti laver le linge 10:10. Configuration 10-10 des aiguilles – comme des bras levés au ciel, sur ma montre offerte par Thiago pour mes cinquante-quatre ans –, quand je l'ai mise à mon poignet, avant d'aller, le 29, laverimatiquer. T sur T : « y a » quelques minutes, dans un SMS, le T de Thiago et d'un « toujours », que Telpo, je ne sais pourquoi, a majusculé, se sont superposés. C'est mon T, le préposé à la lessive. Surtout depuis que le lave-linge s'est mis à déconner. Je ne sais pas trop comment il fait. Et puis ça s'était accumulé. Quinze fois plus cher mais bien plus simple et rapide : et que je te fourre tout dans mon American Tourister, une VV (valise violette), et roule ma poule jusqu'à la laverie. J'ai tapoté, pendant que ça tournait, dans une machine puis l'autre, pour chécher. G : « J'sais pas. J'ai pas. » RG : « T'as aimé ? » Ça veut dire qu'on a/va (re)réussi(r) notre vie ? Ouiiiiiiiii !!!!!!!!!
La laverie automatique est située au... 12, rue de Montenotte. Putain cet autre mot dedans !!!... Pedigree complet par Mouchinet : « S.B.S Laverie Libre Service. Adresse : 12 Rue de Montenotte, 75017 Paris. Horaires : Ouvert ⋅ Ferme à 22:00. » Adjacente à La Fabbrica. « La Fabbrica Ternes. Restaurant italien. 19 Rue de l'Étoile.[3] Fermé ⋅ Ouvre à 12:00. » Notre dernier restaurant ensemble, Thiago et moi, où il m'a invité le jour de la Saint-Valentin.
Assez, le mec d'AC ! Nous l'avons assez vu... Le mec d'AC : ce serait à n'en pas douter ce que l'on en dirait si en plus on le voyait. Nous l'avons assez entendu dirais-je plutôt en l'occurrence, si c'était ce que je voulais dire, mais je voulais dire : nous l'avons assez vu, le mec d'AC n'a pas le monopole, malheureusement teeeeellement loin de là, du zéro-effort-pour-un-peu-mieux-s'exprimer-tout-le-monde-s'en-carre-de-toute-façon-alors-pourquoi-je-m'emmerderais, le ZE-PUP-M-SET-LM-SEC-DT-FAP-JM. Je pue. N set. Elle l'aime sec. Dédé frappe JM. À peine transformé ! Je pue : il est temps que je lave mes fringues. N set : un énième set, le dernier, donc, que m'offre le hasard de regarder ; ce fut tout simplement un roti de moment match-à-la-télé haletant, tous sports confondus. Étant... entendu que je dois faire partie des... 10 % les spectateurs-trices les moins assidus-dues... tous ports confondus. Elle l'aime sec, et Dédé frappe JM (Jean-Marc ?... Jean-Michel ?... Jaume ?...) : c'est un peu plus mystérieux. C'est peut-être juste gastronomique, pour madame et, au pire, espérons, pour l'une comme pour l'autre, sadomasochiste.
Autres tchabis (gros dégueulasses : outre la prononciation de « Txabi », shabby, en anglais = miteux [à ce point ! j'aurais dit « négligé »]), grands-grandes amateurs-trices de pén... euh... tennis et sadomasos, sous ça, dans mon couillon :
1. autre cliché qu'il faut battre ... enfin bref
2. vous pouvez supprimer le thermomètre, y a quand-même la fièvre
3. y a 18 % des français qui
4. les choses deviennent mieux et plus agréables (arbitre de rg après avoir pas fait pipi) pause pipi pour rien parce qu'on est tendu
5. j'ai pas cette filiature louis 14 vauban
Explication :
1. Un chroniqueur se débat avec l'expression « battre en brèche »... Il hésite, chèche, bafouille... Mais sans son cerveau ! Oublie-t-il qu'il en a un ? C'est compliqué, « autre cliché qu'il faut battre en brèche », si on réfléchit, une demie seconde, si on interroge son cerveau ?... C'est hal-lu-ci-nant. C'est teeeeellement simple, pour le coup, que ses collègues du plateau-télé le lui soufflent, alors que d'habitude personne ne reprend personne, aucune énormité ne choque jamais personne. TLMSEF. Té ! Elle aime Stef. Un indice ? On s'en fout. Si elle aime Stef. Ou le saucisson-steak. Tout le monde s'en fout. Qu'elle aime Stef et le saucisson-steak. Angelu : « OK j'holate, je coupe court : TLMSEF = Tout le monde s'en fout. De tchabtennimasosser. »
2. Ah ! Y a ! Nous y voilà. Si au moins ielles disaient « il y a », et, quand il n'y a pas, « il n'y a pas ». Même pas, c'est « y a », ou « y a pas ». Médiocrité tooouuute !!! « Vous pouvez supprimer le thermomètre, la fièvre demeure » : c'est trooooop compliqué.
3. « Dix-huit pour cent des français... » Oui madame, monsieur, la règle (académique) le veut : en début de phrase, les chiffres, c'est en toutes lettres. Chiffres qui prennent la place qui leur sied, n'ayant absolument pas besoin de cet affreux « y a » devant. « Dix-huit pour cent des français aiment la purée » : c'est compliqué ?
