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| J’en ai des tonnes de syncs en stock...
| | Enculé ! |
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| | Drôle de façon de commencer ? |
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| '''— 2021 :'''
| | Non, d’ailleurs vite, vite, l’OUR-DEUX-OI : AMOUR !!! JOIE !!! FOI !!! |
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| | Et cette précision d’emblée : enculer = écrire un cul (courriel), écrire dans un cul, écrire (dans) un cul à... |
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| '''26/12 —''' Salo-tarage<ref>Spot café-clope Datcha-terrasse-plage</ref>. J’ai posé mes 2€50 sur le rebord de la coupelle de ma tasse de café, que je désigne à mon frache jus-walou<ref>Fort sympatoche jeune serveur (vis joie – voir Miss-Jottise... – 2)</ref>. Il me dit : « T’as senti que c’était mon heure ? ». Hein ? Quoi ? « Oui, t’as senti que je devais partir ? », ou on bitin kon sa ; c’est la fin de son service. « Bon timing ! », s’exclame-t-il, m’offrant l’opportunité de dégainer en retour : « On est... synchros !!! ». Rapotage<ref>Renard-poissonnage (je nage)</ref>, puis à la sortie de la plage : le gars et ses magnifiques coques de lambi alignées sur la murette est là. Je m’étais dit la dernière fois : hmmm, je m’en achèterais bien une. Papotage. Moi : « C’est très réglementé tout ça, non ?... patita<ref>Patati, patata</ref>). Transaction. Entre les deux, et un « T’as pris le plus beau, et le plus gros ! », et un « T’as l’œil ! », et encore un « Champion ! », et « T’es vraiment le plus grand acheteur de coques de lambi que la Terre ait jamais porté ! », etc., il me déclare, sur le même ton réjouipaté que mon jus-walou que j’arrive pile quand il doit plier boutique : « Voyons, quelle heure il est ? C’est ça, j’avais dit que j’arrêtais à 17h ». « Il est quelle heure ? », l’interrogé-je. « Dix-sept heures deux. » | | Le modoupaïen, la langue de Modoupa (''Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata''), en effet, peut surprendre. Mais point d’obscénité, ni de méchanceté, uniquement : L’AMOUR !!! LA JOIE !!! LA FOI !!! |
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| | Précision-bis : Modoupa, toute foi... euh... toutefois, c’est bien à... 99* % (*mon top chira : chiffre fétiche), du... français ! |
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| '''27/12 —''' J’en ai des tonnes, des syncs, en stock. Que je note à la va-vite et m’encule<ref>Écrire/envoyer dans un cul (courriel) (à...)</ref>, d’une ma-trique<ref>Messagerie électronique</ref> à l’autre. Et qui me soufflent en cet instant (vers 10h30 en ce 27/12/2021)<ref>1+3+2+7+1+2+2+2+1=... 21 !!!!! Pute a pain (''ou'' papa nain*) !!!!!! J’ai tenté ce calcul « à tout hasard », me disant voyons voir, pour ce résultat ta-le-miel**, dont l’explication est fournie ailleurs dans les méandres de ce site de tous les impossibles : c’est l’histoire d’un 21 qui ne cesse de me tourner autour, depuis un certain... 21 avril surtout... (*Putain de putain de putain **Totalement démentiel)</ref> : « Xabiwikite-nous direct, plutôt, tu nous pi... euh... fignoleras au fur et à mesure ». Synctéma... euh... systématiquement non, je ne peux pas juste balancer quelques mots écrits n’importe comment, comme dans mes nochiées<ref>Notes des synchronicités</ref>, par conséquent ça nécessite un minimum de temps... À voir...
| | Alors... |
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| Trois jours plus tard : mon voisin gwadloupéyen « Om » hindouiste [vodou papi 4], avec lequel a eu lieu une deuxième fantastique rencontre – le jour du lancement de la présente rubrique –, en une nouvelle fantastique synchronicité, est en train d’essayer de m’orienter vers... ce que je vais appeler un Grand Ponte... Il m’a indiqué son nom et enjoint de le rechercher sur Internet. Maouaza<ref>Message ouate-zeu-pape</ref> à Om : « X ne donne pas de consultation individuelle. Que des stages ». Sa réponse : « OK je vais voir pour toi ». Re-moi : « Ton message....... à 21h21 !!!!! Je t’expliquerai. Un grand merci d’avance en tout cas ».
| | '''Ongi etorri sur le XabiWiki !''' |
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| | Ça se prononce : « ongui étorri » sur le « chabiwiki » (« x » = « ch » en basque ; voilà, ça, c’est dit). |
| | Et ça signifie : |
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| '''— 2022 :''' | | '''Bienvenue, welcome, byenvini !''' |
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| | Une première série des 70 Xa-pitres de ‘‘Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata’’ vous attendent ! |
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| '''04/01 —''' Ah ouais, tiens, des syncs express comme celle-là je peux les xabiwikiter vite fait... et c’est la suite de « mon voisin gwadloupéyen “Om” hindouiste » (V5<ref>Voir Sync(s)...</ref> 27/12/2021) ! Bon, il s’appelle Laurent.
| | Nota : j’ai parlé de « quelques améliorations de nouveau ». Or y en a quand-même un assez sacré paquet. Serait-ce alors vraiment mieux, encore, qu’avant ? Je sais, c’est difficile à concevoir. |
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| X :
| | Bon, sérieux, j’ai pondu, anux a bite doudou, la mention « À niqorer », devant une nobapa. |
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| ::J’ai pris rendez-vous avec Olivier<ref>Mon Monsieur Synchronicités ! Pour commencer l’année !</ref> vendredi à 15h. [Ça serait pas le 13 par... hasard ? Non, pas du tout, mais : le 7. Et le suivant c’était loupé (de peu) aussi.] C’est un ostéopathe, c’est bien lui que tu souhaitais que je Voie ? (Oh ce mot que m’affiche mon portable, avec une majuscule !) [smiley + mains prière] | | Traduction : j’ai pondu, à l’occasion du xabiwikitage de mon bouquin, la mention « À ne lire que très en forme », devant une note de bas de page. Qui, pauvrette, nous serons d’accord, n’est pas la seule concernée. |
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| L :
| | Allez, ça vaut le coup. Suffit de zappasser (zapper les passages), quand ça commence à gaver. |
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| (Il est, effectivement... XL !!! L’obésité, à l’inverse de moi, m’a-t-il fait comprendre, a toute sa vie été<ref>Sucem morabnodem baduf* : 690 (*Sur ce mot mon regard est tombé sur ce nombre de mots/ces statistiques en bas du fichier.)</ref> ''son'' problème de santé... Il en a, semble-t-il, énormément souffert : « Je suis passé par tous les trous », ont été ses termes imagés pour l’exprimer. Par tous ? Pas par celui de son fils, s’il en a un, je l’espère. Car une autre phrase choc les avait précédés : « Tu sais, tous mes patients se sont fait violer quand ils étaient gosses ». Pour dire : « Le passé, c’est le passé » !!! Mais blague très, très douteuse à part il n’y a pas lieu de croire, dans notre histoire, que qui que ce soit d’autre que « tous ses patients » et leurs paters respectueux... euh non justement pas trop... respectifs plutôt, soient concernés. « Tu n’es pas gros », m’a-t-il en outre lancé + la nature ou je ne sais quoi... « t’a fait très beau » ! Ouh ! Mazette ! Mais genre : de quoi te plains-tu mon coco ?) | | Juquri (juste après que j’ai écrit ça), je retourne à Maryse. Et je réalise que je cite, justement, dans la nobapa ainsi montrée du doigt, ''L’Évangile du Nouveau Monde'' (ça ne s’invente pas), de la Gwadloupéyèn Maryse Condé. J’avais commencé à la lire, ça m’avait... gavé, j’étais allé direct à un chapitre au milieu du livre, et là bim la magie a opéré, j’ai accroché, je suis revenu aux premiers chapitres et c’est parti mon kiki. |
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| ::Oui, c’est bien lui.
| | Alors oui, booooonne... lectuuuuure... mes chériiiiis-riiiiies !!!... |
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| X :
| | Et ielles se marysèrent... |
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| ::OK sa ka maché sur... la Voie !!! (re-smiley – assez prié)
| | '''LOVE''' |
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| Donc La... Voie... POUR OUVRIR 2022 !!!!!!!!! (9 !, mon top chira<ref>Chiffre plutôt sympa. « 9 ! » se veut une boutade : 9 points d’exclamation, comme par hasard ! C’est fou ! Ah ! Ah ! Ah ! C’est un de ces groniaks*, mais je laisse pask’y sont jolis mes chiffres avé ce 13 sur « top chira ». J’ai eu raison de niakonner. Accessoirement nous sommes en présence de l’emphase tou-9-le-mastic. V33... euh... V5 13/01*. (*Gros nimportnawaks)</ref>, ici 3 X 2 + 3)
| | '''Xabi''' |
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| | '''Nota :''' Libre à toi ô Gagaditu-tue (Grand-Grande Visiteur-teuse), de piocher, à ta guise, dans les différents Xa-pitres, qui, chacun avec leur gapachou (glossaire modoupaïen-français) notamment, peuvent être lus indépendamment les uns des autres. Même si l’un après l’autre, dans l’ordre, évidemment c’est encore mieux. |
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| '''05/01 —''' 9h, Laurent mon Voisin « Om » (V5 04/01) m’envoie un magnétiseur. Deux heures de nettoyage interne, de mon dedans et de mon appartement, puis nous allons boire un café à la Marina. Toute une discussion, entre autres, sur le Cameroun, parmi les pays d’Afrique où le thérapeute a vécu, et l’homosexualité en Gwada (bonjour les dégâts), ainsi qu’au Cameroun, où c’est puni de mort, me dit-il. Carrément ?! M’étonné-je, bien que n’ignorant pas que cette ignoble et intolérable déviance, en droit, dans ce pays, comme un peu partout en Afrique, est bannie. « Enfin, c’est la prison, rectifie-t-il, et puis on te tue, après s’être bien amusé avec toi » (Afrique détentrice du record mondial de l’homophobie : vodou papi 19). Je viens de lui parler de Marc mon plus vieil, vieil, vieil, vieil, vieil ami établi à Douala avec son compagnon Francis (après avoir longtemps été en couple avec Nestor au Burkina) [visite de Marc et Francis en Gwada/Matinik : vodou papi 31 vers la fin). Il me ramène à la résidence. Avant de sortir de sa voiture je lui demande : « Au fait c’est quoi ton prénom ? ». Il m’a remis sa carte de visite à la fin de la séance mais, totalement lessivé, je ne risquais pas de le capter. Il me répond : Gaston. Mais non. Mark. Le même que mon plus vieil, vieil, vieil, vieil, vieil ami camerounais d’adoption comme lui, mais dans ce cas avec un « k » par conséquent toutefois.
| | Car fil conducteur dans ce JOYEUX bordel il y a : ya ! ya ! ya ! |
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| | Yallah ! |
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| '''06/01 —''' J’écris dans ma Miss-Jottise 3 : « [...] l’Œuvre des Forces (« des êtres passionnés sont broyés par des forces qui les dépassent » – nous ça va, hein ? –, « les forces à l’œuvre dans l’histoire humaine », lis-je ce même jour dans MALF<ref>''Mille ans de littérature française'', Claude Bouthier, Christophe Desaintghislain, Christian Morisset, Patrick Wald Lasowski, Éd. Nathan</ref> [pages 328 et 329] à propos du Grave hugoïen). Mais j’ai d’abord tapé par erreur, au lieu d’« histoire humaine », « histoire de l’humanité ». Je lis cinq minutes après dans MALF (page 342) : « À l’origine, Hugo voulait rassembler [dans ''L’épopée de l’aventure humaine''] quelques poèmes évoquant les grands moments de l’histoire de l’humanité ». Puis, phrase suivante : « Le projet a pris de l’ampleur pour devenir ''La légende des Siècles'', cette grande épopée qui retrace toute l’histoire des hommes ». Et phrase d’après : « Le recueil compte quinze<ref>Le voilà encore ! Vis joie 3. Et sur... la nobapa* 15 !!! (*Note de bas de page)</ref> parties qui naviguent à travers les époques et les civilisations : “D’Ève à Jésus”, etc. ». Oui, parce que Jésus 2, deux... deux... deux... (l’Histoire humaine-de l’humanité-des hommes bégaie), après Jésus 1, c’est moi. Une sorte de Sainte Trinité de l’Histoire de l’Humanité, que nous inventons ainsi à 2, Victoire... euh... Victor et moi.
