Chapitre 25 – PACS-40 : le Mariversaire

De Xavier Renard
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Le Défilé des Ginettes (Grandes Réunions au Sommet)

« Nous, Emmanuel [biiip] et Xavier Renard, concluons un pacte civil de solidarité régi par la loi n° 99-944 du 15 novembre 1999 modifiée et la loi n° 2006-723 du 23 juin 2006 » : telle est la mention de notre déclaration de PACS couchée à la main, sur le papier, par mes soins, et que Manno e mwen[1] avons signée, le jeudi 2 juillet 2009, dans un bureau du tribunal d’instance de Lapwent[2]. « Je vous déclare unis par les liens du PACS, pour le meilleur et pour le pire. Vous pouvez vous embrasser », ne nous a alors pas déclaré la fonctionnaire assise en face de nous derrière son bureau. J’ai sorti ce document de mes casiers (APRÈS avoir rédigé la nobapa[3] 444-333 du chamou[4] précédent, et me suis donc mis à taper ce qui y était inscrit. Ça n’est pas très glamour, me suis-je dit, mais voyons ce que ça donne, et... ja pété[5]. L’apparition de la loi n° 99-944 du 15 novembre 1999, sur le papier, pendant que je le recopiais... m’a soufflé. Je me demandais, quel mutôt[6], ce que ces 3 4 (ne) me disaient (pas). Les revoilà. Bon, ils ne sont plus que deux. L’un s’est perdu dans un couloir de l’Univers (Angelu[7], tu déconnes !). Mais s’ils ne sont plus suivis du triple chira[8] 333 de la nobapa, ils en sont précédés : le 999 de 99-944. Et, de triple chira, celui-ci est devenu triple top chira, un 333 multiplié par 3. Les chiffres de la sagesse EXTRÊME de Xabi (Vodou papi[9] 13). Mais comme j’y vais, car ici ce ne sont pas les miens mais ceux de Manno ! Les 3 3 de sa dizaine multiples de 9, et multipliés par 3. Ces chiras-top chiras c’est lui. Mais c’est moi aussi. C’est lui et moi, moi et lui. Loi et mui, mui et loi. Lui et moi qui ne faisons qu’UN. Les chiffres de l’Amour. Une SYNCHRO WAHOU AMOUR ![10]

Nous avons donc conclu notre PACS 3 mois et 7 jours avant... le 30 septembre 2009 : jour de mes 40 ans ! Mais n’ai-je pas comme un 3 et un 4 qui se suivent, encore, ici ?! Et cette autre remarquable suite d’un 3+7+30 = 40 ?! Bref, je m’affairais depuis quelques mois, quand doudou mwen e mwen mèm[11] nous sommes mariés, comme j’aime à le dire – mais ce n’était alors légalement pas encore possible (Taubibi salut à toi) –, à l’organisation de ma fête de mon CAP-40. Le PACS passé par là, elle est alors devenu celle... de mon « PACS-40 ». Mes amis-mies ielles-mêmes d’ailleurs, certains-taines d’entre elleux du moins, quand ielles m’en parlent, l’évoquent comme mon mariage. Pour Stéphane, selon son excellente trouvaille, nous avons fêté... mon « mariversaire » !

Dix ans plus tard, en 2019, j’ai donc également associé celle de mes 50 ans à la célébration d’un autre événement, mais un peu moins joyeux : le premier anniversaire de la mort de ma maman. (Presque) personne n’a alors véritablement trouvé à redire à ce qui aurait pu apparaître comme un peu culotté, bien au contraire même. Quant à Ama, de là-haut, elle ne risquait pas d’y objecter, car c’est elle, en réalité, qui a tout manigancé (vodou papi 61 – ma poco bité[12]). Mais, en 2019 moins 10, le pack PACS+40 ne l’a pas emballée. Elle s’y est même tout bonnement opposée. Je lui ai demandé, un peu avant la fiesta, si je pouvais enculer[13] mes invités-tées (dont toute la famille) en précisant qu’elle serait, en plus de mes 40 ans, celle de mon PACS avec Manno. Réponse d’Ama : négatif ! Petit détail en passant : Aita[14] l’avait quittée, vingt-six ans plus tôt, parce qu’il était lui-même... homosexuel. La réponse d’Ama m’a un peu contrarié, et j’ai protesté dix secondes, mais il aurait vraiment été indigne de ma part de lui reprocher un quelconque manque d’ouverture de cœur et d’esprit ! Et quel malotru j’aurais été de ne pas comprendre, au vu de son propre vécu, qu’elle pût avoir quelques limites !

Puis le Gadjo[15] est arrivé : mon rotolu[16] de rassemblement familagunak[17] organisé par mes soins, avec un peu plus de 100 personnes. En 2009 + 10, pour la... BAX !!!... Je réalise ça aussi, la BestAmaXab, « Bèchtamachab », la Fête « des 1 an d’Ama dans l’Au-delà et des 50 ans de Xabi ici-bas », ça fait BAX !!! Ouax ! Ouax ! Ouaaaaax !!! [Ouais c’est ça, ouax. Je me suis planté, j’ai mis la charrue avant les... euh... la BAX avant la PAX (vilin[18]), mais je ne m’en sors plus de ce chamou et je sens que je vais devenir chèvre, or je suis très bien en Renard alors ja pi[19])]. Pour la BAX donc, le compte fut d’environ 10 de moins. Historique des Ginettes[20] : les Deube femme et mari ont organisé un weedee[21], pour les 40 ans de Sandrine, à l’orée de Millau, dans l’Aveyron, avec vue sur le pont, un de mes rotis si ce n’est mon rotolu d’ouvrage de génie civil le plus majestueux et grandiose.

Les Deube FM de nouveau + Kristela ont réuni leurs amis-mies, pour les 45 ans de Gilou (le Deube mari) et les 40 ans de la K, pour un weedee dans les Pyrénées. Il y a eu le mariage des Deube. Puis le mariage d’Amaia et Kiki : un weedee malgré le déluge et peut-être même encore plus, d’une certaine manière, grâce à celui-ci. Bien que pas forcément au goût des marié-riée. Surréaliste. Avec évacuation par les pompiers, au petit matin, de la vieille et belle bicoque que nous occupions au bord d’une rivière de la campagne aveyronnaise devenue rageuse (la rivière, pas la campagne : si l’eau a débordé, les terres, elles, sont restées bien sagement où elles étaient), et très désireuse d’emporter veaux, vaches, marié-rée et invités-tées.

Il est vrai que la journée du dimanche promettait d’être un peu plus belle, dans le cadre exceptionnel où Amaianénette et Kikounet s’étaient attachée-ché à nous réunir, que sous le préau de l’école d’un bled du coin où nous avons été rapatriés-yées. Donc pas très yeah-yeah. Mais le score, à l’occasion de ces différents événements, n’a été que de... N’importe quoi. C’était juste histoire de citer quelques autres weedee-Graweks[22] de l’histoire de Krokoska & Co. Le weedee des samedi 2 et dimanche 3 octobre s’est déroulé sur le fanta-site de l’hôtel des Collines d’Iduki, déniché par ma sœur Sabine et Marc son mari, à l’orée de Bastida[23], l’un des plus beaux villages de Fra... (ha ! ha ! j’ai hhaarraché – « arraché » en basque, bien hhaaché) le panneau à l’entrée du village... d’Euskadi[24].

Cadeau-surprise de cheri’m[25] devenu mari’m : un numéro de danse, dans une tenue alléchante, sur un air de Mannoda... euh... Madonna. Il a remis ça, pour mes cinquante ans, mais dans une version plus habillée. Il avait sorti... euh... non, quand-même... mis le paquet, la première fois, pour notre fête de jeunes mariés, mais dix ans plus tard nous étions... séparés. L’ambiance avait un peu changé, notre relation n’étant plus tout à fait la même, mais elle était alors et elle est aujourd’hui ce qu’elle était et ce qu’elle est, elle était et elle est très bien comme elle était et comme elle est, et elle sera demain comme elle sera, et c’est très bien comme ça. Inch’Allah. J’aime Manno d’un Amour plus Grand que tout. L’Amour Passion, c’est beau ! Et je suis le plus heureux des hommes de l’avoir vécu avec lui. Mais il a « un peu » tendance à rimer avec Amour poisson... euh... poison. Il faut le voir sans tristesse, amertume ou regret. C’est presque un passage obligé ! À ce stade de l’évolution de l’être humain du moins. Mais lui et moi vivrons TOUT SAUF ÇA (chez Joseta ou ailleurs [vodou papi 24]) désormais !

