Chapitre 25 – PACS-40 : le Mariversaire
« Nous, Emmanuel [bip] et Xavier Renard, concluons un pacte civil de solidarité régi par la loi n° 99-944 du 15 novembre 1999 modifiée et la loi n° 2006-723 du 23 juin 2006 » : telle est la mention de notre déclaration de PACS que j’ai écrite à la main et que Manno e mwen avons signé, le jeudi 2 juillet 2009, dans un bureau du tribunal d’instance de Lapwent. « Je vous déclare unis par les liens du PACS, pour le meilleur et pour le pire. Vous pouvez vous embrasser », nous a alors déclaré la fonctionnaire assise, en face de nous, derrière son bureau. Nous nous sommes roulé une grosse pelle et... Mais non, voyons. Nous avons échangé le plus tendre des baisers. Bref, j’ai sorti ce document de mes casiers (APRÈS avoir rédigé la nobapa 444-333 ci-dessus), et me suis donc mis à taper ce qui y était inscrit. Ça n’est pas très glamour, me suis-je dit, mais voyons ce que ça donne, et... japété . L’apparition de la loi n° 99-944 du 15 novembre 1999, sur le papier, pendant que je le recopiais... m’a soufflé. Je me demandais, quel mutôt, ce que mes 4 me disaient. Les revoilà. Bon, ils ne sont plus que deux. L’un s’est perdu dans un couloir de l’Univers (Angelu, tu déconnes !). Mais s’ils ne sont plus suivis du triple chira 333 de la nobapa, ils en sont précédés : le 999 de 99-944. Et de triple chira celui-ci est devenu triple top chira, un 333 multiplié par 3. Les chiffres de la sagesse EXTRÊME de Xabi. Mais comme j’y vais, car ici ce ne sont pas les miens mais ceux de Manno ! Les 3 3 de sa dizaine multiples de 9, et multipliés par 3. Ces chiras-top chiras c’est lui. Mais c’est moi aussi. C’est lui et moi, moi et lui. Loi et mui, mui et loi. Lui et moi qui ne faisons qu’UN. Les chiffres de l’Amour. Une SYNCHRO WAHOU AMOUR ! Nous avons donc conclu notre PACS 3 mois et 7 jours avant... le 30 septembre 2009 : mes 40 ans ! Mais n’ai-je pas comme un 3 et un 4 qui se suivent, encore, ici ?! Et cette autre remarquable suite d’un 3+7+30 = 40 ?! Bref, je m’affairais depuis quelques mois, quand doudou mwen e mwen mèm nous sommes mariés, comme j’aime à le dire – mais ce n’était alors légalement pas encore possible (Taubibi salut à toi) –, à l’organisation de ma fête pour le CAPS... euh... CAP-40. Le PACS passé par là, elle est alors devenu celle... de mon « PACS-40 » ! Mes amis-mies ielles-mêmes d’ailleurs, certains-taines d’entre elleux du moins, quand ielles m’en parlent, l’évoquent comme mon mariage. Pour Stéphane, selon son excellente trouvaille, nous avons fêté... mon « mariversaire » ! Dix ans plus tard, en 2019, j’ai donc également associé celle de mes 50 ans à la célébration d’un autre événement, mais un peu moins joyeux : le premier anniversaire de la mort de ma maman. Personne n’a alors véritablement trouvé à redire à ce qui aurait pu apparaître comme un peu culotté, bien au contraire même. Quant à Ama, de là-haut, elle ne risquait pas d’y objecter, car c’est elle, en réalité, qui a tout manigancé. Mais, en 2019 moins 10, le pack PACS+40 ne l’a pas emballée. Elle s’y est même tout bonnement opposée. Je lui ai demandé, un peu avant la fiesta, si je pouvais envoyer un cul aux invités-tées pour leur préciser qu’elle serait, en plus de mes 40 ans, celle de mon PACS avec Manno. Réponse d’Ama : négatif ! Petit détail en passant : Aita l’avait quitté, vingt-six ans plus tôt, parce qu’il était lui-même... homosexuel. La réponse d’Ama m’a un peu contrarié, et j’ai protesté dix secondes, mais il aurait vraiment été indigne de ma part de lui reprocher un quelconque manque d’ouverture de cœur et d’esprit ! Et quel malotru j’aurais été de ne pas comprendre, au vu de son propre vécu, qu’elle puisse avoir quelques limites ! Puis cet autre Gadjo est arrivé : mon roti de rassemblement familagunak organisé par mes soins, avec un peu plus de 100 personnes. En 2009 + 10, pour la BestAmaXab – les 1 an d’Ama dans l’Au-delà et les 50 ans de Xabi ici-bas –, le compte fut