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| '''07/01 —''' Dans la lignée des précédentes synchronicités, un bout de cul écrit aujourd’hui : | | ::'''''LES TROIS AS''''' |
| | :::'''''Ama :''''' ma Maman |
| | :::'''''Aita (« Aïta »)''''' : mon Papa |
| | :::'''''Angelu (« Anguélou »)''''' : mon Anar (Ange Gardien) |
| | :::Au chapitre 20, mémé se noyait dans les orties. Afin de la tirer de là, j’ai enfin entrepris de présenter ici une bonne fois pour toutes Angelu mon Anar et, à la même occasion, Ama et Aita. |
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| ::Je sors de chez l’ostéo, dans la série des Archanges qui me sont envoyés ces temps-ci, avec, comme Chef de File, mon Voisin Om Laurent... Quel moment si tu savais encore, et quel échange avec cet homme, un... Olivier !... Jélica<ref>Je le réalise en écrivant cela.</ref> : Laurent, Olivier, Mark, les prénoms de trois de mes Pandas<ref>Plus Grands Amis</ref> !... Et avec mon Alter-Olivier-Monsieur-Synchronicités du jour, aux âme et esprit d'une beauté divine cosmos... euh... ecnos<ref>Encore une fois</ref>, quelle... synchronicité a bien pu se produire, à ton avis ? La date qu’il m’a proposée, pour le prochain rendez-vous : le combien, hein, le combien ? Je te laisse deviner... l’évidence... « C'est dingue !!! », me suis-je exclamé, en me prenant les mains dans la tête. [Ça remue, une séance d’ostéopathie, c’est bien connu, alors on se prend en principe plutôt la tête dans les mains, le principal étant cependant sans doute, à la sortie, de ne pas l’avoir trop dans le cul.] Je venais de chialer un coup, tellement la discussion, par conséquent, fut intense, et dans un « lâcher-prise », en guise de résultat qu’un soin comme celui qu’il venait de prodiguer est censé avoir... « Normal », donc, et c'est « bon signe » comjadi<ref>Comme je te/lui ai (déjà) dit.</ref>.
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| Réponse à la divine... euh... devinette : « C’est le 21 ? Ou le 15 (anniversaire d’Olivier) ? ». Ça aurait en effet été très fort aussi, eu égard à l’affluent 15 de l’incessant torrent des 21, mais c’est bien ce deux-premier... euh... ce dernier.
| | :::::'''''— La Rochefoucauld (1) [Maximes] :''''' |
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| Montant du chèque que je remets à Laurent, le surlendemain, pour des produits de phytothérapie : 210 euros. + « On » crie dans mes oreilles à l’instant où je lance une émission suminu juquri<ref>Sur mon ordinateur juste après que j’ai écrit ça.</ref> : « 21 !!! ». Deux actrices rectifient ainsi la présentatrice qui leur dit : « Vous êtes toutes les deux réunies sur scène à partir du 22... ».
| | :::::''« QUI VIT SANS FOLIE N’EST PAS SI SAGE QU’IL CROIT. »'' |
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| | ::::::: (1) Né le 15 septembre 1613, Rue des Petits Champs (2), à Paris, décédé le 17 mars 1680. |
| | ::::::: (2) J'ai ajouté ça juste après avoir accouché de mes « champs modoupaniques... euh... modoupaïens », au chamou (3) 25, à propos d’un certain Olivier, né le... 15 septembre !!! |
| | ::::::: + un (16)13-cerisette sur ce petit... hors d’Œuvre... |
| | :::::::Sans parler de cette autre iabloté (4), le 86 à l’envers dans 1680 : explication au chamou 25. |
| | ::::::: (3) Chapitre de Modoupa (''Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata'') |
| | ::::::: (4) Incroyable synchronicité : qui n’en serait pas une – on pourrait éventuellement invoquer le hazard –, si le flux n’était pas si soutenu. Un flux désormais continu. Un torrent permanent. |
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| '''09/01 —''' Dans ce petit bout de texte, un double événement majeur est sur le point de se produire. D’une part, aucune synchronicité qui eut pu le motiver ne va y être traitée ; un événement précisément d’autre part pour ce dont il est l’objet. Toto momo batata : tout est possible dans ''Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata''. Sauf que, précisément aussi, on n’est même pas dans ''Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata''. Et, même dans '' Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata'', tout n’a pas trait à des synchronicités. Donc n’importe quoi. C’était pour ressortir « toto momo batata ». On m’enculait il y a 2 jours que mon modoupaïen n’avait aucun intérêt, et pourtant quelle Merveille. Merveille que la peine qu’a prise mon ami de m’écrire sa critique. Merveille !!! Merveille !!! Merveille !!! Bref, ma pas-sync-histoire, par contre, ça commence par une honteuse redistribution, une fois encore, d’un cul. Un cul de moi à HéLo :
| | ::::: L’Illustre Trio plus haut. Hasard, Coïncidences, Synchronicités : un autre Beau Trio. Les Trois Premières Lignes de mon Livre. Caduc : il en a coulé, des bits, depuis sa parution ! Là, déjà, nous parlons de sa Deuxième Version. Le Deuxième Mot du Deuxième Trio : « Coïncidences ». Il est calé pile au bout de la Troisième Ligne, et quant à lui ainsi introduit : |
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| :: ''I’m in good health, I’m strong, and nothing can beat me !!!!!!!!!'' (Y en a 9 bien sûr.) | | :::::: ''Les “coïncidences”, phénomène qui m’intriguait depuis quelques années et dont j’avais le sentiment qu’elles se produisaient trop fréquemment pour n’être que cela.'' |
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| ::Anil mon prof de yoga et de méditation du centre Sree Chitrah, dans le Kerala, m’avait demandé de clamer ça tous les jours en me regardant dans le miroir. | | ::::: Je compte combien de lignes plus bas je cite LA Phrase, à propos du « phénomène », du cul d’Olivier. Leur nombre comportera, j’en suis certain, un Chira (5). Angelu : « Gagné, d’entrée, mon Xaxa !!! Ce sera même ton Top Chira : 29 !!! ». Sur les 2 c’est le 9, mais le 2 aussi : ouah ! Ça fait un Sacré Nopa (6) [bien que concernant le 2 il ne sera nulle part vraiment précisé pourquoi...], pour l’Instant de la Révélation, de LA Phrase, inscrite dans le Marbre de l’Accueil : oui il fallait au moins ça, mes chéris-ries, amis-mies, chteuneus-neus (7) et autres pochimis-mies (8), pour Vous recevoir. |
| | ::::: La Phrase Originelle : Elle préside, Elle trône, au Sommet du Sommaire... |
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| ::Et je viens justement d’engager un nouveau « processus », en ce début d'Année de Tous les Miracles (à la faveur d’un assez Fabuleux « Hasard » encore), avec d'autres... Merveilleuses Personnes... | | ::::::: (5) Chiffre plutôt sympa |
| | ::::::: (6) Nombre plutôt sympa |
| | ::::::: (7) Chers-chères et tendres |
| | ::::::: (8) Proches et amis-mies |
| | ::::::: ''Ben alors, Angelu, d’emblée tu me titilles ici, en me faisant frôler le 9 ? Angelu : « Le ton est donné ! Tu vas voir, on va bien s’amuser ! ». |
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| ::JE SUIS EN BONNE SANTÉ, JE SUIS FORT, ET RIEN NE PEUT M’ABATTRE !!!!!!!!!
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| ::Et mes ami-mie Lolo et Hélène vont venir me voir !!!!!!!!! | | ::'''CRITIQUES''' |
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| ::Je vais pouvoir passer plein de moments fabuleux avec luile, dans ma Guadelooooouuuuupe !!!!!!!!! | | :::''Je réalise petit à petit l’ampleur de MDMBP. J’ai repris la nouvelle édition que je lis dans l’ordre cette fois-ci. J’ai l’impression que t’as pondu un truc dont l’ampleur n’est peut-être pas à la portée d’une simple lecture. T’as déjà entendu parler de ces théories nouvelles de la physique qui stipulent l’existence d’une infinité de dimensions ? Théories hyper complexes qui font tripper les fondus d’astrophysique, mais dont seulement une poignée de personnes sur la planète sont capables d’en comprendre les équations. Eh ben on dirait que MDMBP relève de ce genre de phénomène ultra délirant. Avec des effets miroirs, de mises en abîmes, assez vertigineux. Ton truc est dingue. Et tes scénarios à la fin !! Je préfère n’en rien dire pour l’instant. Ça troue, quand même !'' |
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| ::Quel bonheur !!!!!!!!!! | | :::Du même lecteur : |
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| ::Quelle joie !!!!!!!!! | | :::''Concernant l’aspect ego-trip, je respecte ! Il n’y a pas d’œuvre d’art qui se fasse sans un minimum de narcissisme. Oui, j’ai bien dit œuvre d’art. Ce qui est bien dans MDMBP est vraiment hyper bien ! Mais ce qui ne l’est pas ne l’est vraiment pas. Faut le laver de toute auto-célébration : voyez comme je suis super, admirez ma conscience universelle, prenez des leçons d’abnégation, etc. Ah, au fait : si tu reproduis ce mail dans un quelconque écrit public, ce sera le dernier, ok ? Un peu de respect, quoi !"'' |
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| ::Dieu, Bouddha et Patata, merci pour ce Fantastique Cadeau de nouveau !!!!!!!!! | | :::Tout le reste : voir le Sommaire à la fin après le Glossaire. |
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| ::Ah, oui, parce que le séjour sera placé sous Votre signe, et on ne parlera que de Vous !!!!!!!!!
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| ::Bon, c’était la blagounette en passant, parce que fagol !!!!!!!!!
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| ::Faut rigoler !!!!!!!!!
| | == Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata == |
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| ::Et c’était pour Les invoquer.