Un peu ou très habillé, les deux fois, il a mis le feu à l’assemblée. Ama, à mon PACS... euh... à mes quarante ans, m’a quant à elle offert ce formidable cadeau d’un aurresku[26], la danse traditionnelle honorifique basque. Qu’elle n’a tout de même pas interprétée elle-même, même si, du haut de ses soixante-douze ans d’alors, elle était encore en pleine forme. Plus pour si longtemps que ça... alors que l’on aurait pu croire que la Dame Pêche-d’Enfer-et-Santé-de-Fer pourrait l’être... « éternellement »... Elle avait convié, pour cela, ce jeune homme dont mon grattage de cerveau et quelques enculages pour le faire sortir de l’oubli ne m’ont pas permis de retrouver ses identité et pedigree. Quant à Ama, l’hommage de SON public lui sera également rendu, avec cette danse, peu avant ma décennie suivante, devant... son cercueil. Mais nous avions encore... 9 ANS DE BONHEUR ensemble, et en attendant que la mort ne nous séparât pas, resplendissante et pleine de joie, à Bastida, elle a fait la fête avec moi et mes autres pochimamas... euh... pochimis-mies[27]. Dans le beau cahier avec couverture en cuir et papier imitation parchemin qu’elle m’a offert, elle a écrit ces mots pour moi : « Que ce livre d’or choisi avec amour t’apporte bonheur et réussite dans tous les domaines. Ene seme maitia[28], merci pour cette belle fête, et cette rencontre avec tous ces jeunes. Biziki pott handi. Zure Ama. »[29] Elle a ajouté dans le Livre d’Or 2, celui de La Deube : « Tous mes vœux vous accompagnent. Ama. Jeannette. »

Les Livres d’Or 1 & 2 avaient été disposés sur une table, dans la salle du restaurant, au pied d’une pancarte réalisée par les soins d’Anderea, avec photo agrandie de Jeannette sur son lit de maternité tenant son nouveau-né dans ses bras, et photocopie de mon extrait d’acte de naissance, le « N° 1786 du deuxième enfant ». J’ai découvert, danu tipasse[30], cette autre merveille qu’est ce nombre quasi révolutionnaire associé à ma naissance, en me saisissant de l’œuvre d’Anderea que j’avais accrochée, en Gwada, sur un mur au-dessus du meuble de chevet de la Chambre Orange (que mari’m eta nik[31] avons le plus souvent occupée ; je crèche, maintenant, dans la Chambre Verte)[32]. Anderea avait inscrit, sur la moitié inférieure du panneau : « Zorionak[33]. Grâce à ce que nous allons graver sur ce livre d’or, Xabi gardera un précieux souvenir de cette soirée. » Mais alors qui c’est-y maintenant que cette Anderea qui a réalisé tout ça ? C’est la Andrée du Mans de la triponna[34] de Baiona. Ainsi basquisé-je à son tour la Normande qui, ile qannée[35], s’est mise à cette langue foutrement ardue qu’est l’euskara[36]. Félicitations, et bonne continuation ! Depuis longtemps divorcée de son mari Jacky, et à la retraite depuis une vingtaine d’années, elle habite Arans, désormais, en permanence. Elle continue de régulièrement recevoir la visite, pour leurs vacances, de ses trois enfants et de leurs compagnes-gnons et rejetons-tonnes respectifs-tives, dont une Gratianne, à qui Christine sa maman du 30 septembre comme moi a tenu à attribuer le prénom de ma GraxAma-bi[37], tant elle l’aime d’amour elle aussi... Mais de qui n’est-ce pas le cas ?... Comme pour mes Amak bat ta hiru ![38]

Pour le Livre d’Or II, chez Sandrine et Gilles à Toulouse, quel-quelle sutôt-tôte[39], Sandrine m’avait ainsi sommé de me poster devant une fenêtre de son salon : « Xabi, attends, mets-toi là, c’est une tradition, on prend en photo tous les gens de passage. » Mais j’ai senti le coup et me suis rebiffé : « Ouais, c’est ça ! Tu vas t’en servir pour un livre d’or que tu vas amener à mes quarante ans pour que vous puissiez tous écrire plein de saloperies dedans ! » En vrai : je me suis exécuté. Elle a utilisé la photo pour la couverture, sur laquelle elle a alors inscrit, sous ma frimousse : « Loin du bruit, je voudrais que d’un chant tendre et berceur, montent vers nous toutes les notes du Bonheur. » La quatrième de couverture comportait elle aussi une magnifique photo de Manno, avec ce texte : « Je t’ai donné mon cœur. C’est le meilleur de moi. Garde-le pour toujours : il ne bat que pour toi. » Oooooh ! Merci mes chéries.

Le Grawek a débuté avec le Grabuf[40], pour l’apéritif, composé des délicieuses mises en bouche et autres jambons, pâtés, quiches, tartes et toasts fournis et confectionnés par mes pochimis-mies commis-mises à qui j’avais demandé de mettre la main à la pâte, et que j’ai de nouveau sollicités-tées, pour ce volet de l’organisation, à 40+10+AMA-à-la-place-du-PACS. Après l’aurresku – eskerrik asko Ama beste bat[41] – et la performance de Manno, une fois l’assistance remise de ses émotions, nous sommes passés-sées à table. Au menu : paëlla. Resservie en 2019. On ne change pas une équipe qui gagne, ce plat ayant accompagné, à Bastida, une partie si réussie. Puis l’assemblée n’y a pas coupé : mon discours ! Après le repas, dans lequel j’ai raconté ma vie, le monde, ma vie dans le monde, le monde depuis la chute du Mur de Berlin, tombé, le 9 novembre 1989, 20 ans moins 1 mois avant le Grawek 40-ans-officiels/PACS-officieux, à mi-chemin entre ma naissance et celui-ci. L’Allemagne avait été réunifiée, le 3 octobre 1990... 19 ans jour pour jour avant ! J’ai raconté, bisû[42], l’histoire des prostituées que Johann mon correspondant allemand m’avait emmené voir à Nuremberg le jour où nous avons loupé le bus pour Berlin (vodou papi 10). Mur dont je glisse en outre dans mon cul à l’adresse de mes convives après la fête : « N’oubliez pas : il vaut mieux des putes aux fenêtres à Nuremberg qu’un mur de la honte à Berlin. Et si votre Xabi Axeri[43] (au fait, comment se porte-t-il, pas trop gondolé ?) ou votre cheval vous demande “et tous les autres murs de la honte, t’en fais quoi ?”, c’est que vous ne prenez pas suffisamment soin de lui et qu’il est énervé. »

Mes invités-tées sont donc repartis-ties... avec un renard et un cheval ? Non, le canidé uniquement, pour une dizaine d’entre elleux. Tout à fait en haut du podium : Ama bisû, et Aita, qui ont eu droit à leur renardeau-en-plastique-planté-dans-une-balle-enfoncée-dans-un-disque-maintenant-l’animal-debout-légèrement-incliné. J’en avais confié la confection à ma noir’... euh... chteun’Aude[44], qui s’est dévouée pour le découpage de la bête d’après la silhouette conçue par chteun’Thom’. Aude a trouvé l’idée du Xabi Axeri très bien, mais pas celle de l’intitulé de l’événement : PACS-40. Ne sonnait-ce pas un peu comme un indice boursier ? L’incongruité, Aude, l’incongruité ! Ah ! Alors elle a adhéré. Jé lica[45], danupag, c’est que PACS ça fait PAX ! C’est Solitude, une Grue[46] gwadloupéyèn de la Dignité, qui me l’a soufflé. J’y ai pensé en écrivant à son sujet, à une décennie-Modoupa d’ici. Bon, je garde PACS quand-même pour la suite. Trop sacré aussi. D’autres chers-chères d’entre mes chers-chères se sont vus-vues attribuer le trophée. Parmi ielles Patxi[47], le premier d’entre nous tous-toutes parti, si tôt, pour lui dire combien il me manquait et je pensais à lui. Ma plus vieille, vieille, vieille copine Nathalie (je sais parler aux/des femmes, n’est-ce pas ?) en a reçu un aussi. J’en aurais bien décerné un à Marc mon plus vieil, vieil, vieil ami, mais impossible pour lui de se libérer de son taff pour voler jusqu’à nous depuis son... Burkina Faso. Et un Xabi Axeri est bien entendu également allé à... ma providentielle Amaia (vodou papi 6) !