4. « Les choses s'améliorent » : n'est-ce pas mieux ? Pour le reste, ce monsieur s'exprime aussi crûment qu'il le veut, ça n'est pas le souci, mais un peu plus élégamment, avec un peu plus de verve (tous les contraires de « n'importe comment » que l'on veut), ce serait gentil.
5. Retour dans l'émission du mec-AC-qui-nous-les-casse. Une acheteuse demande au téléspectateur venu proposer une paire de tableaux, dont un portrait de Louis XIV, sur le ton de la plaisanterie, s'il en est un descendant. « J'ai pas cette filiature », répond le pauvre homme.
Pitoyables, sont souvent, également, les micros-trottoirs. Dans la forme, évidemment, mais même dans le fond : c'est toujours tellement creux... Et c'est le jour où je repars, dans ma croisade anti-fénéfrancs que ces quelques « mots bien sentis »... comme jamais... mais pourquoi ???... sont prononcés par un badaud à propos des bisbilles entre les deux principales têtes actuelles de l'hydre fasciste française : « Ça ne fait que nuire, éventuellement, et puis alimenter une certaine chronique dont les médias sont friands. » Le comble du comble du comble. J'avais inventé, dans Épilongle, le fasciste gentil, et voilà, ici, l'électeur r-nais déplorant les fach-céties de son parti (apparemment) favori, qu'un peu plus je vais palmedorer pour sa rare maîtrise du français. Parce que c'en est un vrai ? Français ? Fasciste je suis en train de virer ? Bon, bisû, plutôt crever. Bons baisers... Je balance ça à Mouchinet, ne sachant pas comment m'en tirer. Et qu'est-ce qu'il me sort ??? « C'est une formule employée dans de nombreux titres d'œuvres en référence à Bons Baisers de Russie, un épisode de la saga James Bond. » La Russie ! En parlant de nos fachos nationaux...
Ce jour où je reprends le flambeau, une « totale » m'est offerte, dans AC, avec traduction de l'anglais au français. Inscription sous une chaise : “This article meets all flamability requirements.” Correctement traduit, ce serait : « Cet article satisfait à toutes les exigences de non-inflammabilité. » Traduit n'importe comment, comme ce fut le cas évidemment : « Cet article rencontre tous les détails qui permettent que ça ne brûle pas. » Souhaitons-lui une longue vie, aussi près, qu'il le désirera, de toutes les flammes de celle-ci. Autrement dit enflammée, au sens le meilleur, qui restera du figuré, puisqu'il est ignifugé, en lui souhaitant de rencontrer les bons détails. Un vendeur propose de démarrer les enchères : « On va allumer le feu. » Le (piètre) traducteur : « Il est très fort en blagues. » Pas étonnant, vu sa propre brillance, qu'il lui en paille si feu... euh... faille si peu. Diane rigole. « Ça fait beaucoup rire Diane », ne craint-il pas d'enchérir. De Diane, nouvel éclat de rire et, dans un éclair de lucidité : « Je suis très bon public. » Bonjour le niveau, en effet.
Heureusement, dans mon entourage, ça vole un peu plus haut. Une Grue de celui-ci m'incite d'ailleurs, en cette fin-ou-pas de voyage, à lui rendre hommage. Avant cela, laissez-moi tout de même vous dire, mes amis-mies de la télé, afin de compenser ces propos, ce soupçon de mépris et de méchanceté, que je vous aime bien, et que je viendrai bien vous voir. C'est vrai. Mais avec quel objet ??? Je ne pensais pas le placer là... Car justement ! Ma lessive de fin de printemps en a fait réapparaître un. Je l'avais (encore) égaré... C'est Violette, qui me l'a restituée, quand je l'ai un peu secouée. Quel soulagement. C'est un triptyque religieux. Absolument merveilleux. Offert par ma Mouche, la Grue venue à moi ce même jour dans un maouaza. Inestimable cadeau, il est surtout d'une grande valeur sentimentale et spirituelle, tant pour Sarah mon amimorue, qui m'en a conté le magnifique historique familial, que pour moi. Je repremiéravrille, en imaginant passer à la télé, dans cette émission dont je dirais que j'apprécie un certain ton, léger, divertissant, et son caractère instructif... Nul ? Instructif ? Il faut choisir ? Non mais le français, pardon d'insister, mais que l'on m'explique, par exemple, comment il est possible que pas un ni une participant-pante n'ait jamais appris, par accident, que l'on n'hérite pas quelque-chose, mais que l'on hérite DEEEEE quelque-chose ???!!!
Diane, un dernier mot, avant de passer à Sarah. D'abord te dire que tu es délicieuse toi aussi, mais oui. Et j'en ai une bonne, avec ton prénom. Une promenade depuis le Trocadéro où je suis descendu du métro, en passant par le pont d'Iéna face à la Tour Eiffel, les quais, et le pont suivant... Mouchinet ?... comme si je ne lui avais pas demandé le précédent... celui-là : ah... bé... le pont de l'Alma, tout simplement... puisque « face métro Alma », ainsi que je l'ai requêté. À mon retour en fin d'après-midi dans mon quartier, j'ai cafclopterrassé à un de mes QG à deux pas de ma rue. J'ai fait la connaissance d'une Marseillaise et d'un Corse (d'adoption – un septuajeunaire qui y a acheté une maison dès l'âge de vingt-quatre ans). Dévoilage d'âge de la (inversement très jeune) dame à un moment : trente-et-un ans. Alors que dans une autre vie ça n'aurait fait que démarrer, pour toute une soirée, avec ces deux super sympathiques personnages, je lève le camp, au bout d'une heure à peu près, et nous échangeons nos prénoms. Le monsieur je ne m'en rappelle plus, la dame : Diane. « Aaahhh !!! Diaaane !!! » Je m'étonne moi-même de m'exciter comme ça... Pour réaliser plus tard que je venais de croiser... « la route » de l'autre...