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| ::Les remercier. | | '''Xa-pitres''' (disponibles : jusqu’au 25) ''':''' |
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| ::Leur rendre Grâââââce !!!!!!!!! | | * [[Chapitre 1 – Olivier m’a enculé : « Ça s’appelle des “synchronicités” ! »|1 – Olivier m’a enculé : « Ça s’appelle des “synchronicités” ! »]] |
| | * [[Chapitre 2 – Chats alors !|2 – Chats alors !]] |
| | * [[Chapitre 3 – SM 3 & 4 : allez, on y croit !!!|3 – SM 3 & 4 : allez, on y croit !!!]] |
| | * [[Chapitre 4 – Un petit noir, du ni-noir-ni-blanc et du gris|4 – Un petit noir, du ni-noir-ni-blanc et du gris]] |
| | * [[Chapitre 5 – Magie de l’Inde et de l’ayurveda : ouais, bof, opineraient... les chats ? S'ils étaient encore là.|5 – Magie de l’Inde et de l’ayurveda : ouais, bof, opineraient... les chats ? S'ils étaient encore là.]] |
| | * [[Chapitre 6 – Jeune et fougueux Renard-Fox-Fennec et meutes|6 – Jeune et fougueux Renard-Fox-Fennec et meutes]] |
| | * [[Chapitre 7 – La vache, on ne s’est pas ennuyés-yées ! Yeah ! Yeah !|7 – La vache, on ne s’est pas ennuyés-yées ! Yeah ! Yeah !]] |
| | * [[Chapitre 8 – Mon passé de hors-la-loi|8 – Mon passé de hors-la-loi]] |
| | * [[Chapitre 9 – L’accident|9 – L’accident]] |
| | * [[Chapitre 10 – Premiers pas dans l’au-delà... des frontières euskado-frantziennes|10 – Premiers pas dans l’au-delà... des frontières euskado-frantziennes]] |
| | * [[Chapitre 11 – New York et autres Merveilles du Monde|11 – New York et autres Merveilles du Monde]] |
| | * [[Chapitre 12 – Décollage professionnel : une grève de la faim et...|12 – Décollage professionnel : une grève de la faim et...]] |
| | * [[Chapitre 13 – ... En piste ! (de ski d’abord)|13 – ... En piste ! (de ski d’abord)]] |
| | * [[Chapitre 14 – Rwanda : le Grand Saut de l’Humanitaire (à skis jamais)|14 – Rwanda : le Grand Saut de l’Humanitaire (à skis jamais)]] |
| | * [[Chapitre 15 – Braquage à main armée des bureaux de Médecins du Monde à Kigali|15 – Braquage à main armée des bureaux de Médecins du Monde à Kigali]] |
| | * [[Chapitre 16 – Génocide rwandais : la France, un régime pourri à l’extérieur|16 – Génocide rwandais : la France, un régime pourri à l’extérieur]] |
| | * [[Chapitre 17 – Quand enfin Allah l’a permis, pour l’Afghanistan c’est parti !|17 – Quand enfin Allah l’a permis, pour l’Afghanistan c’est parti !]] |
| | * [[Chapitre 18 – La nuit s'est abattue sur Kaboul|18 – La nuit s'est abattue sur Kaboul]] |
| | * [[Chapitre 19 – Après l’Afghanistan : lever le voile ?|19 – Après l’Afghanistan : lever le voile ?]] |
| | * [[Chapitre 20 – C’est une Aube Nouvelle... qui se lèvera !|20 – C’est une Aube Nouvelle... qui se lèvera !]] |
| | * [[Chapitre 21 – Aux Philippines (et ailleurs) : « développement » ou barbarie ?|21 – Aux Philippines (et ailleurs) : « développement » ou barbarie ?]] |
| | * [[Chapitre 22 – « L’insurrection : le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs »|22 – « L’insurrection : le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs »]] |
| | * [[Chapitre 23 – De la défense des droits humains à la traduction|23 – De la défense des droits humains à la traduction]] |
| | * [[Chapitre 24 – De la Thaïlande à la Guadeloupe|24 – De la Thaïlande à la Guadeloupe]] |
| | * [[Chapitre 25 – PACS-40 : le Mariversaire|25 – PACS-40 : le Mariversaire]] |
| | * [[Chapitre 26 – Voyage de Noces et Grandes Retrouvailles à La Réunion|26 – Voyage de Noces et Grandes Retrouvailles à La Réunion]] |
| | :::''Nous convolâmes et volâmes vers La Réunion'' |
| | :::''Réunion, Gwadloup : chaude ambiance !'' |
| | :::''Un événement comme j’en avais rêvé depuis le Rwanda et l’Afghanistan s’est produit...'' |
| | * [[Chapitre 27 – La Révélation|27 – La Révélation]] |
| | :::''Un Blan Péyi Soufi : « Ne cherche pas, c’est Dieu ! »'' |
| | :::''Un Breton : « C’est de l’obscurantisme ! ». Diable...'' |
| | * [[Chapitre 28 – Mais que fait la Matrice ?!|28 – Mais que fait la Matrice ?!]] |
| | :::''Raconar (racisme ordinaire) : « Y a deux chintoks à servir là-bas » + Autotest de raconar'' |
| | :::''Quand je songe à la manière dont les Gwadloupéyen-yèn sont « arrivés-vées » sur leur île...'' |
| | * [[Chapitre 29 – Xabi et Manno en Gwadloup I|29 – Xabi et Manno en Gwadloup I]] |
| | :::''Les tourtereaux et leurs oiseaux'' |
| | :::''Encore des piafs ; un mégot ; Garnier le Didjé ; et Hugo : « C’est quoi ?! Un croco ?! »'' |
| | :::''Soufriyè-la sé planèt Mars an mwen'' |
| | * [[Chapitre 30 – Xabi et Manno en Gwadloup II... et puis fini|30 – Xabi et Manno en Gwadloup II... et puis fini]] |
| | :::''Cigarette poison et... sauveuse de vie'' |
| | :::''Des abreuvoirs à colibris, un parapluie et des bribis (briquets Bic)'' |
| | :::''Deux hommes ensemble... ou plus... alors que « rien » (surtout pas quelques homophilphobes de pacotille) ne les en empêche...'' |
| | * [[Chapitre 31 – Nos Gagaditus-tues (Grands-Grandes Visiteurs-teuses)|31 – Nos Gagaditus-tues (Grands-Grandes Visiteurs-teuses)]] |
| | :::''« La lumière !! La lumière !! C’est le paradis. Ta mère était heureuse aussi »'' |
| | :::''Grand Saut... euh... Salut de la Jeannette à sa Suzanne (sur sa tombe) en Matinik'' |
| | :::''Chriscilla à Janeta : « Ils sont beau ensemble nos garçons, n’est-ce pas ? »'' |
| | * [[32 – L’Enfer d’un séjour d’Ama dans notre Paradis]] |
| | :::''« Toi, je t’emmène au caveau ! »'' |
| | :::''Chacun-cune son rôle assigné par Dieu, Bouddha et Patata'' |
| | * [[Chapitre 33 – Paradis Bis et (autres) ouragans (de la Vie)|33 – Paradis Bis et (autres) ouragans (de la Vie)]] |
| | :::''Débarrasser pour louer : fin stratagème pour une séparation moins... abominable'' |
| | :::''Je pourrais mourir de tristesse : mais quelle idée ce serait !'' |
| | :::''Son rêve est né à Saint-Martin : l’autre Île de celui de Notre Vie à Deux...'' |
| | :::''... Balayées, toutes les deux ! (Ça commence au paragraphe 13 : étonnant !)'' |
| | :::''C’était déjà l’apartheid avant l’ouragan Irma – et autre peste (petite histoire) de domination'' |
| | * [[Chapitre 34 – Chira, chirapa ?|34 – Chira, chirapa ?]] |
| | :::''Ma note de 666 baths en Thaïlande... le ''jour'' de la mort de Patxi ?'' |
| | :::''Au tour des 1 et des 11 : visite de mon père en Thaïlande et autres récits effrayants (je blague !)'' |
| | :::''Mon Thaï-top-chira et autres chiffres et nombres sympas, pas sympas : qui sara... euh... qui saura, qui saura, oui qui saura ?...'' |
| | :::''Ils nous disent que nous nous trouvons À la Croisée des Chemins, À la Crimée des Chesoins, ou rien'' |
| | * [[Chapitre 35 – Pleins gaz pour l’A80 : la Fête des 80 Ans d’Ama|35 – Pleins gaz pour l’A80 : la Fête des 80 Ans d’Ama]] |
| | :::''Parés-rées pour le lancement ?'' |
| | :::''Ouf c’était moins une, pour lui offrir, cette toutnie Gramamaravie... euh... ce toutni Gramomoravi (ce tout dernier Grand Moment de Bonheur de sa Vie) !'' |
| | :::''Violente recteure (redescente sur Terre)'' |
| | * [[Chapitre 36 – Mandala-Familia|36 – Mandala-Familia]] |
| | :::''Théâtres des Gastamals (Grands Rassemblement Familiaux)'' |
| | :::''Des mots pour nos Disparus-rues'' |
| | :::''Autres souvenirs et autres adieux'' |
| | :::''La vie (sur Terre – et en famille) continue'' |
| | :::''Claps de fin de l’Épopée Arantzienne'' |
| | * [[Chapitre 37 – Euskadi-papapap-Gwada-papapap-Euskadi|37 – Euskadi-papapap-Gwada-papapap-Euskadi]] |
| | :::''Train de coïncidences et synchro panne de voiture'' |
| | :::''Autres synchros au fil de l’eau'' |
| | :::''Prières à Mon Temple au bord de l’eau'' |
| | * [[Chapitre 38 – Mariages sur Terre et dans le Ciel|38 – Mariages sur Terre et dans le Ciel]] |
| | :::''Noces d’un Renard et d’une Cigogne'' |
| | :::''Pendant le Dernier Repas avec Ama : des « Noces du Renard » (Mariage du Soleil et de la Pluie)'' |
| | * [[Chapitre 39 – Crépuscule|39 – Crépuscule]] |
| | :::''Soudaine aggravation de l’état d’Ama : départ fissa de Gwada'' |
| | :::''La plus horrible décision de ma (notre) vie : placer Ama... « en unité fermée »'' |
| | :::''Le début d’un long séjour en Euskadi, auprès de mes amis-mies aussi...'' |
| | * [[Chapitre 40 – Flashback : enfance ; éducation ; copains-pines ; Amours de Jeunesse ; puis back tou le Soir de la Vie d’Ama|40 – Flashback : enfance ; éducation ; copains-pines ; Amours de Jeunesse ; puis back tou le Soir de la Vie d’Ama]] |
| | :::''La terre tremble au salon'' |
| | :::''Les filles et les garçons'' |
| | :::''Sortir de prison'' |
| | :::''Laissez-moi me débarrasser de mes enfants, con ; une saloperie de paquet de clopes + un journal militant = dix euros tout rond ; du gingembre pour grimper – encore mieux qu’aux rideaux, c’est connu, ça n’est pas pour la rime – au plafond'' |
| | * [[Chapitre 41 – Frangin, frangine, iati un tutu coqu et falus-pines]] |
| | :::''La sororité-fratrie : moi, Sabine et Denis. Moi d’abord pour la rime, là, oui.'' |
| | :::''Étiquetage à vie : hors « cases » point de salut !'' |
| | :::''Ma SANTÉ !!! Et GRÂCE à elle tant de falus-pines (fabuleuses expériences)'' |
| | * [[Chapitre 42 – Déchirante vente de la Villa Arans]] |
| | :::''Préparation du terrain pour le passage du relais'' |
| | :::''Une adorable famille pour nous succéder'' |
| | * [[Chapitre 43 – Voilà ça, c’est fait. Et si on se renvolait ?]] |
| | :::''Vers le Kerala, pour la Journée d’Ama'' |
| | :::''Avec en prime comme toujours quelques fantafabuleuses synchronicités'' |
| | :::''Puis pour le Népal, Saint Martin... : mais partout ça déménage, ouh là là !'' |
| | * [[Chapitre 44 – Haïti chéri !]] |
| | :::''La Première République Noire'' |
| | :::''Je découvre enfin, évé doudou’m, son pays'' |
| | :::''Deux semaines après notre départ : le séisme'' |
| | :::''Alors que la Vie « avait semblé reprendre son cours »...'' |
| | * [[Chapitre 45 – Autres catacunu-sapocus : cataclysmes survenus dans un pays où j’ai vécu ou séjourné]] |
| | :::''Thaïlande : le raz-de-marée'' |
| | :::''États-Unis : le 11-Septembre'' |
| | * [[Chapitre 46 – Et les inondations dans le Kerala ! À part ça ?]] |
| | :::''Eh bien : les pires crises tchernobidiennes de mon existence. Caramba.'' |
| | :::''L’envol... pour le Nirvana ? Ça sera pour une prochaine fois !'' |
| | :::''Mais j’en ai parcouru, du chemin, déjà !'' |
| | * [[Chapitre 47 – Inde : une ancestrale tradition de tolérance et de multiculturalité menacée]] |
| | :::''Réviser l’Histoire ? « Les Indiens ne l’accepteront pas. »'' |
| | :::''Le Fort Rouge, « au cœur de l’Histoire de l’Inde » : visite d’un Temple de la Démocratie'' |
| | :::''Ces fachos qui gouvernent : le Virus éliminera-t-il ceux des États-Unis ?'' |
| | * [[Chapitre 48 – Croisée des Chemins et traversée des flots]] |
| | :::''Ayurveda : que d’espoir et de rêves de projet pour ma personne et l’humanité !'' |
| | :::''Décidément il suffit que je tourne le dos...'' |
| | * [[Chapitre 49 – Ama : « Tu reviens à Noël ? Je risque de partir avant, moi, rejoindre Claude François ».]] |
| | :::''Attends-moi ! Après l’Inde je vais devoir directement repartir en Gwada.'' |
| | :::''Trois boules de feu du ciel bleu ont surgi, et mon rocher est devenu Mon Temple'' |
| | :::''D’autres planètes habitables : un refuge pour échapper au marteau de Cloclo ?'' |
| | * [[Chapitre 50 – « Maman est morte ce matin »]] |
| | :::''T’as choisi la Toussaint !'' |
| | :::''Dans ta chambre mortuaire avec Manno : de tous les Moments de ma Vie Le Plus Beau'' |
| | :::''« Tu continueras d’illuminer nos jours »'' |
| | :::''Tu m’emmènes un peu avec toi, dans ton Monde de Paix et d’Amour'' |
| | * [[Chapitre 51 – La fête continue Ama !]] |
| | :::''Le festival de ses obsèques'' |
| | :::''Elle a même envoyé le son, au cimetière de Lohitzon... euh... tzun'' |
| | :::''Depuis le ciel, refusant que je jette ses fleurs, elle m’a arrosé'' |
| | :::''Les mamans, Dieu et le ski'' |
| | * [[Chapitre 52 – Pour l’humanité, un horizon des possibles comme il ne s’en était jamais présenté]] |
| | :::''Mon premier anniversaire (Noël) après le départ d’Ama le Jour des Saintes'' |
| | :::''Régalades niçoises : conférences sur l’ayurveda par les médecins du Kerala et sur la méditation de transmission'' |
| | :::''Après les inondations, le Miracle Kéralais'' |
| | :::''Les bouddhistes attendent Maitreya, les musulmans l’Imam Mahdi, les juifs le Messie... Mais ? Je suis là !'' |
| | * [[Chapitre 53 – Je m’entraîne et je me promène, amen]] |
| | :::''Jésus et Saint-François Xavier : mes chat-bis (copy-cats)'' |
| | :::''Le Tadj Mahal : moi des fleurs et des couronnes, ça me suffira. Et je ne ferai pas le coup de la gerbe d’eau à celle ou celui qui les balancera. Tout a une fin, Ama.'' |
| | :::''Dis seulement une parole et je serai guéri (à Goa)'' |
| | * [[Chapitre 54 – Soins de corps et d’esprit]] |
| | :::''Thermes en Auvergne'' |
| | :::''Libération émotionnelle en Béarn'' |
| | :::''Et discussions spirituelles : « Tes synchronicités c’est parce que les Planètes sont en train de s’aligner ».'' |
| | :::''Ielles n’attendaient plus que Mon* Livre de la Paix, Là-Haut, pour les Miracles (*Majuscule ? Oui. Parole de Messie.) '' |
| | * [[Chapitre 55 – Papapaps : passages par Paris pour ou depuis Pointe-à-Pitre]] |
| | :::''Avions, trains, métros et taxis, et un petit miracle avec l’un de ceux-ci'' |
| | :::''Paris, les grandes villes : le pied ! Mais pas à longueur d’année.'' |
| | * [[Chapitre 56 – 1969 année héroïtique]] |
| | :::''Mon cinquantenaire...'' |
| | :::''... Et celui de la mobilisation pour les droits des homosexuels-uelles'' |
| | :::''Le soulèvement des Afro-Américains en 1963 à New York et le mystère du Dew Drop Inn (où j’ai taffé)'' |
| | * [[Chapitre 57 – Invitation aux « 50 ans de Xabi ici-bas et 1 an d’Ama dans l’au-delà » (suite ; + ondes parallèles)]] |
| | :::''La Vague Géante'' |
| | :::''Réponses : le flot – « Quel texte sublime et quel programme d’enfer ! Je réserve les dates illico ! »'' |
| | * [[Chapitre 58 – Cécile ne viendra pas à ma fête ni plus jamais nulle part...]] |
| | :::''« Tu dois être au courant de ce qui se passe ici à Paris »'' |
| | :::''Jamais mon cerveau n’a eu autant de mal à comprendre'' |
| | :::''Un mois avant Cécile, huit mois après Ama, la mort était déjà repassée. (Oh ! 8+1=9 mois... Mon 9... Juste avant 59...)'' |
| | * [[Chapitre 59 – Fastopelles (failles spatio-temporelles) : ici (ou là ?), de Baiona au Rwanda]] |
| | :::''D’Arans à Hortense (ça fait moins loin)'' |
| | :::''À Baiona j’ai loué mon appartement à une amie...'' |
| | :::''... Mais à Paris j’ai prévu Bernard Kouchner que j’allais lui piquer sa maison à Kigali'' |
| | * [[Chapitre 60 – Poursuite de la préparation de la X50/A1 (et inévitables phénomèèèèènes concomitants)]] |
| | :::''Papap Gwada après les obsèques de Cécile et re-papap Frantza/Euskadi pour les Fêtes de Bayonne deux semaines plus tard !... avec... re-obsèques pour débuter le séjour !'' |
| | :::''Quelques phénomèèèèènes (avec d’autres anniversaires dedans)'' |
| | :::''Mes 50 ans en Gwada et d’autres phénomèèèèènes'' |
| | :::''Quelques phénomaires supplémentaires'' |
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| ::Leur dire ma Gratituuuuude !!!!!!!!!