d’environ 10 de moins. Ce fut également le plus grand rassemblement de laguna-K & Co. Les Deube femme et mari ont organisé un weedee , pour les 40 ans de Sandrine, à l’orée de Millau, dans l’Aveyron, avec vue sur le pont, un de mes rotis si ce n’est mon rotolu d’ouvrage de génie civil le plus majestueux et grandiose. Les Deube FM de nouveau + Kristela ont réuni leurs amis-mies, pour les 45 ans de Gilou et les 40 ans de K, pour un weedee dans les Pyrénées. Il y a eu le mariage des Deube. Puis le mariage d’Amaia et Kiki : un weedee malgré le déluge et peut-être même encore plus, d’une certaine manière, grâce à celui-ci – bien que pas forcément au goût des marié-riée –, car surréaliste, avec évacuation par les pompiers, au petit matin, de la vieille et belle bicoque que nous occupions au bord d’une rivière de la campagne aveyronnaise, également, devenue rageuse et très désireuse d’emporter veaux, vaches, marié-rée et invités-tées. Il est vrai que la journée du dimanche promettait d’être un peu plus belle, dans le cadre exceptionnel où Amaianénette et Kikounet s’étaient attachée-ché à nous réunir, que sous le préau de l’école d’un bled du coin où nous avons été rapatriés-yées. Donc pas très yeah-yeah. Mais le score, à l’occasion de ces différents événements, n’a été que de... N’importe quoi. C’était juste histoire de citer quelques autres weedee-Graweks de l’histoire de Krokoska & Co. Le weedee des samedi 2 et dimanche 3 octobre s’est déroulé sur le fanta-site de l’hôtel des Collines d’Iduki, déniché par Sabine et Marc, à l’orée de Bastida , l’un des plus beaux villages de Fra... ah ! ah ! (j’ai arraché le panneau à l’entrée du village)... d’Euskadi. Cadeau-surprise de cheri’m devenu mari’m : un numéro de danse, dans une tenue alléchante, sur un air de Mannoda... euh... Madonna. Il a remis ça, pour mes cinquante ans, mais dans une version plus habillée. Il avait sorti... euh... non, quand-même... MIS le paquet, la première fois, pour notre fête de jeunes mariés, mais dix ans plus tard nous étions... séparés. L’ambiance avait un peu changé, notre relation n’étant plus tout à fait la même. Mais elle était alors et elle est aujourd’hui ce qu’elle était et ce qu’elle est, elle était et elle est très bien comme elle était et comme elle est, et elle sera demain comme elle sera, et c’est très bien comme ça. Inch’Allah. J’aime Manno d’un Amour plus Grand que tout. L’Amour Passion, c’est beau ! C’est dit sans la moindre ironie ! Et je suis le plus heureux des hommes de l’avoir vécu avec lui. Mais il a « un peu » tendance à rimer avec Amour poisson... euh... poison. Il faut le voir sans tristesse, amertume ou regret. C’est presque un passage obligé ! À ce stade de l’évolution de l’être humain du moins. Mais lui et moi vivrons TOUT SAUF ÇA (chez Joseta ou ailleurs) désormais ! Un peu ou très habillé, les deux fois, il a mis le feu à l’assemblée. Ama, à mon PACS... euh... mes quarante ans, m’a quant à elle offert ce formidable cadeau d’un aurresku , la danse traditionnelle honorifique basque. Qu’elle n’a tout de même pas interprétée elle-même, même si, du haut de ses soixante-douze ans d’alors, elle était encore en pleine forme. Plus pour si longtemps que ça... Alors qu’elle semblait pouvoir l’être... « éternellement »... Elle avait convié, pour cela, ce jeune homme dont mon grattage de cerveau et quelques culs pour le faire sortir de l’oubli ne m’ont pas permis de retrouver ses identité et pedigree. Quant à Ama, l’hommage de SON public lui sera également rendu, avec cette danse, peu avant ma décennie suivante, devant... son cercueil. Mais nous avions encore... 