« Merci encore pour ce week-end de folie. Vous êtes, toi et ton adorable Manu, de vrais magiciens ! »

Les fêtards-tardes de 2009, par leurs dithyrambes, dans les L.O. 1 & 2, ont gagné leur ticket pour les J.O... euh... pour 2019 (on va les appeler « Lidos », afin d’éviter toute nouvelle désillusion) :

Et de deux ! Toi, après Sabine, normal. Mais 40 ans c’est à peine la moitié de la vie, donc beaucoup de choses à vivre encore et, surtout, le plus possible de bonnes et de belles ! C’est ce que te souhaite ton « pater », et j’espère vivre encore plein de beaux moments en compagnie de mes enfants qui me sont si chers. C’est avec beaucoup de joie que j’ai vécu ce week-end, et je n’oublie pas non plus ton Manu qui compte tant pour toi ! Bonheur à toi et à vous deux. — Papa
Gros bisous de tatie Georgette. — Ginette. Mais non, elle-même.
Pour la commission sur le W.E. ça sera du 50 % !!![48] Trêve de plaisanterie, c’est avec beaucoup de bonheur que j’ai partagé cette fête avec toi et tous ceux qui t’aiment. « Tu le vaux bien » ! Je t’embrasse avec tout mon amour de frangine. — Sabine
Milesker[49] pour ce merveilleux week-end à notre Xabi adoré. Longue route à tous les deux ! — Marc
Je garderai un très bon souvenir des 40 ans de mon tonton ! Merci pour ce beau week-end. — Léa
À part les voitures [Ah ?] et le versant à l’ombre [Ah bon ?], c’était tout simplement parfait. — Hugo
Merci de m’avoir permis de faire cette magnifique fête et de revoir toute la famille et tous les amis. Tu as vraiment été fantastique et très émouvant. Manu n’était pas mal non plus ! Il ne manquait que ma doudou [Valou !]… Gros bisous. Zure anaia maitia.[50] — Denis
1. Je garderai un beau souvenir de ce super séjour partagé avec vous deux que j’aime, et toi mon très cher Xaby... Beaucoup de bonheur à tous les deux ! Bigaren Ama.[51]
2. Super ! Rendez-vous dans 10 ans ! [Ados (« adoch ») !! D’accord !!] — Graxiana
Oh, pu...[rée] ! J’aurais dû m’y prendre avant l’apéro d’hier soir, pour l’inspiration ça aurait été mieux. Mais tant pis. Plein de gros bisous. — Jean-Pierre
Merci pour cette belle soirée. Encore heureux anniversaire.— Jean-Marc et Marielle (tiboug et bèlfiy de GraPi)
Merci Xabi pour cette très chouette soirée. Je suis un peu pompette, ça faisait longtemps que ça ne m’était pas arrivé !!! — Carole (lòt bèlfiy de GraPi)
1. Mon Xabi, milesker pour cette soirée inoubliable ! Que de bonheur nous avons partagé ensemble ! Avec toute mon affection pour toi et Manu, je vous souhaite plein de bonheur et une longue route.
2. Xabi, merci pour cette magnifique soirée, cette fête de tes 40 ans restera un merveilleux souvenir. Avec toute mon affection pour vous deux. [Merci ma Joseta, tu peux le dire autant de fois que tu veux ! Et t’as vu comment qu’y s’alignent, tes 2 « Avec toute mon affection » : les planètes à côté, elles peuvent aller se coucher !] — Josette

Autres pochimis-mies, dada papa loulou[52] :

Milesker pour cette joyeuse, conviviale, agréable soirée. 40 ans déjà ! Que les prochaines années vous apportent la réussite dans vos projets, la santé… et toutes ces petites choses de la vie qui, rassemblées, nous rapprochent… du bonheur… tout simplement. — Anderea
1. Si tu mènes tes 40 prochaines années comme tu organises tes fêtes, tout ira bien pour toi !
2. Xabi, c’est un plaisir d’avoir partagé tes 40 ans avec toi dans ce magnifique endroit. Gros bisous et que les prochains 40 ans continuent avec autant de bonheur ! — Bernadette
[Écrit après « Bernadette » avec flèche en pointillé pour signifier l’incrustation de l’auteur :] Elle m’a piqué ce que voulais dire, alors je me mets devant elle.[53] — Roti* family (*Genre record du monde – voir également comment je loue les parents au chamou 8.)
Bon petit week-end, merci beaucoup. Encore un joyeux anniversaire et plein de bonheur pour la suite !!! T’inquiète, 40 ans, c’est juste une jeunesse de plus ! — Charline
Xavier, merci pour ces quelques heures de bonheur. J’ai pu voir un peu mes neveux, sœurs et frères. C’est précieux car c’est rare. — Tatie Christine
Enfin, c’est un parrain indigne qui t’écrit ! Pour tes 40 ans, c’est une première ! Oui, je crois, que c’est la première fois que je t’écris quelques mots. Filleul, je ne crois pas à toutes ces mièvreries, baptême, communion, etc., mais je crois que toi non plus ![54] Je t’ai vu heureux ces quelques heures avec tes amis (de sacrés fêtards !), et avec ta famille. J’ai beaucoup aimé tes « Xabi Axeri », et j’ai reconnu en toi ce qui est très important pour tout homme : l’humour ! Et c’est bien, tu en as beaucoup. Que tu t’en serves à bon escient ! Tu nous as offert une jolie fête, avec des personnes très intéressantes ! J’ai apprécié Manu quand il a dansé. Il a un peu éclipsé l’aurresku ! Mon chauvinisme basque en a pris un coup. Mais c’était beau ! — Tonton Jean-Claude
Xavier, ou plutôt Xabi, puisque le lieu et surtout tes origines l’imposent, merci pour cette excellente soirée de convivialité et… de rapprochement. 40 ans déjà, même si tu ne les parais pas, qui me font regretter tant d’années de distance. Merci encore pour cette réunion. — Jean-Jacques (neveu d’Aita)[55]
Joyeux anniversaire Xabi ! Une soirée bien réussie pour une vie déjà bien remplie ! — Maëlys
Ourthé Houn[56] Xavier pour tes 40 ans. Je te souhaite une longue vie avec Manu. — Tatie Maitexa
Que le bonheur accapare ta vie ! Nous sommes ravis d’être ici ! — Maritxu et Laury
Xabi + Olivier [enserrant notre ropoto[57]], quoi dire de plus que je vous aime tous les deux ? Bisous. [Tam-tam[58] ma Sylvie mais ce n’est pas lui que je marie !] — Sylvie
Xabi, c’est avec beaucoup de joie et de tendresse que nous te souhaitons un merveilleux anniversaire rempli de bonheur ! Même loin de ta terre natale, tu es dans nos pensées quand l’occasion se présente. Comme dirait Naia[59], « on t’aime de la rose ». Bisous et merci pour cette fête réussie ! — Vivi & Nico

Les amiok dada papa loulou aussi :