Ma Mouche (si elle tique vite je la débite) :
Cracra. Aujourd’hui le 29, ton 9 et mon 2 réunis. Je viens de croiser une magnifique vipère. Je mouchinette : « La couleuvre, avec sa mue, nous enseigne le pouvoir de la transformation et le renouvellement. Comme elle, nous pouvons laisser derrière nous ce qui ne nous sert plus pour embrasser [avec une langue de V ou de C ?] un nouveau chapitre de notre vie. »
Hier je suis allée voir un ostéopathe qui est aussi énergéticien, recommandé par un collègue sur qui il a fait des miracles. Il associe mes soucis d’épaules à une faiblesse des reins et poumons (on me l’a déjà diagnostiqué en médecine chinoise il y a une 15aine d’années. Le traitement m’avait fait beaucoup de bien). Incroyable cette séance. Farid Fousshi est son nom. Il m’a demandé si j’avais, par exemple, parfois des sensations de déjà vécu et déjà vu, des choses parallèles, des trucs comme ça… En regardant un document il m’a dit que via ma dadane je pourrais être sensible voire détenir des dons de médium.
Je l’ai écouté mais sans trop lui dire de choses. J’attends de voir. Je dois y retourner la semaine prochaine. Il doit me nettoyer de tout (émotions, peurs, douleurs anciennes etc.) ce qui aurait pu me créer des blocages dans le corps et l’esprit. Je dois lister ce dont je me souviens en revisitant mes souvenirs des plus récents aux plus anciens.
En attendant ce nettoyage et nouveau départ, je croise ce jeudi 29, fête de l’ascension du Christ, une magnifique couleuvre traversant la route. C’est rare pour moi d’en voir une. Exceptionnel.
Pourquoi je relève ?
C’est parce que nous avons partagé ensemble tellement de phénomènes en 3 ans… Alors ce 29, ce serpent, cet éventuel don de médium, que nous partageons peut-être me fait t’écrire cette peste.
Moi :
DDD. D'autant que je suis en train de dadaner comme un damné. Tu verras, quand je biterai ça. [11:13 sur ça.]
Je me serais bien arrêté là. J'esmouperais bien ça... C'est LE « concept » (de loin) le plus fréquent – les jamineries (jamais-termineries) –, dans mes dizaines de milliers de lignes, et ça n'est toujours pas fait ?... Tout arrivant, sauf moi jamais, à celle de l'arrivée, voilà, en (une millième) pas-fin : jma sié. Je l'ai bien mérité. Jumo, comme ses innombrables semblables, qui vaut ce qu'il vaut, mais moi je le vaux. Bien. Une autorisation, au nombre de quelques autres (rares, eh, oh) exceptions, de (re)tricher (ah c'est vrai tout à l'heure déjà...) un brin.  Autorisation de dispense de la redoutable obligation. Au sens de : dictée par ma redoute. Selon laquelle des lettres doivent être piochées jusqu'à la fin. Du groupe de mots. Jusqu'au dernier. Ouh là, tadar 66 %. Il ne doit pas être recommandé de le reproduire chez soi. Haha. De ne pas s'y risquer trop souvent, c'est ce qu'« on me dit » (ça y est, je me prends pour un voyant), manifestement. D'hahater, également, combien de fois faudra-t-il que je me prévienne de ne pas abuser ?
C'était joli, de terminer sur « Ensemble nous assistons... au Miracle, enfin ??? Oui... bon... un tout petit… Mais très joli. » Ça l'était aussi, sur mon dadanamnage et mouchommage. Mais autant (tenter de) termoiser. De finer en une finerie. En l'occurrence, du mois. En un historique 31 mai. Jour V ? De Victoire ? Du PSG. Que de sport, en ce (p'tèt') bout de mon Chemin ! Je m'arrête ! Il est 31. De 17h. À demain.
Je dépasse, donc, encore. Mais c'est la date de l'histoire, qui compte. On y retourne. Je me dé-vingt-deuze en direction, directement, du Monument du Triomphe. [Écrit... avant !... le match.] Tout est barré autour. Pas une voiture à la ronde. Je fais le tour. De l'Arc. Dans une chaleur tropicale. Il doit faire 31 ! Loupé. 28. Il fait lourd. Sous le vent, lui-même brûlant, du... Sahara. Atmosphère d'autres temps (fin mai c'est inquié...tant) et d'autres lieux (les températures, en ce moment, c'est donc en principe un peu plus au Sud). L'ambiance est surréaliste. Je décide de marcher au milieu de la route, de suivre le cercle bleu : un tracé, aux deux tiers de la largeur de la chaussée pavée du plus beau et gigantesque rond-point du monde incroyablement silencieux.