| | * [[GLOSSAIRE MODOUPAÏEN – FRANÇAIS]] |
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| ::HéLo allez tout de suite réserver votre appartement DANS MA RÉSIDENCE sur Airbnb. | | * [[Mole-pine-en-boa et capote-de-ma-tata : toutes les critiques de Modoupa sont là.]] |
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| ::C'est résidence Porte des Caraïbes à Gosier.
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| ::(...) Parce que mon amie qui faisait des locations dans le quartier a malheureusement depuis longtemps mis... la clé sous la... porte.
| | == Diverses Missives et autres Jottises (Jolies Petites Histoires) == |
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| 2ème temps : 2 pas-SM-EZ, c’est-à-dire pas de « pas de Scénario Miracle », « ez » (« ess ») en basque signifiant « non », mais tout le contraire. 2 SMS en tout cas. À mon Archange Olivier, intronisé avec ses Camarades dans une Sync ci-dessus, c’est pour ça que je raconte tout ça là :
| | '''Miss-Jottises :''' |
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| ::1. Bonjour Olivier, appelle-moi pour me redire en deux mots ce que tu me disais sur « nous ne sommes pas notre esprit » ?... ou corps ? Laisse-moi juste un message. Un grand merci d’avance ! | | * [[1 – C’est bien la première fois que j’entends les Gwadloupéyen-yèn lalater comme ça : c’est chaud !!!]] |
| | * [[2 – Vizyozanmikonférans pour sauver l’Humanité vite fait (ça urge !)]] |
| | :::''Mon petit bonhomme de train-train'' |
| | :::''Gwadloup libratou !'' |
| | :::''Va-an-vi (vaccin anti-Covid) : en attendant de faire la peau à l’Ennemi, il faut se laisser piquer'' |
| | :::''On péyi majik'' |
| | :::''On va leur mettre le feu !'' |
| | :::''Le Gradin (Grand Chemin)'' |
| | * [[3 – « Faites-vous... mon cul », Jésus et... Bonne Année !]] |
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| ::2. Tu m’as dit « nous ne sommes pas nos pensées », c’est ça, bien sûr, pas « nous ne sommes pas notre esprit », évidemment non ! Et cette... pensée... m’est venue à... l’esprit : l’Esprit vaincra ! (Dans mon cas.) Même si malédiction il y a. Mais justement il faut que je cesse d’employer ces mots-là.
| | * [[SYNC SUR SYNC]] |
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| Réponse d’Olivier :
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| ::La phrase est [bien que pas tout à fait celle à laquelle je faisais référence] :
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| :::'''''Nous ne sommes pas des êtres vivant une expérience spirituelle mais des êtres spirituels vivant une expérience humaine.'''''
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| ::Ton problème aussi doit être vécu comme une expérience, et sûrement pas comme une malédiction.
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| Sinon ai-je l’air de créditer un tant soit peu la désastreuse dichotomie entre corps et esprit, et une tendance à l’anti-« holisticité », « à l’occidentale », sujet qui a occupé une partie de ma conversation avec Olivier ? Loin, loin, looooooiiiiin de moi cette idée.
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| Et loin, loin, looooooiiiiin de cela, le CŒUR du Message de mon Archange du Moment :
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| :::'''Indispensables Présence du Corps à ses Petites Cellules, et Amour, Attention et Bienveillance pour Elles, sans lesquels Elles... rouspètent... et quémandent !!!... '''
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| Je le savais : pas de synchronicité ? Que j’arrive à écrire ce texte jusqu’à la fin sans qu’aucune n’advienne ? Impossible. Z’avez vu ces trois 2 dans mon texte ? (Sans compter le 2. : 1. et 2. correspondant à « 2 SMS ».) J’ai laissé mon ordinateur quelques minutes. Quand j’y suis revenu l’heure (horriblement tardive) affichait 2:22. Un autre 222 m’a frappé dans la mention « disponible jusqu’au 05.02.22 » de la page Internet de France... 2 restée ouverte. Les 3 2 que j’ai fait figurer dans mon texte sans trop savoir pourquoi ont attiré ces deux autres triplés : ce n’est qu’1 2 mes poutanas<ref>Pouvoirs extraordinaires</ref>.
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| Au... petit matin malgré l’à-pas-d’heure du coucher (ainsi le veut ma... SANTÉ !!!... depuis une « bonne année » maintenant...), sur mon ordi, que j’allume pour lancer la radio, minutage du doc « Femmes, de la rue à l’abri », de France 2 encore, auquel je l’avais laissé avant d’aller enfin faire dodo : 00:22:20.
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| Je disais... événement de l’Histoire Sans Synchronicité ?
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| De l’Hire-a-chronne ? Ou Hirachotte ? (Les deux se disent en modoupaïen.)
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| Je disais... toto momo batata ? Tout est possible dans pas-''Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata'' mais ses à-côtés ? Tout, absolument tout, dans ''Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata'' comme dans ses à-côtés, sauf que ne cessent de dévaler, ne serait-ce que quelques minutes, les torrents de synchronicités.
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| Quelle démo !!! À laquelle je ne savais pas moi-même que j’allais me livrer.
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| '''13/01 —''' LE PARI
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| Parvenir à raconter une jottise, une jolie petite histoire, jolie ou pas d’ailleurs, une peste, petite histoire, en tout cas, chez les syncs, sans sync. Voir le phénomèèèèène dans la sync précédente.
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| Je le tente un 13 dis donc en plus. Mais pas un vendredi. À un jour près. C’eut été peine perdue.
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| Ce sera, pour ce jour, à propos : 1. d’un enculage ; 2. d’un maouazatage<ref>L’écriture d’un cul et l’échange de maouazas</ref>.
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| 1.
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| ::Je viens de papoter un chouya évé Misyé Fabris. Non, ce n’est pas mon « regretté » jardinier [de ma résidence]... toujours vivant !... Dieu soit loué... mais qui avait donc mal tourné, « s’était fait » (c’est vraiment le cas de le dire) virer... Et c’est reparti, dans le papotage... « Tu m’ôtes les mots de la bouche! », viens-je de lui dire, tellement ses paroles sont beeeeelles et proches de tout ce que je peux moi-même déblatérer !!! Non mais je t’assure, la résonance, comme si souvent dans ce genre de conversation « à la volée » ! Mon Dieu que c'est booooooooo !!!!!!!!! Tou 9 le mastic<ref>Toujours par 9 les voyelles dans les maxi-emphases motrices (sur les mots)</ref>.
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| Il m’a d’abord parlé de son activité de menuiserie. Quelque-chose avec « champ... ». Non point que je n’aie pas compris de quoi retournait son travail. Je lui ai même dit que je le trouvais très beau. Son travail. Lui ne l’est pas particulièrement. Ou plutôt si. Carrément. Puis l’interrogeant sur comment qu’il allait, ne l’ayant pas vu depuis un bon bout de temps c’est parti sur « c’est compliqué en ce moment », à propos de la sityasyon an Gwadloup, dans des pawol comme : un peuple qui se révolte ; on nous a empoisonnés (au chlordécone) ; les Européens donneurs de leçon ; moi : ha ! les donneurs de leçon, pour quoi que ce soit dans la vie... ; lui : je suis autonomiste ; moi : alors là, c’est tout à fait ça ! comme moi ! ; je suis un Gwadloupéyen qui s’intéresse au christianisme, c’est paradoxal ! ; la religion sans religion, sans église ; on peut très bien pratiquer sa religion sans être coincé du cul, ou on bitin kon sa, sans principes à la con ; citoyenneté ; humanité ; moi : je suis basque ; lui : j’ai plein d’amis basques, bretons... ; moi : Gwadloupéyen, Basques, Bretons, même combat !... enfin... dans des contextes très différents bien sûr ; lui, au détour de plusieurs points de la conversation : c’est pas une question de race... [La race = premier des concepts... racistes. Qui pour les humains n’a pas lieu d’être.]
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| ::Mais tout ça ne nous dit toujours pas qui est Fabris !!!
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| ::Alors tiens, devinette (qui c’est-y ? indice: je suis à la Datcha bisû<ref>Bien sûr</ref>) et conconnage<ref>Concon = contrôle de concentration (pendant la lecture de Modoupa*) ou de connaissance (de ses xapitreries). (*Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata'')</ref> : l’autre Fabris ? Mais là je t’ai presque tout dit... [Vodou papi 69 Livre/70 XabiWiki – ma poco bité<ref>Mais point encore xabiwikité.</ref>.]
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| 2.
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| C’est un peu dans la veine de cette coi-ma-tata<ref>Critique de ''Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata''</ref> acculée<ref>Affichée à l’Accueil.</ref> : « Faut le laver [DiBouPa<ref>Dieu, Bouddha et Patata</ref>] de toute autocélébration : voyez comme je suis super, admirez ma conscience universelle, prenez des leçons d’abnégation, etc. ». Comme ce qui précède, si nous ne nous abusons. J’ajoute, pour ce qui suit : « Voyez comme je suis généreux ». Autoflagellation-coupage-d’herbe-sous-les-pieds mise à part, c’est une lucarne sur l’Inde, la dure réalité de la vie (là-bas)...
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| Les maouazas :
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| ::Oublie pas de te raser...
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| Ouh là, non, c’est pas ça. C’est ceux-là :
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| ::Un grand merci mon ami.
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| C’est KD, « Key Di ». Je le chamouse au 51. « Chamou » c’est l’autre mot pour « Xa-pitre » : ça veut dire chapitre de Modoupa. Extrait :
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| ::Loin de la folie des villes... KD...
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| Sur KD, un 1... J’allais poursuivre benoîtement, alors que... ça y est, peine et pari sont déjà perdue-du ! Un 1 : un numéro de nobapa, l’une des quatre nobapas de la page de mon manu<ref>Manuscrit</ref> où je suis allé chercher mon ami. Le transfert l’a rétrogradé de son Xème rang au premier (« X » la lettre, pas le 10 romain !). Quatre nobapas : raisonnable ? Ça dépend, si elles font quarante lignes en tout ! Mais non, quatre, elles en font ! Même pas : quatre tout petits bouts de ligne ! Raisonnable, raisonnable... Dans Modoupa, niveau nobapas, ça non, je ne le suis vraiment pas. Et ça me vaut ça :
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| ::Les renvois innombrables en bas de page ce n’est pas de la littérature à mon sens ; aucun auteur sérieux ne fait cela, ça casse complètement la petite musique. Tu dois pouvoir intégrer ces apartés et explications dans le corps de ton texte, les incorporer au récit, c'est ton taf d’écrivain.