Milesker ainitz[60] Xabi ta Manu. Pas trop d’idées. Vous êtes beaux. — Alaia
Moi c’est en morse que je veux dire deux mots : ¡ Feli-cidades ! — Aline
Alors, Xabi, toujours des problèmes gastriques ?[61] Bon, 40 ans et tout le reste à venir. — Amaia
Au plus beau couple de pinsons jamais vu. En vous remerciant de ce week-end mémorable. Je vous dis à bientôt avec Saucisse[62]. Bises et merci. — Benoa
Sous les palmiers, la plage. La douce révolution de 69 c’était Xabi.[63] — CarOlivier
Xabi ! Xabi ! Encore plus beau à 40 ans qu’à 20 ! Vivement les 80 ![64] — Carole
Listen to the little song, Xabi: don’t worry, be happy! Je vous souhaite à toi et Manu 40 ans de bonheur… minimum ! — Cathy
Cher Xabi que j’aime, ta fête était magnifique, tu es magnifique, bien que tu n’organises jamais rien. Comme dirait Homer, « vaut mieux regarder un truc que d’avoir à le faire » ! Hihi ! Je rigole, bien sûr. Et puis la petite surprise c’est que peut-être qu’avec Benoît on viendra te voir en Guadeloupe en janvier (vol AF 312, arrivée 16h15)[65]. Bonnes vacances à La Réunion. Et la danse de Manu : exceptionnelle, comme tout le reste. Je t’aime tant mon Xabi. Bisous. — Cécile
Il va falloir prévoir encore mieux pour la prochaine fois… et tu as placé la barre très haut ! Merci mille fois mon beau Xabi. Et surtout, on attend des photos de la nuit de noce ! Ou du drap de noce ! — Christelle
1. Xabi, Manu : nous sommes très contents d’avoir partagé ce moment si spécial avec vous.
2. Quelle fête ! Grande classe. Merci beaucoup. — Christophe et Sandra
Bisous bisous. Tous mes vœux. — Damien
Que le soleil continue de briller pour toi, Xabi. Coquillages et crustacés sur la plage abandonnée… Je t’embrasse. — Gilles
Kès qu’on a rigolé ! Merci le Txabi de nous avoir offert une si belle fête. Et quel discours fou et drôle et déjanté.[66] Tu m’as bien eu. — Iban
Xabi, Xabi, mille fois merci, pour ce week-end inoubliable, bien sûr, mais aussi pour ta générosité, ton amitié, ton cœur immense. Bravo pour les années parcourues et bonne et heureuse vie pour les 40 ans qui viennent. Puisque tu as choisi le chemin de l’amour avec Manu, longue et heureuse vie à tous les deux.[67] — Karine et Lucas
Joyeux anniversaire. Merci pour ce super week-end et cette super teuf. Bonne continuation à vous deux. — Le Glode
Vive le mariage et les 40 ans de Xabi. J’ai adoré cette soirée exceptionnelle. Vive la vie, vive le roi, vive la reine ! — La Deube
Xabi ! Xabiok ! Quelle soirée… xabiesque ! Sublimes moments de bonheur agrémentés de passages surréalistes. Mémorable ! T’as été grandiose ! On t’aime mon beau Xabi ! [Et moi donc, mes chéris-riiiiies !!!] — Laurent, Hélène, Matthieu et Vincent
Franchement, OÙ Sandrine a-t-elle trouvé sa robe ??? [Supère esquisse de la belle dans sa robe, très classe, très snob, affublée d’un « Oh ! »] Dis, heureusement que t’as pris un DJ, sinon je te dis pas. [Supère esquisse de « Sandrine » et de « Maman » se jetant sur l’ordi + « Invité écrasé » sous Maman.] — Margot (Amaia eta Kikiren alaba[68])
Agour Xabi. — Maxou petit bout
Avec les mots les plus simples du monde, moi et toute ma famille vous souhaitons LE PLUS GRAND BONHEUR DU MONDE[69], rien que pour vos deux cœurs, pour la vie... Et merci pour ce super week-end. — Nahia et Ilan
C’était XABIESQUE [voici] ! Thank you. Merci. Milesker. — Naomie
Plein de bonheur pour toi Xabi, oh ! ah ! euh… aXéri ! Merci du fond du cœur pour cette réunion, qui m’a ramenée tant d’années en arrière. Moi, représentante de tes plus vieux amis… Toutes mes félicitations à toi et à Manu, en vous souhaitant une vie de bonheur. Gros muxus de ta vieille, vieille, vieille, vieille, vieille… copine ! — Nathalie
Cher Xabi, merci pour ce week-end très sympa. Merci pour tout. Merci d’exister ! CARRÉMENT [et voilà] ! [Oooooh ! Mais toi, toi !...] — Nini
Comment dire… ?!! Euh… Y a-t-il des mots pour ça ? Exceptionnel ! Certainement. Extraordinaire ? Assurément. Fantastique ? Oh, oui ! Je propose d’en inventer un pour l’occase, et je lance : exmilacieux.

Cracra ce bidou de l’auteur de la Déclaration (que je ne présente plus) : « Ce phénomène qui illumine tes journées, ça s’appelle des synchronicités. » On dirait un Prémice... Nous y voilà. Ce paragraphe a commencé comme une nobapa. Mais... l’affaire est trop... grave. À « Prémice », je m’apprêtais à poursuivre avec un faux « euh... » (« un Prémice... euh... un prémisse... ») : oui, mes « euh... » sont feints. Ceci est un double moment de... vérité. Pour les « euh... » et Olivier et, pour ce qui concerne ce dernier, anux a bite doudou, celui de la correction d’une injustice. Je ne lui avais encore pas accordé ce statut, Prémice, Personnage Clé de mon Existence – un Poac, à l’origine, devenu Prémice anux a bite doudou aussi –, alors que mon ami est à tout bout de champ modoupanique... euh... modoupaïen (un faux encore ? oui, tous les « euh... » le sont). « Prémice » n’étant toutefois pas du tout obligatoirement synonyme de « pré...féré ». Un-une Prémice doit avoir, je dirais, dans ma tit’ vie... rempli une fonction particulière. J’étais plutôt axé sur le passé, au moment de les décerner, les statues... euh... les statuts de Prémice. Mais aujourd’hui, cet homme dont le prénom, excusez du peu, constitue ni plus ni moins que le Tout Premier Mot de ce Gachapi II de mon Grave (Grand Œuvre), en tête précisément de sa longue liste de chapitres, en raison par conséquent de son enculage (écriture, dans un cul) de LA Phrase, n’aurait toujours pas droit à son renardeau-en-plastique-planté-dans-une-balle-enfoncée-dans-un-disque-maintenant-l’animal-debout-légèrement-incliné ? Je suis sûr que c’est lui, l’Anonyme IV ! Vilin. Mais quel rapport ???

Bon, je déconne évidemment, et je voulais dire non pas « cet homme n’aurait pas droit à sa statue(tte) » mais « au statut de Prémice » ?! Il est la Voix Originelle, dans mon aventure modoupaïenne, qui m’a soufflé ZEU concept de celle-ci, les « synchronicités », et avec tout ça il ne le serait toujours pas ?! Je me suis un peu trouvé en compagnie de Voltaire, ces derniers temps (on est ici bien entendu, courant décembre 2021, en total dépassement de la J-2-2010-2020[70]), dans mes lectures, où il a notamment été question des affaires Calas et du chevalier de La Barre. Deux des fenêtres de mon ancien appartement, à Paris – dont l’entrée de l’immeuble était située au... 9 bisû, de la rue Ramey, dans le XVIIIème arrondissement, rue dans laquelle, avec Olivier, nous avons un temps été voisins –, donnaient sur le passage du Chevalier de la Barre : Calas, le Chevalier, Olivier maintenant. Cette nouvelle Ignominie prend fin ici. Je déclare Olivier Chevalier... euh... Prémice. Et je reviens au vrai prémice du faux « euh... », le prémisse : celui de ma mise au point du modoupaïen. Il était comme une Voix, qui commençait à poindre, déjà, avec son bidou-proposition-d’inventer-un-mot : « exmalicieux ». Pour « extraordinaire » et « délicieux » ? Mais « mali » ? Arrêtons-nous pour l’instant ici sur cette énigme aux accents voyageurs. J’ajouterai juste que l’Afrique de l’Ouest est une des régions du monde où je n’ai jamais mis les pieds. Si c’était pour me pousser à y aller, c’est raté. Bon, je pense qu’il était un peu bourré, mon Olivier, et qu’il a ripé. [Bourré, riper... : on « comprend » mieux, ce paragraphe, en supputant que ça s’applique, tout autant, à son auteur...]