9 ANS DE BONHEUR ensemble, et en attendant que la mort ne nous sépare pas nous non plus, resplendissante et pleine de joie, à Bastida, elle a fait la fête avec moi et tous-toutes mes pochimis-mies. Dans le beau cahier avec couverture en cuir et papier imitation parchemin qu’elle m’a offert, elle a écrit ces mots pour moi : « Que ce livre d’or choisi avec amour t’apporte bonheur et réussite dans tous les domaines. Ene seme maitia , merci pour cette belle fête, et cette rencontre avec tous ces jeunes. Biziki pott handi. Zure Ama » . Elle a ajouté dans le Livre d’Or II, celui de La Deube : « Tous mes vœux vous accompagnent. Ama. Jeannette ». Les Livres d’Or I & II avaient été disposés sur une table, dans la salle du restaurant, au pied d’une pancarte réalisée par les soins d’Anderea, avec photo agrandie de Jeannette sur son lit de maternité tenant son nouveau-né dans ses bras, et photocopie de mon extrait d’acte de naissance, le « N° 1786 du deuxième enfant ». J’ai découvert, danqu tipasse, cette autre merveille qu’est ce nombre quasi révolutionnaire associé à ma naissance, en me saisissant de l’œuvre d’Anderea que j’avais accrochée, en Gwada, sur un mur au-dessus du meuble de chevet de la Chambre Orange (que mari’m eta nik avons le plus souvent occupée ; je crèche, maintenant, dans la Chambre Verte) . Anderea avait inscrit, sur la moitié inférieure du panneau : « Zorionak . Grâce à ce que nous allons graver sur ce livre d’or, Xabi gardera un précieux souvenir de cette soirée ». Mais alors qui c’est-y maintenant que cette Anderea qui a réalisé tout ça ? C’est la Andrée du Mans de la triponna . Basquisée ici à son tour, car la Normande, qui s’est mise à apprendre le basque, il y a plusieurs années, le vaut bien aussi ! (C’est « pour la formule », car il n’y a évidemment pas de « classement » qui tienne.) Depuis longtemps divorcée de son mari Jacky, et à la retraite depuis une vingtaine d’années, elle habite Arans, désormais, en permanence. Ses trois enfants, leurs compagnes-gnons et leurs rejetons-tonnes – dont une Gratianne, à qui Christine sa maman du 30 septembre comme moi a tenu à attribuer le prénom de ma GraxAma-bi ((« Grachamabi » : Gratianne-Maman II)), tant elle l’aime d’amour elle aussi... mais de qui n’est-ce pas le cas ?... comme pour mes Amak bat ta hiru d’ailleurs !... – continuent de venir y passer leurs vacances. Pour le Livre d’Or II, chez Sandrine et Gilles à Toulouse, quels sutôts ((Quelques semaines plus tôt : formule modoupaïenne adverbiale s’accordant, donc, en genre et en nombre, en dépit du bon sens, car avec un « sujet » dont il n’y a bien que dans Modoupa qu’il puisse être question qu’il le soit.)) où j’avais séjourné quelques jours, Sandrine m’avait ainsi sommé de me planter devant une fenêtre de son salon : « Xabi, attends, mets-toi là, c’est une tradition, on prend en photo tous les gens de passage ». Mais j’ai senti le coup et me suis rebiffé : « Ouais, c’est ça ! Tu vas t’en servir pour un livre d’or que tu vas amener à mes quarante ans pour que vous puissiez tous écrire plein de saloperies dedans ! ». En vrai : je me suis exécuté. Elle a utilisé la photo pour la couverture de son Livre d’Or, ainsi que je ne l’avais pas deviné, sur laquelle elle a alors inscrit, sous ma frimousse : « Loin du bruit, je voudrais que d’un chant tendre et berceur, montent vers nous toutes les notes du Bonheur ». La quatrième de couverture comportait, également, une sublime photo de Manno, avec ce texte : « Je t’ai donné mon cœur. C’est le meilleur de moi. Garde-le pour toujours : il ne bat que pour toi ». Oooooh ! Merci mes chéries. Le Grawek a débuté avec le Grabuf , pour l’apéritif, composé des délicieuses mises en bouche et autres jambons, pâtés, quiches, tartes et toasts fournis et confectionnés par mes pochimis-mies commis-mises à qui j’avais demandé de mettre la main à la pâte, et que j’ai de nouveau sollicité, pour ce volet de l’organisation, à 40+10+AMA-à-la-place-du-PACS. Après l’aurresku – eskerrik asko Ama beste bat – et la performance de Manno, une fois l’assistance remise de ses émotions, nous sommes passés-sées à table. Au menu : paëlla. Resservie en 2019. On ne change pas une équipe qui gagne, ce plat ayant accompagné, à Bastida, une partie si réussie. Puis l’assemblée n’y a pas coupé : mon discours, après le repas, dans lequel j’ai raconté ma vie, le monde, ma vie dans le monde, le monde depuis la chute du Mur de Berlin, tombé, le 9 novembre 1989, 20 ans moins 1 mois avant le Grawek 40-ans-officiels-PACS-40-officieux, à mi-chemin entre ma naissance et celui-ci. L’Allemagne avait été réunifiée, le 3 octobre 1990... 