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| Xabi cassééééé !!!!! Là c’est Brice (le surfeur) de Nice qui passe pour se moquer, par rapport au Pari. Le rétamage du Pari de Xabi, c’est dans le « Xème rang ». Tiens si je me la jouais comme dans mon cul : devinette ! Et test, de comment que ça défile les veutumois<ref>Visiteurs-teuses de mon Site. À niqorer*. Ou ne pas trop chercher à comprendre, dans les passages les plus « scabreux », selon l’instruction de lecture de mes histoires à dormir debout, se laisser porter par la musique... Brice : « Puisqu’on te dit que tu la casses, avec tes nobapas ». Mais c’est qui qui casse qui et quoi ici ? J’y comprends plus rien. Angelu mon Anar** : « Laisse-toi porter... par les vagues de la Méditerranée... ». Te voilà, toi ! Mais tu te sens bien ?... (*À ne lire que très en forme. **« Anguélou » mon Ange Gardien)</ref>. Le combientième le « Xème » peut-il bien être ? Devinable au vu de ce qui précède immédiatement l’endroit où je suis fauché, dans mon élan, par l’inévitable survenue du phénomèèèèène, et de l’emplacement de l’épisode concerné dans le Livre. Dont le pas raisonnable, mais alors pas raisonnable du tout, du tout, du tout, nombre de nobapas est, lui, de combien ??? Hein ??? Je m’apprêtais à annoncer le chiffre et à le flanquer de 9 points d’exclamations (on demande son mastic tout neuf ! pas cher ! idéal pour la menuiserie, le champ ch’ais pas quoi et tout ça !), pour l’énormité, sans me douter que tomberait... la... deuxième... syn-chro-ni-ci-té !!! (que 3 points d’exclamations, en attendant de la dévoiler).
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| Langue à mes chats des chamous ? Elles sont 1212. Je l’écris sans l’espace académique entre les chiffres 1 et 2, le premier, un 1, le deuxième, un 2, ainsi qu’il s’affiche, dans mon fichier, sa paire a plus de gueule ainsi. Sa paire de... 21 à l’envers !!!!!!!!! Je colle le mastic là, la Sync 2 c’est ça : le Fil d’Ariane depuis que j’ai lancé cette Rude-bitte<ref>Rubrique de XabiWiki : j’abuse ? Au regard des redoupes*, non. Je rappelle celle-là : « rude-bi » est féminisé, le genre des modous** étant le même que celui des mots et expressions en français correspondants, au moyen du « tte » final. (*Règles du modoupaïen **Mots de modoupaïen)</ref>, sur la première Sync, soit au jour de la rédaction de la présente (qui ne s’en voulait pas 1 [une], encore moins 2 [deux], pourtant !), la 26/12. Le top départ, à cheval entre la toute fin de 21 et l’avènement des Trois-Deux, est donné dans la Sync 2 du 27/12 avec « Ton message....... à 21h21 !!!!! ». + Juquri : Sophie la Micronutritionniste de ma Consorofratrie des Archanges me back-maouazate un RV (me répond à la demande de RV que je viens de lui maouzater) le 20/01 à 10h.
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| Et, et, et... Ça n’est pas Dieu possible. Je ne sais pas si l’Infini existe pour la formulation des énoncés : l’expression de mon émerveillement, quand les synchronicités qui illuminent mes journées se produisent. C’est tellement chouette, mais ça va finir en aveuglement. Quand je xabiwikite cette Sync-qui-n’avait-même-pas-demandé-à-l’être-or-qui-est-en-passe-de-devenir-l’une-des-plus-dingues (ma Mouche<ref>Modoupaïenne en Cheffe</ref> tu me le modoupaïanises ?), qu’est-ce que je vois ? Le numéro de nobapa, sur « Ce sera, pour ce jour, à propos : 1. d’un enculage ; 2. d’un maouazatage » : c’est le combien, hein, c’est le combien ??? C’est le combien, hein, c’est le combien ??? C’est le combien, hein, c’est le combien ??? On deviendrait chèvre à moins. C’est... le 21. J’étais rétamé avant même le rétamage. Brice !... Non... oui, je suis cassé de chez cassé je sais... mais... tu m’aides à inventer des mots pour tout ça ? Brice : « Quoi ??? Mais t’es malade !!! Complètement maso plutôt. T’en redemandes ». Quoi ? « Du castamage. Bé tiens, c’est cadeau. Non parce que t’as pas besoin de Brices. Cette coi-ma-tata – bon ça, c’est de toi –, t’as oublié ? ». Il sort un papier plastifié de la poche de son maillot de bain :
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| ::Surtout ce qui me gêne c’est les néologismes (le Moudoupaien) auquel je n’accroche pas du tout, je trouve cela inutile et fatigant à lire.
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| ::C’est très contre-productif; toi-même tu te sens obligé d’expliquer les termes régulièrement si ce n’est à chaque nouvel écrit, preuve que cela ne fonctionne pas.
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| ::Le lecteur a du mal à faire l’effort d’apprentissage nécessaire (moi en tout cas), parce que cela ne sert à rien, tu es le seul à parler cette langue !
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| Bé tu vois mon Briseur Fou je leur rends grâce, à tous-toutes celleux qui se donnent la peine de me les écrire, toutes ces critiques et autres trocons et moine-conars<ref>Trop chouettes et moins chouettes commentaires</ref>. Je les aime fort, tu sais, tous-toutes mes pochimis-mies<ref>Proches et amis-mies</ref>. Ça m’étonnerait que t’en aies autant que moi. Cassééééé !!! Mais non, personne ne casse personne, dans mon Monde d’Amour. Bon, tu permets, que je reprenne un... euh... mon bout de chamou ? Que voilou :
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| ::Loin de la folie des villes... KD, un des serveurs du Fort Chanwa près de Jodhpur où j’ai séjourné, en janvier 2020, avec le groupe de Vanessa, m’a envoyé un message, en juin, me déclarant à propos de la Covid : « J’espère que tu es en sécurité ». Je lui ai demandé, en retour, si la situation, en Inde, n’était pas trop critique. Il m’a répondu : « Je vis dans un petit village. Aucun danger ». KD m’aimait bien et a poussé un « Ouf !… », un jour, au resto du Fort Chanwa, en me dévorant des yeux, d’un air de dire qu’il m’aurait bien mangé tout cru.
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| Mais personne ne mange personne, dans mon Monde d’Amour. Le maouzatage avec KD d’aujourd’hui (en anglais dans le texte ''of course'' – le sien est assez rudimentaire...) :
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| ::Un grand merci mon ami pour ton soutien.
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| Je lui ai envoyé quelques chochas, sous-sous, initiative que j’avais prise en un pic du cauchemar SARS-COV-2-1... euh... SARS-COV-deux-ien en Inde, quand il ne pouvait plus travailler. « Z’avez pas de M. Coronar... euh... Conar et de quoi-qu’il-en-coûte chez vous ??? », m’étais-je d’abord un peu emporté. En Inde, mais comme ailleurs dans le monde, il était quasi adulé, notre Président quand, en 2018, j’y ai séjourné ! « Notre Président » : jamais je n’ai écrit chose pareille. Quoi que si... j’ai même osé un « bravo... Monsieur... Macron !!! », et « écrire son nom en entier ! »... Me félicitant de la « nationalisation des entreprises », ainsi que d’aucuns-cunes ont présenté l’interventionnisme de l’État français, qui eut paru inimaginable, pour des ultralibéraux... ça aussi c’est quand-même inouï... dans le... « monde d’avant » (la Covid)... (Vodou papi 66 Livre/65 XabiWiki – ma poco bité).
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| Puis j’ai galéré pendant des mois, n’obtenant jamais de ma banque que le virement soit effectué... Toute une histoire, passons. Et c’est ma Thérapeute d’Ayurveda de la Consoromachin et chteuneue<ref>Chère et tendre : très chère amie, quoi.</ref> Vanessa qui y a finalement procédé pour moi...
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| KD :
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| ::J’ai reçu le montant. Ça m’aidera pour l’éducation de ma fille. Actuellement, l’éducation, c’est tout. Je ne veux pas, pour elle, un avenir comme le mien. Je fais tout pour qu’elle ait un bel avenir. Je n’ai pas de mots pour dire son bonheur quand elle a su, pour ton soutien. Je t’en suis tellement reconnaissant. ''Please be with me and keep supporting'' : j’espère que tu continueras de me soutenir...
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| Oui bon ça, on verra ! Non, sérieux, tout le bonheur est pour moi.
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| ''Et plusieurs jours plus tard je réalise...''
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| Le 1 de KD : « j’allais poursuivre benoîtement », écrivais-je... Alors que j’avais ''déjà'' pris une synchro grosse comme une maison sur la tête. Car la réponse à la devinette « qui c’est-y Fabris ? » c’était : l’homme au pétard. Il m’avait fait tirer sur son joint un jour où j’étais au téléphone avec la personne ci-conconnée. Moi qui ne fume jamais de gandja en Gwada, et qui ne « peux » plus du tout d’ailleurs... Bref. C’est cette synchro-là la plus dingue. Car j’avais croisé Fabris un jour à mon salo-trou-le-gol<ref>Terrasse-boulangerie-Gozyé-Église</ref>. Il était devenu fou. Sous je ne sais quelles substances, il était en plein délire, à l’image de ces mecs complètement « cramés », par le crack souvent : j’ai pensé non, c’est pas vrai, il a pas sombré lui aussi, pas lui ! Qui m’avait jusqu’alors paru plutôt sein de corps et d’esprit, à souvent nager et faire son sport sur la plage comme moi. Sombré comme... « mon » autre Fabris, le jardinier, dont Rose-Berthe la femme de ménage de la résidence me disait, la dernière fois que j’ai eu de ses nouvelles, qu’elle l’avait croisé dans la commune de Moul<ref>Le Moule</ref>, et qu’il n’était pas beau à voir. J’ai appris le prénom du Fabris de La Datcha le jour de cette anecdote, qui n’était en réalité à la base rien d’autre que ça, mille millions de mille sabords, une synchronicité. Ébouriffante. Et terrifiante... Que j’étais heureux et soulagé de le retrouver, dans son état normal, égal à la si belle personne qu’il m’avait semblé être ! Cette espèce de « Fabris bis », mais qui manifestement s’avère finalement ne pas l’être. Non !!! DiBouPa merci.
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| '''14/01 —''' Les réclamations me parviennent par centaines, parce que j’avais parlé de maouazas au pluriel, hier, à propos de mon ami indien Key Di (ses initiales KD telles que prononcées en anglais – Sync [qui n’avait pas demandé de l’être] du 13/01). Or j’ai restitué le sien mais pas ma réponse. « Tout le bonheur est pour moi », ai-je juste précisé. Celui provoqué chez lui et sa fille par un don en numéraire de ma part. Ainsi, par conséquent, lui ai-je fait part du mien :
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| ::Ces mots me rendent tellement heureux, si tu savais !!! Quel est le prénom de ta fille ? Je lui souhaite bonne chance et le meilleur dans ses études et sa vie !!!
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| Il m’a répondu, aujourd’hui :
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| ::Son prénom est Laviska, mais nous l’appelons par son surnom Lucky.
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| Et là j’ai l’air con, du moins vais-je l’avoir, car je vais avouer une lacune de l’anglophone et traducteur que je suis. D’autant que je qualifiais l’anglais de Key Di, hier, de « rudimentaire ». J’apprends : ''pet name'' = surnom, petit nom. Mais en le lisant, dans le maouaza de KD, jmidi lol<ref>Je me suis dit mort de rire...</ref> : « nom d’animal domestique » qu’il me dit, pour sa fille ! Je connaissais ''pet'' dans ce sens, mais vérification faite sitet<ref>Sur Internet</ref>, c’est bien KaDé qu’a dit vrai. Il n’est toutefois pas anormal qu’un Indien, même pas ou peu éduqué, connaisse les expressions de la vie de tous les jours en anglais mieux que moi. KD, de son pas-petit-nom (d’humain) mais vrai prénom Kuldeep (Keuldip), poursuit ainsi :
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| ::Elle est très intéressée par les études, et avide d’apprentissage. [Dans son anglais « rudimentaire » : « par appendre de nouvelles choses ». Non, c’est quand-même moi qui le maîtrise le mieux. Eh, ho.] [...] Quand elle a appris que tu la soutenais, elle s’est mise à désirer tant de choses pour son avenir.