Mais je l’ai coupé dans son chic message ci-dessus, qu’il a ainsi conclu : « Je n’en servirai plus. » Il n’en sortira plus, de nouveaux mots, de son chapeau. Olivier... Xavier... La petite Voix disait : « T’inquiète, l’autre Vier prendra le relais, dans une dizaine d’années. » En attendant, retournons voir les autres savoureuses missives des 3 et 4 octobre 2009 dont il m’a été donné de me délecter :

Xabi... de tout cœur avec toi pour les 10 ans à venir [et ça, encore, « calculé » ? nooooon !!!] et +++ jusqu’en 2069. [Sync-signe, au passage, que je vais vivre 100 ans ? Je prends (à condition que... patita[71], mais ça à priori c’est déjà Vu : ce sera 73 (toute fin du chamou 40 – ma poco bité)[72]], année re-érotique. — Olivier [Et qu’après Okis, dadapapaloulouage ou pas, vînt un Olivier, c’était obligé ??? Vont en douter encore longtemps, les gens, mon Olivier, de NOS, oui, NOS sacro-saintes synchronicités ??? (Le pauvre, il est impliqué jusqu’au cou... Ça va nous faire une nouvelle affaire, je ne vous dis que ça...)]
Terima kasih untuk semua (la grosse xabiterie). Salamat ulang tahun ![73] — Philippe
Ton anniversaire a été très bien. Bisous. — Selma, Gilles, Sandrine
Nous avons passé un très bon week-end, tout était réussi, nous vous souhaitons une bonne continuation et tout plein de bonnes choses.[74] — Sophie et Bruno
C’était super. On s’est bien marrés, et l’endroit était top. — Stef
A San Francisco Javier, que conquistó las Indias y el mundo entero. Los Navarros no debemos olvidar.[75] — Anonyme I[76]
Sur la plage abandonnée, copinages incruste à souhait. — Anonyme II (mais du re-Gilou certainement !)
Après toi, vous, le déluge ! — Anonyme III
Je voulais un Xabi Axeri !! — Anonyme IV

Ces bidous[77] encore après la fête :

Salut vieille chaussette, alors quoi de neuf, vous êtes rentrés au pays ? Bon j’imagine que vous relâchez la pression, après ce mariversaire [la Strouvaille !], dans lequel tu as beaucoup investi je pense. En tous cas c’était super, très réussi ; on s’est bien marrés et l’endroit était top [Il avait aussi inscrit ça dans le L.O. ? Oh, je laisse, et l’écrirai dix fois s’il faut !]. Est-ce que tu as reçu les premiers Monde Diplo ? Et ce séjour à Donostia vous l’avez fait ?[78] Bon, sinon nous ça va, on revient d’une virée de trois jours en Belgique, on était à Anvers et Gand. C’était très sympa. Je suppose que tu seras à Bayonne pour Noël. Nous aussi, pour une dizaine de jours. Allez, donne des nouvelles, une fois. Goedendag. — Stef

À la « Une » du numéro d’octobre 2009 du Monde Diplomatique auquel Stef & Sof m’ont abonné : « Xavier Renard, 40 ans de combat contre l’injustice ». J’étais un peu étonné que le prestigieux mensuel fît remonter ce « combat » à ma naissance. Et ce terme était peut-être un peu fort, « engagement » aurait éventuellement suffi, mais « 30 ans » au lieu de 40 n’aurait pas été si exagéré que ça ! [Vodou papi 12, vers la fin, à propos de mon engagement au sein de TDH tout petit...] Voici, en tout état de cause, ce que disait l’article, sur Bibi et son Manu, à l’occasion de l’événement majeur de cette fin de première décennie du IIIème millénaire, mes 40 ans et notre PACS :

Du Rwanda à l’Afghanistan, d’Euskadi à Saint-Martin, Xavier est depuis des décennies présent sur tous les points chauds du globe, au point que, désormais, il ne peut vivre qu’en tongs.
Avec Manu son fidèle compagnon d’armes, ils ont choisi un exil volontaire dans des conditions précaires (ils n’ont même pas le câble !), dans une de ces anciennes colonies que la France, honteuse d’un passé peu glorieux, maintient sous perfusion afin de se donner bonne conscience.
C’est là, entre barricades et cocotiers, qu’il nous reçoit, en toute simplicité (il est nu), dans sa résidence sécurisée face à une plage privée[79], théâtre d’une préparation commando. [Cf. photo : Doudou’m e mwen[80] armés jusqu’aux dents. Non : le sourire jusqu’aux oreilles, nous regardant l’un l’autre, dans l’eau, sur fond de voiliers et d’îlet Gozyé, immergés jusqu’à la taille et nous avançant vers le sable chaud de la Datcha où Stef nous prend.]
Devant tant d’abnégation, de sacrifices consentis au service de la révolution prolétarienne, nous décidons, avant même de débuter l’entretien, de lui offrir un abonnement d’un an au Monde Diplomatique, afin d’orner le lutrin de son cabinet de travail où il aime à s’enfermer de longues heures à l’écoute de son corps...
[Titre et légende de la photo :] Le plus dur, c’est l’entraînement. Dans leur base secrète du bout du monde, nos deux combattants de la cause populaire se forgent un corps d’airain en s’immergeant de nombreuses heures dans une eau glacée à 29 °. « C’est au prix d’une discipline sans faille que nous vaincrons l’hydre ca-... » [...ca boudin ? Ah ! Capitaliste. (C’est coupé.)]

C’est vrai, j’avais oublié que j’avais un temps opté, aux côtés de mon redoutable co-guérilléro Manno, pour la lutte armée. En vrai : Stéphane avait reproduit et encadré la première page du journal du mois en question, sur laquelle il avait glissé son impayable... édito. Quant à son abonnement, et je suis à peu près certain que mon souvenir est bon : je n’ai jamais rien reçu... Stéphane réabonne-moi !!! Pour Noël (2020) !

Encore des bidous (post-Grawek) :

Je viens de poser un pied à Paris à I’instant, n’ayant pas encore dormi, et j’ai envie de t’envoyer un petit mot. Ta fête a été une réussite totale ! ÉNORME ! Mille mercis. Bravo et remercie tous les gens qui se sont donné du mal. Quant à toi, on ne m’avait pas fait rire comme ça depuis longtemps ! Ton speeech faaaabuleux, et surtout ta xabionnerie en direct des Dames de France : à mourir ! Nous étions, avec Iban, dans la quatrième dimension ! Tu nous as procuré une joie et une émotion d’une très grande intensité ! J’ai été très, très heureux ! Bravo à Manu pour le courage et la qualité de sa perf’ ainsi que sa gentillesse ! On s’est fait bousculer par toutes les gonzesses en fury qui voulaient voir la star ! Voili mon beau poulet, beaucoup d’amour pour vous de nous. [La Palme lui revient, non, du Plus Beau Bidou ?...] — Loulou... euh... Lolo
Merci encore pour ce week-end de folie. Vous êtes, toi et ton adorable Manu, de vrais magiciens ! C’était tout simplement inoubliable. Je ne regrette que de n’avoir pu laisser ma trace sur le livre d’or. Il a été squatté toute la fin d’après-midi. J’espère que vous ne m’en voudrez pas de cette incivilité. Sac de papouilles de votre nouille[81]. [Il est vrai qu’il serait vraiment, vraiment difficile de les départager, tous-toutes mes « concurrents-rentes » : c’est moi qui ne sais, comment les remercier...] — La Peyre
Nous ne nous sommes pas vus en partant. J’aurais aimé vous dire au revoir. Merci Xabi. Merci Manu. Je me suis bien amusée. Je n’ai pas beaucoup dansé mais je suis heureuse d’avoir partagé ces moments avec tes amis, ta famille, Manu et toi. J’espère que Jeannette et Josette vont bien. Muxu !!! — Carole
Un petit coucou pour te dire que nous avons passé un très bon week-end, que tout était réussi. Nous vous souhaitons une bonne continuation et tout plein de bonnes choses. Encore merci et bon séjour chez Denis. Le bonjour à tous. — Sophie et Bruno[82]

J’avais en outre reçu le mot ci-dessous, en réponse à mon invitation, d’Isabelle mon amour à sens unique d’adolescence, une de mes plus vieilles, vieilles, vieilles copines, à peine un peu moins que Nathalie (c’est dire). J’ai essayé d’obtenir la venue d’amis-mies d’un peu toutes les époques, tant pour mes 40 que pour mes 50 ans, mais avec assez peu de succès. Isabelle, en 2009 : loupé. Et en 2019 ? À suivre !