Le premier cercle à la base du Monument à la Gloire du Con (pour la rime avec son nom, et pour qu'il n'y ait pas de confusion, sur mon appréciation, de certains “grands” hommes pas blonds) fourmille de monde, comme en temps normal, mais j'ai presque le deuxième cercle – sur lequel pour un piéton, en ledit temps, le danger serait pire que pour un baigneur dans une eau infestée de requins –, à moi tout seul. Il n'a pris qu'à moi de m'approprier cette immense surface où les autres passants-santes ne font que passer, traverser. Je tourne autour du Colosse, tout en le maintenant du regard, tel une caméra. Le rendu pour ma propre vision, possible uniquement dans ces circonstances, est exceptionnel. Mais je suis interrompu par deux jeunes hommes, les deux seules personnes peut-être sur le Grand Cercle à opérer autre chose qu'une simple traversée (d'ordinaire elle-même très risquée) d'un point de sa circonférence vers son centre : entre, d'un côté, les trottoirs-esplanades du troisième cercle – entrecoupés des douze avenues-branches-d'étoile-rayons-de-soleil – et, de l'autre, l'AstrArc. Ils avancent, eux, sur une plus longue tangente, depuis l'avenue des Champs-Élysées, dans le sens de laquelle je suis en train d'effectuer ma giration. Nous nous croisons. Je les connais. Je me retourne sur eux et le leur dis :
— Je vous connais. Je vous ai vus à la télé.
— Ah ouais ?
— Oui, oui, c'est bien vous. C'était plus bas sur les Champs-Élysées...
— C'était sur France Info ?...
Ils ont vu « la nana » et « l'autocollant sur le micro ». Sur mon écran, c'était une bonne heure plus tôt. Ils remontaient les Champs, à une distance du point où nos trajectoires se sont percutées qu'il ne faut pas plus de dix minutes pour parcourir à pied !... Ce qu'ils n'ont de toute évidence pas fait d'une traite, le Grand Zazar les faisant par conséquent se rejoindre, pour notre plus grand ravissement.
— Il m'arrive tout le temps plein de trucs, des coïncidences, tout ça... Mais ça, c'est une première ! Non mais oui, je vous ai reconnus, pourtant vous êtes passés vite !... Bon, j'ai un peu remis la vidéo en arrière parce que je voulais voir un truc...
Oui ! Je voulais... mieux les voir ! L'un d'eux, le noir, m'avait l'air pas dégueu... Ils sont tous les deux blancs de chez blanc, mais ils portent, l'un, un maillot noir, l'autre, un maillot bleu. Ils ne payent finalement absolument pas de mine ni l'un ni l'autre. Et le noir est encore plus gringalet que moi. DiKi (Dix-Kilos) revieeeeeeeeennnnnnnnns !!!!!!!!! Ils font « un » tiers, à peine plus, de moi. Celui de mes années. Mais qu'est-ce qu'elle est sympa ! Notre entrevue, dans ce cadre. Qu'est-ce qu'il est chouette, ce moment. C'est hal-lu-ci-nant.
— Vraiment, je suis très honoré, de croiser les deux stars que vous êtes... désormais... (Rire.)
— Vous allez regarder le match ? C'est historique. C'est énorme.
— C'est tellement énorme qu'ils ont « piétonnisé l'Étoile », comme ils disent. C'est surréaliste. Ça fait un penser à la Covid aussi, non ?
— Oui ! C'est ce qu'on était justement en train de se dire ! (Rire.) 
— Bon, messieurs, bon match !
On se la tope, on repart, et le bleu se retourne, le poing levé
— Allez la France !
Ou « Paris » ? Non, non, « la France », je crois bien, qu'il a dit. Il n'est pas impossible qu'ils aient douté de ma ferveur. Je ne leur ai pas caché, ma pafanitude du foutbof, bien qu'ajoutant qu'il fallait quand-même que je le regarde ce match parce que si je ne regarde pas ce match lequel je regarderai ??? Mon accent, également, encore lui, a dû les troubler. N'étais-je pas plutôt pour l'OM ?... La ferveur... tout simplement érigée, en ces instants, au rang de l'un des plus puissants phénomènes... humains, de société... quoi que l'on en dise, qui se puisse imaginer...[4] n'est en réalité pas sans au moins un peu me gagner. Et j'ai bien fait, de les brancher, N&B, parce... oui !... j'ai pu le voir, le match, grâce à eux ! 
Sur quelle chaîne ? Je crois que je n'aurais même pas cherché, sinon. Ils m'avaient filé l'info : Canal Plus (ça je n'ai pas) et M6. Je n'avais pas, avant, non plus, du moins... avais-je déjà essayé, de... ne serait-ce que... créer un compte ?... Et je n'y étais pas arrivé ? Possible. Pas que je sois plus bête qu'un autre, et de l'informatique je vis, tout simplement, bien que souvent, ce genre de truc, ça « beugue ». Bon, j'explique ailleurs elgaga, l'électronique et moi... Mais là, non, nickel, en deux temps trois mouvements j'avais, en effet, créé mon compte. Mot de passe PSGInter25/05/25... Putain quel con, oui !... En le dévoilant ici (rien à battre), je me rends compte...