19 ans jour pour jour avant ! J’ai raconté, bisû, l’histoire des prostituées que Johann mon correspondant allemand m’avait emmené voir à Nuremberg le jour où nous avons loupé le bus pour Berlin. Mur que j’évoque ainsi, également, en conclusion de mon cul à mes convives après la fête : « N’oubliez pas : il vaut mieux des putes aux fenêtres à Nuremberg qu’un mur de la honte à Berlin. Et si votre Xabi Axeri (au fait, comment se porte-t-il, pas trop gondolé ?) ou votre cheval vous dit : “Et tous les autres murs de la honte, t’en fais quoi ?”, c’est que vous ne prenez pas suffisamment soin de lui et qu’il est énervé ». Mes invités-tées sont donc repartis-ties... avec un renard et un cheval ? Non, que le canidé, pour une dizaine d’entre elleux. Tout à fait en haut du podium : Ama bisû, et Aita, qui ont eu droit à leur renardeau-en-plastique-planté-dans-une-balle-enfoncée-dans-un-disque-maintenant-l’animal-debout-légèrement-incliné. J’en avais confié la confection à ma noir’... euh... chteun’Aude, qui s’est dévouée pour le découpage de la bête d’après la silhouette conçue par Thomas. Aude a trouvé l’idée du Xabi Axeri très bien, mais pas celle de l’intitulé de l’événement : PACS-40. Ne sonnait-ce pas un peu comme un indice boursier ? L’incongruité, Aude, l’incongruité ! Ah ! Alors elle a adhéré. Et si je dis maintenant que je ne réalise que danu tipasse que PACS ça fait... PAX ? C’est Solitude, une Grue guadeloupéenne de la Dignité, qui me l’a soufflé. J’y ai pensé en écrivant à son sujet, à une décennie-Modoupa d’ici. Bon, je garde PACS quand-même pour la suite. Trop sacré aussi. Le trophée Xabi Axeri est allé à d’autres de mes chers-chères d’entre mes chers-chères, à Patxi le premier d’entre nous tous-toutes parti, si tôt, pour lui dire combien il me manquait et je pensais à lui, et à ma plus vieille, vieille, vieille copine Nathalie. Je sais parler aux femmes, n’est-ce pas ? J’en aurais bien décerné un à Marc mon plus vieil, vieil, vieil ami, mais, depuis son Burkina Faso, il n’a pas pu venir. Et un Xabi Axeri est bien entendu également allé à... ma providentielle Amaia ! Les fêtardes et fêtards de 2009, par leurs dithyrambes, dans les Livres d’Or I & II, ont gagné leur ticket pour 2019 : Et de deux ! Toi, après Sabine, normal. Mais 40 ans c’est à peine la moitié de la vie, donc beaucoup de choses à vivre encore et, surtout, le plus possible de bonnes et de belles ! C’est ce que te souhaite ton “pater”, et j’espère vivre encore plein de beaux moments en compagnie de mes enfants qui me sont si chers. C’est avec beaucoup de joie que j’ai vécu ce week-end, et je n’oublie pas non plus ton Manu qui compte tant pour toi ! Bonheur à toi et à vous deux. Papa Gros bisous de tatie Georgette. Georgette Pour la commission sur le W.E. ça sera du 50 % !!! Trêve de plaisanterie, c’est avec beaucoup de bonheur que j’ai partagé cette fête avec toi et tous ceux qui t’aiment. « Tu le vaux bien » ! Je t’embrasse avec tout mon amour de frangine. Sabine Milesker pour ce merveilleux week-end à notre Xabi adoré. Longue route à tous les deux ! Marc Je garderai un très bon souvenir des 40 ans de mon tonton ! Merci pour ce beau week-end. Léa À part les voitures et le versant à l’ombre , c’était tout simplement parfait. Hugo Merci de m’avoir permis de faire cette magnifique fête et de revoir toute la famille et tous les amis. Tu as vraiment été fantastique et très émouvant. Manu n’était pas mal non plus ! Il ne manquait que ma doudou [Valou !]