Bonjour Xavier. J’ai bien eu ton message, et je te remercie pour ton invitation ; c’est très sympa de penser à moi ! Malheureusement, je ne pourrai pas être là, et j’en suis vraiment désolée, car cela m’aurait vraiment fait plaisir de te retrouver... Seulement ma vie perso et pro n’est pas très simple aujourd’hui, je suis totalement débordée, et j’enclenche de nombreux déplacements et dossiers même le week-end. Celui-ci en faisant partie !!! J’espère toutefois pouvoir te revoir très vite et partager un moment avec toi... Je t’accueillerai avec grand plaisir à Toulouse, quand tu seras de passage... N’hésite pas ! Mais contacte-moi, si tu le souhaites, lors de tes visites au Pays basque... En le sachant un peu à l’avance, je m’arrangerai, sans souci... Je penserai à toi ce samedi. Embrasse toute ta famille, et si Marc est présent [eh non ! loupé aussi !], envoie-lui toute mon amitié. Cela me ferait réellement plaisir de tous vous revoir ! J’espère échanger très prochainement avec toi. Plein de belles choses pour tes 40 prochaines années... Je t’embrasse. — Isabelle

Et... le mot de la fin pour ma Mayoune !

Coucou Xabi, j’ai mis du temps à t’écrire, mais étant en vacances, je m’y colle... Tout d’abord, merci pour cette formidable soirée... J’ai passé une super soirée à danser et à m’éclater, mais ne pas pouvoir profiter de vous tous le dimanche, parler de nos vies, tout ça m’a laissé un goût amer... [Retour à Castres l’ayant contrainte de castrer... euh... couper... du moins écourter son weedee...] C’est bizarre la vie, j’ai passé quatre ans loin de vous, j’en ai retrouvé certains et perdu d’autres, toi je t’ai retrouvé et c’est un grand plaisir [partagééééé !!!]... Le choc que tu m’as fait en m’offrant ta statuette [t’en as eu... des papillons dans le ventre ?...]. Je ne pensais pas avoir compté autant pour toi [eh oui, et comment !] [...] J’espère te voir bientôt et souvent [yes !!!]. Je t’embrasse très fort. — Amaia
{Gapachou 25 : [A] Anisse = Année de naissance ; Anux a bite = À l’occasion du xabiwikitage (de...) [B] Bidou = Billet doux ; Bisû = Bien sûr [C] Chamou = Chapitre de Modoupa ; Chira = Chiffre plutôt sympa ; Cracra = C’est marrant ; Chteuneue = Chère et tendre ; Cul = Courriel [D] Dada papa loulou = Dans l’ordre alphabétique-pas-de-jaloux-louses ; Danu ti passe = Dans un ultime repassage ; Danupag = Dans un repassage ; Doudou = Dans/e mon bouquin (en français, un-une doudou[-doune] reste un-une doudou[-doune]) [G] Gachapi = Grand Chapitre ; Gadjo = Grand Jour ; Gapachou = diminutif de Gamou-pa-fraichou (Glossaire modoupaïen-français de/du chamou) ; Ginette = Grande Réunion au Sommet ; Grabuf = Grand Buffet ; Grave = Grand Œuvre ; Grawek = Grand Week-End ; Grue = Grande Figure [I] Île qannée = Il y a quelques années [J] Ja pété = Je n’ai pas été déçu ; Ja pi = Je laisse, tant pis ; Je xi = « Je chi », je veux dire ; Jé lica = Je le réalise en écrivant cela [L] Luile = Lui et elle (eux)] [M] Ma poco bité = Mais point encore xabiwikité ; Modou = Mot de modoupaïen ; Modoupa = Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata ; Mongol ! = Mais non, je rigole ! [N] Nobapa = Note de bas de page ; Nopa = Nombre plutôt sympa ; Nu dan lac = Numéro de la note quand je l'ai créée [P] Patita = Patati, patata ; Pochimis-mies = Proches et amis-mies ; Poutana = Pouvoir extraordinaire ; Prémice = Personnage Clé de mon Existence [Q] Quel mutôt = Quelques minutes plus tôt ; Quelle nutôte = Quelques années plus tôt ; Quel-quelle sutôt-tôte = Quelques semaines plus tôt [R] Ropoto = rond de photo de bas de page ; Roti = Record de toute ma vie ; Rotolu = Roti absolu [T] Tam tam = T’es un amour ; Toutpies = Toutes premières ; Triponna = Triple maisonnée Arans ; Trol = Trop drôle [V] Vodou papi = Voir chapitre de Modoupa [W] Weedee = « widi », week-end de rêve}
  1. « É mwin » : et moi
  2. « Lapwint » : Pointe-à-Pitre
  3. Note de bas de page
  4. Chapitre de Modoupa (Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata)
  5. Je n’ai pas été déçu.
  6. Quelques minutes plus tôt
  7. « Anguélou » mon angelou
  8. Chiffre plutôt sympa
  9. Voir chapitre de Modoupa...
  10. J’ai ajouté, manu... euh... danupag*, l’étiquette synchro wahou-humour deux pages avant (l’anecdote était née à Dieu, Bouddha et Patata depuis longtemps), sans savoir (me souvenir du moins) que je recroiserais la wahou-amour juste après. (*Dans un repassage)
  11. Mon doudou et moi-même. « Doudou mwen » ou « doudou’m » (j’ajoute l’apostrophe par souci de lisibilité mais qui, sinon, ne doit pas figurer) : « mon doudou », en créole haïtien. En créole guadeloupéen : « doudou an mwen ».
  12. Mais point encore xabiwikité.
  13. Envoyer un courriel à...
  14. « Aïta » : mon papa
  15. Grand Jour
  16. Roti (record de toute une vie) absolu
  17. Évé fanmi et zanmi
  18. Voir plus loin
  19. Je laisse, tant pis
  20. Grandes Réunions au Sommet, avec convocation des lettres « g », « i », « n », « e » et « t », et transexualisation – elles sont chaudes nos soirées – de Ginet en Ginette, afin de restaurer (conservatisme ?) le genre du français.
  21. « Widi » : week-end de rêve
  22. Grawek = Grand Week-End
  23. « Bachtida » : Bastide-Clairence
  24. « Éouchkadi » : Pays basque
  25. « Chéri’m » : mon chéri en créole haïtien ; « chéri an mwen » en créole guadeloupéen.
  26. « Aourrechkou »
  27. Proches et amis-mies
  28. « Éné chémé maïtïa » : Mon fils chéri
  29. « Bissiki poty’ andi. Souré Ama » : Plein de gros bisous. Ta maman.
  30. Dans un ultime repassage. Mais moins ultime tu meurs, car je suis en réalité rerererere...venu X fois, anux a bite doudou* notamment (*À l’occasion du xabiwikitage de mon bouquin)
  31. « Éta nik » : et moi
  32. Pour ne mentionner que les couleurs des murs de ces deux pièces de mon antre de type frida-kahlien.
  33. « Sorïonak » : joyeux anniversaire
  34. Triple maisonnée Arans
  35. Il y a quelques années
  36. « Éouchkara » : le basque
  37. Grachamabi » : Gratianne-Maman II
  38. « Bat ta hirou » : une et trois. Bat, bi, hiru, lau, bost, sei, zazpi, zortzi, bederatzi, hamar (« bat, bi, hirou, laou, bocht, cheï, saspi, sortsi, bédératsi, hamar ») = un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix. C’est pour le comptage de mes Amak jusqu’à Amamar (Ama-hamar) dont il est question par la suite. Angelu : « Mais que tu es bête quand tu t’y mets. » Si ça n’était que quand je m’y mets ça irait. Angelu : «  Oh ! Mais que tu es bête quand tu t’y mets. » Si ça n’était que quand je m’y mets ça irait. Angelu : «  Oooh ! Mais que tu es bête... » Aski* ! (*« Achki » = assez)
  39. Quelques semaines plus tôt : formule modoupaïenne adverbiale s’accordant, donc, en genre et en nombre, en dépit du bon sens, car avec un « sujet » dont il n’y a bien que dans Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata qu’il puisse être question qu’il le soit.
  40. Grand Buffet
  41. « Echkérik achko Ama bechté bat » : Un grand merci encore Ama
  42. Bien sûr
  43. « Chabi Achéri » : Xabi... Renard !