Bon, en racontant cette histoire du 31, le 1er juin, donc le lendemain du 31, et du match, en commençant à le faire dans ma tête, même, en commençant à l'écrire, toutes mes pensées avaient en point de mire... le... le quoi ??? hein ??? hein ??? hein ??? ou plutôt le combien ??? Et les cloches de 11h ne se mettent-elles pas à sonner, sur ce quoi-hein-hein-combien ? Le ???... Le ???... Ben le 5, tiens. Inutile de davantage commenter... Le 5, le 15, le 25... « Il m'arrive toujours des trucs... », comme je le disais aux garçons...
Crochet par la balle : cracra parce que j'entendrai également, dans la foulée, un Guy Forget tousporconfonduer, comme moi, en parlant, à propos de Nadal, « de la plus grande performance sportive tous sports confondus de l'Histoire ». Retour au ballon : quand j'y ai repensé, à ce satané match, et le temps de m'inscrire sur M6, il était 21h... 06. Quelques minutes plus tard, à la... 12 : buuut !!! Le n° 1. Un commentateur, parlant de la DDD-domination du PSG, arguera : « Elles [les deux équipes] se sont cherchées pendant quelques minutes, mais à partir de la sixième [sic] minute... », les Parisiens commenceront à prendre complètement le dessus.
À la mi-temps, j'ai zappé. Je n'ai pensé à remettre le match qu'à... 62:22. C'est le chrono qui s'est affiché à ce moment-là en haut à gauche de l'écran M-sissien. « Regarder la vidéo », est-il indiqué, lorsqu'on se connecte à la chaîne en ligne, en page d'accueil du site. Clic dans la flèche, la vidéo démarre. Durée précisée en bas à droite pour celle de cette finale de la Ligue des Champions : 02:20:00. Clic, ça redémarre, à 62:22, et quelques... secondes plus tard : buuut !!! Le n° 2. Les... 3 autres !!!... seront marqués aux minutes 20, 63 et 72. J'aime bien chiffrasser : relever les R.A.S. (rien à signaler), dans les chiffres. 20, 63 et 72, c'est de la chiffrasse. Pour fournie que puisse être ma numérologie, les chiffres devraient rasser dix, si ce n'est cent fois plus souvent que ce n'est le cas, si tout se passait « normalement ». Quelle ritournelle, ça aussi. Comme : les coïncidences – elles se produisent (bien, bien, bien, bien, bien) trop souvent pour n'être que cela...
Pour merveilleuse que s'avéra la tournure prise par cet épisode, en ce tableau à la fois grandiose, unique et truculent que le grand événement sportif me donna de vivre, la possibilité d'une autre jaminerie, d'une beauté... incomparable..., et non dénuée de sa dose d'étrangeté, s'offre à moi. Sur quoi... les cloches retentissent de nouveau...
Les cloches de l'Église de Saint-Ferdinand des Ternes, où j'ai assisté, le 31, à 18h30, à la Messe du lendemain de Pentecôte. Le jour même je n'avais... pas pu... J'ai ramené le dépliant des chants. Vilain que je suis, parce que je n'avais pas vu, or c'est marqué, en bas à droite de son premier volet : « Merci de laisser cette feuille sur les présentoirs. » Il est écrit en haut :
Saint-Ferdinand des Ternes
Sainte-Thérèse de l'Enfant-Jésus
TEMPS PASCAL
Année C (27 avril – 1er juin 2025)
Alors va pour une jaminerie le 1er ! Pour clôturer ce Temps Pascal-Papal-Papal ! Podium de mon cœur : la place du milieu, c'est celle de papa.
Mon papa décédé le... 20... Ah... Je n'y comprends plus rien... Je trouvais étrange que ma Paroisse me « propose » cette clôture du 1er juin, car le curé, à la télé, tout à l'heure, a entamé son prêche en évoquant « ce 7ème dimanche pascal », « ce dimanche entre les deux fêtes de l'Ascension et de la Pentecôte ». Et Mouchinet : « À la Pentecôte, Dieu le Père envoie aux hommes l'Esprit de son Fils. Cette fête clôt le temps pascal, qui dure sept semaines, et dont elle est le couronnement. » Une date de fin au 1er rien que pour moi, pour les besoins de mon histoire ?
Mais la date de début, ça... cloche aussi ! Le Dimanche de Pâques, c'était bien le 20, le DéPâquesPart d'Aita. Alors pourquoi ces dates du 27/4 au 1/5, au lieu du 20/4 au 8/5 ?
La pièce manquante du puzzle m'a été fournie. Dans « Une maison, un artiste », par un certain André Raimbourg, alias Bourvil. On le suit, dans la maison où il a vécu, en famille, heureux, très bien, on l'est pour lui, puis un jour une salope de mie et fini. Le 23 septembre 1970. Non, 22, minutes de l'heure qu'il est au moment où j'écris ça, rien à voir avec toi, ce sont tes collègues Moins-Un et Moins-Une qui m'intéressent, là. Du genre : jour de la mort de mon père = jour de la mort du pape moins un ; heure de la cérémonie pour mon père = heure de la cérémonie pour le pape moins une ; semaine du début du Temps Pascal de la liturgie = semaine du début du Temps Pascal de la curie de Ferdi moins une ;  semaine du début du Temps Pascal de la curie de Ferdi = semaine du début du Temps Pascal de la liturgie moins une. On me suit ? On s'amuse, on pleure, on rit, il y a des méchants et des gentils, comme au pays de Candy ? Qui m'arrangera la plus jolie jaminerie ? Un des plus grands comiques de l'Histoire du cinéma français, ça n'est pas assez ? Il n'est pas assez drôle ? Pas assez gentil ? Si. Mais ses Moins-Une – le jour de sa mort = le jour de ma naissance moins une semaine ; l'année de ma naissance = l'année de sa mort moins une –, ça n'est pas très gai. 