… Gros bisous. Zure anaia maitia. Denis 1. Je garderai un beau souvenir de ce super séjour partagé avec vous deux que j’aime, et toi mon très cher Xaby... Beaucoup de bonheur à tous les deux ! Bigaren Ama. [« Bigarèn Ama » : ta Deuxième Maman. Oh, nere Graxiana maitia, ma Graxiana chéri !...] 2. Super ! Rendez-vous dans 10 ans ! [Ados (« adoch ») !! D’accord !!] Graxiana Oh, pu… ! J’aurais dû m’y prendre avant l’apéro d’hier soir, pour l’inspiration ça aurait été mieux. Mais tant pis. Plein de gros bisous. Jean-Pierre Merci pour cette belle soirée. Encore heureux anniversaire. Jean-Marc et Marielle Merci Xabi pour cette très chouette soirée. Je suis un peu pompette, ça faisait longtemps que ça ne m’était pas arrivé !!! Carole 1. Mon Xabi, milesker pour cette soirée inoubliable ! Que de bonheur nous avons partagé ensemble ! Avec toute mon affection pour toi et Manu, je vous souhaite plein de bonheur et une longue route. 2. Xabi, merci pour cette magnifique soirée, cette fête de tes 40 ans restera un merveilleux souvenir. Avec toute mon affection pour vous deux. [Merci ma Joseta, tu peux le dire autant de fois que tu veux !] Josette
Autres pochimis-mies dada papa loulou :
Milesker pour cette joyeuse, conviviale, agréable soirée. 40 ans déjà ! Que les prochaines années vous apportent la réussite dans vos projets, la santé… et toutes ces petites choses de la vie qui, rassemblées, nous rapprochent… du bonheur… tout simplement. Anderea 1. Si tu mènes tes 40 prochaines années comme tu organises tes fêtes, tout ira bien pour toi ! 2. Xabi, c’est un plaisir d’avoir partagé tes 40 ans avec toi dans ce magnifique endroit. Gros bisous et que les prochains 40 ans continuent avec autant de bonheur ! Bernadette [Écrit après « Bernadette » avec flèche en pointillé pour signifier l’incrustation de l’auteur :] Elle m’a piqué ce que voulais dire, alors je me mets devant elle. Roti family Bon petit week-end, merci beaucoup. Encore un joyeux anniversaire et plein de bonheur pour la suite !!! T’inquiète, 40 ans, c’est juste une jeunesse de plus ! Charline Xavier, merci pour ces quelques heures de bonheur. J’ai pu voir un peu mes neveux, sœurs et frères. C’est précieux car c’est rare. Christine Enfin, c’est un parrain indigne qui t’écrit ! Pour tes 40 ans, c’est une première ! Oui, je crois, que c’est la première fois que je t’écris quelques mots. Filleul, je ne crois pas à toutes ces mièvreries, baptême, communion, etc., mais je crois que toi non plus ! Je t’ai vu heureux ces quelques heures avec tes amis (de sacrés fêtards !), et avec ta famille. J’ai beaucoup aimé tes “Xabi Axeri”, et j’ai reconnu en toi ce qui est très important pour tout homme : l’humour ! Et c’est bien, tu en as beaucoup. Que tu t’en serves à bon escient ! Tu nous as offert une jolie fête, avec des personnes très intéressantes ! J’ai apprécié Manu quand il a dansé. Il a un peu éclipsé l’aurresku ! Mon chauvinisme basque en a pris un coup. Mais c’était beau ! Jean-Claude Xavier, ou plutôt Xabi, puisque le lieu et surtout tes origines l’imposent, merci pour cette excellente soirée de convivialité et… de rapprochement. 40 ans déjà, même si tu ne les parais pas, qui me font regretter tant d’années de distance. Merci encore pour cette réunion. Jean-Jacques Joyeux anniversaire Xabi ! Une soirée bien réussie pour une vie déjà bien remplie ! Maëlys Ourthé Houn Xavier pour tes 40 ans. Je te souhaite une longue vie avec Manu. Maitexa Que le bonheur accapare ta vie ! Nous sommes ravis d’être ici ! Maritxu et Laury Xabi + Olivier [enserrant notre ropoto ], quoi dire de plus que je vous aime tous les deux ? Bisous. [T’es un amour ma Sylvouille mais c’est pas lui le marié !] Sylvie Xabi, c’est avec beaucoup de joie et de tendresse que nous te souhaitons un merveilleux anniversaire rempli de bonheur ! Même loin de ta terre natale, tu es dans nos pensées quand l’occasion se présente. Comme dirait Naia , « on t’aime de la rose ». Bisous et merci pour cette fête réussie ! Vivi & Nico Les amiok dada papa loulou aussi : Milesker ainitz Xabi ta Manu. Pas trop d’idées. Vous êtes beaux. Alaia