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| « Oui bon ça, on verra ! », écrivais-je hier en off en réaction à l’affirmation de KD : « J’espère que tu continueras de me soutenir ». Je pense qu’une petite mise au point va effectivement s’avérer nécessaire. C’était une aide ponctuelle (mon coco), que j’ai souhaitée lui apporter quand ia que moi<ref>Il y a quelques mois</ref>, à cause de la Covid, il ne pouvait plus travailler.
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| À part ça un cul, encore, sur la plage :
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| ::Même spot qu’hier, mais pas un salo, ni tarasse ni tarage.
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| Ni spot café-clope en terrasse au resto en bordure de plage ni sur la plage : on me tolérait sans pull<ref>Pass-mes-couilles</ref>, jusque-là (je ne suis pas un anti-va-an-vi<ref>Vaccin anti-Covid</ref>, mais ma SANTÉ fait que je ne peux me faire vacciner), or les mesures se sont durcies, et j’ai dû prendre mon café à emporter.
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| ::Re-papotage, avec un « papi » à la retraite qui passe six mois tous les ans en Gwada, tu sais genre Yannick et Michel... [vodou papi 5]. Y en a plein comme ça, des retraités-tées (ce qu’il est), si tu savais ! Il a eu droit à son « à part ça la vie est dure, hein ? ». Et au couplet : « On est quand-même de sacrés privilégiés »... Pas impossible que je sync-synque ça encore... Pour retenter... le Pari ?
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| Ainsi donc renouvelé-je le défi d’hier de l’Hire-a-chronne/Hirachotte. Si j’arrive au terme de sa narration (et d’une relecture), je crierai le mot en oire.
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| Ça n’est pas gagné, ainsi que nous pûmes le constater.
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| Mais je n’ai peur de rien, et me risque à la prolonger, car je voudrais, deux instants rigolos qui ont suivi relater.
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| Persona non grata à mes terrasses, je me suis rabattu sur un salo que je m’en vais instamment présenter, poutoutpif<ref>Pour la toute première fois</ref>, et que je n’avais par conséquent pas encore baptisé. C’est sur la murette de la base de la structure en béton du resto Le Panoramic de mon salo-tarasse. À l’abri du vent : je n’aime pas qu’il fume mes clopes le salaud. Un fort agréable salo... euh... solarium, au demeurant, pour le lézard que je suis. Je plie ma serviette et la pose dessus, pour mon tas d’os faisant office de cul. Je me fais mon café (allongé ; mais assis), mes au moins deux clopes (il est temps que je pluralise « café-clope », je n’osais pas), je telpapote<ref>Telpapoter = tapoter sur son téléphone portable</ref> et, souvent, je papote. Bon, le modou. Voyons voir... un... salo murette-devant-le-Panoramic, ça pourrait donner... met-lanorac ! Ouah !!! Après le pull !!! Mais alors... une sync ??? Non ! Non ! Non ! Je refuse ! Et puis de toute façon j’en suis... à la deuxième relecture ! (Avant laquelle j’avais zappé que j’avais mon salo à nommer et modoupaïaniser !) Ça ne compte pas !!!
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| Après le très saint papa... euh... le très sympa pa... pi, un autre gars, quelques mètres-serviettes devant moi, me salua. Qui c’était-y encore que çuilà ? Je lui ai répondu par des signes de la main, un grand sourire... « Je t’ai dit bonjour hier ! », a-t-il précisé, percevant que je ne le remettais pas exactement. C’est vrai que dé-twa boug avaient gravité, à un moment donné, autour de Fabris (toujours la Sync qui ne voulait pas l’être [non plus]). C’est là le plus drôle : l’instant, disais-je, mais surtout en réalité la personne. Un autre homme, à qui il était en train de parler. « LE plus drôle ». Ou plutôt le plus dingue. Que j’ai jamais vu, pourrais-je presque rajouter. Justement parce qu’il n’a pas l’air de l’être vraiment, tout en étant bien siphonné. Jusque ce qu’il faut alors ? Un peu « trop » quand-même peut-être. Bref. Il y a celui que j’appelle la Star de la plage de Sentann (vodou papi 32). Que Manno cependant, comme je le note, « trouve sinistre, et [qui] ne le fait pas rigoler du tout ». Je décerne à notre homme de cette peste le titre de Clown de La Datcha. Il a en tutu<ref>En tout état de cause. Il est toujours en effet, celui-là, un Blanc, en habit de danseuse. Mais non, quand-même pas : en maillot de bain. Le Saint-âne... euh... Saintannais, un Noir, arbore une tunique à l’africaine.</ref> cela de commun avec la Star de la commune voisine qu’il a l’habitude d’arpenter le lieu, de plagistes en plagistes : l’autre c’est avec sa guitare, à interpréter des airs plus inaudibles et insensés les uns que les autres, lui c’est en braillant, à la cantonade, ou en débitant à l’adresse des membres de son public devant lesquels il choisit de s’arrêter, ses invraisemblables blagues et tirades.
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| Son acolyte de m’aider un peu plus à le remémorer en me livrant ce détail supplémentaire : « Je me suis rasé !... », le crâne, je crois. Il avait la boule à zéro. Le Clown me crie qu’il s’est pris (ou japu<ref>Je ne sais plus.</ref> trop comment il a tourné ça) pour Bruce Willis. Je m’esclaffe : « Ah mais s’il se transforme en Bruce Willis, comment veux-tu que je le reconnaisse ?! ». Il s’est raboulé... Qui ça, il ? Le Clown ?... Danqu tipasse<ref>Dans un quasi ultime repassage</ref> j’avais écrit :
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| ::Il s’est raboulé et m’a coudé, sur ces mots d’esprits, qu’il a coquinés : « Comment veux-tu, comment veux-tu que... ? ». « Ouais, on dira pas la suite !... ». Et je me suis resclaffé.
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| Danqu tipasse + 1 jmidi « Il s’est raboulé » ça va pas ! On sait pas qui c’est, il. Qu’est-ce que je peux mettre comme sujet ?... « Bruce » ?... Maman !... euh... papa nain !... Mais j’en avais encore une, de synchronicité !!! Réalisé-je de nouveau !!!... en m’apprêtant à écrire : après Brice, maintenant Bruce !!!...
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| J’avais naïvement poursuivi ainsi, à la suite de « Comment veux-tu que je le reconnaisse ?! », avant de danqu-tipasser :
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| ::Tout de suite après un autre homme de retour de son bain se dirige vers moi et m’annonce, blagueur lui aussi (qu’est-ce qu’on s’amuse aujourd’hui), qu’il dépose son masque sur la murette à côté de moi pour ne pas le mettre dans le sable, ça serait embêtant, ah ben non ! se retrouver avec plein de sable sur le visage après, ha ! ha ! ha ! et au moins là, au soleil, y va bien sécher. « Ah là tu l’as, le séchoir ! » « Ouais, le séchoir ! » On se marre.
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| ::Voilà, c’est la fin de l’histoire. Je ne suis plus très loin de la victoire. Je la relis, puis verdict.
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| ::Je l’ai relue...
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| ::VICTOIRE !!!
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| ::Ouah, je n’y croyais pas.
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| ::(L’anorac est donc arrivé trop tard. Mais c’est dingue, parce que c’était vraiment sur le fil du rasoir !)
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| Alors quoi, en réalité, j’ai échoué ?... Non ! C’est bon ! J’en oubliais la règle de l’unique relecture que je m’étais fixée pour valider la non-synchronicité. Quoi que... Eh non ! Elle ne s’applique pas, là ! Parce qu’autant dans le premier cas le modou n’existait pas encore... Bien que si ça devait finir devant un tribunal l’accusation pourrait toujours plaider que l’affirmation « un salo que je m’en vais instamment présenter, poutoutpif, et que je n’avais par conséquent pas encore baptisé » ''impliquait'' que je m’exécutasse : que je le baptisasse, le salo, et que je le modoupaïanisasse ! Ouah, c’est chaud. Quant au coup du Brice-Bruce, alors là y compris avec le-la meilleur-yeure des avocats-cates, et la plus éminente des Mouches (en qualité d’experte pour le seconder)... la cause est... perdue d’avance.
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| Je n’ai d’autre choix que de l’admettre, et de m’avouer... vaincu.
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| Angelu : « Mais enfin mon Xabi qu’étais-tu encore allé t’imaginer que tu pusses, contre les Forces ??!! »
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| — Tu peux parler ! C’est facile à dire, après coup !
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| — J’attendais le dénouement...
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| — Oui, évidemment, tu savais. Et tu m’as laissé batailler !
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| — Je tenais à ce que tu te rendisses compte, par toi-même, de Leur – que dis-je... Notre invincibilité. Maintenant tu sais.
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| J’ai été alerté quant à une autre synchronicité, encore, qui se serait cachée. Dans « oublie pas de te raser/je me suis rasé/le fil du rasoir ». J’ai un instant flippé à l’idée que je n’allais pas y réchapper, au procès.
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| Mais, ouf, tous les rasoirages ça n’est pas dans la même histoire.
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| Et puis je ne la revendique plus, de toute manière, la victoire.
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| Par conséquent pas de crainte à avoir.
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| Je peux dormir sur mes deux oreilles ce soir.
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| Comme un loir.
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| Bonsoir.
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| '''15/01 —''' Aujourd’hui, une synchroninette à la fois rigolote et la plus NOIRE qui se puisse imaginer. Rigolote car c’est de nouveau une histoire de pet. Ha ! Ha ! Ha ! Voilà, ça c’est fait : le jumo<ref>Jeu de mot</ref> facilo-scato par rapport à notre animal domestique anglais d’hier. Le pet qui ne sonne pas pet mais « pèt ». Notre ''pet'' d’hier, non pas la fille de Key-Di/Keuldip, mon ami indien aux initiales KD pour le prénom Kuldeep tels que respectivement prononcés en anglais, qui aurait je ne sais quoi d’animal – la fille, pas le papa –, mais ce mot qui, associé à ''name'' (« neyme », le nom, dans le vocable shakespearien toujours), dans les propos de KD, désignait le « petit nom » ou « surnom » de sa rejetonne.
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| Voilà pour l’aspect pour lequel la socédure<ref>Synchronicité du jour</ref> peut prêter à sourire. Celui à pleurer, à en créer des « océans de larmes », selon l’expression de l’intitulé d’un graphique de la revue dans laquelle ladite s’est produite, c’est dans ce passage lu aujourd’hui de la revue en question, l’« Atlas des esclavages », publié par la Rosa-Luxemburg-Stiftung (pages 30-31), et que j’ai reçu avec un no-lit<ref>Numéro de ''Politis''</ref> :
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| ::La forme de résistance [des esclaves] la plus fréquente était le refus de travailler. Les travailleur.euses se comportaient stupidement, mangeaient de la terre pour se rendre malades, rouvraient leurs vieilles blessures ou se mutilaient. Dès les débuts, des individus, voire des groupes entiers, se sont échappés, puis installés dans des zones inaccessibles ; ils y ont établi des colonies. Nombre de ces évadé.es attaquaient les plantations et libéraient d’autres esclaves. On les appelait les ''cimarrones'', du mot espagnol qui désigne les animaux domestiques retournés à l’état sauvage – en anglais, ''maroons'', et en français les marrons.
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| L’intitulé que je mentionne ci-dessus est le suivant : « Un océan de larmes – Nombre de victimes de la traite transatlantique des esclaves, 1501-1866 ». Sous l’illustration cartographique, cette précision : « Selon des estimations précises, plus de 10 millions de personnes ont été déportées vers les Amériques, dont presque la moitié vers le Brésil ».