Tadar 44 %.[5] Mon téléphone double le 22 que je viens de snober, tandis qu'autour de moi je fais tout s'évaporer. Une terrasse, toute entière, est en train de disparaître. Ou plus exactement, il n'en reste plus que les deux extrémités, un guéridon, à chacune d'elle : le mien, d'un côté, et ses deux chaises, une pour mon uc, l'autre pour mon sac à dos, et un autre de l'autre côté, à laquelle bulle une dame devant le grand verre à pied d'un cocktail terminé. Disparue, la plus grande terrasse de tout le secteur. Celle de La Lorraine. Du jamais vu. 
Au serveur : « C'est quoi cette évacuation ? » Il faut dire que le quartier est en ébullition. C'est même un souk comme il s'en produit... on ne peut plus trop dire « rarement »... La nuit fut torride, après le 5-0 des Bleus. Le serveur me narre quelques dégâts, dans le quartier : boutique Orange dévalisée, vitrines de la Fnac brisées... Même sort pour celles de Chanel sur les Champs-Élysées, ai-je vu à la télé, ainsi que du premier magasin, un Carrefournazicitimachin de la rue perpendiculaire à la mienne, ai-je vu de mes yeux vu. Le serveur était sorti du bois de boulo... euh... du boulot à 22h30, il avait couru prendre le métro porte de Maillot, à environ trois-cent mètres à vol d'oiseau (ainsi qu'à pied, en voiture, en moto, en vélo...), avant que ne déboulât la foule à la sortie du matcho. 
Ils ne veulent pas prendre de risque, m'explique-t-il. Tout le mobilier : aux abris. Et ça fait ça de projectiles en moins pour leurs vitrines. « Je sais, ça peut arriver très vite », lui dis-je. « J'ai vécu ça à Lyon, à la terrasse d'un café. » C'était avec Sarah ! « On a vu toute une meute débouler [dévaler à fond la rue à l'angle de laquelle on était installé-lée]. En quelques secondes les mecs du bar ont rentré toutes les tables. C'était impressionnant. Moi j'ai à peine eu le temps de réaliser. J'ai bondi de ma chaise. J'ai même pas pu prendre les affaires de ma copine qui était allée aux toilettes, mais ils avaient tout récupéré... » Ce qui fait peur aussi, lui dis-je, c'est la manière dont tous ces fous conduisent, dans ces moments-là... Il se précipite vers la pointe du triangle de trottoir que forme la terrasse, face au guéridon de la dame, et cherche je ne sais quoi du regard sur la droite, derrière le restaurant... Il revient, rebondissant sur ce que j'étais en train de lui dire : « Y a une voiture, là, sur le trottoir. Les flics lui ont mis un sabot. Elle roulait à contre-sens, elle a foncé sur une moto... » Ou un scooter ? Je ne sais plus ce qu'il m'a dit. Est-ce celui de la « personne à scooter » décédée dont j'ai entendu parler aux infos ?... « Il était dans un état très grave. Les pompiers n'ont [dans un premier temps ?...] même pas voulu y toucher. »
L'ambiance peu bucolique qui avait régné la veille au soir après son carapatage avait contraint ses collègues de service plus tard à rester barricadés à l'intérieur du restaurant jusqu'à trois heures du matin. L'animation de cette fin d'après-midi : le défilé de milliers de deux-roues, sans discontinuer, dans le vacarme de leurs vrombissements et klaxons, ainsi que des incessantes sirènes des forces de l'ordre. Mais pendant que nous discutons, tout est de nouveau redevenu à peu près normal. J'ai fait « bonjour » de la main, à un moment donné, à ma camarade de terrasse à l'autre bord du trou. Elle finit par se lever et nous rejoindre. Même question que moi au serveur : « Vous rangez tout ?... » Pour finir par me demander où j'ai bronzé comme ça... Ben... en terrasse... pas dans mes pays du soleil... eh non... « Vous avez une jolie montre... Vous habitez le quartier ?... » Comme pour la Diane, ça chauffe sous son capot, on dirait. (Croix de bois, croix de fer : c'est du jumotage, pas du machotage.) Loin de l'assez beau et rutilant modèle de la première, cependant, on est plutôt, là, sur de l'assez vieux tacot. (Je finfile [la métaphore], c'est tout.) « Il faut que j'aille acheter une pizza pour mon fils. » Au revoir madame. Bon appétit.