  44. « Chteuneue » = chère et tendre. Mes pochimis-mies sont tour à tour cela et mes « chteuneus-neues » (chers-chères et tendres).
  45. Je le réalise en écrivant cela.
  46. Grande Figure
  47. « Patchi »
  48. Pour le lieu merveilleux qu’elle m’a trouvé, avec son chéri. Encore merci à ellui !!!
  49. « Milechkèr » : merci
  50. « Souré anaïa maïtïa » : ton frère chéri. Eh ben dis donc... Merci !!! À ma sœur chérie aussi...
  51. « Bigarèn Ama » : ta Deuxième Maman. Il est tellement bouleversant de ressortir tous ces mots... C’est la re-récompense, ou rérécompense, une décennie plus tard, de tout le travail accompli pour se faire et faire plaisir ! Alors pardon de ne pas le bouder, aujourd’hui encore, ce... plaisir !!!
  52. Dans l’ordre alphabétique-pas-de-jaloux-louses
  53. Mon Bruno tout craché, qui se retrouve, du coup, accompagné de toute sa famille, avec ma famille et mes proches (et entre mère et fille). Très fort.
  54. Oh ! Parrain ! Mais enfin !... Ha ! Ha ! Ha ! Mon Dieu, mais que de pépites je déterre !!!
  55. Maman, quel enchaînement, entre les deux Jean- ! D’otto (1) Jean-C, un des plus ardents et fiers abertzale (« abertsalé », nous dirons ici « amoureux de son Pays ») de la famille, à Jean-J le J... euh Girondin d’ori...gine, avec ces délicieux propos sur Xavier-Xabi et ses ori...gines... Le plus violent détracteur de mon bouquin à ce jour l’a qualifié de « pédant ». Critique que j’accepte et conçois tout à fait ! Cracra (2) d’ailleurs, car à l’occasion d’Oh, mon Bouddah !, commis en 2001-2002 en Thaïlande, j’avais appelé « PED » (personnel, engagé et délirant) le style de mon Œuvre. Toujours valable !... pour le présent Gachapi (Grand Chapitre) II de celle-ci : façon de parler ; ça n’est pas la « suite ». Pédant, pédant... PED pour « persengadélipédant » ? OK, trois secondes. Trois, deux, un – stop. Parce qu’on fait pire, tout de même, dans le PED-ant. Je me croque aussi, je chi (3). Et je me permets ici, une fois n’est pas coutume, dans ce chapitre paroxysme d’autogloriole comme d’aucuns-cunes le verront – c’est leur droit LE PLUS ABSOLU et ielles n’auront pas... entièrement (ouarf, ouarf, ouarf) tort ?... –, de publier ce trocon (4) de ma Mouche Sarah, en l’occurrence concernant ma Miss-Jottise 3 : « J’ai commencé à lire cette jottise. Un grolo (5) titanesque ecnos (6). J’aime beaucoup, l’humour, les points sur les i, les passages très personnels, les syncs. C’est drôle, dense, profond, émouvant, intéressant, très bien construit et très bien écrit. Tous ces nouveaux modous (7), je gicle (8) ! J’aime vraiment ta façon d’écrire, c’est sincère et absolument pas dit dans le but de te flatter comjadis (9) ([1] « Otio » : tonton, le tout dernier de la fratrie-sororité d’Ama [2] C’est marrant [« Cra » doublé, ainsi que le veut le moudoupaïen pour les modomonols, les modous – mots de moudoupaïen – monosyllabiques] [3] Non je ne ch... euh... non je n’ai pas oublié le « e » final. Ça veut dire « je veux dire », en modoupaïen, mais ça s’écrit « je xi ». [4] Trop chouette [ah ben ça] commentaire [5] Gros boulot [6] Encore une fois [7] Mots de modoupaïen [8] Elle ne peut pas s’empêcher de gicler, alors que c’est je « jicle », de « j’adooooore ! » ; J5 ou jiq (par extension : je gicle ! – valable pour les deux sexes) = j’ado(x5)re ! [9] Comme je te l’ai déjà dit [Nostalgique, Sarah ? Nooon, mais elle aime bien ajouter le « s » à la fin, en violation... de rien du tout : elle a tous les droits, ma Sarah, avé des trocons kon sa ! Na. Mais... rectifié-je un peu plus tard... c’est moi, en fait, qui pédéise-niakise-niakonne, qui déconne, quoi, parce que « comjadis » est bel et bien correct, et signifie « Comme je te l’ai déjà dit + maintes fois »... ou japu quoi... car je constate que « Comme je te l’ai déjà dit maintes fois » = Com jadi mino (et je tronçonne, finalement)... Au temps pour moi en tout cas ma Sarah.])
  56. Étrange « Houn », et pas de réponse de JC et Denis à qui j’ai demandé ce que ça pouvait bien vouloir dire. Le « ourthé », c’est pour « urte » (« année »), ainsi phonétiquement orthographié par l’aînée de la smal’Ama, qui colle un « h » quand je n’en mets personnellement pas s’il ne figure pas dans le mot en basque, mais c’est vrai que tout est un peu aspiré, ou soufflé – je ne sais trop comment il faut dire –, dans cette langue, donc bref on dira que le tout signifie quelque-chose comme « année » et « bonne », ou « bonne année (de naissance) », autrement dit : « bon anniversaire » ! Ainsi aura-t-il fallu tout ce pataquès, ici à Bastida, de même que dans neuf ans à Angelu* (chamou ? là tout de suite j’ai pas), en passant par New York trente ans plus tôt (espace-temps modoupaïens ; vodou papi 49), pour que je réalise que le « houn » de tatie Maitexa (« Maïtécha ») est donc tout simplement un genre de « on » (« onn » = « bon ») aspiré, soufflé, aspoufflé. Ah, ma tata, il se fait de ces sacs de nœuds ton Xaxa. (*« Anguélou » : Anglet)
  57. Rond de photo de bas de page. Un ropoto par page. Ropoto 1 : Bibi torse nu l’été à table dans le jardin d’Arans avé les potos dépiautant du polo... euh... du poulet ; 2. Ma bouille bouche grande ouverte avé du poulet mâché dedans ; 3. Même bouille sans poulet ni grimace, mais au contraire un Bibi songeur (photo de la couverture), les yeux levés vers le ciel ; 4. Bibi sur la plage de Malendi à Bouyant*, allongé au bord de l’eau, se recouvrant de sable noir ; 5. Manno et son Bibi sur la plage sur fond de pics rocheux de la Pointe des Châteaux ; 6. Fantastique cliché où je tends les bras au-dessus des fumerolles d’un des mini-cratères du sommet de la Soufrière ; 7. Carole et Bibi ; 8. Bibi torse nu à la Soufriyè avec presque un peu de bide, en tout cas loin de dépérir comme dix ans plus tard (mais j’étais tout’ mèg à Bastida aussi) ; 9. Manno et son Bibi ; 10. Nini et Bibi dans leurs montagnes basques avec leurs lagunak : non pas des lagunes mais des zanmi ; 11. Mon doudou chez Évelyne et Victor à Marigalant ; 12. Les Krokoskas dans leur peña à Baiona ; 13. Re-peña-K ; 14. Xixili ta Bibi ; 15. Olibi ta Bibi ; 16. Sandy (La Peyre) ta Bibi, tout sourire (on est si jeunes et beaux !) + Damien de profil derrière rayonnant aussi ; 17. Re-Bibi ; 18. Re-re-Bibi ; 19. La Deube et son amie Margo, à Chicago. Elles sont ravissantes toutes les deux, au mariage de Margo et Thomas : le couple a prénommé son petit... Xavier ! Ça n’était pas, je l’espère, de la part de Margo, pour que je la pardonnasse du numéro foireux qu’elle m’avait, quelle nutôte**, joué chez elle... (vodou papi 11). Mais quel honneur ! Alors, combien de ropotos ? Un nopa*** bisû : 19. (*Malendure à Bouillante, sur la côte ouest de Bastè [Basse Terre] **Quelques années plus tôt, accordé au sujet qui n’en est pourtant pas un, mais c’est comme ça, en modoupaïen. ***Nombre plutôt sympa )
  58. T’es un amour : t, a et m piochés dans « T’es un amour », et doublés car sinon ça ferait un peu court (règle du doublement des modomonols). Maritxu (« Maritchou ») et Sylvie, l’auteure ici, dans l’ordre de sortie, sont les deux tifi de tatie.