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| Je suis par ailleurs passé par Haïti, hier et aujourd’hui, à travers l’élaboration et le xabiwikitage des titres et sous-titres des Xa-pitres 41 à 50 de ''Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata''. J’introduis au 44 mon « Haïti chéri ! », suivi de cet insupportable ''teasing'' quant aux récits à venir : « La Première République Noire » ; « Je découvre enfin, évé doudou’m, son pays » ; « Deux semaines après notre départ : le séisme » ; « Alors que la Vie “avait semblé reprendre son cours” ». Et je citerai par conséquent cet énoncé supplémentaire à verser des larmes jusqu’à la fin des temps :
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| ::On estime que la population taïno<ref>Je rapporte au chamou 33 les impressions de Molière, un ami gwadloupéyen (c’est depuis hier aussi que je ne cesse d’entendre parler de « lui » à la radio, en raison du quatre-centenaire de la naissance du Monument « homonyme » !), au sujet de notre appartement, Manno et moi, à l’époque où... nous y vivions ensemble... : « On s’y sent très bien [...] Il avait même ajouté à propos d’une grande toile d’art naïf taïno accrochée au mur, que Manno ''i yo'' avions ramenée de République dominicaine, avec ses fioritures à l’image du reste de ma décoration fait-maison, qu’il était “magnifiquement mis en valeur” ». Autre cruelle mise en haleine, cette fois pour mes futurs-tures Gagaditus-tues*. Pour ce qui est du MoMo, non pas un Molière ou l’autre mais le Moment Molière, ça continue ! Quand j’ai enchaîné sur la suite du Xa-pitritrage, dans le chamou 51, dès le deuxième paragraphe il était là de nouveau, ''mon'' Momo : « “T’es pas basque toi !”, a osé me dire Molière, l’ami guadeloupéen de Manno, qui a été comme un papa quelques temps pour lui quand il a débarqué à Paris, pour sa formation de steward, un peu avant que nos chemins ne se croisent ». Ma sentence** dans Modoupa : « Il a bêtement dilapidé, par sa mise en cause de mon identité, son plein de crédit acquis en me complimentant sur mon appartement ». (*Grands-Grandes Visiteurs-teuses **Sur ce mot mon regard est attiré par l’heure en bas à droite de mon ordinateur : 21:21. Ce doublé, à cet endroit ! Ouah, ouah, ouah. Ils continuent de pleuvoir, les 21, sara-sara***, et si je devais tous les citer... Mais ces deux-là : fortiches les Forces et mon Anar, ah ça ! J’ajoute quand-même celui-là : le lendemain quand je termine la dernière facturation de mes traductions de l’année 2021, pour le mois de décembre, je laisse mon fichier « Factures prestations », à la fin des tableaux récapitulatifs de la première partie, à la page 21 (sur 111). Angelu : « Quelle poésie. On peut finir avec ça plutôt : “Fortiches les Forces et mon Anar” » ? » Quelle modestie. Mais, oui ! Gloire à Vous ! ***Sans arrêt, sans arrêt, sans arrêt)</ref> d’Hispaniola, l’île aujourd’hui divisée entre Haïti et la République dominicaine, comptait à l’époque entre un demi-million et un million de personnes. Cinquante ans seulement après l’arrivée de Christophe Colomb, en 1492, elle était réduite à quelques centaines, en raison du travail forcé et des épidémies rapportées par les colons.
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| J’évoque dans le chamou haïtien la manière dont la « Perle des Caraïbes » a été saignée, financièrement, par une France revancharde, qui a de la sorte dramatiquement hypothéqué son avenir. Ainsi dénoncée dans la suite de « Conquête et sujétion », cet article que nous sommes en train de parcourir ici :
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| ::À l’abolition de l’esclavage, les esclavagistes furent généralement indemnisés. La France, par exemple, menaça Haïti d’une guerre pour extorquer à ce pays indépendant 90 millions de francs-or – l’équivalent de plus de 90 milliards d’euros d’aujourd’hui. Les esclaves, en revanche, n’ont jamais été indemnisé.es, nulle part. Il faudra attendre le début du XXème siècle pour que des revendications en ce sens soient formulées. La Communauté caribéenne a par exemple présenté, en 2014, un plan pour une réconciliation et une justice réparatrice, exigeant une compensation pour les descendant.es d’esclaves par les nations esclavagistes, ainsi que l’annulation de Ia dette des nations sorties de l’esclavage et du colonialisme.
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| L’inopinée virée parallèle en Haïti se poursuit à la page suivante. Et ce dans certains termes, au début de cet autre article, « Haïti – Rester ou partir », qui ont cela pour me ravir qu’ils fleurent bon la volonté de prendre le contrepied du misérabilisme exaspérant, pour ses enfants (au premier rang desquels mon Manno), avec lequel cette nation est souvent décrite. Comme pour les pays pauvres de manière générale, ou qualifiés de « sous-développés » – l’appellation officielle « pays en développement », moins négative et « méprisante », plus... politiquement correcte, lui étant cependant en principe préférée. Or les chats ne sont pas des chiens, et les auteurs de ce... oui, bien triste état des lieux, plantent le décor (pages 32-33), tel qu’il est, du « pays le plus pauvre de l’hémisphère occidental », de son « climat politique et économique délétère »... Et le pire est que je me vois contraint d’enfoncer le clou car ce mot, « délétère », est même en deçà d’une réalité, en Haïti... plus cauchemardesque que jamais !!! L’interminable descente aux enfers est donc allée jusqu’à... l’assassinat du président Jovenel Moïse lui-même !!! Avant cela déjà, il y a plusieurs mois, j’exprimais, tristement, dans Modoupa, mes propres sentiments et ceux de Manno :
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| ::Haïti ne cesse de s’enfoncer dans une crise politique et humanitaire, avec de violentes manifestations qui ont occasionné plusieurs morts. Décourageant, écœurant : je le ressens très vivement moi aussi, même si je ne suis pas de ce pays. Enfin si, justement, j’en suis désormais un peu habité et... aller y habiter un peu, quelques temps, s’y procurer un pied à terre, j’en ai pas mal parlé à une époque à Manno. Il n’a jamais été chaud du tout ! Nous avons tous les deux récemment été pris d’un même élan de désespoir, un peu comme pour une personne à qui l’on tiendrait mais qui se laisserait sombrer et dont on ne parviendrait à rien tirer, malgré tout l’amour et le soutien manifestés et la volonté de croire en elle. Abordant le sujet avec Manno, au bout de trois mots sur l’actualité du pays, j’ai lâché : « C’est vraiment pas possible ! ». Et Manno, dans un même soupir : « J’abandonne ! ».
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| J’ai très récemment pu en obtenir des nouvelles toutes fraîches, et de première main, d’un couple de Français-çaise que j’ai rencontré-trée à mon salo-tarage (voir Miss-Jottise 3), qui y sont établi-blie. D’autant que Madame y termine une mission de trois ans pour le ministère de l’Intérieur français : c’est dire si elle connaît son sujet. Plus que six mois à tirer : mais tant elle que son mari gendarme – qui est retourné en France, en fait, le gouvernement français ayant rapatrié tous ses ressortissants autres que ceux présents pour raisons professionnelles – ont à demi-mot exprimé leur espoir qu’il ne lui arriverait rien de grave d’ici-là... « T’es bien protégée », ai-je opiné, car elle m’avait expliqué que tous les déplacements avaient désormais lieu sous garde rapprochée, si ce n’est dans des véhicules blindés ! « Oui mais justement, je dis toujours que ça fait de nous des cibles idéales ! », a-elle rétorqué.
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| Dans ce marasme quels sont ces mots, à la fin, qui m’ont fait si chaud au cœur ? Bien que dans l’introduction d’une visite... dans l’enfer, en l’occurrence, de la servitude d’enfants, ce sont ceux, ci-dessous, des phrases 1 et 4, et de la première moitié de la Sync... euh... 5 (allez, té, majuscules) :
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| ::HAÏTI EST FIÈRE, À JUSTE TITRE, D’ÊTRE LA SEULE NATION À S’ÊTRE CONSTITUÉE GRÂCE À LA REBELLION VICTORIEUSE D’ESCLAVES. Néanmoins, un autre type d’esclavage sévit encore dans tout le pays. De plus, la pauvreté pousse les familles rurales à envoyer leurs enfants travailler dans les foyers urbains.
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| ::En devenant indépendante, en 1804, la nation caribéenne d’Haïti a été LE PREMIER PAYS AU MONDE NÉ D’UNE RÉVOLTE D’ESCLAVES. Malgré L’HÉRITAGE DE CETTE VICTOIRE ET LA PLACE CENTRALE QU’OCCUPENT LA LIBERTÉ ET L’HUMANITÉ DANS LA CULTURE HAÏTIENNE, il existe aujourd’hui dans le pays un système répandu d’esclavage domestique des enfants, connu sous le nom de ''restavèk''. Cette pratique remonte au début du XXème siècle ; elle consiste à contraindre des enfants âgés d’à peine cinq ans à effectuer des tâches ménagères pénibles et dangereuses chez des membres de la famille élargie ou dans d’autres foyers. [...]
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| ::Un des traits caractéristiques du système ''restavèk'' est sa violence. Les enfants sont généralement exposés à des sévices physiques, sexuels et psychologiques, et victimes du mépris des membres du foyer dans lequel ils ou elles besognent. Exclu.es des repas et portant des vêtement usés, sans aucun soin, ils ou elles survivent souvent grâce aux objets jetés et aux restes laissés par les autres membres du foyer.
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| Mais envers et contre tout comme à la fin du chamou je le dis :
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| Longue et belle VIE Ayiti chéri !!!!!!!!! (Tou 9 le mastic. Après le tremblement de terre le plus meurtrier de tous les temps, en 2010, et un autre récemment, entre autres calamités de l’incontestable détenteur d’un – si ce n’est DU record mondial, en la matière, ça peut aider.)
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| Et que je t’en remets une couche.
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| Alors je le redis :
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| LONGUE ET BELLE VIE AYITI CHÉRI !!!!!!!!!
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| '''20/01 —''' Elle est toffe<ref>Trop forte</ref> ma socédure ! D’autant que j’étais à l’instant en train de me dire que j’aurais dû lui raconter, à ma lolotte, l’hirelle<ref>Histoire drôle (« hirel » féminisé – redoupe n° ch’ais pas combien encore, je les ai pas faites, les redoupes ; elles existent bel et bien, et alors, bien sûr, mais restent à ce jour à consigner, dans le Gragromoufrais, le Grand Glossaire modoupaïen-français).</ref> – ça doit être à peu près la seule de mon « répertoire » – à base de... sauce... ketchup. La lolotte c’est la nana du lolo, l’épicerie, près de chez moi.
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| Je pose mes tomates à sa caisse. « Pourquoi vous avez pas pris de sac plastique ?! », rouspétinouille-t-elle. Je lui réponds par un « ooooohhhhh ! » taquin et vais chercher mon sac. Au retour je lui déclare : « C’est parce que j’évite d’utiliser du plastique ! C’est un geste écologique ! ». On blagouille deux minutes, elle me dit : « Et si tu les laisses tomber pouf ça va faire de la sauce tomate ». Rire (ouais c’est elle qu’a commencé à saucer).
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| L’hirelle : papa, maman et bébé tomate se promènent. Bébé tomate est à la traîne. Maman tomate se retourne, elle l’écrase, et lui dit : « Ketchup ! ».
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| Courte et efficace ! En français pas trop ? Courte oui, mais ça serait mieux si elle avait un sens je suis d’accord. Car c’est une hirelle étasunienne. Ce qui veut dire qu’en français en fait j’en connais zéro ? Entendue dans... « Pulp Fiction » ! Et c’est là que je réalise la sync tarantinienne ! Ou taranxabienne, ou xabienne tout court, si on l’impute à la seule sauce synchronique que j’entreprends, présentement, de confectionner ; autrement dit à une association de la pulpe et de la sauce tomate uniquement due à ma narration.
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| Explication de pourquoi sur « ketchup » on est censé-sée rigoler : ça sonne comme ''catch-up'' qui, en anglais, signifie « rattraper » (un retard). Mais je m’a trompé. Ce qui veut dire que la seule hirelle que je connaisse je ne suis même pas capable de bien la raconter. J’aurais dû écrire : « Elle l’écrase et lui dit : “''catch-up''” ! ». C’est ce que dit Uma Thurman à John Travolta : ''She turns back, crushes it and says : catch-up !'' (« rattrape-nous » ou « dépêche-toi »).
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| C’était la sync sur sync, la sync dans la sync. La sync toffe c’était entre une vidéo que Manno m’a maouazatée que je venais de regarder et, dans la voiture, sur Radyo Tanbou : « monté an coco ».
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| La vidéo : un énorme serpent sur le tronc d’un palmier, en train de grimper, dans une succession d’enroulements-déroulements. Impressionnant. Ma première réaction : jmidi un serpent pareil dans le jardin de Manno !!! « Y a rien ici ! ». En Gwada. Se désolait un jour Domi mon voimi ex-véto passionné de faune (et de flore) – et « habitué » qu’il est à celles de Mada le salopard<ref>Upululu jacta*, en titre-et-sous-titrant mes Xapitres, au 63 je trouve : « Dominique aussi, est « parti » ! Mais il est toujours sur Terre : à Madagascar. Il reviendra, il a toujours son pied à terre à la Porte des Caraïbes ». (*Un peu plus tard le jour où j’ai écrit ça.)</ref> ! On parlait bestioles présentes en un vraiment pas très grand nombre dans notre île ; et les reptiles, z’ont depuis belle lurette pratiquement tous été éradiqués, par les mangoustes dont l’archipel a été peuplé pour les gnaper.
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| Le serpent de Manno, je ne sais où qu’il habite en fait. Et l’écho... co... co... « monté an coco », « grimper au cocotier », à la radio, c’était à propos d’un tempérament quelque peu... nous dirons... explosif, que le présentateur admettait lui-même, pour ses compatriotes, dans un débat avec une invitée, après un entretien avec le leader indépendantiste Élie Domota, sur la sempiternelle question de l’obligation vaccinale et toutes les joyités<ref>Jolies synchronicités</ref>... euh... joyeusetés autour de ça.