Sa table se volatilise à son tour. Je ne fais moi-même pas attendre beaucoup plus longtemps mon ami pour virer la mienne. C'est, autour de moi, de nouveau, le chaos le plus complet. Sur la chaussée. « Ils ont tous le casque, quand-même », me surprends-je à me faire la réflexion tout haut. C'est l'habitué des pays où tout est permis (sur la chaussée), qui parle... Je continue de déambuler un peu, comme étourdi par le « spectacle »... Une dernière nuée de motards, dans un instant Ferdinand : je suis en train de passer devant le mur latéral de l'église, qui court le long de la rue d'Armaillé, depuis le fronton en biais à l'angle de celle-ci et de l'avenue des Ternes. J'avais récemment découvert (je n'y avais jusqu'alors pas prêté attention) son 25, à une entrée de ce côté. Déception, par contre, dans un prospectus (en libre service celui-là, à l'accueil, avec tout ce qui s'y trouve, sur ses présentoirs), l'adresse est : 27, rue d'Armaillé. Pour enfin, recul aidant, depuis le trottoir d'en face, constater la présence, sur le mur, de ces trois numéros : le 23, le 25 et le 27, des trois accès annexes de l'édifice. Cool ! Le 25 est au milieu. Et c'EST le numéro de... l'Accueil. Je m'arrête pour nochier : « Église sf trois portes 23 25 27. 18h44 motards police. »
Jaminerier sur « police » ? Euh... Qu'est-ce que j'aurais en « isse » sur ça pour rigoler ?... Quelque-chose avec « fils »... Pour la mettre entre guillemets, j'ai coolé « il faut que j'aille acheter une pizza pour mon fils. » Pas logique, juste avant il y a ceux, justement, avec ma police, et j'ai ceux de « spectacle », avec un seul mot à cooler et à remplacer, mais ce sont ceux, sans trop réfléchir, que j'ai « choisis »... Sans le voir, mon fils ! Tout ce baratin (eh, oh) pour dire que non, je ne vais pas jaminerier sur ces autres bleus. Mais j'ai, sous le coude, depuis que je l'ai involontairement dérobé, et dans un coin de ma tête... 12h33... pour me secourir, au besoin, le... Diane !!!... Dépliant Jaune... C'est sa couleur.
Et, nickel chrome, le numérologibibiquement très plaisant « Psaume 96 » – le dernier, sur le dernier des trois volets intérieurs, à la date du « 1er juin », ainsi précisée, face à lui –, est juste magnifique. Avec en plus mes deux... Motorés !!! Hahaha. Héhéhé. Angelu : « Sois un peu sérieux, Zavyé. T'aimes rigoler, j'adore ça... » Quoi ? Toi aussi, t'as un « mais » ? « Pourquoi, sinon qui ? » Arrête. « Qui ? La police n'est pas loin... » Ce sont ces émeutes, ces pétards et tout, qui nous rendent fous, mon Loulou ? « Hahaha. On a un drôle d'humour, parfois, mais le principal n'est-il pas... » De se fendre la gueule, ouais mon gars, ch'te dis que ça. Mais tu sais quelle Prière, aussi, et pour qui, je glisse dans ce cil... Bon, à nous trois, mes deux... Mots Préférés. Mes Motérés.
De quelle plus belle Alliance, du Terrestre et du Divin, que celle-là, à travers ces deux mots (ciqu catali assi), pouvais-je rêver ? Pour... À JAMAIS !!!... TERMINER !!! Ils sont selon moi aussi, Seigneur, si je puis humblement l'exprimer, devant Toi, de la sorte, à la base de tout ! La manière dont ils se révèlent dans cette image choisie pour te révérer : Dieu, quel ravissement ! Quelle... FIN !!! Non, c'est décidé, APRÈS de telles Paroles je n'ajouterai jamais plus rien.
Le Seigneur roi ! Exulte la terre !
Joie pour les îles sans nombre !
JUSTICE ET DROIT SONT L'APPUI DE SON TRÔNE.
Les cieux ont proclamé Sa Justice,
Et tous les peuples ont vu Sa Gloire.
À genoux devant Lui, tous les dieux !
Tu es, Seigneur, le Très-Haut,
Sur toute la Terre :
Tu domines de haut tous les dieux.
  1. Lâchez-moi ! Les Synchronicités. De toute façon, je ne vous raconte plus. Les Synchronicités (à voix basse, je n’entends pas) : « Tu parles... » Bon, une dernière fois ! Non mais vous, alors. « Ah, tu vois... », murmure la Sync Barbara, qui ne sait décidément pas quoi faire pour exister. Mais je ne l’entends pas. Je cafclope, en terrasse, à Monsieur Madame. SB : « Madame ça doit être moi. » N’importe quoi. C’est le nom d’un bar-restaurant en bas de chez moi. Heureusement que je ne l’entends pas. Les (autres) Synchronicités : « Bon, et nous !? Raconte-nous. Une dernière fois. » SB : « Tu parles… » Les autres : « Arrête ! Il ne va vraiment plus jamais vouloir nous raconter ! » SB : « Tu parles… » Heureusement que je ne l’entends pas. Parce que même celle-là sinon je ne la raconterais pas. Une femme est encore tombée ! C’est la deuxième fois ! Mais celle-là ce n’est pas moi qui l’ai ramassée. C’était à une dizaine de mètres, sur un passage piéton. C’est un autre passant, qui s’en est chargé. C’est avant-hier, qu’en rentrant, j’ai dit à Thiago : « Je viens de ramasser une dame ! » Sur un trottoir. « Elle