  59. « Naïa »
  60. « Milechkèr aïnits » : merci beaucoup. Ama lui aurait dit... deux mots (vilin [ce qui veut donc dire « voir plus loin » ; sans davantage de précision doudou*, mais ici je dis tout, le numéro de chamou et tout : c’est le 49, ma poco bité, alors en attendant va voir la dernière nobapa du chamou doudou si tu l’as (le bouquin). (*Dans mon bouquin)
  61. Charmant. Amaia a eu, quelques temps, sa petite dent contre moi. Elle était alors loin de se douter qu’elle serait décorée... Du moins supputé-je qu’elle a écrit ça avant !
  62. De là à en déduire un amour de Benoît pour les saucisses aussi fort que pour sa Cécile...
  63. Vous revenez quand vous voulez, vous aussi !
  64. Tu vas voir à 50 en attendant ! Elle viendra et verra.
  65. Alors ça ! Vodou papi 57. Ma poco bité.
  66. Iban, mon futur ex fan. C’est justement ce que j’évoque... Passons. Malheureusement comme sa ferveur ce laïus d’anthologie (là qu’il ne me dise pas que je me vante, c’est lui !...), a (définitivement ?) disparu.
  67. Non mais alors luile* je les paie, pour qu’ielles reviennent (me graisser la patte... humour !... tant d’amour...). (*Lui et elle [eux])
  68. « Amaïa éta Kikirèn alaba » : la fille d’Amaia et de Kiki
  69. Ce sont les majuscules des auteure-teur : comme un slogan pour ce Chapitre du... Bonheur. Cracra, elles en « déclenchent » d’autres juste après, pour la deuxième partie du slogan (?) : « XABIESQUE CARRÉMENT ! » Ma Mouche* dans un cul : « T’as vu ce top chira** de cette nobapa ? » Non, je n’y avais même pas fait attention !!! Rien de moins en effet que mon anisse*** !!! (*Modoupaïenne en Cheffe **Un nopa, nombre plutôt sympa, en l’occurrence ***Année de naissance)
  70. Date de fin de la chronique modoupaïenne le Jour des 2 ans 2 la m0rt d’Ama le 1er n0vembre 2020
  71. Patati, patata. Nudanlac* : 69 !!! Mon anisse**. (*Numéro de la nobapa quand je l’ai créée **Année de naissance)
  72. Le numéro de la nobapa ci-dessus ne laisse aucune place au doute, l’un des deux âges est le bon. Ou... ou... plierai-je bagage à mi-chemin entre le petit quart de siècle avec un 13 dedans et les 100 ? 100-73=27:2=... encore un 13, bisûûûûû !!! Et demi. Je saluerai donc tout le monde (bien bas), là c’est sûr, à 86 ans et demi. Le 30 mars 2056. Coup d’œil du côté du Wiki-Accueil par lequel je suis passé pendant la rerererererererererererererererere...rédaction du présent chamou, afin d’y chapeauter mon message de bienvenue de ceci : [Maxime de La Rochefoucauld (né le 15 septembre 1613, Rue des Petits Champs*, à Paris, décédé le 17 mars 1680) : « Qui vit sans folie n’est pas si sage qu’il croît. » / *J'ai ajouté ça juste après avoir accouché de mes « champs modoupaïiques... euh... modoupaïens », au chamou** 25, à propos d’un certain Olivier, né le... 15 septembre !!! / + un (16)13-cerisette sur ce petit... hors d’Œuvre... / **Chapitre de Modoupa (Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata).] Est-il nécessaire que je commente la date du décès de Maxime... euh... j’y reviens... de La Rochefoucauld, avé mars dedans et un 86 à l’envers ? Non, hein ? Et septembre, son mois de naissance, qui se trouve donc également être celui des deux Vier ? Non, hein ? Oui, Maxime : voir donc cette entrée de sa Majesté Olivier dans les toupies* lignes de Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata, où la toutpie synchronicité, en hommage à son Excellence, lui est consacrée, au sujet d’un certain... Maximilien. (« Mon fils est unique ! » – la synchronicité est affaire de ressemblance –, m’avait remballé un Olivier en réalité fort peu honoré. Alors le mix des deux Max, maintenant, je sens qu’il va encore beaucoup apprécier...) (*Toutes premières)
  73. Bahasa indonesia (« bahassa indonessia »). Langue du pays de prédilection du surfeur fou. Qui ne recule pas devant les plus longs périples pour trouver LA vague, le spot de rêve, suffisamment loin de tout. Cracra : je relève, coup sur coup, le « Ourthé Houn » de tatie Maitexa et le « tahun » (« tahoun », bien soufpiré comme en basque) de Philippe, en vue de m’enquérir, auprès des intéressé-sée (concernant Maitexa, grâce à mes poutanas*), du sens de ces deux vocables de derrière les fagots. Trol**, la réponse de Philippe à mon cul lui demandant qu’est-ce que c’est-y que ça pouvait bien vouloir dire ses mots en bah-hein-ça-alors : « Ça signifie “Merci pour tout et bon anniversaire”. Je t’ai écrit ça ? L’an dernier forcément ? [Voir dix ans modoupaïens plus loin.] Pourquoi diable en bahasa indonésien ??? Je ne saurais te dire. » (*Pouvoirs extraordinaires : ouais, parce qu’elle est morte, en fait, depuis belle lurette. Muxu handi*** tatie chérie ! **Trop drôle ***« Mouchou handi » : gros bisou)
  74. Sophie qui passe par derrière et hop, comment que je me retrouve avé les amis-mies aussi. Ah, ces deux-là, s’ils n’existaient pas...
  75. « À Saint François-Xavier, qui a conquis les Indes et le monde entier. Nous ne devons pas oublier les Navarros ». Ça, ça sent la pique au Basque indépendantiste parti vivre dans les colonies. Mais j’adooore !!!... cette excellente saillie de je ne sais même pas qui. Avec... Saint François-Xavier !... et ce « NE PAS OUBLIER LES NAVARROS » : que c’est beau !!!
  76. Anonymes, ici, dont je ne pense pas qu’ielles se soient voulus-lues comme tels-telles (ce n’est pas trop le genre de la maison !), mais pas de nom.
  77. Billets doux
  78. Rapport aux draps à déchirer*, dans un hôtel de luxe là-bas, avec l’argent d’une cagnotte-cadeau des zanmi... Réponse ici, dans mon XabiWiki (elle ne figure même pas dans mon lit... euh... dans mon livre) : nooon !!! C’est passé, disons, dans le budget voyage de noces... à La Réunion... (*Nobapa... 69 !!! Angelu me la fais pas... sauter celle-là si on repasse !)
  79. Impossible... en « France », heureusement. Vive elle alors ! Mais oui, pour bien des choses... Ouf, ça fait bizarre. Mongol !* Manno et moi avons passé un après-midi, en République dominicaine (un exemple de pays disons... un peu moins démocratique), sur des plages d’un vaste ensemble hôtelier (affreux), réservé aux touristes, et où les Dominicains-caines n’avaient pas le droit d’accéder. Il n’est que dans les îles françaises, en effet, que les plages ne peuvent être privatisées. Ils ont bien essayé, pour la plage de l’hôtel Fleur d’Épée à Bas du Fort : les Gwadloupéyen, se laisser faire ? C’est ç’laaaaaaa. Ielles se sont mobilisés-zées, et les cons ont renoncé. (*Mais non, je rigole !)
  80. « Doudou’m é mwin » : mon doudou et moi
  81. J’hésitais, plus avant dans mon manuscrit, ne me souvenant absolument pas de cet auto-ennouillement de Sansan, quant à quelle Sandrine sur-surnommer comment : La Deube « Drinette », La Peyre « Drinouille », ou l’inverse ? Et, danupag, la réponse de ma... Dri-nouille, donc, elle-même !
  82. Et le... plus grand des hasards (du classement dada papa loulou et tout)... fait qu’ils ferment la marche !!! So Bru !!!