Moi c’est en morse que je veux dire deux mots : ¡ Feli-cidades ! Aline Alors, Xabi, toujours des problèmes gastriques ? Bon, 40 ans et tout le reste à venir. Amaia Au plus beau couple de pinsons jamais vu. En vous remerciant de ce week-end mémorable. Je vous dis à bientôt avec Saucisse. Bises et merci. Benoa Sous les palmiers, la plage. La douce révolution de 69 c’était Xabi. CarOlivier Xabi ! Xabi ! Encore plus beau à 40 ans qu’à 20 ! Vivement les 80 ! Carole Listen to the little song, Xabi: don’t worry, be happy! Je vous souhaite à toi et Manu 40 ans de bonheur… minimum ! Cathy Cher Xabi que j’aime, ta fête était magnifique, tu es magnifique, bien que tu n’organises jamais rien. Comme dirait Homer, « vaut mieux regarder un truc que d’avoir à le faire » ! Hihi ! Je rigole, bien sûr. Et puis la petite surprise c’est que peut-être qu’avec Benoît on viendra te voir en Guadeloupe en janvier (vol AF 312, arrivée 16h15). Bonnes vacances à La Réunion. Et la danse de Manu : exceptionnelle, comme tout le reste. Je t’aime tant mon Xabi. Bisous. Cécile Il va falloir prévoir encore mieux pour la prochaine fois… et tu as placé la barre très haut ! Merci mille fois mon beau Xabi. Et surtout, on attend des photos de la nuit de noce ! Ou du drap de noce ! Christelle 1. Xabi, Manu : nous sommes très contents d’avoir partagé ce moment si spécial avec vous. 2. Quelle fête ! Grande classe. Merci beaucoup. Christophe et Sandra Bisous bisous. Tous mes vœux. Damien Que le soleil continue de briller pour toi, Xabi. Coquillages et crustacés sur la plage abandonnée… Je t’embrasse. Gilles Kès qu’on a rigolé ! Merci le Txabi de nous avoir offert une si belle fête. Et quel discours fou et drôle et déjanté. Tu m’as bien eu. Iban Xabi, Xabi, mille fois merci, pour ce week-end inoubliable, bien sûr, mais aussi pour ta générosité, ton amitié, ton cœur immense. Bravo pour les années parcourues et bonne et heureuse vie pour les 40 ans qui viennent. Puisque tu as choisi le chemin de l’amour avec Manu, longue et heureuse vie à tous les deux. Karine et Lucas Joyeux anniversaire. Merci pour ce super week-end et cette super teuf. Bonne continuation à vous deux. Le Glode Vive le mariage et les 40 ans de Xabi. J’ai adoré cette soirée exceptionnelle. Vive la vie, vive le roi, vive la reine ! La Deube Xabi ! Xabiok ! Quelle soirée… xabiesque ! Sublimes moments de bonheur agrémentés de passages surréalistes. Mémorable ! T’as été grandiose ! On t’aime mon beau Xabi ! Laurent, Hélène, Matthieu et Vincent Franchement, OÙ Sandrine a-t-elle trouvé sa robe ??? [Supère esquisse de la belle dans sa robe, très classe, très snob, affublée d’un « Oh ! »] Dis, heureusement que t’as pris un DJ, sinon je te dis pas. [Supère esquisse de « Sandrine » et de « Maman » se jetant sur l’ordi + « Invité écrasé » sous Maman.] Margot (Amaia eta Kikiren alaba ) Agour Xabi. Maxou petit bout Avec les mots les plus simples du monde, moi et toute ma famille vous souhaitons LE PLUS GRAND BONHEUR DU MONDE, rien que pour vos deux cœurs, pour la vie... Et merci pour ce super week-end. Nahia et Ilan C’était XABIESQUE ! Thank you. Merci. Milesker. Naomie Plein de bonheur pour toi Xabi, oh ! ah ! euh… aXéri ! Merci du fond du cœur pour cette réunion, qui m’a ramenée tant d’années en arrière. Moi, représentante de tes plus vieux amis… Toutes mes félicitations à toi et Manu, en vous souhaitant une vie de bonheur. Gros muxus de ta vieille, vieille, vieille, vieille, vieille… copine ! Nathalie Cher Xabi, merci pour ce week-end très sympa. Merci pour tout. Merci d’exister ! CARRÉMENT ! Nini Comment dire… ?!! Euh… Y a-t-il des mots pour ça ? Exceptionnel ! Certainement. Extraordinaire ? Assurément. Fantastique ? Oh, oui ! Je propose d’en inventer un pour l’occase, et je lance : exmilacieux ! (Je n’en servirai plus.) Okis Xabi... de tout cœur avec toi pour les 10 ans à venir et +++ jusqu’en 2069, année re-érotique. Olivier Terima kasih untuk semua (la grosse xabiterie). Salamat ulang tahun ! [185] Philippe