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| '''21/01 —''' Alors, alors... qu’a-t-il bien pu se passer en ce... 21 ?! Le premier de l’année plus-21, mais qui ne veut pas me laisser. D’abord, pourquoi qu’il me quittât devrais-je souhaiter ? Parce que, rappelons-le, à la base il est... infâme. Tout a commencé un... 21-avril. L’important c’est le trait d’union. De ces dates que les historiens-riennes, observateurs-trices, écrivains-vaines et autres narrateurs-trices décident de figer... Mais ne faut-il pas en principe également une majuscule ? Me voilà à refaire le tour de la question. Reprenons le paragraphe de ''Mon Dieu, Mon Bouddha et Patata'' que je cite également dans la Miss-Jottise 3, elle-même comme les syncs ci-dessus bourrée de 21. Et comme ça, avant de poursuivre, ici aussi nous serons fixés-xées sur ce dont retournent, à la fin, ces deux chiffres :
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| ::Ce 21 avril, de ces dates « restées à jamais dans l’Histoire comme un jour d’infamie », ainsi que Winston Churchill a qualifié celle du bombardement de la flotte étasunienne de Pearl Harbour par les Japonais, le 7 décembre 1941. Qui ont peut-être sauvé l’humanité en précipitant les États-Unis dans la guerre ! (Comme s’il avait pu en être autrement que ce qui DEVAIT être.) Le 21-avril était une de ces dates de triste mémoire, comme le 11-septembre, ainsi gravées dans le marbre et figées par le trait d’union accolé, en français, entre le jour et le mois. 21 avril 2002 : élimination de Lionel Jospin par beuuuuurrrrrk au premier tour de l’élection présidentielle.
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| Trait d’union, pas trait d’union, majuscule... Internet au secours ! Le « 21-avril » et le « 11-septembre » de mon autocitation : pas bon. C’est 21 Avril et 11 Septembre, avec ou sans trait d’union. J’avais deux chances sur trois et bim : à côté. ''Mon'' 21-Avril : une histoire de Xavier-le-flic assassiné + j’ai été convoqué par l’association d’aide aux migrants-grantes La Cimade pour un entretien suite à ma demande d’engagement en tant que bénévole un 21 avril. Résultat ma SANTÉ décida, au bout de quelques semaines, que... je cultivasse le jardin de ma Terre autrement.
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| Ce qui pouvait se passer, en ce 21 n° 1 de 22 ? Que je prendrais une leçon – c’est le 21 qui me la fait ? – je ne me serais pas douté. Mais merci. En plus apparemment c’est gratuit.
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| Si toutefois il ne s’était rien passé dans ma journée je ne serais pas passé la prendre. Alors qu’est-ce que c’est-y qui s’était passé ? C’est Miel-é-fraise<ref>''Mille ans de littérature française'' de Claude, Christophe, Christian et Patrick, ''op. cit.'' (nobapa 14)</ref> qui m’a attiré vers sa Pagawi<ref>Page du XabiWiki</ref>. Sans le bouquin le 21 n’aurait fait qu’1 : il serait passé à l’as. C’est tiré par les cheveux, « il n’aurait fait qu’1 », j’en conviens. Mais c’est bien la première fois que cela advient.
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| Ce n’est pas à cause d’une synchro mais parce que j’ai appris que j’étais un Négro. Pas une synchronicité, mais quel phénomèèèèène aussi, c’est beau. J’en suis fort aise en effet. Une dimension de plus à ma personne. Et celle-là : quelle surprise ! Même si je sais que je suis tout, que ''nous'' sommes tous-toutes tout et tout le monde, puisque ça n’est ni plus ni moins qu’un de mes mantras. Il n’empêche que je n’avais jamais ni lu ni entendu que les Basques étaient des Négros.
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| J’extrapole un peu – ah, retiftirage –, par rapport à ce qu’en disent dans leurs pages prosper-mériméïennes 342/43 Chris & Chris, Cloclo et Pat’ que j’ai lues aujourd’hui. Il est pour le moins inattendu, le Basque, dans ce premier échantillon du Grave de Prosper, un extrait de ''Carmen'' – d’autant que le drame se déroule à Séville –, et amené de manière plus surprenante encore :
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| ::[...] D’un bond, elle [Carmen] saute par-dessus moi et se met à courir en nous montrant une paire de jambes !...
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| ::On dit jambes de Basque : les siennes en valaient bien d’autres... aussi vite que bien tournées. [...]
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| « On dit jambes de Basque » ! Autre première nouvelle.
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| Et où qu’il est le Négro ? Là :
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| ::Xapalangarra [vous permettez messieurs que je dé-cheuse et rixe votre Chapalangarra comme il se doit], qui est un négro comme Mina, et réfugié comme lui dans votre pays, Xapalangarra était colonel, et j’ai joué à la paume vingt fois avec son frère, qui était un pauvre diable comme moi. [...]
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| Note de C, C, C & P sur « négro » : d’origine basque, au teint sombre et cuivré. Sur « paume » : jeu de paume, semblable à la pelote basque. Majuscule, pas majuscule : on ne va pas me la faire, la leçon, ce coup-ci. L’adjectif, dans « il est noir », « il est blanc », n’en prend pas, mais le substantif si : « C’est un Blanc », « c’est un Noir ». Le Négro, les Négros, moi en tout cas je leur colle.
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| J’en case un, de Négro (avec sa majuscule), dans Modoupa. Le mien :
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| ::La maison sans toi, ça fait bizarre bien sûr, mais je me dis que c’est provisoire, et puis j’ai quand-même l’habitude d’être souvent seul [quand il partait pour ses vols]. Bref, je continue d’essayer de chasser les idées « noires »... Toi aussi mon Négro j’espère ! Comme me le disait elle-même la mamie de 95 ou je ne sais combien de balais de la résidence : « Je fais aller, qu’est-ce que vous voulez faire d’autre ? ». Eh oui, qu’est-ce que tu veux faire d’autre ?
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| Je disserte en maints endroits doudou<ref>De/dans mon bouquin (« dou » tiré de ces mots doublé : ainsi en va-t-il des moniques [modous monosyllabiques])</ref> autour du phénomène « nico-pète-manno » (« ni complètement blanc ni complètement noir »). Tiftirage 3 : les lettres du mot ou de l’expression en français retenues pour les modous le sont en principe dans l’ordre de leur apparition. Dans « manno » j’ai inversé le « a » et le « m ». Une redoupe que j’ai moi-même fini par juger abusive et supprimer l’autorisait, à l’époque, si une géniale formule de la sorte apparaissait. Ce modou effectivement il est tog-toc<re>Trop génial, trop cool</ref>. Je le garde.
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| L’autre étrangeté, en l’occurrence, c’est que je n’aie jamais invoqué, dans toutes mes illustrations dudit phénomène, mon teint sombre et cuivré. Aujourd’hui, je comptais bien par contre citer Olivier mon ami bayonnais. Dans les syncs de Sync sur Sync qui précèdent il est un Personnage Clé. Un Poac. Comme dans Modoupa, bien que pas le seul loin de là. Ils sont deux, dans Sync sur Sync. Deux Poacs Olivier. C’est une autre remarquable articulation qui se fait, alors que sous cet angle je n’y avais pas pensé. Je voulais raconter que lui avait tout à fait conscience de sa négritude. Mon ami roux l’a déclaré un jour à Nirou-Ninoir-Niblanc... euh... Nirut (ça se prononce « Nirout »), mon ex thaïlandais : ''You know, I’m black''. « Tu sais, je suis noir ». C’est un de mes souvenirs les plus drôles. La tête de Nirout ! C’est un de ses plus beaux éclats de rire, tant pour l’image (l’expression de son visage) que pour le son, la sonorité du rire, en soi irrésistible. Jélica toutefois : la synchronicité d’Olivier qui rejoint Olivier, ecnos, dans leur Pagawi.
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| Que dis-je, dans leur pagawi, ici-même ! Puisque ce 21, C’EST la Journée d’Olivier ! L’O-O-O : Olivier l’ostéo :
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| ::La date qu’il m’a proposée, pour le prochain rendez-vous : le combien, hein, le combien ? (Sync du 07/01)
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| Il a découlé de ma Journée du 21 de la devinette trois Garonnes<ref>Grandes Conversations</ref>. La 1 pendant la consultation on s’en doute de nouveau. La 2, celle-là assez impromptue, avec un « garde-barrière ». La 3, plus classiquement, à la terrasse d’un café, avec une navigatrice et un navigateur, un couple d’une petite soixante d’années originaire de Dunkerque qui a fait Brest, le Golfe de Gascogne, les Canaries, le Cap-Vert puis la traversée (le mari uniquement, avec deux autres marins). C’est un thème récurrent... à la marina ! Où j’ai pris mon café. Passionnant.
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| Garonne 2. C’était en un moment où faillit advenir un truc de dingue aussi. Que je laissasse m’administrer le va-an-vi. Je ne suis pas anti, mais... patati. Le cabinet d’Olivier est situé tout près d’un centre de vaccination. À proximité de l’aéroport. Ça me chatouille, de me faire piquer. J’étais à deux doigts de m’y rendre ces jours-ci. Jmidi je vais aller tâter le terrain, voir si s’y suis, dire bonjour, voilà, patita. Je me suis laissé porter, dans ce mouvement, laissant agir la Matrice. (Comme si quiconque eut pu jamais la contrer.) Mais elle ne l’avait pas programmé. Pas pour un 21. Sera-ce, dans sa besace, un autre numéro ?
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| Parking. Je me gare. Au niveau de celui-ci, des barrières, à l’entrée de la voie qui mène vers le centre quelques dizaines de mètres plus loin. Le planton : un tout jeune Gwadloupéyen. Je me dirige vers lui. Il m’informe que le service est en principe ouvert jusqu’à 18 heures, mais que c’est désormais, et pour au moins jusqu’à dimanche, à Pointe-à-Pitre et aux Abymes, l’heure du couvre-feu, qui avait récemment été réinstitué à partir 20 heures. Décision prise (« débile, c’est de la provocation ! », nous sommes-nous accordés pour affirmer le jeunot et moi) en raison des nouveaux échauffourées de la nuit dernière, lors desquels un policier a été blessé... à la jambe (sans trop de gravité). Sur l’actuelle situation de simili guérilla urbaine, j’ai entendu dans la soirée sur France Info que des investigations avaient mis au jour l’instrumentation de la jeunesse désœuvrée par les mafias locales.
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| Mais tout de suite c’est Radyo Gwadloup que j’allume. Vas-y mon gars déballe, tout ce que tu sais, ce que tu sens, ce que tu vois, ce que tu crois. Et je te sortirai mon bois, celui dont personnellement je me chauffe, sur ce terrain-là. Il m’a montré Sachatte... euh... Rochatte. Sa tronche – c’est le nom improbable du préfet (un Blanc « évidemment ») de Gwadloup –, sur son téléphone portable, au-dessus de la dépêche faisant état de la mesure.
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| Le jeune homme, comme moi, n’est pas vacciné à cause d’une fragilité. Je ne comprends pas tout à fait s’il est anti ou pas. Lui-même ne le sait apparemment pas trop. Il est difficile, dans ce pays, d’être pro. Il est fin, dans tous les sens du terme : physiquement, presque encore plus que moi, et ce n’est manifestement pas un « grand intellectuel », mais il est de toute évidence largement doté de l’intelligence, la principale, la seule qui vaille, du cœur. Soumis qu’il est toutefois à la pression des rebelles qui transparaît de ses propos. Il me dit être extrêmement prudent. Il côtoie énormément de gens... y compris parfois à l’intérieur des locaux du centre !..., mais n’a jamais contracté le virus...
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| « Que les gens disent que ce n’est pas le virus qui tue mais le vaccin, alors là... » Je ne manque jamais, prudemment, diplomatiquement, de pointer ce que les discours des uns-zunes et des autres peuvent avoir de plus délirant, et la maladie de potentiellement horrible. En commençant à me diriger vers ma voiture je questionne le bonhomme sur sa mère réfractaire dont il m’a parlé, qui a comme lui jusqu’à présent réchappé à la connasse, et que je me figure sur l’instant dans un blanc – quand je me mets à un peu niaker – comme une personne relativement âgée, quoiqu’elle puisse très bien avoir dans les cinquante ans... Le gamin, lui, n’en a pas vingt :
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| — Ta maman, toi, tu ne veux absolument pas qu’elle se fasse vacciner ?
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| — Si...
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| — Tu lui as demandé, de le faire ?
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| — Oui... mais je ne peux pas décider à sa place...
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| — Bon, écoute, c’est comme ça. Tout ira très bien.
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