tombe en arrière… », dit une nana à une table à ma gauche !!! Prenant... le contre-pied ! La mienne c’était un putain de vol plané en avant ! Sur plusieurs mètres. Impressionnant. Au même endroit, quasiment. Elle a buté sur un morceau de bitume qui dépassait. Je ne les entends pas, disais-je des Synchronicités. Mais là c’était... le contraire ! Je n’ai rien vu, juste entendu ! Un « bim ». Si l’on peut dire ça, du son... d’une poêle qui percute le sol ! Que je n’ai pas vu non plus – je n’ai pas vu, ni la dame, ni la poêle, voler ! La dame était par terre, quand vers elle le bim de poêle mon regard a attiré. La dame m’a montré le traître carré de goudron qui affleurait et l’avait fait valdinguer, dans la descente de l’avenue Mac-Mahon. J’ai supposé qu’en plus elle devait marcher assez vite, ce qu’elle m’a confirmé. La pauvre, elle était sonnée. « Vous vous en sortez bien ! », lui ai-je également déclaré, car pas de gros bobo. Son épaule droite, sous l’épaisseur de son emmitouflage d’hiver, a bien encaissé le coup. Bien qu’endolorie, de même que ses genoux, ça avait l’air d’aller à peu près, et elle a fini par me dire qu’elle se débrouillerait pour prendre un bus à côté jusqu’à où elle habitait, pas loin dans le quartier, où elle retrouverait son mari, qui lui ferait des spaghettis. La Chute 2 : « Ça fait deux, comme les pouces », m’est spontanément venu à l’esprit. + Un truc avec « signe », genre « c’est quoi ce signe encore ? » Là, un autre « genre » dans ma tête, en réfléchissant à ma phrase suivante, genre : « genre l’illustration de comment tout est en train de se casser la gueule... » De la bouche de la fille de la chute en arrière, dans le même mouvement : « Genre... » En même temps que le signe dans ma tête (« c’est quoi ce signe encore ? »), au tour d’une autre nana, à ma droite celle-là… De chuter ?! Non, d’échoter. Chut, écoutez : « C’est un signe. » [Le… 5. Coup de queue ? Haha. Cri de queue ? Renard… euh… re-haha. Cri du cœur ? Oui, voilà. Du Renard à son Tigre : « Le printemps est en avance de 16 jooouuurs !!! Mais bon, ça n’est plus que dans 16 jooouuurs !!! » Ooouuuf !!! Vivre aussi longtemps, dans le froid, la grisaille et la pluie… ça ne m’était pas arrivé depuis… 20… 30 ans ??? Qu’est-ce qu’on ne ferait pas, par amooouuur !!! Tadar : « C’est dans 15, et non dans 16 jours ! Encore mieux, non, pour écourter tes souffrances ?! Hahaha. Et surtout, par rapport à mon 15 de tout à l’heure !!! » Ama : « Ton 15, ton 15 ! Mon 5, surtout !!! » Ne vous battez pas ! Mais c’est vrai… que c’est très fort, encore ! Il « fallait » ce 5 !... Tadar : « Ce 15 ! » Oui ! Ok ! Quand je pensais que c’était 6 (pas de réaction… le 16 pas lieu de le revendiquer…), que c’était le 21, que le printemps commençait. Le 21, ben non, il ne le « fallait » pas, celui-là. Le 20 c’est plus sympa, plus neutre en tout cas. Grand beau temps, en ton 5, Ama. La température ?... Mais 17, bien sûr !!! Bon, le… Miracle, apparemment, se limitera à cela. Pas mal Ama, même si… « peut (quand-même) mieux faire »… Et bon annivercielsaire à toi. Ama : « Milesker ene semea. Mais t’as vu que c’est un 15 toi aussi que t’as, au début… 15:05 estonie !... de cette toute, toute, toute, toute, toute dernière partie ?... 5 ans exactement après que tu t’es lancé, dans tous ces écrits... » Chantal Goya. 1975-2025 : 50 ans de scène ! Le 25 mai au Palais des Congrès. Ama : « Qu’est-ce qui te prend ??? » Ben... je repassais par là... le 20 ! Ama : « C’est le printemps !!! » Oui !!! J’étais avec Chantal, dans son cul, celui où j’ai noté ça. Je réfléchis : est-ce bien raisonnable ?... Je me coupe les ongles... Je rallume mon portable : 15h25 ! Je viens de terminer ma plus dingue nobapa, une 50 (chamou 4). C’est le 20, il fait 20, sous un grand soleil. Et le Palais des Congrès c’est dans mon quartier ! Autre (ancien) haut-lieu du divertissement dont j’ai entendu parler pas plus tard qu’hier soir dans un documentaire, le Cercle de Wagram de l’avenue du même nom à deux pas de chez moi qui appartenait à la mafia corse la « Brise de mer » !... Tout ça m’a convaincu. On chante « ce matin, un lapin » ? Ama : « Au Palais ?! » En première partie de Chantal Goya, tu crois ???]
  2. Mots pas rigolos. Triche ! Faut qu' j' réhabilit' la règle qui autorise la pioche dans pas (tout à fait) tous les mots (pas dans « pas », là) quand c'est (vraiment très) rigolo.
  3. La « plus proche » ?... « parente » de notre propre rue. L'Étoile est montenottée à l'intersection de La Fabbrica.
  4. Écho Fifo : « Le foot est LE sport qui suscite le plus de liesse, le sport planétaire par excellence. »
  5. Consultation de l'heure la nuit suivante : 04:40 ; qp le matin pour prier : 7:33 ; pour mettre la radio : 08:04.