Ton anniversaire a été très bien. Bisous. Selma, Gilles, Sandrine Nous avons passé un très bon week-end, tout était réussi, nous vous souhaitons une bonne continuation et tout plein de bonnes choses. Sophie et Bruno C’était super. On s’est bien marrés, et l’endroit était top. Stef A San Francisco Javier, que conquistó las Indias y el mundo entero. Los Navarros no debemos olvidar. Anonyme I Sur la plage abandonnée, copinages incruste à souhait. Anonyme II (mais du re-Gilou certainement !) Après toi, vous, le déluge ! Anonyme III Je voulais un Xabi Axeri !! Anonyme IV Ces bidous encore après la fête : Salut vieille chaussette, alors quoi de neuf, vous êtes rentrés au pays ? Bon j’imagine que vous relâchez la pression, après ce mariversaire [la St-rouvaille] dans lequel tu as beaucoup investi je pense. En tous cas c’était super, très réussi ; on s’est bien marrés et l’endroit était top. Est-ce que tu as reçu les premiers Monde Diplo ? Et ce séjour à Donostia vous l’avez fait ? Bon, sinon nous ça va, on revient d’une virée de trois jours en Belgique, on était à Anvers et Gand. C’était très sympa. Je suppose que tu seras à Bayonne pour Noël. Nous aussi, pour une dizaine de jours. Allez, donne des nouvelles, une fois. Goedendag. Stef À la « Une » du numéro d’octobre 2009 du Monde Diplomatique auquel Stef & Sof m’ont abonné : « Xavier Renard, 40 ans de combat contre l’injustice ». J’étais un peu étonné que le prestigieux journal fît remonter ce « combat » à ma naissance. Et ce terme était peut-être un peu fort, « engagement » aurait éventuellement suffi, mais « 30 ans » au lieu de 40 n’aurait pas été si exagéré que ça. Voici, quoi qu’il en fût, ce que disait l’article, sur Bibi et son Manu, à l’occasion de l’événement majeur de cette fin de première décennie du IIIème millénaire, mes 40 ans et notre PACS : Du Rwanda à l’Afghanistan, d’Euskadi à Saint-Martin, Xavier est depuis des décennies présent sur tous les points chauds du globe, au point que, désormais, il ne peut vivre qu’en tongs. Avec Manu son fidèle compagnon d’armes, ils ont choisi un exil volontaire dans des conditions précaires (ils n’ont même pas le câble !), dans une de ces anciennes colonies que la France, honteuse d’un passé peu glorieux, maintient sous perfusion afin de se donner bonne conscience. C’est là, entre barricades et cocotiers, qu’il nous reçoit, en toute simplicité (il est nu), dans sa résidence sécurisée, face à une plage privée , théâtre d’une préparation commando [cf. photo ]. Devant tant d’abnégation, de sacrifices consentis au service de la révolution prolétarienne, nous décidons, avant même de débuter l’entretien, de lui offrir un abonnement d’un an au Monde Diplomatique, afin d’orner le lutrin de son cabinet de travail où il aime à s’enfermer de longues heures à l’écoute de son corps... [Titre et texte de la légende de la photo :] Le plus dur, c’est l’entraînement. Dans leur base secrète du bout du monde, nos deux combattants de la cause populaire se forgent un corps d’airain en s’immergeant de nombreuses heures dans une eau glacée à 29 °. « C’est au prix d’une discipline sans faille que nous vaincrons l’hydre ca-... » [...ca boudin ? Ah ! Capitaliste. (C’est coupé.)] C’est vrai, j’avais oublié que j’avais un temps opté, aux côtés de mon redoutable co-guérilléro Manno, pour la lutte armée. En vrai : Stéphane avait reproduit et encadré la première page du Monde Diplomatique du mois en question, sur laquelle il avait glissé son impayable... édito. Quant à son abonnement, je n’ai pas souvenir d’avoir ensuite reçu le journal, tous les mois... Stéphane réabonne-moi !! Pour Noël (2020) !! Encore des bidous (post-Grawek) : Je viens de poser un pied à Paris à I’instant, n’ayant pas encore dormi, et j’ai envie de t’envoyer un petit mot. Ta fête a été une réussite totale ! ÉNORME ! Mille mercis. Bravo et remercie tous les gens qui se sont donné du mal. Quant à toi, on ne m’avait pas fait rire comme ça depuis longtemps ! Ton speeech faaaabuleux, et surtout ta xabionnerie en direct des Dames de France : à mourir ! Nous étions, avec Iban, dans la quatrième dimension ! Tu nous as procuré une joie et une émotion d’une très grande intensité ! J’ai été très, très heureux ! Bravo à Manu pour le courage et la qualité de sa perf’ ainsi que sa gentillesse ! On s’est fait bousculer par toutes les gonzesses en fury qui voulaient voir la star ! Voili mon beau poulet, beaucoup d’amour pour vous de nous. Laurent Merci encore pour ce week-end de folie. Vous êtes, toi et ton adorable Manu, de vrais magiciens ! C’était tout simplement inoubliable. Je ne regrette que de n’avoir pu laisser ma trace sur le livre d’or. Il a été squatté toute la fin d’après-midi. J’espère que vous ne m’en voudrez pas de cette incivilité. Sac de papouilles de votre nouille . La Peyre Nous ne nous sommes pas vus en partant. J’aurais aimé vous dire au revoir. Merci Xabi. Merci Manu. Je me suis bien amusée. Je n’ai pas beaucoup dansé mais je suis heureuse d’avoir partagé ces moments avec tes amis, ta famille, Manu et toi. J’espère que Jeannette et Josette vont bien. Muxu !!! Carole Un petit coucou pour te dire que nous avons passé un très bon week-end, que tout était réussi. Nous vous souhaitons une bonne continuation et tout plein de bonnes choses. Encore merci et bon séjour chez Denis. Le bonjour à tous. Sophie et Bruno J’avais en outre reçu le mot ci-dessous, en réponse à mon invitation, d’Isabelle mon amour à sens unique d’adolescence, une de mes plus vieilles, vieilles, vieilles copines, à peine un peu moins que Nathalie (c’est dire). J’ai essayé d’obtenir la venue d’amis-mies d’un peu toutes les époques, tant pour mes 40 que pour mes 50 ans, mais avec assez peu de succès. Isabelle, en 2009 : loupé. Et en 2019 ? À suivre ! Bonjour Xavier. J’ai bien eu ton message, et je te remercie pour ton invitation ; c’est très sympa de penser à moi ! Malheureusement, je ne pourrai pas être là, et j’en suis vraiment désolée, car cela m’aurait vraiment fait plaisir de te retrouver... Seulement ma vie perso et pro n’est pas très simple aujourd’hui, je suis totalement débordée, et j’enclenche de nombreux déplacements et dossiers même le week-end. Celui-ci en faisant partie !!! J’espère toutefois pouvoir te revoir très vite et partager un moment avec toi... Je t’accueillerai avec grand plaisir à Toulouse, quand tu seras de passage... N’hésite pas ! Mais contacte-moi, si tu le souhaites, lors de tes visites au Pays basque... En le sachant un peu à I’avance, je m’arrangerai, sans souci... Je penserai à toi ce samedi. Embrasse toute ta famille, et si Marc est présent [eh non ! loupé aussi !], envoie-lui toute mamitié. Cela me ferait réellement plaisir de tous vous revoir ! J’espère échanger très prochainement avec toi. Plein de belles choses pour tes 40 prochaines années... Je t’embrasse. Isabelle Et... le mot de la fin pour ma Mayoune : Coucou Xabi, j’ai mis du temps à t’écrire, mais étant en vacances, je m’y colle... Tout d’abord, merci pour cette formidable soirée... J’ai passé une super soirée à danser et à m’éclater, mais ne pas pouvoir profiter de vous tous le dimanche, parler de nos vies, tout ça m’a laissé un goût amer... [Retour à Castres l’ayant contrainte de castrer... euh... couper... du moins écourter son weedee...] C’est bizarre la vie, j’ai passé quatre ans loin de vous [de moi surtout ! hum...], j’en ai retrouvé certains et perdu d’autres, toi je t’ai retrouvé et c’est un grand plaisir [partagééééé !!!]... Le choc que tu m’as fait en m’offrant ta statuette [n’est-ce pas ?!]. Je ne pensais pas avoir compté autant pour toi [eh oui, et comment !]... Le plus difficile, pour moi, c’est de ne plus partager vos vies au quotidien, c’est aussi le deuil de ma jeunesse, et c’est quelquefois dur à digérer... Sinon, j’espère te voir bientôt et souvent [yes !!!]. Je t’embrasse très fort. Amaia